Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
La Tate Modern turbine avec succès depuis dix ans

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Jeu de massacre
Parmi les différents Hitchcock diffusés ce soir pour les 30 ans de sa mort, Frenzy, avant-dernier film du maître, qui déjoue ses propres codes. Arte, 20h35.
Chambre avec vue
Fenêtre sur cour, l'un des chefs-d'œuvre d'Hitchcock, où, sous le polar, sourd une réflexion sur le voyeurisme. France 3 22h50.
Le monde de jeudi
23/04 AFP
De nombreuses cérémonies vont marquer dimanche la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, qui marque également le...
Louis et Auguste Lumière donnent une première séance de cinéma devant la Société d'encouragement à l'industrie nationale à Paris en présentant un petit film de quelques minutes : 'La Sortie des ouvrières de l'usine Lumière'. Ils ne voient dans le cinéma qu'une curiosité scientifique, pourtant, ils viennent de donner naissance à un nouvel art. Le mois suivant, Louis Lumière réalise le premier film de comédie de l'histoire : 'L'Arroseur arrosé', mettant en scène son jardinier et un jeune apprenti.
PARIS | La Comédie des Champs-Elysées, théâtre parisien où furent créées treize de la quarantaine de pièces de Jean Anouilh (1910-1987), exhume pour le centenaire de la naissance de l'auteur "Colombe", l'histoire d'un triste amour.
AFP | 18.02.2010 | 13:23
"Colombe" de retour - La Comédie des Champs-Elysées, théâtre parisien où furent créées treize de la quarantaine de pièces de Jean Anouilh (1910-1987), exhume pour le centenaire de la naissance de l'auteur "Colombe", l'histoire d'un triste amour.
Michel Fagadau, directeur de la Comédie, signe la mise en scène de la pièce créée en 1951 au Théâtre de l'Atelier. Elle réunit sur la même affiche Anny Duperey, sa fille Sara Giraudeau (qui succède à Danielle Delorme dans le rôle de la petite fleuriste Colombe) et Grégori Baquet (pour le personnage de son mari Julien, pianiste pauvre et rigoureux, créé par Yves Robert).
Sara Giraudeau sait être une Colombe à la fois enfantine et dure face à son époux qui veut la rendre conforme au rêve qu'il s'est fait d'elle. Quand Julien part pour le service militaire et qu'il la confie à sa vieille actrice de mère, l'innocente et perfide enfant succombe aux facilités de la vie de coulisses de théâtre dans lesquelles se déroule l'action.
Trois ans à peine après avoir fêté le cinquantenaire de son prix Nobel (1957) pour l’ensemble de son œuvre, nous commémorons le cinquantenaire de sa mort(le 4 janvier 1960)
Au CDI, nous avons affiché une bio-biblio et étalé ce que nous avions de lui et sur lui.
Varsovie : À la recherche de Chopin
Nicolas d'Estienne d'Orves
19/02/2010 | Mise à jour : 17:57
Les 26 et 27 décembre 1999, un phénomène d'une ampleur inconnue semait la mort et la destruction.
» 100.000 hectares de forêt reconstitués
http://www.liberation.fr/livres/0101610561-revue-la-savoie-dans-tous-ses-etats
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La suite ici:
Levez la barrière, levez la barrière !» Voilà vingt ans, le mur de Berlin s'effondrait, entraînant la fin du «rêve» communiste. Commémorer un tel événement ne relève pas seulement de l'exercice historique classique, tant cette chute touche aussi à la plus brûlante actualité. Qu'avons-nous fait de cette liberté si chèrement acquise et tant espérée par des générations de dissidents, de combattants de l'ombre et de victimes de la répression bolchevique ? La question mérite autant d'être posée que les circonstances de la chute supposent d'être rappelées. D'où les deux types de publications qui se côtoient actuellement dans les rayons des libraires. Celles qui, non sans intérêt, reviennent par le menu sur l'enchaînement des événements cruciaux de cet automne 1989 qui ont conduit à la chute finale. Citons parmi tant de livres le récit de Jean-Marc Gonin et d'Olivier Guez qui ont procédé à une enquête précise, sur fond de témoignages et d'archives, de ces deux mois de 1989.
Cela commence le 6 octobre 1989, lorsque la RDA reçoit Gorbatchev pour célébrer les 40 ans de sa création. Les dirigeants sont encore confiants. Un mois plus tard, le tourbillon de l'Histoire emporte ce régime sans une goutte de sang. Le mur de Berlin tombe dans la nuit du 9 au 10 novembre. Pendant ces quelques semaines, Gonin et Guez montrent ce qui se joue en coulisses. Ils sont des dizaines à affronter la Stasi au prix de leur liberté. À un moment, la pression est trop forte et le régime cède, comme une digue, sous la pression de la foule.
C'est aussi ce que montre Georges Marion dans Berlin 1989 où, à travers une série de portraits des acteurs de l'époque, on comprend comment un État totalitaire finit par plier face à la détermination des masses. Car, contrairement à tant de fausses « révolutions » qui viendront après, dans certains pays de l'Est, c'est la rue qui, à Leipzig ou à Berlin, a pris son sort en main.
On lira aussi les récits de Cyril Buffet et de Michel Meyer sur toutes ces péripéties. Bien entendu, pour bien saisir les véritables causes de cette chute, il faut remonter longtemps en amont car la chute du Mur marque aussi la fin d'une époque, celle de la guerre froide, que Frederick Taylor illustre avec beaucoup de talent dans son Mur de Berlin (1961-1989). Spécialiste de l'Allemagne, cet historien de renom retrace certainement la plus passionnante histoire du Mur depuis sa création jusqu'à sa chute.
Mais, au fond, ce qu'il y a de plus intéressant dans cet événement, c'est la formidable promesse dont il a été porteur et les bouleversements géopolitiques qu'il a engendrés.
De ce point de vue, on lira avec intérêt l'essai de Pierre Grosser, qui, malgré son titre (1989. L'année où le monde a basculé), ne se limite nullement à une seule année. C'est au contraire une histoire de la mondialisation qui a suivi. Car, plus que 1989, c'est finalement 1990 qui structure le nouveau monde avec, cette année-là, l'adoption du « consensus de Washington » dont on sait combien les principes inspirés par le néolibéralisme anglo-saxon (privatisation, déréglementation, ajustements structurels) vont contribuer à dessiner les contours de la nouvelle planète. L'analyse de Pierre Grosser est complète, à une lacune près, très fréquente chez les géopoliticiens : l'ignorance de ce que les criminologues appellent « le contexte criminogène » généré par cette mondialisation financière. Désormais, vingt ans après la chute du Mur, le monde n'a peut-être jamais été aussi instable et dangereux. Et ce n'est pas le moindre paradoxe de voir, moins de vingt ans après Berlin, « le retour des murs », comme le soulignait la revue Cités en 2007 (à Gaza, à Ceuta et Melilla, à Bagdad, etc.) (1). Ces nouvelles barrières, même si elles ont des causes différentes, visent toutes à répondre au regain de la peur. Vingt ans après la chute du mur de Berlin, c'est un point qui assombrit fortement ce bel anniversaire.
«La chute du mur» d'Olivier Guez et Jean-Marc Gonin - Fayard, 360 p., 21,90 €.
«1989, l'année où le monde a basculé» de Pierre Grosser, Perrin, 606 p., 25,50 €.
(1) Revue Cités, n° 31, 2007.
À LIRE AUSSI
«Berlin 1989» de Georges Marion, Seuil, 246 p., 19 €.
«Histoire secrète de la chute du mur de Berlin» de Michel Meyer, Odile Jacob, 346 p., 21 €.
«Le jour où le Mur est tombé» de Cyril Buffet, Larousse, 296 p., 18 €.
«Le mur de Berlin 1961-1898» de Frederick Taylor, traduit de l'anglais par Sabine Boulongne et Philippe Bonnet, Lattès, 620 p., 25 €.
» DOSSIER SPECIAL - La chute du Mur, 20 ans après
TEMOIGNAGE VIDEO - Grand reporter au Figaro Magazine, Jean-Marc Gonin était à Berlin en 1989 lors de la chute du mur de Berlin. Pour lefigaro.fr, il raconte aujourd'hui «son» 9 novembre 1989.
A voir ici:
http://www.lefigaro.fr/international/2009/10/29/01003-20091029ARTFIG00569-jamais-je-n-ai-pense-voir-le-mur-s-ouvrir-de-mon-vivant-.php
Texte et suite ici:
Outre la sortie de Kind of Blue, l'année 1959 marque un tournant dans l'histoire du jazz : des albums innovants et les disparitions de quelques grands. C'était il y a 50 ans...
http://www.lexpress.fr/culture/musique/jazz/1959-une-annee-jazzy_784346.html
Le 23 Juin 1959, à 10 heure, Boris se rend au Petit Marbeuf près des Champs-Élysées, et meurt dès les premières scènes, trop d'émotions, trop de tapages...
Au cimetière de Ville-d'Avray, les employés des pompes funèbres sont en grève, ses amis doivent eux-même mettre le cercueil en terre, scène digne d'un bon roman de Vian.
Sullivan a tué Vian, ou plutôt est-ce l'inverse ?
Les pisses-copies n'ont pas vu Vian mais seulement Sullivan, ce qui faisait mieux vendre. Ils préféraient taper sur Gainsbar qu'applaudir Gainsbourg...
Vian était en avance sur son temps, ce ne sera que dans les années 60 que l'on découvrira Boris Vian, surtout en 68 quand on dira "Faites l'amour, pas la guerre !"
Pour en savoir plus, allez voir mon site source:
http://www.borisvian.fr/sommaire.php?to=poemesintro.html
et ma bibliothèque Babelio:
Réalisation : Bernard Vasseur - Coproduction : France 3 / CLC
En 2008, Guignol aura 200 ans. Quelle longévité pour un simple morceau de bois sculpté par un gône de Lyon : Laurent Mourguet ! |
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http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/emissions/cotedocs/32532604-fr.php#para40421557
La grande pyramide du Louvre a 20 ans ! L’œuvre de l’architecte Ieoh Ming Pei construite au milieu du Carrousel du Louvre, à Paris, a été réceptionnée le 4 mars 1988. Retour sur un élément emblématique du musée qui a drainé en 2007 quelque 8,3 millions de visiteurs.
Le musée le plus visité au monde fête les 20 ans de sa pyramide. En effet, l’œuvre de l’architecte Ieoh Ming Pei, lauréat du prix Pritzker en 1983, a été réceptionnée le 4 mars 1988, mais elle ne sera inaugurée qu’en 1989, année du bicentenaire de la révolution française.
Connue dans le monde entier et voulue par François Mitterrand, la pyramide de Pei a déclenché à l’époque de son édification une vive polémique. De nombreux observateurs y voient un style trop futuriste tranchant avec le classicisme de la cour Napoléon au milieu duquel se trouve le nouvel édifice. Mais les partisans de la pyramide apprécient au contraire le contraste apporté par la cohabitation de ces deux styles.
De verre et d’acier
La grande pyramide de verre est constituée de poutres en acier, et près de 700 losanges de verre. Elle est entourée de trois répliques bien plus petites, et une cinquième pyramide, inversée cette fois, a été construire sous le Carrousel du Louvre.
La construction de la pyramide fait partie du projet du grand Louvre, qui a vu également la restauration de l'arc de triomphe du carrousel l'extension du musée aux derniers bâtiments de la cour Napoléon. Ceux-ci étaient occupés par le ministère des finances, lorsque ce dernier a déménagé dans le quartier de Bercy.
03/03/2008