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Des bibliothèques - Page 59

  • Lettres du Bosphore(médiathèque)

    Lettres du Bosphore | Courtois, Sébastien de (1974-....)Edmund BURKE,« Pour que le mal triomphe seule suffit l'inaction des hommes de bien. "(exergue)

    p.88:René Char: "Vivre, c'est s'obstiner à achever un souvenir."

    p.222:

    Oscar Wilde, La Ballade de la geôle de Reading (Première stance)
    GF Flammarion 2008, Édition bilingue avec dossier – Traduction Pascal Aquien:

    Jamais je n’avais vu homme regarder
    D’un œil aussi mélancolique
    Le petit auvent bleu
    Que les prisonniers nomment ciel,
    Et les nuages poussés par le vent,
    Entourés de leurs voiles d’argent.

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  • J'ai terminé hier soir: Rendell, Ruth (1930-2015) Les coins obscurs

    Edité par Les deux terres. , 2017

    Au décès de son père, Carl Martin hérite d'une maison dans un quartier cossu de Londres. Jeune écrivain, Carl a besoin d'argent et décide de louer le dernier étage au premier venu. Première erreur.

    Exergue

    Les coins obscurs | Rendell, Ruth (1930-2015)

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  • Deux hommes de bien(médiathèque); je l'ai adoré

    Deux hommes de bien | Pérez-Reverte, Arturo (1951-....)exergue: "une vérité, une foi, une génération d'hommes passent et c'est l'oubli et c'est sans importance ! Sauf peut-être pour les rares êtres qui croyaient à cette vérité, professaient cette foi ou aimaient ces hommes."

    Le nègre du Narcisse (1913), Joseph Conrad 

    citation p.13

    citation p.116

    p.159:La ville entière agit comme un livre et les citadins y cheminent en le lisant et en s'imprégnant de leçons de civisme à chaque pas qu'ils font. R. DARNTON, Les Best-sellers interdits de la France prérévolutionnaire

    CITATION P.206

    p.293:Denis DIDEROT:"Le temps n'est plus où l'injustice me rendait furieux", "Lettre à Sophie VOLLAND"

    p.336: Denis DIDEROT, "Jacques le Fataliste":"La joue de tous les hommes d'honneur est la même."

    p.380: Marquis de Sade,"La philosophie dans le boudoir": "Je ne demande grâce que pour ma surprise ; c'est la première fois que j'entends toutes ces lubricités."

    Citation p.418

    CITATION P.451

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  • Bakker, Boudewijn Rembrandt et Amsterdam : Promenades avec Rembrandt dans la ville d'Amsterdam et ses alentours : (Exposition) Institut néerlandais, Paris, 17 décembre 1998 au 14 février 1999

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/193095/rembrandt-et-amsterdam-promenades-avec-rembrandt-dans-la-ville-d-amsterdam-et-ses-alentours-expositi

     

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  • J'ai terminé après notre retour des Pays-Bas:Dirk Bouts, peintre du silence / Maurits Smeyers(médiathèque)

     

     

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  • J'ai fini hier:Friedländer, Max Julius (1867-1958) De Van Eyck à Breughel : les primitifs flamands (BU)


    pour préparer le voyage en Hollande

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  • J'ai terminé hier soir:Paysages urbains et mélancolie chez Orhan Pamuk : essai littéraire / Maya Ombasic(BU)

    Auteur(s) : Ombasic, Maya Editeur : Paris, l'Harmattan, DL 2016, cop. 2016. Collection : (Approches littéraires). Bibliographie : Bibliogr. p. 217-224. Notes bibliogr. en bas de page. Type doc : Livre imprimé Description : 1 vol. (228 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm ISBN : 978-2-343-09205-8. Sujet(s) : Littérature turque -- 21e siècle -- Histoire et critique
    Mélancolie -- Dans la littérature
    Pamuk Orhan -- Thèmes, motifs
    Villes -- Dans la littérature

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  • J'ai fini hier:Le silence même n'est plus à toi(médiathèque)

    Le silence même n'est plus à toi par Erdoganp.37:Le titre de la chronique donnant son nom au recueil est emprunté à un poème du Gymnopédie de Georges Séféris, poème qui commence ainsi: «A l’heure où les dés heuretent le sol, à l’heure où le glaive heurte l’armure, à l’heure où rencontrant ceux de l’étranger, les yeux des âmes expirantes s’emplissent d’amour… A l’heure où regardant alentour, tu ne vois que pieds arrachés, mains mortes, et ces yeux qui s’éteignent… A l’heure où désormais même mourir t’es refusé…»

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  • J'ai fini hier: Rubens et Rembrandt : les maîtres d'autrefois / Eugène Fromentin ; préface d'Albert Thibaudet(BU)

    Auteur(s) : Fromentin, Eugène (1820-1876)
    Thibaudet, Albert (1874-1936)     Editeur : Bruxelles, Éd. Complexe, 1991. Collection : (Le regard littéraire ; 49). Notes : Reprod. en fac-sim. de l'éd. de : Paris, 1876, parue sous le titre : "Les maîtres d'autrefois, Belgique et Hollande". Bibliographie : Index. Type doc : Livre imprimé Description : 1 vol. (XXVII-378 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm ISBN : 2-87027-415-7. Sujet(s) : Rembrandt
    Rubens Petrus Paulus

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  • J'ai terminé pendant le voyage:Ténébreux samedi : au bord de l'abîme / Nicci French( médiathèque)

    Ténébreux samediNicci French ; traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Marianne Bertrand

    Edité par Fleuve noir , DL 2017

    Lorsqu'une ancienne relation de travail lui demande d'établir le bilan psychiatrique de Hannah Docherty, Frieda Klein se retrouve dans une situation délicate. Elle ne peut refuser de rendre service à ce collègue influent, or elle éprouve un véritable choc en rencontrant la jeune femme. Incarcérée depuis treize ans dans une institution douteuse pour avoir assassiné sa famille, Hannah n'est plus que l'ombre d'elle-même. En dépit des preuves écrasantes, pour Frieda, la jeune femme, traumatisée par des années de maltraitance et d'abus, se trouve plutôt de côté des victimes que des bourreaux. Convaincue de l'innocence de Hannah et malgré les injonctions de la police, la psychothérapeute rouvre le dossier de ce crime sordide et met au jour des incohérences accablantes. Cependant, chacun de ses pas semble être suivi de près : quelqu'un cherche à tout prix à cacher ce qui s'est véritablement passé cet après-midi du 19 mai 2001.

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