Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Des bibliothèques - Page 68
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J'ai terminé dans mon bain ce matin:Roman
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J'ai terminé hier soir:Indésirable
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J'ai terminé hier soir:Ahlam(commencé samedi)
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J'ai commencé à la médiathèque de la ville où je travaille:Ces amis qui enchantent la vie
Ouvrage original, puisqu'il mêle portraits d'écrivains et morceaux choisis de leurs meilleurs livres, Ces amis qui enchantent la vie est l'aboutissement et le fruit d'une longue histoire d'amour. Jean-Marie Rouart a toujours eu la passion de la littérature. Depuis sa prime adolescence, elle n'a cessé de l'accompagner. Il a même écrit qu'elle lui avait sauvé la vie, sauvé du désespoir en donnant un sens à une existence qui commençait sous les pires auspices. Grâce à elle, il a pu faire d'une passion une vie, puisqu'il s'y est consacré avec enthousiasme comme écrivain et en tant que directeur du Figaro littéraire pendant vingt ans.
Rassemblant 120 écrivains français et étrangers, ne visant pas à rivaliser avec la critique universitaire, ce livre est avant tout celui d'un écrivain. À ce titre, il est subjectif, arbitraire, et cherche moins à donner des notes, des prix d'excellence, à établir des hiérarchies, qu'à mettre en valeur des créateurs sur le seul critère du plaisir qu'ils donnent, de la magie qu'ils font naître. Cet enchantement qui fait d'eux les plus indispensables et les plus fidèles des amis. C'est pourquoi, délaissant souvent les grands boulevards des auteurs consacrés, Jean-Marie Rouart n'hésite pas à suivre les chemins buissonniers qu'empruntent des écrivains plus rares comme Joseph Delteil, Malcolm de Chazal, Luc Dietrich ou Carson McCullers.
Il a ainsi voulu rendre hommage à un grand nombre d'entre eux, notables ou non, qui ont fait plus que jalonner son propre parcours de romancier. De ces lectures il a tiré non seulement de grands moments d'ivresse littéraire, mais aussi une leçon de vie. Car c'est bel et bien la vie qui est au coeur de cette entreprise, comme il s'en explique dans sa préface : « Je demandais aux livres : comment fait-on pour vivre, pour aimer, pour être heureux ? » Cet ouvrage est, d'une certaine façon, aussi personnel qu'une confession, aussi intime qu'une autobiographie. -
Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart:
Lesley Blanch, née le à Londres, Royaume-Uni et morte le à Menton en France, est une écrivaine et une éditrice de mode britannique.
Née à Londres dans une famille de la bourgeoisie britannique, Lesley Blanch a passé la plus grande partie de sa vie à voyager dans des pays lointains qu'elle a décrits dans ses ouvrages.
Dès l'âge de quatre ans, elle est fascinée par un ami de la famille, un mystérieux Russe, grand voyageur de vingt-cinq ans son aîné. Il devient son amant alors qu'elle a tout juste vingt ans, puis il disparait en Union soviétique. Elle décide alors de se lancer à sa recherche et devient, dans le début de ces années 1930, une des rares personnes à voyager en Union soviétique, s’intéressant plus à l’histoire et à littérature qu’à la politique. Elle racontera en partie cet épisode de sa vie dans ses mémoires, Voyage au cœur de l'esprit, publiées en 1968.
Revenue à Londres, elle travaille entre 1937 et 1944, comme éditrice au magazine Vogue puis, pendant la guerre, écrit également pour le Ministère de l’Information britannique.
En 1944, elle fait la connaissance de Romain Gary qu'elle séduit. De dix ans son cadet, l’écrivain français d'origine russe, futur Prix Goncourt, est alors capitaine dans l'escadrille Lorraine des Forces françaises libres du général de Gaulle. Elle l'épouse en troisièmes noces, en 1945, et il fait d'elle l'héroïne de son roman Lady L.. Après la guerre, elle partage la vie diplomatique de son mari au gré de ses affectations, qui les amènent à séjourner à Sofia, à Berne, à New York (où elle écrit The Wilder Shores of Love), en Bolivie (lorsqu'il reçoit le Goncourt, en 1956, pour Les Racines du ciel), à Londres puis à Hollywood. De son côté, elle part dans le Caucase pour faire des recherches sur l'imam Shamyl et trouve l'inspiration pour son livre Les Sabres du paradis publié en 1960. Ensemble, ils visitent de nombreux pays et continents : Turquie, Amérique centrale (dont le Mexique où Romain Gary écrit La Promesse de l'aube), Afrique du Nord. S'ils vivaient déjà séparés lorsque Romain Gary était en poste en Bolivie, ils ne décident de divorcer qu'en 1962 et garderont une « sorte d'amitié téléphonique ». Romain Gary épousera plus tard l'actrice Jean Seberg. De son côté, Lesley décide de s'installer à Paris. Elle continue à voyager et partira une année à Hollywood pour travailler avec le réalisateur George Cukor à la MGM.
Elle renoue avec son attirance pour les voyages et part traverser la Sibérie sur le légendaire Transsibérien, puis retourne au Sahara qui lui avait inspiré son premier et célèbre roman : The Wilder Shores of Love en 1954. De fait, elle est fascinée par l'Orient et par les femmes qui l'ont parcouru dans les siècles passés. Elle brosse d'elles quelques portraits que l'on peut retrouver dans son livre Vers les rives sauvages de l'amour, publié en 1974. Cette fascination de l'Orient la pousse aussi à s'intéresser à Pierre Loti, qui lui inspire une biographie en 1983 et un essai sur le romantisme du voyage en 1989.
Devenue une « délicieuse vieille dame britannique au goût suranné et au caractère affirmé », elle vécut ensuite jusqu'à sa mort le , à Menton, à proximité de la frontière franco-italienne, dans une maison exotique perdue dans des plantations tropicales.
Elle renoue avec son attirance pour les voyages et part traverser la Sibérie sur le légendaire Transsibérien, puis retourne au Sahara qui lui avait inspiré son premier et célèbre roman : The Wilder Shores of Love en 1954. De fait, elle est fascinée par l'Orient et par les femmes qui l'ont parcouru dans les siècles passés. Elle brosse d'elles quelques portraits que l'on peut retrouver dans son livre Vers les rives sauvages de l'amour, publié en 1974. Cette fascination de l'Orient la pousse aussi à s'intéresser à Pierre Loti, qui lui inspire une biographie en 1983 et un essai sur le romantisme du voyage en 1989.
Devenue une « délicieuse vieille dame britannique au goût suranné et au caractère affirmé », elle vécut ensuite jusqu'à sa mort le , à Menton, à proximité de la frontière franco-italienne, dans une maison exotique perdue dans des plantations tropicales.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lesley_Blanch
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Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart:
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Je l'ai comencé mais je l'ai rendu à la médiathèque:Jardins à la française : l'art et la nature
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J'ai commencé hier soir mais je le rends ce soir:En vrille(médiathèque)
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J'ai craqué hier à la médiathèque pour:Normandie des impressionnistes
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J'ai terminé cet après-midi:Le pas du renard
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Je viens de terminer:Macabre retour(commencé le 18)
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J'ai craqué hier à la médiathèque pour:Histoire d'O Le bonheur dans l'esclavage
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J'ai terminé hier:Ne pars pas sans moi(commencé le 16)
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Je viens de réserver à la médiathèque:Sculptures végétales
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Mon mari a craqué hier après-midi à la médiathèque pour:Les ponts de la Loire
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Je viens de réserver à la médiathèque:Corrosion
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J'ai réservé à la médiathèque:Les petites filles
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J'ai terminé mercredi 27:Désaxé(réservation médiathèque:commencé le 22)
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Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart,Ces amis qui enchantent la vie
Le mystère de la lecture, c’est que de toutes les passions, c’est une de celles qui ne s’épuisent pas. On pourrait imaginer qu’avec le temps vient la lassitude. C’est tout le contraire. L’appétit reste vif. On mesure tout ce qu’on n’a pas lu et nous restera à jamais ignoré. On va mourir sur sa faim. Des continents entiers demeureront ignorés qui contenaient de petits paradis et des sortilèges qui garderont leurs secrets.
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Je suis allée chercher hier soir à la médiathèque ma réservation:Celle qui savait tout
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J'ai lu hier:Vivre avec les livres
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J'ai terminé pendant notre voyage:Vertigo 42(médiathèque)
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J'ai lu pendant notre voyage(et je l'ai revu à Paris):Le Brady : cinéma des damnés