Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Beaux Arts magazine n° 362 (Août 2014)
Prochain numéro le 21 août 2014
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Par Vincy Thomas, le 06.08.2014 à 16h45 (mis à jour le 06.08.2014 à 17h00) Royaume Uni
L'Institut Warburg
Une pétition a été lancée afin d'éviter la dispersion des fonds.
Par Souen Léger, le 05.08.2014 à 12h47 (mis à jour le 05.08.2014 à 13h00) IFLA
OLIVIER DION
A quelques jours de l’ouverture de son congrès mondial à Lyon, qui se tiendra du 16 au 22 août, l’IFLA dévoile un rapport montrant que des freins subsistent au prêt de livres numérique en bibliothèque. Leur disponibilité varie d’ailleurs fortement d’un pays à l’autre.
Les îles Solovki abrtièrent l'un des pires goulags. Une bibliothèque extraordinaire fut constituée par les prisonniers. - WIKIMEDIA COMMONS
exposition du 20 mai au 23 août Bibliothèque de la Part-Dieu + d'infos |
FLICKR - CC- TULANE PUBLIC RELATIONS
Le Pew Research Center a rassemblé les résultats parfois surprenants de plusieurs études sur le profil des usagers de bibliothèques aux Etats-Unis.
Les 120 tiges en acier fixées au sommet de la coupole soutiennent l’escalier. - ANMA/BNU
N° 78 - mai 2014 - 9,50 €
ISSN : 0998-8041
En deux siècles, notre vision de la guerre et les représentations qu’en donnent les artistes et les médias ont radicalement changé, qui montrent avec toujours plus de franchise, voire de crudité, les horreurs des conflits, leurs conséquences désastreuses sur les soldats comme sur les civils, leurs excès confinant parfois à la barbarie.
Le Louvre-Lens aborde ce sujet majeur dans une importante exposition rassemblant quelque 400 œuvres, peintures, sculptures, photographies ou films qui sont à la fois les témoins d’un changement de mentalités collectif et autant de visions personnelles.
Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)
« Connu pour ses romans et ses relations de voyages, Pierre Loti l'est moins pour ses textes courts, évocations et nouvelles. L'intérêt de ces quatre textes autour de Constantinople réside dans leur forme autant que dans leur fond. Écrits plusieurs années après Azyadé, ils ne montrent pas seulement la Turquie pittoresque mais un pays à l'identité menacée. À travers ce constat, confronté au cosmopolitisme qui désagrège les traditions ottomanes, Loti dresse le bilan de sa propre vie, en s'identifiant à la ville qu'il a le plus aimée. Constantinople est le fidèle reflet de la déchirure de l'écrivain partagé entre l'invention de sa vie et sa vie réelle. » (présentation de l'éditeur)
Préface de Sophie Basch.
Dans BiblioMonde
Istanbul. Le regard de Pierre Loti : Une soixantaine de photographies de Pierre Loti et des extraits inédits de son journal
Les Désenchantées
Aziyadé - Fantôme d'Orient
http://www.bibliomonde.com/livre/constantinople-fin-siecle-416.html
Dans une galerie d'art mexicaine, un tableau de Frida Kahlo a été volé. On trouve au sol des douilles de kalachnikov, l'arme favorite des narcotrafiquants. Quant au galeriste, son crâne a été fracassé à coups de statuette représentant la Santa Muerte, un squelette en robe de mariée, ou Vierge des délinquants. Au même moment, des autels dédiés à son culte sont profanés, des strip-teaseuses assassinées, la Vierge macabre tatouée sur le coeur. Plongée dans les bas-fonds de Mexico sur les traces de ce mystérieux autoportrait que Frida aurait peint en 1940 pour son amant caché, Trotski, installé dans la maison bleue du couple étrange que forment Kahlo et le muraliste Diego Rivera. Si l'on accepte le prétexte d'un message caché dans un tableau censé ne pas exister, on passe alors des heures délicieuses dans l'intimité de la belle Frida et de son révolutionnaire en exil
http://www.lepoint.fr/livres/l-ultime-secret-de-frida-k-10-05-2012-1697946_37.php
Vingt ans après sa création, la Bibliothèque nationale de France lance une campagne de communication pour actualiser son image.
Le 20 mars 2014, la Bibliothèque nationale de France lance une campagne de communication conçue par l’agence BETC via un mécénat de compétence. À la suite de la construction d’une nouvelle entrée site François-Mitterrand, de la rénovation du hall d’accueil, des évolutions du Haut-de-jardin et vingt ans après sa création, la BnF a souhaité actualiser son image auprès du public.
« La Bibliothèque entend mieux faire connaître ce qu’elle est aujourd’hui, une institution patrimoniale à la pointe de la révolution numérique, qui va à la rencontre de tous les publics et évolue sans cesse pour mieux répondre à leurs attentes », déclare Bruno Racine, président de la BnF.
Cette campagne de communication grand public a été confiée à BETC (groupe Havas), l’une des agences les plus créatives et les plus innovantes (Canal +, Évian, Musée de l'histoire de l’immigration…).
Galerie des bibliothèques de la Ville de Paris, 22 rue Malher (Paris 4eme) / 15 janvier - 15 juin 2014
L’exposition restitue la vision de Paris pendant le conflit, à travers un reportage inédit d’un photographe peu connu, Charles Lansiaux (1855-1939). Chaînon manquant entre Atget et Doisneau, Lansiaux est un documentariste à la fois scrupuleux et plein d’humour. Habile à capter les regards, les signes et les gestes, il offre une image étonnamment vivante des rues de paris il y a un siècle.
Sauvée du siège par la bataille de la Marne, la capitale ne perçoit que des bruits assourdis d’un conflit lointain. Quelques privations sporadiques, les dégâts causés par les bombardements des « tauben » (pigeons, du nom donné aux avions allemands) et le retour des blessés forment les signes les plus manifestes de la guerre.
Bibliothèque Forney, 1, rue du Figuier, Paris 4e
exposition
bibliothèque
Part Dieu
8 mars au
31 mai 2014
Récits, théâtre, journal, poésie, essais, aphorismes, abécédaire… Œuvre avant tout autobiographique, aucun genre littéraire n’a échappé à Louis Calaferte dont les écrits sont aussi abondants et inspirés que divers. Homme volontairement isolé, créateur prolixe, auteur de plus d’une centaine d’ouvrages, il laisse à son décès, le 2 mai 1994, des milliers de pages manuscrites et des archives littéraires constituées, entre autres, de dessins, d’illustrations, d’affiches, de correspondances.
Guillemette Calaferte, selon le vœu de l’écrivain et au fil des parutions, a donné depuis 1996 cet ensemble à la Bibliothèque municipale de Lyon. Le département Langues et Littératures de la BmL a traité et encodé les documents offrant ainsi aux chercheurs un fonds Louis Calaferte exhaustif quasi unique. L’exposition de 1988, où Louis Calaferte proposait ses créations graphiques et celle de 1996, au moment de la première donation, mettant l’accent sur l’œuvre théâtrale, lui rendaient hommage.