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Des évènements - Page 19

  • Nous retournerons visiter puisqu'il était fermé:Musée Ziem

    Le musée Ziem est né en 1908 et possède depuis son origine des collections variées. Le visiteur peut découvrir les œuvres de Félix Ziem, des peintures de l’école de Marseille de 1850 à 1925, des paysages fauves, de l’art contemporain, des collections archéologiques et ethnologiques.

     

    Pour les adultes, des visites commentées et des conférences viennent ponctuer l’année, ainsi que des moments particuliers, comme des concerts ou des rencontres/débats en lien avec la collection permanente et les expositions temporaires.

    Différentes formes d’ateliers d’initiation à l’histoire de l’art et aux pratiques plastiques sont proposées aux enfants tout au long de l’année.

    Elles s’adressent au public individuel, au public en situation de handicap, aux scolaires, aux centres aérés et aux Maisons de quartier.

    http://www.ville-martigues.fr/culture-sport-et-loisirs/musee-ziem-1708.html

    Précédente publication:

    01/05/2013 12:15

  • Nous avons aimé visiter samedi à Marseille:Matta : du Surréalisme à l’Histoire

    Ne manquez pas l’exposition inédite "du Surréalisme à l’Histoire" consacrée à l’œuvre monumentale du peintre chilien Matta, jusqu'au 20 mai, au musée Cantini.

    ­Pour célébrer la réouverture du musée Cantini - un écrin abritant l'une des plus belles collections d’art moderne de France - le public  est invité à (re)découvrir l’œuvre de Matta (1911–2002). L’exposition rassemble "Cinquante tableaux, très souvent de très grands formats - de quatre à dix mètres - et un cabinet d'arts graphiques de cinquante dessins environ." explique Christine Poullain, directeur des musées de Marseille. "Le propos, c'était de réaliser l'exposition la plus complète, la plus exhaustive de Matta possible." dit-elle. Les oeuvres proviennent des musées et des collections privées du monde entier, mais aussi de la famille Matta. Le surréaliste chilien qui passa la majeure partie de sa vie loin de son pays natal, laisse à la postérité une œuvre abondante, inédite jusque-là à Marseille, souvent composée de formats monumentaux. Le fil conducteur de l’exposition réside dans le cheminement qui a conduit l’artiste des voies de l’automatisme surréaliste à une représentation  métaphorique des grands bouleversements de l’Histoire de la deuxième moitié du XXe siècle. L'exposition balaie ainsi tout le  parcours intérieur de l'artiste : "On commence par les tableaux surréalistes qui expriment la voix de l'inconscient, de l'automatisme, de l'imaginaire et des fantasmes qui sont les principes du surréalisme." précise Christine Poullain. A ces conflits de l'inconscient, Matta substitua peu à peu sa version des chocs historiques. Le travail de restauration accompli sur les oeuvres mérite lui aussi d'être souligné.  Ainsi, deux années auront été nécessaires pour qu'une oeuvre monumentale de trois mètres sur dix soit enfin montrée au public. 

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  • Catégories : Des évènements

    Viviane Forrester ne dénoncera plus «l'Horreur économique»

     

    Viviane Forrester, femme de lettres et de conviction, s'est éteinte

    Viviane Forrester, après l'anonce des résultats du prix Femina 2005.

    Viviane Forrester, après l'anonce des résultats du prix Femina 2005. Crédits photo : JEAN-PIERRE MULLER/AFP

    La romancière et essayiste française, membre du prix Femina, est décédée mardi, à Paris, à l'âge de 87 ans.

     
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    C'est d'abord son élégance, son sourire et son feutre que l'on remarquait. Viviane Forrester est décédée mardi 30 avril à l'âge de 87 ans. De son œuvre, on retiendra son célèbre titre inspiré de Rimbaud: L'Horreur économique , publié en 1996, prix Médicis de l'essai.

    Ce livre, qui a fait polémique, dénonçait l'économie de marché, il constituait une sorte d'indignation avant l'heure. Traduit dans le monde entier, il s'était vendu à près de 400.000 exemplaires. Mais le succès est parfois une source de malentendus, car Viviane Forrester ne ressemblait pas du tout à ce livre. Elle disait elle-même que ce succès l'avait étonnée et dépassée. Non, Viviane Forrester, c'est avant tout un amour profond de la littérature qu'elle n'a jamais cessé de servir, en tant que critique littéraire, au sein du jury du prix Femina, et, surtout, en tant qu'écrivain.

    Avant cet essai, elle avait écrit des fictions. Son premier roman, Ainsi des exilés, paru en 1970, avait été remarqué. Dans ce récit, elle faisait appel aux procédés de la mémoire, une mémoire qui renvoie souvent à la guerre. Le nom de jeune fille de Viviane était Dreyfus, elle échappa aux rafles nazies.

    Au service de la littérature

    Sa narration littéraire faite de va-et-vient comme les vagues, de rythme presque envoûtant, on la retrouvera aussi bien dans ses romans - comme Vestiges ou Ce soir, après la guerre - que dans ses deux derniers livres parus en même temps, en 2011.

    Le premier était un recueil de nouvelles, Dans la fureur glaciale, dont le fil directeur est la place de la nature ; le deuxième livre, Rue de Rivoli (1966-1972), est une sorte de journal où il était plus question des autres que d'elle. Et les autres, chez cette romancière généreuse (elle a fait don de ses manuscrits à l'Imec), ce sont les écrivains. Elle était marquée, entre autres, par Kafka, Proust et Virginia Woolf. Cette dernière faisait partie prenante de sa vie, elle lui a consacré un bel ouvrage qui obtint le Goncourt de la biographie en 2009. Dans Rue de Rivoli, elle évoquait aussi son mari, le peintre John Forrester, avec lequel elle partageait sa passion, notamment pour Van Gogh. Elle disait: «À 3 ans, je me savais un écrivain. Je l'étais avant de naître.» Elle l'est restée toute sa vie.

     

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  • Dossier de l'Art hors-série n° 18 CANALETTO À VENISE Septembre 2012

    Dossier de l'Art hors-série n° 18 - Septembre 2012CDI paris bouquet nov 2012 089.jpgPrécédente publication:

    21/11/2012 19:36

    Une promenade à travers Venise en quelque cinquante toiles de Canaletto : voici ce que propose le musée Maillol, qui entend également montrer le processus de création de ces merveilleuses vedute grâce à la présentation de nombreux dessins et du carnet du peintre, exceptionnellement prêté.

     

    Articles

    • Sur les pas de Canaletto
    • À l’origine d’un genre, la veduta
    • Canaletto ou l'oeil de Venise
    • Joseph Smith, collectionneur obsessionnel
    • Le chant du cygne de la Sérénissime
    • Canaletto et son temps
    • Le précieux quaderno
    • Gagnez un voyage à Venise sur les pas de Canaletto avec Intermèdes
    • Promenade dans la Venise du XVIIIe

    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 199 - Les Arts de l'Islam au Louvre
    Numéro suivant : Dossier de l'Art n° 200 - RAPHAEL LES DERNIERES ANNES

    http://www.dossier-art.com/numero-18/canaletto-a-venise.3650.php

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     

    photo  perso du musée Maillol samedi

    précédente publication:

    18/11/2012 18:02

  • Catégories : Des évènements, L'art

    Trois salons Traits à l’aise à Paris

    10 avril 2013 à 22:06 (Mis à jour: 11 avril 2013 à 10:09)

    Par DOMINIQUE POIRET

     

     

    «Redressement, tondo», 2009, de Marc Couturier. - Photo courtesy Marc Couturier
     

    Le dessin est à l’honneur en cette fin de semaine à Paris avec trois salons. Le vétéran - créé en 1991 - et consacré au dessin ancien est installé au palais Brongniart (1), pour le plus grand bonheur des amateurs de belles feuilles, à l’encre, au crayon ou au fusain

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  • Zao Wou-ki, un peintre en liberté

    Valérie Sasportas

    • Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09

    Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

    C'est un grand peintre, un maî­­tre de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri ­Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hong­kong.

    En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.

    Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lu­mières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. ­Ses bonnes feuilles étaient ­exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres ­d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le pay­sage.

    Zao Wou-ki, le bonheur de peindre

    Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.

    Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.

    «La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture»

    Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.

    Folle échappée

    Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.

    En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.

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      Dominique de Villepin exprime sa «douleur» après la mort de Zao Wou-Ki
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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

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  • Catégories : Des évènements, La poésie

    Printemps des poètes

    15e Printemps des Poètes
    9-24 mars Les voix du poème

    PROGRAMME SELECTIF-

    PROGRAMME INTERACTIF

    Réécouter sur France Inter Jacques Bonnaffé, poète du Printemps


    Paulka, lauréate du concours A. Chedid du poème chanté. Ecouter sa composition. En concert le 9 mars, avec Angélique Ionatos et Têtes raides et en direct sur France Culture


    Le 11e Prix poésie des lecteurs Lire et faire lire est attribué à Philippe Quinta, Les jours sont fous Le temps itou, éd. La Renarde Rouge
     


    PETITION POUR LE PRINTEMPS DES POETES

     

    http://www.printempsdespoetes.com/

  • Catégories : Des évènements, Voyage

    J'étais jurée de ce prix littéraire et hier soir, Nathalie Courtet a été primée

    Prix littéraire

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    Découvrez notre sélection de récits de voyages :
    couverture livre Tropique du Bayanda       couverture livre "un an de cabane"       couverture livre 'espiritu pampa"       couverture livre "aux portes de l'orient - l'asie à vélo couché"

    Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013

    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)

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  • Catégories : Des évènements

    Pérou: découverte d'un temple vieux de 5000 ans dans un complexe archéologique de Lima

    Créé le 13-02-2013 à 03h00- Mis à jour à 03h00
     

    LIMA (AFP) - Un groupe d'archéologues péruviens a découvert un temple datant de plus de 5.000 ans, dans le complexe archéologique de "El Paraiso", à l'est de Lima, a indiqué mardi le ministère de la Culture.

    "Cette découverte revêt une grande importance car c'est la première structure du genre à être retrouvée sur la côte centrale du Pérou, ce qui corrobore le fait que la région de Lima était un des centres de la civilisation dans la région andine", a indiqué à la presse le vice-ministre de la culture Rafael Varon

    Le "temple du feu" ainsi nommé par les archéologues se trouve dans une aile de la pyramide principale du complexe El Paraiso et contient un four dont les flammes selon le directeur de l'équipe de recherches Marco Guillen, "auraient servi à brûler des offrande, la fumée aidant à relier les prêtres et les dieux".

    La découverte a été réalisée le mois dernier après le retrait d'une couche superficielle de sable et de pierres recouvrant certaines parois du centre archélogique situé à San Martin de Porres, à l'est de la capitale péruvienne.

    Le temple aurait été construit quelque 3000 ans avant Jésus-Christ, une date encore à préciser avec des analyses au radiocarbone.

    El Paraiso est le plus ancien et le plus important complexe archéologique de Lima, comprenant notamment dix bâtiments répartis sur une cinquantaine d'hectares.

    Sa proximité avec la mer et son accès à une vallée proche ont été des éléments favorables à son développement, mêlant pêche et agriculture.

    Un archéologue français Frédéric Engel a été le premier à faire des fouilles dans cette zone en 1965, précise le ministère de la culture.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20130213.AFP3574/perou-decouverte-d-un-temple-vieux-de-5000-ans-dans-un-complexe-archeologique-de-lima.html

  • Catégories : Des évènements

    London, South Kensington

    Since joining the London Impressionist/Modern Sale week calendar in 2011 as the Part III sale, the Christie’s South Kensington sales have become the singular venue for new and experienced collectors to discover lesser-known artists and to explore less-familiar works by well-established names. Record results in 2012 show that Christie's specialists have found the perfect formula to attract not only first-time and one-off buyers of decorative pieces, but also collectors and connoisseurs of Impressionism and early 20th century Avant-garde art. Already established as the market leader in Picasso ceramics, the globally observed sale in June 2012 of Picasso ceramics from the Madoura Pottery Collection saw numerous world record prices smashed and an unprecedented number of new buyers and online bidding activity.

    This season, South Kensington is excited to offer their finest and broadest range of paintings, sculptures and works on paper to date. Post-Impressionist works from private collections are particularly well represented with colourful works by Camoin, Manguin and Lebasque, while an eclectic mix of Modern and Surreal works on paper are led by Dalí, Picasso, Man Ray and Buffet. The curious art lover will enjoy discovering artists like Adolf Hoffmeister, a Czech writer and illustrator, Victor Vignon, a contemporary of Sisley and Pissarro, and Alphonse Quizet, who taught Utrillo but has not yet shared his student’s notoriety. The sale concludes with a group of 60 ceramic works from Picasso and Jean Cocteau.  

    For our specialists’ welcome message and feature on The Modern Woman, please
     
     
  • Catégories : Des évènements

    Mort d’André Bay

    mercredi 16 janvier 2013, par Rédaction, Robin Hunzinger

    Nous venons d’apprendre la mort d’André Bay. Romancier (La Fonte des Neiges, L’Ecole des vacances, La Carte du Tendre), auteur de Trois Histoires très naturelles (des escargots, des mouches et des orchidées), et de Amor, critique d’art (Pascin, Maurice Sarthou), spécialiste de littérature enfantine (Trésor des Comptines, Cabinet des Fées, Il fait beau), et traducteur (Lewis Caroll, Swift, Stevenson entre autres), André Bay a d’autre part dirigé les Editions Stock pendant quarante ans.

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  • Fin de:Fables du paysage flamand

     

    Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
    Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
    L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.

    Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.

    Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
    Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
    Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.

    Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.

    Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
    Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
    Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.

    - Autour de l’exposition :
    Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
    - Jeu. 25 oct. 18h30
    Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
    - Merc. 21 nov. 19h
    La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
    - Mardi 27 nov. 19h30
    Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
    - Lundi 03 déc. 18h30
    Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
    - Dim. 13 Janv. 20h
    Fables polyphoniques, concert de clôture.

    http://www.pba-lille.fr/spip.php?article2418

     

  • Catégories : Des évènements, Lille(Nord,59:études)

    Fin de fantastic 2012

    Après Bombaysers de Lille (2006) et Europe XXL (2009), Fantastic se déploie sur la thématique du fantastique : à Lille et dans la métropole lilloise, dans l’espace public et dans les différents lieux lille3000 (Tripostal, Gare Saint Sauveur) et en collaboration avec les différents partenaires culturels de l’Eurométropole.

     

    Le visiteur qui parcourra Lille et ses alentours sera confronté au surnaturel, au merveilleux, à l’étrange, à une réalité sublimée et parfois à la distorsion du temps et de l’espace.

    http://www.lille3000.eu/lille3000/fr/event