Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Des évènements - Page 3
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JR signe l’affiche du Printemps des Poètes 2023
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Mort d'Elisabeth II
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Journées du patrimoine
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Jean-Luc Godard est mort: histoire du cinéma
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Mort du photographe William Klein, agitateur en noir et blanc
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L’écrivain Michel Schneider est mort
Haut fonctionnaire, psychanalyste, l’auteur de « La Comédie de la culture » laisse une œuvre abondante et diverse, où il évoque notamment son histoire familiale, la musique, ses auteurs de prédilection… Il est mort le 21 juillet, à l’âge de 78 ans.
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Salman Rushdie poignardé par un forcené et grièvement blessé
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Mort de l’artiste Gérard Schlosser, pionnier de la Figuration narrative
Gérard Schlosser, considéré comme le pionnier de la Figuration narrative, est décédé le 10 août à l'âge de 91 ans. S'il s'est voué à la peinture dès les années 1950, c'est vers 1970 qu'il s'est tourné vers la photographie et le photomontage.
Le 10 août dernier est décédé Gérard Schlosser dans son sommeil à 91 ans. Né à Lille en 1931, le pionnier de la Figuration narrative a étudié à Paris l’orfèvrerie entre 1948 et 1951 à l’École des arts appliqués, avant de se diriger vers l’École des Beaux-Arts pour approfondir ses connaissances. En parallèle, il s’initie à la sculpture en autodidacte. Suite à la découverte bouleversante en 1953 de la représentation d’En Attendant Godot mise en scène par Roger Blin, il se livre définitivement à la peinture. Il se tourne vers la photographie et le photomontage vers 1970, période à laquelle il participe à l’exposition Mythologies quotidiennes 2 réalisée au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
Une œuvre beckettienne
L’œuvre de Gérard Schlosser est imprégnée du théâtre de Samuel Beckett, des titres de ses toiles jusqu’à leur trame narrative. « Quand chez Beckett, Vladimir mange un radis sorti de sa poche, Schlosser va retranscrire ce détail de mise en scène dans un tableau de 1963 intitulé J’aime mieux les radis. L’impression profonde laissée par cette découverte théâtrale va se traduire directement sur ses toiles par deux composantes qui resteront pour toujours sa marque : la phrase qui sert de présentation à chaque œuvre, et une focale toute personnelle, le gros plan », résume la galerie Strouk qui le représente. À l’instar des conversations aussi prosaïques que métaphysiques entre Didi et Gogo d’En Attendant Godot, la peinture de Gérard Schlosser suggère le quotidien par des représentations de loisirs ou de l’oisiveté.
Gérard Schlosser à la galerie Strouk lors de son exposition en 2013 ©Strouk Gallery
Chaque peinture raconte une histoire
Gérard Schlosser est un pionnier de la Figuration narrative, un mouvement pictural né dans les années 1960 en France, qui s’oppose à l’abstraction. S’il revendique un retour à la peinture comme récit, son œuvre narrative s’inspire du cinéma. « Schlosser met en œuvre un story-board qui emmène les adeptes de l’art contemporain vers un univers sublime », rappelle la Galerie PetitJean à Lyon. Comme des petites scènes figées dans le temps et dans l’espace, chaque peinture raconte une histoire que le spectateur est libre d’imaginer. C’est le cas de la toile Il n’a rien dit, qui pourrait ramener le spectateur à un vieux souvenir personnel, sinon à un film de Rohmer ou à « Tropismes » de Nathalie Sarraute.
Vue de la rétrospective Gérard Schlosser au musée des beaux-arts de Dole en 2013 ©Henri Bertrand
Dans son parcours artistique interviennent ensuite les photomontages : Gérard Schlosser travaille plusieurs clichés puis juxtapose des visions prises avec des profondeurs de champs différentes. En 2012, il innove et fait de son spectateur un voyeur : les toiles de Gérard Schlosser prennent des formes de trous de serrures. Une rétrospective 1957-2013 lui a été dédiée au Palais synodal de Sens et au musée des Beaux-Arts de Dole en 2013. La galerie Strouk a exposé son œuvre à trois reprises entre 2008 et 2017. L’année dernière, les Éditions In Fine ont publié un livre-objet d’art, intitulé De-ci, de-là dessins choisis (avec une édition collector limitée) qui réunit un ensemble de dessins inédits embrassant toute la carrière de l’artiste.
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Le dessinateur Jean-Jacques Sempé est mort
Un trait mondialement connu qui saisit le moment, le geste, l’attitude, la situation, avec ou sans texte : le dessinateur a raconté son époque au rythme d’un album par an, de « unes » du magazine américain « The New Yorker », de grands journaux français, ou à travers le personnage du Petit Nicolas, qu’il avait créé en 1960. Il est mort le 11 août, à l’âge de 89 ans.
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MA FETE(il n'y avait que toi qui me la souhaitait et inversement) et moi, je souhaitais les fêtes et anni de tout le monde
LAURENT (Saint), Laurentius (couronné de laurier, en latin), diacre, martyr à Rome, au troisième siècle, honoré le 10 août.
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Olivia Newton-John, star de "Grease", s'éteint à 73 ans(j'ai réécouté Grease enn 45 tours il y a peu)
Los Angeles - L'actrice et chanteuse australienne Olivia Newton-John, star du film "Grease", est morte à 73 ans, a annoncé lundi son mari dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux.
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Le dimanche 31 juillet, j'ai pris le bateau (3 e fois de mon séjour)pour la Seyne sur Mer pour aller visiter la villa Tamaris et son expo-évenement national
Le centre d'artIssu d’une prestigieuse lignée de capitaines marins, Blaise Jean Marius Michel, dit Michel Pacha (1819 - 1907) s’engage dans la marine marchande où il fait carrière. Promu directeur général des phares de l’Empire Ottoman, le sultan élève le commandant Michel à la dignité de Pacha pour son œuvre dans le domaine des ports et des phares de la Turquie, en mer Noire, en mer Egée, en Méditerranée et à Constantinople.
Dans les années 1880, de retour dans sa province natale et doté d’une fortune considérable, Michel Pacha forme le dessein d’établir dans les quartiers de La Seyne appelé Tamaris une station balnéaire, au moment où la Côte d’Azur s’affirme être région de villégiature d’hiver.
Michel Pacha édifie, en bord de mer alors une cinquantaine de villas, entourées de parcs aux essences exotiques et variées telles qu’on les voit sur le Bosphore. Pour desservir cet ensemble nouveau, il établit un service maritime qui permet d’assurer des relations régulières entre la station balnéaire et Toulon.
En plein cœur d’une pinède, perchée sur les hauteurs d’une colline au pied de la Méditerranée et de la baie du Lazaret, la Villa Tamaris ou « la grande maison » comme l’appelle la tradition orale fait partie du projet ambitieux de Michel Pacha.
Comme la plupart des demeures qu’il a édifiées, la Villa profite d’une architecture à la fois imposante et raffinée. Toutefois, construite sur une surface de 3700 m2, ses proportions la rapprochent plus d’un modèle palatial que d’une villa balnéaire.
Il semble que Michel Pacha ait fait construire cette villa pour sa première épouse, Marie-Louise Séris et aurait interrompu les travaux en 1893, après le décès de celle-ci.
Restée inachevée, elle est réhabilitée en 1991 par la Ville de La Seyne-sur-Mer.
A partir de 1995, elle devient Villa Tamaris, centre d’art.
En décembre 2003, elle est transférée à la Communauté d’Agglomération TPM, aujourd’hui Métropole, en tant que site de référence pour les arts visuels.
UN ÉTÉ AU PORTUGAL
SAISON CROISÉE FRANCE-PORTUGAL 2022Du 04 juin au 18 sept. 2022Image© Alfredo CunhaIls sont tous nés en France ou au Portugal et c’est un florilège de leurs regards croisés, des années 1930 à aujourd’hui, que nous avons souhaité vous offrir.
Au fil de ces rencontres avec les artistes que nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir, il ne tient qu’à vous de faire vôtre cette maxime du grand auteur lusophone Fernando Pessoa : La seule réalité pour moi, ce sont mes sensations.*
Jubilation solaire des dessins, peintures et céramiques de Bela Silva, ô combien marqués par son identité lusophone. Personnalité vibrante et grande voyageuse, l’artiste se nourrit de ses nombreuses incursions en Amérique du Sud et en Inde et intègre dans son approche créative l’histoire, la culture et la nature qui lui sont une source d’inspiration inépuisable.
Surprise de découvrir ces images fixes cachées dans les archives du Maître du cinéma portugais, Manoel de Oliveira ! Comme un nouveau chapitre de la photographie portugaise. Prises dans les années trente à cinquante et restées inédites, elles sous-tendent son œuvre à venir qui compte plus de soixante films.
Les grands découvreurs portugais de Vasco de Gama à Pedro Alvares Cabral, établirent les cartes de l’empire portugais au XVè et XVIè siècle. A leur image, Alfredo Cunha arpente le globe depuis la Révolution de 1974. Un demi-siècle de photographies, avec une extrême sensibilité et une profonde pudeur, ce disciple d’Eugène Smith, nous tend un miroir de son village de Vila Verde jusqu’aux confins du monde.
Venant de l’art pictural, à partir de 1975, Helena Almeida utilise le média photographique pour s’extraire des limites du cadre imposé par la tradition et la société, au propre et au figuré. En 1979, date de la prise de pouvoir par l’Ayatollah Khomeiny en Iran qui condamne les femmes a l’obscurantisme, son autoportrait bâillonné d’un Ouve-me (Écoute-moi), lui ouvre les portes de la reconnaissance internationale.
Manuela Marques, photographe et vidéaste, nous entraîne dans un paysage lithique. Sous un ciel bleu nuit, aux limites du cosmos, sans ligne d’horizon, deux pierres oscillent. L’œil de la caméra est statique, le net et le flou alternent et le souffle du vent se fait plus ou moins violent. Hypnotique.
David Infante tente de retenir les fragments du passé en superposant des images anciennes liées à ses souvenirs et des paysages contemporains. A partir d’une prise de photographie classique que l’on retrouve au centre, il recompose un moment intemporel. Une vision poétique de l’espace et du temps qui passe.
En résidence à la Villa Tamaris :
En recherchant les traces du temps que portent nos rivages méditerranéens, sculptés au hasard de rafales des vents et des vagues, Catarina Osório de Castro y retrouve une géographie universelle qui ressemble parfois à celle plus intime dessinée par nos corps. Tito Mouraz utilise le négatif du polaroid pour poétiser sa Plongée, (Mergulho) du littoral des Açores au littoral varois. L’atmosphère est silencieuse, mais on pressent l’action du vent et des vagues... ainsi que l’exprime si justement le critique d’art Sérgio Mah.
En résidence à Lisbonne :
Léna Durr jeune artiste française engagée est venue dans le quartier lisboète de la Mouraria écouter le murmure des souffrances qui hante encore ses habitants, Tandis que Zagros Mehrkian, exilé d’origine iranienne, dos à l’Atlantique, a tourné obstinément son objectif vers l’Orient, dans la capitale portugaise, cherchant aussi à contourner les figures imposées du format de l’image académique.
Micheline Pelletier et Rui Freire
* Le livre de l’intranquilité
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J'ai visité le dimanche 31 juillet 2022:« Intérieurs modernes, 1920-1930 » à l'Hôtel des Arts TPM/photos perso
https://metropoletpm.fr/actualites/design-parade-toulon-hyeres-c-parti-3-jours-de-festival
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La Cinémathèque fête ses 100 ans
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MORT DE DANIEL LÉVI : LES HOMMAGES SE SUCCÈDENT SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Les personnalités de la sphère médiatique ont rendu hommage au chanteur décédé à l’âge de 60 ans.[JEAN-PIERRE MULLER / AFP]
Par Meghann RakotomalalaPublié le - Mis à jour le -
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Mort de l’artiste Claes Oldenburg, un des derniers géants du Pop Art
Christopher Felver, Portrait of Claes Oldenburg, 1985 © Photography by Christopher Felver/Getty Images, courtesy Pace Gallery / Christopher Felver -
Disparition d’une âme Dani
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J'ai aimé le 13 juin à Saint-Chamond(mon 1 er cdi en 2021-22) :« Dans la vallée coule une rivière, le Gier, de l’eau et des hommes » dans le cadre de la Biennale du design
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Disparition de Jill Silverman van Coenegrachts
Jill Silverman van Coenegrachts. Photo : D.R.
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La galeriste et collectionneuse Alice Pauli s’est éteint
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BANC D’ESSAI : 16 MOBILIERS URBAINS INNOVANTS ET DESIGN À TESTER
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L’actrice Charlotte Valandrey est morte, après une nouvelle opération du cœur
ropulsée au cinéma par «Rouge Baiser», avant d’être freinée en pleine gloire par sa séropositivité puis des problèmes cardiaques, elle avait rebondit à la télévision notamment avec «Les Cordier, juge et flic».par LIBERATION et AFP
publié le 13 juillet 2022 à 21h27 -
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Mort de l’artiste Sam Gilliam, grande figure de la peinture abstraite et musicien de la couleur
L'artiste Sam Gilliam, connu pour ses toiles suspendues riches en couleurs, vient de décédé samedi 25 juin, à l'âge de 88 ans ©️David Kordansky Gallery, Los Angeles / Fredrik Nilsen studio / Sam Gilliam