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Des évènements - Page 27

  • Nous sommes allés samedi au Festival de la Croix-Rousse à Lyon

    où j'étais invitée par la compagnie Simaka(merci à Marie Cotignon, l'administratrice) à exposer mes livres mais:

    - je n'avais pas reçu mes derniers livres

    - mes livres sont plutôt pour adultes alors que le public était plutôt enfantin

    mais:

    - des rencontres sympa

    - un joli panorama sur Lyon que j'ai pu faire partager à mon mari

    - un rafraîchissement à la brasserie Georges:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/27/lyon-le-26-mai-2009-brasserie-georges.html

     avant de reprendre la route des départs en vacances... mais pour rentrer chez nous...

    Cf. autres notes sur le quartier de la Croix-Rousse:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/croix%20rousse

  • Catégories : Des évènements

    Jean Clair, un écrivain de l'art sous la Coupole

    Pour applaudir, jeudi, le discours de réception de Jean Clair sous la Coupole, la famille et les amis de l'écrivain et historien d'art étaient nombreux. Parmi eux figuraient des personnalités aussi diverses que Françoise Cachin, Régis Debray, Ernest-Antoine Seillière, Antoine Gallimard, la comtesse Klossowska, veuve de Balthus, ou encore Mme Piero Crommelynck, veuve du graveur de Picasso, une femme qui fut peinte à plusieurs reprises par le maître.

    Avec Jean Clair, l'Académie française reçoit une personnalité forte et atypique. Un homme aimant la polémique, toujours prêt à dénoncer les dérives de l'art contemporain, qui vont de pair avec celles d'une époque où la culture est, selon lui, terriblement malmenée.

    Organisateur d'expositions, ancien directeur du Musée Picasso (1989-2005), historien de l'art, Jean Clair aurait finalement aussi bien pu être accueilli à l'Académie des beaux-arts. Ce que soulignait d'ailleurs Marc Fumaroli, dans sa réponse au discours de réception du nouveau venu, avant d'expliquer : «À l'évidence, c'est cette œuvre d'écrivain et d'essayiste qui vous a valu les suffrages de notre Compagnie, même si votre carrière si originale dans le monde des musées et le savoir que vous mettez au service de vos goûts n'ont pas nui à votre cause.»

    Le nouvel immortel, installé au fauteuil de Bertrand Poirot-Delpech, possède une double personnalité. N'a-t-il pas pris un pseudonyme à l'occasion de la parution de son premier ouvrage ? Né Gérard Régnier le 20 octobre 1940 à Paris, il changeait d'identité en 1962 en signant «Jean Clair», son premier roman, Les Chemins détournés, publié par Gallimard. Depuis, le professionnel de l'art et l'écrivain ne se sont plus jamais quittés.

     

    Des racines terriennes

     

    Pour comprendre le parcours de Jean Clair, il faut remonter à ses racines terriennes. Lui, le natif de Paris, élevé à Pantin, n'en est pas moins un fils de paysans installés dans la capitale. Les odeurs de la campagne, la beauté de la nature ont ainsi bercé l'enfance du futur lettré, à l'occasion des vacances qu'il passait dans le Morvan, chez les membres de sa famille restés loin de la ville.

    Pur produit de la méritocratie républicaine, Jean Clair fut élève aux lycées Jacques-Decour et Carnot, avant d'entrer en khâgne au lycée Henri IV. Boursier, il décrocha par la suite un doctorat ès lettres à la Sorbonne, où il fut l'élève de l'historien de l'art André Chastel et du philosophe Jean Grenier. Il obtint également un doctorat de philosophie en art à Harvard.

    Jean Clair fut reçu au concours de conservateur en 1966, et il sera conservateur assistant des Musées de France jusqu'en 1969. Il deviendra ensuite conservateur au Musée ­national d'art moderne pendant dix ans, et du cabinet d'art graphique du Centre Georges-Pompidou entre 1980 et 1989.

    Se joua ensuite un véritable tournant dans la carrière et la pensée de Jean Clair. Il écrivit ainsi en 1983 son chef-d'œuvre avec ses Considérations sur l'état des beaux-arts. Un ouvrage dans lequel il dresse une critique à la fois sévère, juste et fine de l'art moderne.

    Jean Clair serait-il devenu réactionnaire avec le temps, lui qui fut dans sa jeunesse proche de l'Union des étudiants communistes ? Il est en tout cas certain que cet homme de grande culture a su mesurer à sa juste valeur, au fil des ans, l'immense richesse de l'héritage culturel français et européen. Pour ce lettré au regard à la fois joyeux et parfois désabusé, la véritable modernité jaillit du passé.

    Jean Clair, parfaitement à l'aise dans son habit vert flambant neuf, concluait d'ailleurs ainsi son discours d'hier, après avoir, selon la tradition, fait l'éloge de son prédécesseur : «Ainsi votre Institut, Mesdames, ­Messieurs, illustre-t-il non pas le passéisme académique mais les débats les plus vifs de la modernité.»

    http://www.lefigaro.fr/livres/2009/06/19/03005-20090619ARTFIG00403-jean-clair-un-ecrivain-de-l-art-sous-la-coupole-.php

  • Catégories : Des évènements

    Nous avons vu hier:la fête du livre de Roisey(42-Loire, canton de Pélussin))

    roisey7 juin 2009 001.jpgLa fête du livre ne nous a pas enthousiasmés mais le paysages du Pilat valaient le détour.

    Lupé notamment:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Lup%C3%A9

    Sur le flanc oriental du massif du Pilat, s'étagent en immense amphithéâtre les communes qui forment le canton de Pélussin. Pélussin tire son nom du fruit du prunier, appelé vulgairement « pelosse », très abondant dans la région.(http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9lussin)

    Photos perso de Roisey(canton de Pélussin)

    A proximité donc: Pélussin qui nous a paru très joli, à revoir; en savoir plus:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9lussin

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Crest(Drôme), Des évènements

    Salon de la Petite édition à Crest(Drôme)

    salon de la petite édition.jpg

    Samedi 2 mai 2009

    La quatrième personne du singulier



    La poésie

    Qu’est-ce que c’est, dit Bernard Noël

    C’est autre chose, dit Christian Hubin

    Qui parle ? dit Nietzsche

    et Mallarmé répond c’est le néant du mot qui tremble


    Ferlinghetti écrit la poésie c’est la voix de la quatrième personne du singulier. On ne parle plus guère de la Beat Generation dont Lawrence Ferlinghetti fut le chantre et l’éditeur, et qui seul survit. On parle encore de Kerouac mais peu de Ginsberg et pas de Bob Kaufman qui en fut le plus bouleversant matelot. Elle s’est perdue aux bords de ses propres routes mais les semences y voyagent encore, les souches restent, à l’état rélictuel, dans de petites poches de résistance qui sont celles du tiers paysage, d’un tiers quelque chose. Le rap et le slam, avant récupération, en sont des rejets, une misère vagabonde, chantante et révoltée. Voilà pour expliquer le titre de ce salon.


    Toute la poésie est aux terrains vagues où ce dont personne ne croit avoir besoin partage avec tout ce qui n’a pas encore parlé, l’espace du poème. Seuls, écrit le célèbre jardinier Gilles Clément, restent ces terrains vagues et le bord négligé des routes et les défaites publiques pour les herbes vagabondes chassées partout de nos paysages et de nos jolis jardins de magazines.* Seuls aujourd’hui, protègent la diversité, les jardins au ban donnés, parmi les pirates et les simples. Pendant qu’on imagine comment se partager entre états les nuages qui passent dans le ciel, au sol on répand le gazon uniforme engloutisseur de sources. Nous tentons comme nous le pouvons de cultiver des lisières où tant de choses sont à nommer, où le vide est peuplé de rivages ignorés, d’espèces non répertoriées, où le participe futur d’aventure triomphe. Où on reste nostalgique du futur. Où on rêve d’astrophysique en épluchant ses radis. La raréfaction, nous y sommes, terre et langue, alors soignons nos terrains vagues et si décharge publique tant mieux. On jette tant de choses plus nécessaires que ce qu’on garde. Déchargeons-nous, déchargeons, ces mots sont excitants, un peu mal famés, avec le Pet d’Apollinaire et ses deux ailes comme dit en souriant Valérie Rouzeau. On prend. C’est gratuit. Ça ne prend rien c’est même donné par prendre. Comme la mayonnaise. Et c’est ce qui échappe à la prise des définitions. On ne va pas pleurer toujours, du moins on ne va pas toujours dire je pleure pour je pleure. On va dire qu’est-ce que c’est  ce sel ? Ce doit être bien important pour que les larmes et la mer recueillent l’éternité de soif d’un grain de sel.


    Alors cette année, après Porté Disparu et les interrogations sur les difficultés et les vaillances de l’édition indépendante, nous allons jouer, dans ce terrain incertain, aux semences non homologuées par les grands semenciers. Car après tout se dit le poète, le monde, ce qu’on appelle le monde n’est peut-être que la métaphore d’appeler le monde. Pour ça nous faut de la camaraderie de différences, du chacun dans son ton pour petit unisson de trois jours. Car cette année, le salon ouvrira ses portes comme chaque année, pendant 15 jours mais les rencontres d’artistes et d’écritures se concentreront sur un grand week-end afin que les solitudes se joignent mieux et qu’apparaissent mieux au public les herbes et les zozios du jardin où nous convoquons et invoquons monts et vaux avec faune et lune.

    Pour que la vie invente.



    Dans la danse nous tenterons d’inviter des voix dissemblables pour fertiliser notre lopin de liberté.

    Sous réserve

    Nicolas Pesques,  Emanuelle Pagano, Jacques Demarq, Valérie Rouzeau, Fabienne Raphoz, Jean-Pascal Dubost, Patrick Beurard-Valdoye...


    Et si les vents nous sont favorables

    L’astrophysicien  poète Jean-Pierre Luminet, le jardinier d’étoiles

    Et le jardinier d’herbes et de simples, Gilles Clément.


    Ainsi que la librairie Bonnes Nouvelles de Grenoble pour que le vif argent de leur utopie contamine nos désarrois.



    En quelque sorte : Un territoire mental d’espérance, un jardin.




    *




    * Quand je m’approche pour chercher la diversité dans ces endroits (les territoires gérés, forestiers ou agricoles) elle n’existe pas. Elle est ailleurs, dans  les lieux dont on ne s’occupe pas : les bords de route, les délaissés, les morceaux de friches, les landes et les tourbières, là où il est difficile d’exploiter le terrain avec des machines. C’est cet ensemble que j’appelle tiers paysage, ensemble précieux si l’on songe à ce qu’il représente en tant que patrimoine de diversité génétique.


    Je ne sais pas si l’individu est programmé biologiquement ; je ne le pense pas. Je pense que la vie invente, vraiment , et que c’est le sens même de l’évolution.

    Gilles Clément, in Toujours la vie invente (édition de l’aube)


    télécharger le pdf du programme [PDF 1.2 Mo]

    http://galerieespaceliberte.free.fr/salons.html(photo et texte))

    Commentaires fermées sous cette note... à lire... mais plus de 3000 autres notes à commenter.

    Vous pouvez me contacter grâce à mon livre d'or et ma messagerie(dans la colonne de droite).

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  • Catégories : Des évènements

    Mon Salon du livre de Paris le 17 mars 2009: du virtuel au réel

    frida.jpgRencontre avec Pierre Clavilier qui signait son livre sur Frida Kahlo(ci-contre)...

    J'ai connu Pierre sur le net:

    http://pierreclavilier.20six.fr/

    Dans le réel, il m'a dédicacé son livre.

    Si vous voulez en savoir plus sur ce livre:

    http://pagesperso-orange.fr/editions-du-jasmin/liv533.htm

    Vous verrez sur son blog qu'il a écrit d'autres livres.

    Il a aussi quelques lignes sur Wikipédia.

    D'autres notes sur Frida Kahlo dans ce blog:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/frida%20kahlo

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  • Catégories : Des évènements

    1 ere ex-aequo!

    avec cette photo, la proposition 9, la mienne étant la 10.

    http://photos-poesie.xooit.com/t350-Sondage-en-cours-Rouge-theme-de-fevrier.htm

    Merci pour vos votes.

    Bon dimanche.

    Je vais à Lyon voir ma petite soeur que je n'ai pas vue depuis trois ans...

    rouge.jpgAllez lire les propositions(nombreuses) du concours (auquel j'ai participé)"Rouge" de Poesia et votez(votes trop peu nombreux) pour votre préférée, la mienne ou pas:

    http://photos-poesie.xooit.com/t350-Sondage-en-cours-Rouge-theme-de-fevrier.htm

    Photo Flick

  • Catégories : Des évènements

    UN WEEK-END AUX LETTRES D'AUTOMNE

    newsletter20081.jpgSamedi 29 novembre

    de 10h à 12h
    Un début de week-end en fanfare avec les lectures déambulatoires !
    Du marché (allées du Consul Dupuy) au théâtre Olympe de Gouges, laissez-vous entraîner par les “Bons tuyaux” et les “Boîtes à poèmes” de la Cie Paradis Éprouvette.

    14h30 à l’Ancien Collège Gratuit sur réservation au 05 63 63 57 62
    Les invités de Lydie Salvayre : Pierre Senges
    Rencontre avec Lydie Salvayre et Pierre Senges, animée par Thierry Guichard, autour du dernier livre de Pierre Senges : Les Fragments de Lichtenberg.

     

    18h45 au Théâtre Olympe de Gouges Tarifs 23 / 20 / 6 € (buffet compris)
    SOIRÉE EN TROIS TEMPS
    • Les invités de Lydie Salvayre : Denise Epstein
    Rencontre avec Lydie Salvayre et Denise Epstein autour du thème “Littérature et Histoire”, avec la participation de Mme Lagard, historienne à Montauban.
    • Buffet dînatoire
    • La Compagnie des Spectres
    Texte de Lydie Salvayre. Lecture par Sabra Ben Arfa

     

    DIMANCHE 30 NOVEMBRE

    de 9h à 18h à Eurythmie Entrée libre
    Dimanche des bouquinistes
    Cette foire au livre ancien, organisée par Roselyne Layan, rassemble une vingtaine de bouquinistes…
    à 10h30 : Lecture d’un extrait de La Conférence de Cintegabelle (Lydie Salvayre) par Maurice Petit

    15h au Théâtre Olympe de Gouges Tarifs 18 / 14 / 0 €
    La Méthode Mila
    Texte de Lydie Salvayre. Lecture par Didier Sandre

    19h au Théâtre Olympe de Gouges Entrée libre
    Scène ouverte Slam
    animée par Jikabo, Zedrine et Cyclic


    Tout le programme du festival sur  : www.confluences.org/lettres

  • Catégories : Des évènements

    Geremek, la mort d'un grand européen

    geremek.jpgPORTRAIT - L'intellectuel et eurodéputé polonais, figure du syndicat anticommuniste Solidarnosc dans les années 1980, a trouvé la mort dimanche dans un accident de voiture en Pologne.

    http://ems6.net/r/?E=XTC-DDGF-5M1OH-DD-DRLDV-9T1C

    Je l'avais découvert pendant mon stage de DEA sur"La représentation des bohémiens dans la littérature et l'art au XIX e siècle" ; dans ce travail qui consistait en une bibliographie critique sur le sujet, figurait un livre de Geremek:

    GEREMEK(Bronislaw), Les fils de Caïn. L’image des pauvres et des vagabonds dans la littérature européenne du XV e au XVIIe siècle. Flammarion, 1991, 418 p.

    Cet ouvrage évoque la période précédant notre période de référence et l’éclaire. C’est une étude passionnante  des thèmes et motifs de la littérature européenne de la Renaissance au XVIIe siècle, mettant l’accent sur la représentation des pauvres et vagabonds (notamment les bohémiens).

    Bronislaw Geremek évoque parfois la littérature des XVIII e et XIX e siècles :

    -          la littérature « de gueuserie » et le picaresque qui ont leurs antécédents dans la littérature grecque et romaine : Satiricon de Pétrone et L’Ane d’or d’Apulée. -          Adaptation et traduction des romans picaresques espagnols en France qui n’ont aucun rapport avec la réalité sociale -          La misère urbaine de la seconde moitié du XVIII e siècle évoquée par Restif de la Bretonne

    -          Notre Dame de Paris de Victor Hugo dont l’action se situe à la fin du XV e siècle.

     


     

     

  • Catégories : Des évènements

    Feu d'artifice hier soir à Tournon-sur-Rhône(07)/Tain l'Hermitage(26)

    feu.jpg

     

     Sur la passerelle Marc Seguin(réservée au piétons et vélos) sur le Rhône (il y a aussi un pont)qui permet d'aller de l'une à l'autre ville.

    Vous apercevrez ce pont sur la photo ci-dessous.

    Pour en savoir plus sur Tournon:

    http://www.ville-tournon.com/(d'où est tirée la photo)

     

     

     

     

     

     

    Pour savoir plus sur Tain:

    http://www.ot.payshermitage.com/visite_tain_lhermitage.php

    tournon.jpg

     

     

     

     

     

    Enfin, je vous signale que Marc Seguin, l'inventeur de ce pont a aussi construit celui de Saint-Vallier que j'évoquais dimanche.

    Pour en savoir plus sur cet homme:

    http://www.medarus.org/Ardeche/07celebr/07celTex/seguinm.html

    Photo de feu d'artifice:

    http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A0WTf2k4a3xIeAIBjjNuAQx./SIG=129j60ne4/EXP=1216199864/**http%3A//www.flickr.com/photos/11423414@N04/1159986444/

  • Catégories : Des évènements

    Vu cet après-midi: le critérium du Dauphiné Libéré à Sarras(07-Ardèche)

    Pour voir l'étape:http://criterium.ledauphine.com/criterium08/files/1211042619.pdfhttp://criterium.ledauphine.com/criterium08/files/1211042619.pdf

    Je suis contente; j'ai vu une de mes idoles, Charly Mottet qui fait partie de la direction de courses garée juste à côté de moi.

    Les  3 échappés(dont un français) à 4 minutes.

    Le peloton.

    Les voitures de course, la caravane.

    L'ambiance.

    J'ai applaudi comme d'habitude comme une folle.

  • Catégories : Des évènements

    Le livre ancien et l'estampe au Grand Palais

    1373857328.jpg18 - 19 - 20 Avril 2008 à Paris,
    de 11h à 20h

    Vernissage le 17 avril 2008 sur invitation uniquement



    Organisé par le Syndicat national
    de la Librairie Ancienne et Moderne

    SLAM, 4 rue Gît-le-Coeur 75006 PARIS
    T. 33 (0)1 4329 46 38
    F. 33 (0)1 4325 4163
    slam-livre@wanadoo.fr
    www.votrelibraire.fr
    De la Conciergerie au Grand Palais

    En juin 1984, le Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne organise, à l’initiative de sa présidente Jeanne Laffite, la première Foire Internationale du Livre Ancien à Paris, à la Conciergerie. Dans ce lieu porteur d’histoire, ce fut un succès considérable et tous les deux ans, les libraires du monde entier prennent l’habitude de venir à Paris pour exposer des documents exceptionnels et d’une grande diversité.

    A partir de 1993, le Salon s’installe à la Maison de la Mutualité où ce rendez-vous bibliophilique deviendra annuel dès 1995.

      En avril 2007, la XIXe édition édition de ce Salon s'est tenue sous la verrière du Grand Palais, en association avec le Salon de l'Estampe. Une occasion unique de se faire mieux connaître du grand public et de faire de cette manifestation un événement culturel exceptionnel.

    C’est à un fabuleux périple que le visiteur est convié sur les traces laissées par l’esprit humain au cours des siècles. Du manuscrit aux avant-garde, de la lettre de François Ier au billet de Marcel Proust, du psautier du XIIIe siècle au manifeste futuriste, l’amateur pourra parcourir des rayons d’une immense « librairie », riche de milliers de documents d’une prodigieuse diversité.

  • Catégories : Des évènements

    Rencontre à Casablanca autour de la littérature marocaine d'expression française

    La littérature marocaine d'expression française a été au centre d'une rencontre organisée, mercredi à Casablanca, dans le cadre de la 14ème édition du Salon international de l'Edition et du Livre (SIEL).

    Mettant l'accent sur les critères d'identification de la littérature masculine ou féminine, la romancière Rajaa Benchemsi a souligné qu'il ne faut pas confondre littérature et écrits de coeur, la littérature étant un registre particulier.

    Elle avoue qu'elle n'a jamais été culpabilisée du fait d'écrire en français.

    "Je me sens profondément arabe, musulmane et marocaine et j'écris en français", a-t-elle dit.

    C'est en fait une manière d'"arriver à dire soi dans la langue de l'autre", a-t-elle soutenu, faisant remarquer que la littérature de mimétisme n'a aucun intérêt et il faudrait mieux s'inspirer de sa propre société.

    S'exprimer en français n'est "ni un dédoublement ni un déchirement" en ce sens que "le talent est universel qu'il soit arabe ou français".

    Pour le critique et linguiste Kacem Basfaou, qui reprend Kateb Yacine, la problématique de la langue se résout par le temps. "L'on est actuellement dans un marché où l'enjeu consiste en la créativité et la production", souligne Basfou, qui souligne l'importance d'enrichir la culture et de revivifier la littérature, quelle qu'en soit la langue d'expression.

    Il plaide en ce sens pour la formation de critiques littéraires en vue de promouvoir la lecture au grand public.

    Relevant que l'aventure de l'écriture est de plus en plus individuelle, Ali Tizilgade (prix Atlas 2007, Fictions, pour son récit "La Colline de Papier", Ed. Tizi), a rappelé que la littérature d'expression française a été marquée par des textes majeurs donnant lieu à une production académique.

    Les participants ont appelé à un meilleur repositionnement de la culture au sein de la société, notant au passage l'éclosion au Maroc de plusieurs nouveaux genres littéraires d'expression française tels les écrits des femmes, la littérature de la diaspora et l'écriture sur l'exil.

    Modéré par Mostafa Annahal, cette table ronde a été organisée par l'Union des écrivains du Maroc (UEM) autour du thème "la littérature marocaine écrite en langue française : Etats des lieux".

    Plus de 70 rencontres, tables rondes et autres conférences sont programmées dans le cadre de la 14-ème édition du SIEL organisée à Casablanca du 8 au 17 février sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.

    Source: MAP

    http://www.yabiladi.com/article-culture-646.html

  • Catégories : Des évènements

    "La tentation de Dunkerque" samedi 16 février sur France 3

    Ce documentaire nous emmène au coeur du carnaval si chèr à notre région...en route vers Dunkerque!

    Voir un extrait de "La tentation de Dunkerque"
     Documentaire - Extrait "la tentation de Dunkerque" (extrait émission)

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    Le film : quand, pourquoi, comment et qui?


    Samedi 16 février

    La tentation de Dunkerque



     

    La tentation de Dunkerque

    Venant de Bretagne, un groupe de personnes handicapées travaillant dans un CAT (Centre d’aide par le travail) se rend au carnaval de Dunkerque. Ils y sont accueillis par les « Zot’ches », les associations philanthropiques qui animent le Carnaval.
    Cette aventure humaine est l’occasion de restituer la fête dans sa beauté tonitruante mais aussi dans son aspect le plus humain : celui d’une profonde et ancienne solidarité humaine.
    L’échange qui se crée permet de porter un autre regard sur le carnaval et sur les handicapés, enfin affranchis du regard des autres.

    Ce film nous ouvre des portes sur des réalités intimes rarement évoquées. Il nous offre des perspectives de regards croisés sur la normalité, la différence, le vivre ensemble, le sens du dérisoire.

    Un documentaire de Daniel Rouyre
    Une coproduction Candela Productions / France 3 Nord Pas-de-Calais Picardie /
    France 3
    Le site de Candela Productions...

    Par la magie du carnaval de Dunkerque, ce film donne à entendre des paroles rares de personnes handicapées.

    Laurent Verstaevel est éducateur à l’ESAT des Menhirs de La Gacilly, en Bretagne. Dunkerquois d’origine, il organise chaque année, pour les personnes handicapées dont il s’occupe, un séjour dans son pays au moment du carnaval. Un voyage au parfum d’aventure…
    A Dunkerque, le carnaval s’appelle « la bande ». Dans cette ville martyrisée par les drames de la pêche, les invasions, les guerres, les crises économiques qu’elle a connus au cours des siècles, faire la bande est une forme de résistance…  Un état d’esprit fait de dérision, de culte du vivre ensemble, de générosité, de solidarité…

    Pour Rémy, Anne-Marie, Jean, Ludo et quelques autres, tous travailleurs handicapés, la rencontre avec les Dunkerquois est un pur moment de bonheur. Enfin affranchis du regard des autres, ils mesurent avec lucidité les chemins du possible… lorsqu’ils pensent à leur réalité quotidienne.
    Leurs paroles brutes, simples et belles, nous claquent alors à la figure…
    Comme un coup de poing dans la gueule…

     

    Le point de vue du réalisateur, Daniel Rouyre

    Tout était dit sur mon intention d’être le témoin de ce voyage à Dunkerque, sur mon désir de comprendre comment et pourquoi les “ différences ” s’effacent aussi simplement à cet endroit-là, et à ce moment-là. Cela passe forcément par un regard d’empathie envers tout un peuple et son histoire, et cela passe surtout par l’appréhension du rôle fondamental des associations philanthropiques qui, tenant bon la barre de la tradition, irriguent le carnaval dunkerquois de fraternité et de solidarité.
    Saisir ces purs moments de bonheur et de jubilation vécus par des personnes handicapées au milieu de tous est aussi, j’en suis convaincu, évoquer en creux les manques de notre société envers eux.

    Le film s’impose en un regard croisé sur deux univers qui se rencontrent, se mêlent et se comprennent presque naturellement, dans des entrelacements révélateurs, par ailleurs, de la dialectique subtile mise en œuvre par le projet de Laurent.

    L’aventure, les protagonistes, le cadre ... tout concourt à poser un coin sur la question du handicap dans notre pays et à ouvrir la réflexion sur les chemins du possible.

    Daniel Rouyre

     

     

     








     

    Ce que vous n'apprendrez pas...
    ... en regardant le documentaire.

    Daniel Rouyre n'en est pas à son premier documentaire et il aime varier les genres.

    Basé sur un sujet social également, son précédent film  ("Le container") suivait un groupe de RMIstes en atelier d'insertion qui, après avoir retapés vélos et mobylettes, emmenaient leur précieux butin au Bénin pour en faire don à des plus démunis qu'eux.
    En savoir plus...

    Sans en dévoiler trop, son prochain documentaire se penchera sur les races animales invasives en France telles les tortues de Floride, devenues trop grosses pour l'aquarium des enfants que l'on va relâcher dans la première mare ou rivière venue en oubliant les ravages qu'elles causeront à l'écosystème en place.

    La rencontre entre Daniel Rouyre et Laurent Verstaevel, l'éducateur de "la tentation de Dunkerque"
    C'est à l'occasion de la réalisation d'un film institutionnel sur le CAT de la Gacilly que les deux hommes se rencontrent en 2004. A cette époque, Laurent a déjà organisé  deux séjours au Carnaval de Dunkerque. Séduit par le projet, l'enthousiasme de Laurent, et l'esprit philanthropique du carnaval, Daniel Rouyre décide de réaliser ce film. En 2005 et 2006, il est de l'expédition à Dunkerque avec les pensionnaires du centre, sans caméra, pour affiner les contours du projets et faire connaissance avec ce monde si particulier des bandes, des bals, des chapelles et autres particularités carnavalesques dunkerquoises.
    Le tournage à proprement parler s'est déroulé pendant l'édition 2007.
    Eclairage sur le titre

    "La tentation de Dunkerque" fait référence à "la tentation de Venise", autre grande ville de Carnaval.

    Qu'est ce que "la tentation de Venise" :

    La tentation de Venise c'est ce rêve de vie pas forcément inaccessible mais qu'on refuse de rendre vrai (par devoir, peur, ambition, responsabilités, etc...). Souvent une passion, une envie vraie mais un peu folle. On peut la considérer comme un rêve frustré ou abandonné pour de bonnes ou mauvaises raisons. C'est un idéal souvent un peu sur valorisé auquel on pense avec regret et envie sans forcer le destin pour l'atteindre. (source : Crieur.com)

    Pour Daniel Rouyre et Candela Productions, c'était un titre provisoire. Mais le parallèle entre la signification de cette expression et l'objectif du projet de Laurent Verstaevel (gommer les différences entre handicapés et biens-portants physiques et mentaux) était trop criant pour ne pas garder le titre.

  • Catégories : Des évènements

    La France invitée d’honneur du Salon du Livre

    (14/1/2008)

    A l’initiative de Madame Touria JABRANE, Ministre marocaine de la Culture, la France sera invitée d’honneur du Salon International de l’Edition et du Livre de Casablanca du 8 au 17 février 2008. La France participera ainsi pour la quatrième fois consécutive à cet événement.

    Le Salon International de l’Edition et du Livre de Casablanca est un événement culturel international organisé annuellement par le Ministère de la Culture marocain. Il réunit les meilleurs éditeurs marocains, arabes et étrangers. Il constitue une manifestation de premier plan à l’échelle de la région et de tout le monde arabe.

    Le stand de la France, regroupant sur 270 m2 plus de 2.000 ouvrages récemment publiés, accueillera plus de cent éditeurs français. Des rencontres et des signatures avec de jeunes écrivains ou des talents confirmés de la littérature française et marocaine seront organisées sur le stand.

    Auteurs et professionnels du livre se réuniront à l’occasion de tables rondes et de conférences sur des thématiques diverses : la nouvelle création littéraire, les actualités de la francophonie, l’édition jeunesse, la traduction, la bibliothèque numérique européenne.

    http://www.menara.ma/Infos/includes/detail.asp?article_id=5904&lmodule=divertissement

  • Catégories : Des évènements

    Festival lettres d'automne

    Montauban et Tarn & Garonne / 20 novembre - 2 décembre 2007

    FESTIVAL LETTRES D'AUTOMNE

     Enzo Cormann, invité principal de la 17e édition du festival Lettres d'Automne, boucle ses valises et s'apprête à devenir tarn-et-garonnais pour deux semaines... Il a déjà pris ses billets de train pour venir à votre rencontre. Faites comme lui, dépêchez-vous, la billetterie est ouverte !

    Tout le programme est sur le site internet du festival (www.confluences.org/lettres), et nous pouvons également vous l'envoyer par courrier sur simple demande.

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    L'équipe de Confluences

    contact@confluences.org

    tél. / fax : 05 63 63 57 62

  • Catégories : Des évènements

    Oktoberfest, la fête de la bière à Munich

    f8ff348e3b397199f0381acc15249458.jpgDe cinq à six millions d’amateurs de bonne mousse se rendent chaque année à l’Oktoberfest de Munich, plus connue en France sous le nom de fête de la bière. Vieille de bientôt deux siècles, cette gigantesque fête populaire est l’une des manifestations les plus fameuses d’Allemagne. Du 22 septembre au 7 octobre, la bière, la bonne chère et les manèges sont les piliers de cette bacchanale houblonnée qui est aussi une fête foraine familiale. Suivez nos conseils pour revenir de Munich en disant : « j’ai survécu à l’Oktoberfest ! ».



    Des débuts timides


    Bulles, manèges et bretzels


    Petit guide de survie


    Pour en savoir plus

    :: Des débuts timides
    Des noces sont à l’origine de la fête de la bière de Munich. La manifestation, qui s’appelle outre-Rhin l’Oktoberfest, voit le jour lors du mariage du futur roi Louis Ier avec Thérèse de Saxe Hildburghausen en 1810. Les festivités, auxquelles les Munichois sont conviés, s’achèvent par une course de chevaux si populaire que le roi décide d’instaurer la tradition des « fêtes d’octobre » (Oktoberfest). Un pré, situé aux portes de la ville et baptisé « Theresienwiese » (pré de Thérèse) en l’honneur de la mariée, accueille les réjouissances.
    L’année suivante, une fête agricole s’ajoute à l’Oktoberfest pour mettre en avant le potentiel de l’agriculture bavaroise. Ce n’est qu’en 1818 que l’on aménage les premières installations de fête foraine, à savoir un manège et deux balançoires. Quelques stands se mettent à vendre de la bière et, en 1896, on dresse de grandes tentes pour abriter les buveurs. À la fin du XIXe siècle, l’Oktoberfest est devenue une véritable fête de la bière. Ce n’est qu’en 1960 que la populaire course de chevaux est supprimée des festivités.
    En 197 années d’existence et 173 éditions (24 Oktoberfeste ont été annulées pour causes d’épidémie ou de guerre), la fête de la bière s’est imposée comme le plus grand festival international du monde. Chaque année de cinq à six millions de visiteurs se rendent sur le Wiesn, « le pré » en allemand, qui par extension est devenu l’appellation locale de la fête.

    :: Bulles, manèges et bretzels
    Troisièmes consommateurs de bière au monde, les Allemands ne pouvaient exclure la bière de la fête d’octobre. Avec le temps, elle est même devenue LA fête de la bière. Il existe même une production pour la fête, la Märzenbier, plus forte que les bières blondes. Six millions de litres sont bus à chaque édition. D’ailleurs, un tiers de la production annuelle de bière des brasseries de la ville est consommé pendant l’Oktoberfest.
    Les amateurs de mousse ont le choix parmi quatorze tentes aux couleurs de leurs brasseries munichoises préférées. Elles abritent toutes un orchestre folklorique. Des cuisines y sont aussi installées. Chaque tente vous servira du poulet, des saucisses, de la salade de pommes de terre, du fromage et des bretzels.
    Selon la tradition, le maire de Munich inaugure l’Oktoberfest en laissant s’échapper les premières gouttes de bière du premier tonneau. Plusieurs défilés se déroulent dans la ville lors du festival. Le premier dimanche, une grande parade composée de groupes traditionnels bavarois, d’animaux, de calèches et fanfares défile jusqu’au pré. Il est aussi de coutume qu’un grand concert soit organisé en plein air. Il réunit tous les ensembles musicaux des différentes tentes.
    Pendant qu’à l’intérieur des tentes, les visiteurs boivent et mangent sans répit, la fête bat son plein aussi à l’extérieur. Une immense fête foraine est installée dans le pré, avec montagnes russes, manèges en tous genres, autos tamponneuses et train fantôme, de quoi réjouir petits et grands. Car les enfants aussi sont les bienvenus ! Des « journées familles » leur sont consacrées, avec un tarif spécial.

    :: Petit guide de survie
    Attention, les deux semaines d’orgie que sont les fêtes d’octobre peuvent être très éprouvantes si elles sont mal organisées.
    Le premier conseil à donner est de réserver à l’avance son hébergement, car les hôtels sont vite complets. Il est aussi primordial de réserver une table dans la tente de votre choix : les 100 000 places assises ne suffisent évidemment pas aux millions de visiteurs annuels. Il est bon de rappeler que l’on ne se rend pas au festival en voiture ! Les routes sont archi-bondées pendant les festivités et les transports publics ont prévu une plus grande fréquence de passage pour faciliter les déplacements. Il serait de toute façon très dangereux de prendre le volant après une journée de dégustation de bière.
    À l’Oktoberfest, on ne boit pas dans des verres, ni dans des pintes mais dans des Mass, des chopes d’un litre. Non, il n’existe pas de verre plus petit ! Chaque Mass coûte entre 7,70 et 8 €, alors prévoyez la monnaie d’avance. Les chanceux se verront offrir une bière dans un verre en forme de botte ou de spirale. Ces verres amusants sont néanmoins difficiles à manipuler et vous vous en mettrez certainement partout.
    Pour être à la pointe de la mode locale, sachez que la culotte de peau portée par de nombreux hommes est le costume local appelé Lederhosen et que les femmes s’apprêtent d’un Dirndl, une robe tablier.
    Si vous survivez à l’Oktoberfest, vous pourrez sans problème affronter ses homologues du Canada, du Brésil ou de Suisse, nés à la suite de la première. Enfin, sachez qu’il existe un phénomène en Bavière, appelé Post Oktoberfest, chaque année en juillet, soit neuf mois après la fête, le taux de natalité est en forte hausse…

    Élodie Petit
    Mise en ligne le 19 septembre 2007
    :: Pour en savoir plus

    Site officiel de l'Oktoberfest en anglais et en allemand :
    www.oktoberfest.de

    Office du tourisme de la ville de Munich en français :
    www.muenchen.de

    Aller à Munich
    En avion
    Au départ de CDG et Lyon : Air France et Lufthansa, de 3 à 6 vols direct par jour.
    Au départ de CDG et des aéroports de province : vols directs avec Lufthansa.
    En train En train, avec le TGV Est en moins de 4 h jusqu’à Francfort ou Stuttgart, puis rejoindre Munich avec le réseau allemand.
    En voiture
    L’A4 vers Metz et Saarbrücken, puis vers le Sud, direction Stuttgart et Munich.
    En bus
    Liaisons en bus avec Eurolines.
    Aller à la Theresienwiese : U-Bahn 4 & 5, station « Theresenwiese ».

    Où dormir ?
    Pensez à réserver !
    - Pension am Kaiserplatz : Kaiserplatz 12, 80803. Tél : (49)089/34-91-90. Chambre double de 49 à 59 € avec ou sans douche, petit déj inclus. Pension tranquille avec un accueil familial et chaleureux. Elle pratique des prix abordables pour l’Oktoberfest.
    - Creatif Hotel Elephant : Lämmerstrasse 6, 80335. Tél : (49) 089/55-57-85. Proche de la gare. Compter 70 € minimum pour une chambre double tout confort. La décoration design a récemment été refaite par un architecte français.

    Boire un verre et casser la croûte
    - Hofbräuhaus : Am Platz 9. Une des brasseries les plus connues au monde, ouverte en 1589. Avec 3 600 places assises, elle reçoit environ 30 000 clients chaque jour. Concert de musique bavaroise pratiquement tous les soirs. Leur tente est la deuxième plus importante du festival.
    - Biergarten am Chinesischer Turm : situé dans l’Englischer Garten. Ce Biergarten vous accueille quand il fait beau, sous les marronniers. Orchestre de musique bavaroise et décor surprenant. Self-service et restaurant pour se ravitailler.

    D’autres fêtes de la bière à travers le monde:
    Fête de la bière de Lausanne, en Suisse.
    Oktoberfest de Blumenau au Brésil.
    Oktoberfest de Kitchener au Canada (Ontario).
    Mondial de la bière de Montréal au Québec.
    Oktoberfest de San Francisco en Californie.

    Pour tout savoir sur la bière, consultez Monsieur Bière !

     

    http://www.routard.com/mag_evenement.asp
  • Catégories : Des évènements

    L'actrice Lois Maxwell, qui s'est fait connaître dans le rôle de la secrétaire du chef des services secrets, Miss Moneypenny, sensible aux charmes de James Bond, est morte en Australie à l'âge de 80 ans, a indiqué dimanche une source hospitalière.

    6e770cc9a50a287309f5c412739c403f.jpgAFP - Dimanche 30 septembre, 16h50

    Elle est décédée le 29 septembre à 23H40", a déclaré à l'AFP une porte-parole de l'hôpital de Fremantle en Australie occidentale.

    La porte-parole n'a pas souhaité préciser la cause de la mort de Lois Maxwell, à l'affiche des James Bond de "Dr. No" en 1962 à "Dangereusement vôtre" en 1985.

    L'actrice d'origine canadienne vivait en Australie occidentale depuis plusieurs années auprès de son fils et de sa famille.

    Déjà actrice confirmée quand elle a endossé le rôle de Miss Moneypenny, Lois Maxwell avait déclaré en 2005 à l'Australian Broadcasting Corporation qu'elle avait accepté ce rôle à un moment difficile de sa vie.

    "J'avais un mari qui était très malade avec deux enfants en bas âge et pas d'argent, j'ai donc appelé les producteurs avec lesquels j'avais travaillé dans le passé et je leur ai dit +aidez-moi+", avait-elle expliqué.

    Le réalisateur de James Bond, Terence Young, lui avait alors offert deux rôles dans James Bond et elle avait choisi Miss Moneypenny en insistant auprès du réalisateur pour qu'il ne lui "coiffe pas les cheveux en chignon et qu'elle n'ai pas à porter de lunettes à monture d'écaille".

    Elle a tenu à 14 reprises le rôle de la secrétaire de "M", le chef des services secrets, sensible aux charmes de OO7 -qui n'hésitait jamais à flirter avec elle- mais sans jamais y succomber.

    Interrogée sur son James Bond préféré, Lois Maxwell avait choisi "Au service secret de sa Majesté" (1969), le seul film de la série des James Bond avec l'acteur australien George Lazenby dans le rôle de 007.

    "Je pense que c'est le meilleur film, je veux dire que c'est un film excellent", avait-elle déclaré dans son interview de 2005 à l'Australian Broadcasting Corporation.

    "Si il n'avait pas été un film de la série des James Bond, s'il n'avait été qu'un film, il aurait été fabuleux", avait-elle estimé.

    http://fr.news.yahoo.com/afp/20070930/ten-cinema-australie-bond-maxwell-1dc2b55_1.html

  • Catégories : Des évènements

    "DEVENIR ACTEUR DE NOTRE VIE"

    Sur réservation par tel au 0612782630 ou par mail à cafedelamour@free.fr)

    "DEVENIR ACTEUR DE NOTRE VIE" 
    Ne plus être figurant, jouer le premier rôle dans notre vie amoureuse !


    Tragédie, farce, comédie romantique, sketchs, drame slave, vaudeville, commedia dell'arte, festivals... Quels théâtres abritent nos amours ? 

    Recherche de fusion avec un seul être ou multiplicité des rencontres, relation bourgeoise ou passion destructrice, ne rejouons-nous pas souvent le même scénario notre vie durant ?


    S'il nous arrive d'être en haut de l'affiche, nos personnages de l'ombre nous volent parfois la vedette dans cette saga : côté cour, séduction, jolis vers, belles répliques, attentions délicates. Côté jardin, ressentiment, jalousie, manipulation, colère, perversité. Alors, comment trouver le ton juste, comment se montrer authentique ?

    Sur le thème "Découvrir la puissance de l'amour vrai " Arnaud RIOU illustrera, à travers mises en situations et exercices, à quel point toutes les facettes du kaléidoscope amoureux sont à notre disposition. Il nous aidera à choisir un mode d'expression en accord avec ce que nous ressentons réellement.

    Lundi, au Café de l'amour, le spectacle sera dans la salle !


    Comédien, metteur en scène, directeur de théâtre, coach, formateur en entreprise et conférencier, Arnaud RIOU est spécialiste de la communication orale, du comportement et de la relation. Il est l'auteur du livre : "Devenir Acteur de sa vie" paru aux Éditions de l'Homme. A l'issue de l'atelier/conférence, il dédicacera son ouvrage (en vente sur place). Arnaud propose un stage vraiment intéressant, que j'ai testé. Vous pouvez m'appeler pour que je vous en parle.

    Nous invitons ceux qui souhaitent prolonger l'ambiance du café de l'amour et leurs discussions autour d'un repas, à considérer l'offre du Don Camilo, qui a aménagé sa carte à notre demande ainsi que les horaires de son personnel. Nous dînons tous ensemble, avec Arnaud Riou, autour d'une grande table, les plats sont à 5/10/15 euros.

    L'instant bien-être : un massage (assis) minute®, offert par Joëlle et le Café de l'Amour ! Laissez votre stress au vestiaire et savourez un petit moment de bonheur et de détente.
    Le massage assis minute® se pratique à même les vêtements, confortablement installé sur un siège ergonomique. Technique spécifique de Toucher-détente, il dure entre six et douze minutes.



    Les poèmes de Gilles sont en ligne ainsi que vos différents commentaires

    Rappel :

    Le Café de l'amour a lieu tous les lundi de 20 H à 22 H15

    Entrée : 10 euros à l'unité + accès salle : 5 euros, consommation comprise
    Abonnement : 35 euros les 5 sessions + accès salle : 5 euros consommation comprise
    Moins de 30 ans : 6 euros + accès salle : 5 euros consommation comprise

    Au Don Camilo
    (à l'étage)

    79, rue La Boétie

    75008 Paris
    Métro Saint Philippe du Roule ou Franklin Roosevelt


  • Catégories : Des évènements, Des lieux, L'érotisme, La littérature

    L'abbaye de Lagrasse troublée par sa "nuit sexuelle"

    fe2428a37ba7986c43a07ff13fa9564a.jpg
    SOPHIE DE RAVINEL.
     Publié le 04 août 2007
    Actualisé le 04 août 2007 : 21h05

    La polémique fait rage dans ce joyau du pays cathare, propriété du conseil général de l'Aude et de chanoines traditionalistes, à l'occasion d'une manifestation littéraire organisée par le département, qui veut récupérer les lieux.

    L'abbaye médiévale de Lagrasse, dans l'Aude, va résonner des sulfureuses rumeurs de Salo ou les 120 journées de Sodome, de Pasolini. Demain, c'est L'Empire des sens, d'Oshima, qui sera projeté dans l'ancienne cuisine des moines, à destination des participants au Banquet du livre.
    Pavani/AFP.
    CE SOIR, l'abbaye médiévale de Lagrasse, dans l'Aude, va résonner des sulfureuses rumeurs de Salo ou les 120 journées de Sodome, de Pasolini. Demain, c'est L'Empire des sens, d'Oshima, qui sera projeté dans l'ancienne cuisine des moines, à destination des participants au Banquet du livre. Cette manifestation culturelle annuelle se tient cet été sur le thème de « La nuit sexuelle », en hommage à l'écrivain Pascal Quignard. Problème : si les activités se déroulent dans la partie de l'abbaye qui est propriété du conseil général, une communauté de religieux, les chanoines réguliers de la Mère de Dieu - traditionalistes -, est installée depuis 2004 dans la partie principale située à quelques mètres.
    « Je souhaite de tout mon coeur qu'il ne s'agit pas d'une provocation », affirme le jeune père abbé Emmanuel-Marie, qui ajoute : « Ce sont des gens sérieux et intelligents. » Mais le responsable des religieux, qui déplore une vision du sexe « qui ne porte pas vers le haut », est au moins mal à l'aise. « Ce sont des habitants du village qui sont venus nous prévenir du thème de la manifestation, dit-il. Pour eux, il s'agit d'une profanation de ce lieu à vocation spirituelle. »
    Organisateur et président de l'association organisatrice Marque page, Jean-Michel Mariou tient à préciser que la rencontre qui s'est ouverte hier « n'a rien à voir avec un concours de tee-shirt mouillé ». « Nous proposons, sur la base du programme établi par Pascal Quignard, des réflexions littéraires et philosophiques sur le rapport des hommes avec la sexualité, avec leur propre origine. » Jean-Michel Mariou tient surtout à préciser qu'il n'est pas chargé par le conseil général - qui finance la manifestation - de « venir embêter les moines ».
    Procédure d'expropriation
    Car, au-delà de cette « nuit sexuelle », c'est bien avec le conseil général que les relations sont les plus tendues. Furieux que les religieux aient acheté la partie d'abbaye qu'il convoitait pour « dynamiser le circuit touristique », le président PS, Marcel Rainaud, a lancé une procédure d'expropriation après l'arrivée des chanoines, sans résultat jusqu'ici. « Les relations ont été tendues, c'est vrai. Mais tout va mieux aujourd'hui », tente de temporiser le père abbé. Ce n'est pas l'avis de Marcel Rainaud. « Il y a une certaine colère qui gronde », dit-il avec l'accent rocailleux du pays cathare. Il doute d'abord « fortement de la capacité financière des chanoines pour entretenir ce patrimoine ». Il est aussi énervé du fait que « les visiteurs doivent cracher deux fois au bassinet ». Un billet est en effet requis pour entrer dans la partie publique de la splendide abbaye, dont les fondations remontent au VIIIe siècle, un autre pour entrer dans celle des religieux qui entretiennent un jardin de « simples » dans la plus pure tradition médiévale, et qui font résonner leur chant grégorien sous les voûtes. « Il n'y a rien d'anticlérical dans ma rancoeur, assure Marcel Rainaud. Nous souhaitons simplement permettre et développer l'usage touristique des bâtiments. »
  • Peinture:Un Poussin au musée des Beaux-Arts de Lyon

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    Publié le 18/07 à 17:54

    "La fuite en Egypte", tableau de Nicolas Poussin, a été racheté par l'Etat et ira rejoindre les collections lyonnaises.

    Des négociations étaient en cours depuis plusieurs mois en vue de l'acquisition par l'Etat et la Ville de Lyon de ce tableau classé "trésor national". L'oeuvre sera donc acquise par l'Etat pour le musée du Louvre et rejoindra, par dépôt, les collections du musée des Beaux-Arts de Lyon d'ici le début de l'année 2008. Une opération de mécénat rare...

    Mais pourquoi mettre en dépôt cette oeuvre à Lyon ? Tout simplement car le tableau est historiquement lié à la région et notamment à la ville. En effet, Jacques Sérisier, un contemporain de Poussin qui fut le premier collectionneur du tableau et qui en fut aussi très probablement le commanditaire, est originaire de Lyon.

    La trace du tableau s'est perdue vers 1713 jusqu'à ce qu'il reparaisse en vente publique en 1986, comme copie d'atelier d'abord, authentifié ensuite en 1994 comme de la main de Poussin. Le tableau, déclaré il y a trois ans "trésor national", ne pouvait quitter le territoire jusqu'au 11 février dernier, date de l'expiration de cette interdiction. C'est à cette date que tous ce sont engagés dans une course contre la montre pour conserver le tableau. Le revoici à Lyon, la boucle est donc bouclée.

    Cet achat permet également à l'oeuvre de rester en France et de contribuer ainsi "à élargir le rayonnement d'une des collections les plus importantes d'Europe pour la peinture française du XVIIe siècle" selon le communiqué de presse du ministère de la Culture. Cet achat est une opération de mécénat remarquable qui permet d'enrichir les collections françaises. C'est grâce à l'entente et à l'union du musée des Beaux-Arts de Lyon et du musée du Louvre que l'achat a pu aboutir. Il aura également fallu l'aide de 18 mécènes, entreprises ou donateurs privés pour que l'oeuvre puisse rejoindre les collections françaises.

    En effet le prix du tableau avait été fixé par le propriétaire "à la hauteur d'une oeuvre qui, de l'aveu de tous, est d'une exceptionnelle qualité". 17 millions d'euros, c'est la somme qu'il aura fallu récolter pour que le public lyonnais puisse admirer ce tableau datant de la fin de 1657-1658, soit la dernière période de l'artiste.

    Source: http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/32856622-fr.php

  • "Journées romaines" à Arles

    1334ed75f0e20a25de251ca5ac80af8e.jpgArènes d'Arles - AFP/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

    Du 19 au 27 août, Arles accueillera un nouveau festival autour des jeux du cirque et de l'Antiquité romaine

    Combats de gladiateurs, courses de chars et autres jeux du cirque vont revivre à Arles, le temps d'un nouveau festival qui va se dérouler dans les sites antiques de la cité, classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO.

    C'est l'association Péplum qui est à l'origine de ce festival intitulé "Arelate, journées romaines d'Arles".

    Ce festival est chaperonné par des historiens et archéologues "afin de coller au mieux à l'Histoire tout en restant ludique" souligne sa coordinatrice Emmanuelle Carrié.

    Pas de folklore donc mais une programmation variée pour un public familial : reconstitution de la vie des Romains dans l'amphithéâtre ou autour du Musée de l'Arles et la Provence antiques (Mapa), projection de péplums dont "Gladiator" de Ridley Scott au théâtre antique et de documentaires à la médiathèque, exposition de BD à l'église Saint-Blaise, conférences, visites de monuments...

    Les visiteurs pourront également s'initier à l'artisanat antique (poterie, tissage, fabrication de vaisselle...) ou ripailler dans une Taberna Romana qui servira une cuisine traditionnelle romaine : plats sucrés-salés, vin rouge, coktails à base de gingembre etc.

    Organisatrice de l'évènement : l'association Péplum, à l'origine depuis deux ans déjà, en collaboration avec le Mapa, de deux journées avec défilé romain, combats de gladiateurs et visites thématiques qui attiraient près de 6.000 visiteurs.

    Cette année la ville d'Arles s'est associée au projet pour créer un évènement d'une plus grande ampleur, destiné à durer et à devenir "incontournable dans la région" affirme Emmanuelle Carrié.

    Entre les "Rencontres de la photographie" (du 3 juillet au 16 septembre), les festival de musiques du monde "Les Suds à Arles" (9 au 15 juillet), "il n'y aura plus de temps mort au cours de l'été à Arles" souligne la chargée des relations avec la presse de la mairie d'Arles, mélanie Christianini.

    Pour plus d'informations : www.arles-antique.cg13.fr

    Publié le 25/07 à 16:04

     

    Source:http://cultureetloisirs.france2.fr/culture/32957979-fr.php