Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Des expositions - Page 26
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Catégories : A voir, Des expositions
Paul Eluard, "Poésie, amour et liberté"
Picasso, Breton, Ernst, Dali, Arp, De Chirico, Cocteau...
Du 2 février au 26 mai 2013
Né à la veille du XXe siècle, Paul Eluard (1895-1952) est le grand poètede l'amour et de la paix. Il est aussi l'ami des arts. Pour la premièrefois, la vie et l'œuvre de cet artiste majeur de la littérature française seront évoquées très largement. Humaniste, amoureux, homme de bien, poète, ami des artistes, ambassadeurdes communistes, il est une des figures incontournables de la premièremoitié du siècle dernier.
L'exposition présente le poète à travers son œuvre et sa vie, ses amis et ses amours. Huit chapitres permettront d'approcher l'homme et l'écrivain, à travers des objets personnels : reconstitution de son bureau avec sa bibliothèque, ses manuscrits, ses ouvrages, ses amis et ses passions. Une partie de l'histoire de France se déroule des Premiers poèmes, signés de son véritable patronyme Eugène Grindel, aux poésies de la Résistance avec les manuscrits de Liberté, aux poésies d'amour.
Collectionneur exceptionnel de la peinture de ses amis, d'objets sauvages, il réunit autour de ses vers les plus célèbres des artistes deson temps : Hans Arp, Salvador Dali, Pablo Picasso, Max Ernst, Man Ray, André Beaudin, Jean Cocteau, Apel les Fenosa, Hans Bellmer ou Alberto Giacometti.
La collection du musée d'art et d'histoire de Saint-Denis - le poète fait une importante donation à sa ville natale - est enrichie pour l'occasion de prêts d'institutions publiques et privées, de collectionneurs et de marchands : aux manuscrits, éditions originales, photographies, dessins, gravures et documents privés s'ajoutent peintures et objets de sa collection africaine, océanienne et amérindienne provenant de collections publiques et privées.
Commissariat : Ville de Saint-Denis, musée d'art et d'histoire, Sylvie Gonzalez, conservateur en chef du patrimoine, directeur.
Tous les jours 10h-19h (lundi 14h-19h).
Jours fériés : exposition ouverte lundi 1er avril (Pâques), mercredi 1er mai, mercredi 8 mai, jeudi 9 mai (Ascension) et lundi 20 mai (Pentecôte).Palais Lumière
Quai Albert-Besson,
74500 EvianTél. 04 50 83 15 90
courrier@ville-evian.frTélécharger l'audioguide complet de l'exposition en français / download the whole audio tour in english (à venir)
Télécharger le flyer de l'exposition
Télécharger le dépliant de l'exposition
Télécharger le dépliant de l'exposition en anglais
http://www.ville-evian.fr/france/DT1206090808/page/Les-expositions-au-PalaisLumiere.html
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Catégories : A voir, Des expositions, Le paysage
Impressionnisme et plein air. De Corot à Van Gogh
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Fin de:L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde
- Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519
- BnF, département des Cartes et plans
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Informations pratiques
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Site François-Mitterrand
Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]
mardi - samedi de 10h à 19h
dimanche de 13h à 19h
sauf lundi et jours fériéstarif plein : 7 €
tarif réduit : 5 €billet couplé 2 expositions : 10 €
billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €Réservations FNAC au 0892 684 694 0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com
du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie
Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_expositions/f.age_dor_cartes_marines.html
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
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Catégories : Des expositions, Musique, Reinhardt Django
Fin de:Django, swing de Paris
Émile Savitry, Portrait de Django Reinhardt, 1933
Django Reinhardt Swing de Paris
DU 6 OCTOBRE 2012 AU 23 JANVIER 2013
Accédez au mini-site de l'exposition
Enfant de la balle né à l’arrière d’une roulotte, aristocrate du swing grandi dans les bas-fonds de la « Zone », Django Reinhardt (1910-1953), « fils de l’air » comme se plaisait à le décrire Jean Cocteau, a conquis aussi bien les intellectuels férus de jazz que les danseurs des bals canailles ou la clientèle chic des cabarets sélects, grâce à la magie de sa guitare.
Django Reinhardt a fasciné ses contemporains par la manière dont son éclatante virtuosité a triomphé de son handicap, faisant oublier qu’il avait perdu l’usage de deux doigts dans l’incendie de sa roulotte, à l’âge de dix-huit ans. Prenant la tête, avec le violoniste Stéphane Grappelli, du Quintette du Hot Club de France, il a donné naissance à un nouveau style de jazz : le jazz manouche. Il a partagé la scène avec certains des plus grands noms : Coleman Hawkins, Duke Ellington ou Benny Carter.
Des bals de la rue de Lappe au Boeuf sur le toit, des boîtes de Pigalle à la Salle Pleyel, des grands cinémas des Champs-Élysées au Cirque Médrano ou aux puces de Saint-Ouen, le parcours de Django est une géographie parisienne en soi. Outre une collection de documents inédits et l’évocation de l’atelier des mythiques guitares Selmer, l’exposition fait une place à ceux qui ont su capter l’âme de Paris : des photographes comme Eugène Atget, Brassaï, Émile Savitry, Willy Ronis ou Robert Doisneau, mais aussi des écrivains, des peintres et sculpteurs.
http://www.citedelamusique.fr/francais/musee/expo_temporaires.aspx
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Catégories : Des expositions
Fin de "Mary CASATT à Paris"
Mary Cassatt à Paris : dessins et gravures de la collection d'Ambroise Vollard
Lieu : Paris - Mona Bismarck American Center for Art & Culture
Date : du 26 septembre 2012 au 20 janvier 2013Visuel de l'affiche de l'exposition "Mary Cassatt : Dessins et gravures de la collection Amroise Vollard", 2012 (DR).
Du 26 septembre 2012 au 20 janvier 2013, la Mona Bismarck Foundation présente l'exposition "Mary Cassatt à Paris : dessins et gravures de la collection d'Ambroise Vollard".
Informations pratiques :
Accès
Métro Ligne 9 Iéna, Alma-Marceau et Ligne 1 et 9, Trocadéro
RER C, Pont de l'Alma
Bus 72, 63, 92, 32, 82Ouverture
de 10h30 à 18h30 les mercredis, vendredis, samedis et dimanches
de 12h à 20h00 le jeudiTarifs
Plein tarif : 7 EUR
Tarif réduit : 5 EUR (enfants de 12 à 17 ans, chômeurs, seniors de plus de 60 ans et étudiants)
Gratuité : moins de 12 ansInformations complémentaires Mona Bismarck American Center for Art & Culture 34, avenue de New-York 75116 Paris Tel : +33 (0)1 47 23 83 37 +33 (0)1 47 23 83 37 En savoir plus sur le lieu
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Catégories : Des évènements, Des expositions, Des musées, Le paysage, Lille(Nord,59:études)
Fin de:Fables du paysage flamand
Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.
Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.
Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.Autour de l’exposition :
Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
Jeu. 25 oct. 18h30
Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
Mardi 27 nov. 19h30
Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
Lundi 03 déc. 18h30
Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Dim. 13 Janv. 20h
Fables polyphoniques, concert de clôture.http://www.pba-lille.fr/spip.php?article2418
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Catégories : Des expositions, Lille(Nord,59:études)
Fin de:Babel
En prélude à l’exposition de l’automne 2012 : Fables du paysage flamand, Bosch, Brueghel, Bles, Bril, BABEL est la première exposition exclusivement contemporaine sur le thème universel de la Tour de Babel, la plus célèbre des allégories architecturales de l’histoire de l’art.
BABEL présente une centaine d’oeuvres de 40 artistes qui illustrent les multiples facettes du mythe biblique dans l’art contemporain... L’engouement actuel pour la Tour de Babel répond à celui du XVIe siècle flamand. A l’exemple des tours de la Renaissance flamande, qui fourmillent de détails, l’immense richesse graphique de ces visions contemporaines entre en résonance avec certaines tragédies du monde moderne.
Dans la peinture, la photographie, le cinéma d’anticipation et la BD, les Babel contemporaines et futuristes confrontent l’hommes à sa propre vanité et à la part d’insensé qui gouvernent parfois ses actes, guidés par l’orgueil et l’ambition.
Dans cette perspective morale et philosophique, l’exposition condense les références anciennes, modernes et actuelles pour produire un effet de vertige dans le temps et dans l’espace.
(A. Kiefer ; J. & D. Chapman ; D. Zhenjun ; R. Fischer ; F. Schuiten…)Commissaire de l’exposition : Régis Cotentin, Chargé de la programmation contemporaine.
Tarifs : 5 € - 3 € (exposition seule) et 8 € - 5 € (expo. + musée)
À p. du 06 octobre, inclus dans le billet musée + expositions :9 € - 6 €)Achetez vos billets en ligne !
Autour de l’exposition :
Mer. 14 nov. 12h30.
Les Greniers de Babel, visite-lecture.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, Nocturne étudiants.
Lun. 03 déc. 2012
Têtes de lecture. Lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.Catalogue de l’exposition : 88 pages, 65 illustrations, 12 €. Editions Invenit.
Application mobile gratuite pour iPhone et Android disponible sur AppStore et Google Play. En partenariat avec Audiovisit.
Téléchargez le dossier de presse de l’exposition BABEL.
Cette exposition est réalisée grâce au mécénat du Crédit du Nord, d’Avenir Public et de Air liquide. En partenariat avec Let’s motiv.
Elle est produite dans le cadre de FANTASTIC / lille3000.The Wind, 2010 © Du Zhenjun - Galerie RX, Paris
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Catégories : Des expositions
Fin de:mpressionnistes et pompiers dans la même mêlée
Par Eric Bietry-Rivierre Publié le 28/08/2012 à 06:00
Femme au jardin, 1867, de Claude Monet (détail). Crédits photo : State Hermitage MuseumSt Petersburg/Hermitage Amsterdam -
Catégories : A voir, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Des expositions, Mes textes en prose
L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde
- Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519
- BnF, département des Cartes et plans
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Informations pratiques
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Site François-Mitterrand
Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]
mardi - samedi de 10h à 19h
dimanche de 13h à 19h
sauf lundi et jours fériéstarif plein : 7 €
tarif réduit : 5 €billet couplé 2 expositions : 10 €
billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €Réservations FNAC au 0892 684 694 0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com
du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie
Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore. -
Catégories : Des expositions, Des musées
« Dalí, Magritte, Miró - Surrealismus à Paris » le 2.10.2011 - le 29.1.2012
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Catégories : Des expositions, Des photographies, Paris(75,Ile de France):vécu,études
Fin de:Modernisme ou Modernité
Gustave Le Gray (1820-1884), le plus important photographe du Second Empire, a initié à la photographie une génération d’amateurs provenant de tous les milieux sociaux. Autour du maître, ces derniers ont inventé une esthétique en rupture avec l'enseignement des Beaux-Arts. Ebauchant, avec plus de 70 ans d’avance, le mouvement moderniste de l'entre-deux-guerres, ces photographes construisent des images qui surprennent par leur audace et leur perfection. La liste des élèves, aussi longue qu’hétéroclite, s’est étoffée depuis l’importante rétrospective, que la Bibliothèque nationale de France a consacrée à Le Gray, en 2002. De nouvelles œuvres ont surgi. Aux noms de Le Secq, Nègre, Greene, Salzmann, il faut désormais ajouter ceux de Bérenger, Delaunay, Du Manoir, et bien d’autres.
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Fantômes d'Orient au Musée de la vie romantique
Le musée de la Vie romantique rend hommage à Julien Viaud, né à Rochefort, passé à la postérité sous le nom de Pierre Loti. Les contrastes de la vie de l'homme de lettres et de l'officier de marine auront intrigué ceux qui, nombreux, l'ont adulé de son vivant. Ses contemporains auront été fascinés par la légende des amours de ce romantique fantasque, complexe et attachant attiré par la chimère de l'Orient. Cet hommage à un écrivain, perpétuel voyageur, académicien à 40 ans, est d'abord une invitation au voyage et au 'ressouvenir' : Constantinople, Alger, l'Egypte, le Sinaï mais aussi le 'calme blanc' des brumes de l'Islande et la mélancolie de l'enfance à Rochefort...
L'exposition fait résonner les correspondances entre ses textes les plus célèbres - 'Aziyadé', 'Pêcheur d'Islande', 'Le Désert', 'Prime Jeunesse', 'Fantôme d'Orient' - et une centaine d'oeuvres : peintures, oeuvres sur papier, photographies et objets d'art provenant de nombreuses collections publiques et privées dont les musées... Sans oublier la maison de Pierre Loti à Rochefort.Musée de la Vie romantique, 16 rue Chaptal, 75009 Paris - Renseignements : 01.55.31.95.67
jusqu'au 3 décembre 2006
Source: Evene
Précédente publication:
20/10/2006 12:30
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Catégories : A voir, Chagall Marc, Des expositions, Des musées, Nice(06,Alpes-Maritimes): séjours
Chagall et le livre 20 octobre 2012-11 février 2013
- En 1923, à Berlin, Chagall découvre la pratique de la gravure, en illustrant la version allemande de Ma Vie, recueil de ses souvenirs de jeunesse.
Il ne cesse ensuite de s’intéresser à l’illustration des textes les plus variés : textes fondateurs, comme la Bible et l’Odyssée, textes classiques comme La Tempête, de Shakespeare, textes d’amis, puisque toute sa vie, il entretient des liens forts et durables avec de nombreux écrivains et poètes, revues d’art enfin, où sa participation est très recherchée après-guerre.
Il est ainsi amené à travailler avec les plus grands éditeurs d’art du XXème siècle : Paul Cassirer, Ambroise Vollard, Tériade, Aimé Maeght, Alain Mazo, André Sauret, Gerald Cramer.
Il s’affirme dès les années trente comme l’un des maîtres de la gravure, soucieux de transposer dans les modulations du noir et blanc, les valeurs de la couleur et de restituer le rythme et l’atmosphère d’un récit sans renoncer à sa propre part d’interprétation.
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, encore réfugié aux Etats-Unis, il découvre la lithographie, à l’occasion de la publication de Four Tales for Arabian Nights. Celle-ci devient ensuite son mode d’expression privilégié pour l’illustration. Il développe une totale maîtrise de cette technique dans l’atelier de Fernand Mourlot, où Charles Sorlier devient son compagnon de travail.
L’exposition présente une grande partie des livres illustrés par Marc Chagall, avec, en regard de chacun d’eux, des peintures et des gouaches. L’artiste, en effet, reprend souvent les sujets de ses illustrations dans sa peinture. Le tableau précède ainsi dans le temps, ou au contraire prolonge, les planches d’un livre.
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Commissariat général : Maurice Fréchuret, conservateur en chef du Patrimoine, directeur des musées nationaux du XXème siècle des Alpes-Maritimes
Commissaire : Elisabeth Pacoud-Rème, historienne de l’art, chargée des collections
http://www.musees-nationaux-alpesmaritimes.fr/chagall/expositions/en-cours/
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Précédentes publications:
16/12/2012 16:01
- En 1923, à Berlin, Chagall découvre la pratique de la gravure, en illustrant la version allemande de Ma Vie, recueil de ses souvenirs de jeunesse.
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Catégories : Des expositions
Fin de: Nicolas Poussin et Moïse, l'exposition à la Galerie des Gobelins
Publié le 08/05/12 Par Elodie D
L'exposition Nicolas Poussin et Moïse présentée par la Galerie des Gobelins du 22 Mai au 15 Décembre 2012 dévoile un chef d’œuvre du XVIIème siècle : pour la première fois depuis sa fabrication, La Tenture de Moïse - une exceptionnelle tapisserie - sera exposée en France... Une occasion de rendre hommage aux travaux de Nicolas Poussin.
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Catégories : A voir, Chagall Marc, Des expositions
Chagall, à fond
À Roubaix, ce n'est pas seulement le peintre qu'on célèbre. C'est aussi le décorateur, le costumier, le sculpteur et le céramiste.
Précédente publication:
27/11/2012 18:31
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Catégories : A voir, Des expositions
Les intellectuels français en Russie
Organisée par l'Institut français, l'exposition Intelligentsia raconte le XXe siècle à travers les relations franco-russes.
» INTERVIEW - L'influence soviétique sur la littérature françaisehttp://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2012/11/23/03015-20121123ARTFIG00654-un-phenomene-de-sideration-collective.php
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Catégories : A voir, Courbet Gustave, Des expositions
Les chasses de monsieur Courbet
du 24 novembre au 25 février 2013
Gustave Courbet, Renard dans la neige, 1860, huile sur toile
Dallas museum of Art
Commissariat général : Musée Gustave Courbet
Commissaire scientifique : Gilbert Titeux, docteur en histoire de l’art, auteur d’une thèse portant sur les
représentations de la chasse dans la peinture de Courbet
Assisté de :
- Dominique de Font-Réaulx, conservateur en chef au Musée du Louvre
- Laurence des Cars, conservateur en chef, directrice scientifique de l’agence France Museum
- Raphaël Abrille, conservateur au Musée de la Chasse et de la Nature (Paris)
- Noël Barbe, ethnologue, chercheur au IIAC, Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de
l’institution de la culture (CNRS, EHESS, ministère de la culture), directeur de l’Ethnopôle
Musée Courbet
- Pierre Feuvrier, Directeur de la Fédération des la chasse et de la nature du Doubs
Courbet a réalisé plus de cent-trente tableaux évoquant la chasse, les chasseurs ou le gibier. Ces oeuvres n’ont guère été étudiées à ce jour et en dehors d’une exposition présentée au Japon en 2002-2003 intitulée « A Painter with Hunter’s Eye » et celle du Grand Palais en 2007 où une salle leur avait été spécialement consacrée, les oeuvres cynégétiques de Courbet n’ont jamais, à elles seules, constitué le thème privilégié d’une exposition. Ce projet s’inscrit dans le cadre du label Ethnopôle (Pôle national de recherche et de ressources en ethnologie)attribué par le Ministère de la Culture au Musée Courbet en 2010, au titre des activités relevant des thématiques suivantes : les relations entre activités artistiques, population et Gustave Courbet, Renard pris au piège, vers 1860, Musée Courbet territoire ; les modalités de représentation d’un territoire ; les modalités d’intervention artistique et d’action culturelle.
Visites guidées sans réservation, tous les samedis à 15h et dimanches à 11h00.
Visites guidées pour les groupes à partir de 10 personnes sur réservation obligatoire .
Visites proposées également en anglais, allemand et espagnol.
Le service des réservations est ouvert du lundi au vendredi de 10h à 12h : reservationpaysdecourbet@doubs.fr - tél : 03 81 86 59 55
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Catégories : A voir, Des expositions, Des photographies, Paris(75,Ile de France):vécu,études
Avec la bande à Le Gray, primitifs de la modernité(1ere photo perso de vendredi sor à Paris)
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Pour préparer notre visite de samedi, j'avais lu:Bohèmes
au Grand Palais
8,50 € TTC
septembre 2012
Chantée, filmée, versifiée, exaltée, cent fois déclarée morte et toujours renaissante, la « Bohème » fait partie des mythes modernes. Née au milieu du XIXe siècle, entre Romantisme et Réalisme, elle accompagne une profonde transformation du statut de l’artiste. Désormais le jeune talent ne se place plus sous la protection de quelque prince : il est ce génie solitaire, misérable et incompris qui anticipe les convulsions de
la société.
Du phénomène de société au mythe artistique, la figure du bohémien est un sujet de prédilection pour les artistes, nourris du fantasme d’une vie sans attaches et sans règles, intense et sensuelle. Entre séduction et répulsion, ces figures de la liberté et de l’errance peuplent au XVIIe siècle, les oeuvres de Georges de la Tour, Simon Vouet ou Sébastien Bourdon, au XVIIIe siècle, les comédies des théâtres et au XIXe siècle, les
clairières de Corot, Turner ou Diaz.
À travers Victor Hugo, Théophile Gautier et Franz Liszt, la génération romantique prend fait et cause pour le vagabond, jusqu’à l’avènement de « l’artiste bohème » exalté par des poètes comme Baudelaire et des artistes comme Courbet, Van Gogh, Satie, Modigliani, Picasso, Manet, source essentielle de l’élaboration du mythe moderne de l’artiste.
Mais les bohémiens ne sont finalement véritablement tolérés qu’en peinture et le XXe siècle leur vaudra une répression historique avant que le surréalisme n’érige l’errance en une voie de création majeure.
Par des mises en relations inédites, en s’appuyant sur une vaste iconographie autant que sur les croisements entre les disciplines (peinture, littérature, photographie, musique), cette exposition ambitionne d’apporter un jour nouveau sur cette histoire commune entre tziganes et artistes. Elle éclaire un phénomène qui, de Léonard à Picasso, traverse toute l’histoire des arts et des sociétés, et résonne encore dans le monde contemporain.
A l’occasion de cette exposition Beaux Arts consacre un hors série sur ce mythe de la bohème et sur la fascination que la nation tzigane a exercé sur l'art et les artistes.
Informations sur le livre: 60 pages - 22 x 28.5 cm
EAN : 9782842789404
Reliure : BrochéPour Francine et les autres, je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres, notamment mes "Paysages de bohémiens" qui a le même sujet que cette expo
sur laquelle je me documente
cf. catégorie et sous-partie à ce nom
et que j'espère voir
en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
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Catégories : Des expositions, J'ai aimé
J'ai aimé vendredi:Chaïm Soutine (1893-1943) - L'ordre du chaos
En parcourant les salles de l'Orangerie, qui présente une rétrospective du peintre d'origine russe Chaïm Soutine, on peut bien se poser la question du titre : où est l'ordre dont il est question ? En revanche, du chaos, on en trouvera partout dans la peinture de cet ami de Matisse et de Modigliani qui semble faire souffler la tempête et l'inquiétude dans ses paysages, la faim dans ses natures mortes et l'angoisse du vivant, et du survivant, dans ses fameux portraits de pâtissier ou de groom, au corps maigre et aux yeux dévorants et un peu hallucinés. Riche, avant-gardiste (sa peinture annonce l'expressionnisme et le pinceau d'un Francis Bacon), la vie de Soutine vaut bien ce salut posthume…
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Catégories : Des expositions, J'ai aimé, Paris(75,Ile de France):vécu,études
Chaïm Soutine, l'ordre du chaos au Musée de l'Orangerie
Réunis par la passion du marchand Paul Guillaume pour ces « portraits où la mesure et la démence luttent et s’équilibrent », vingt-deux tableaux du peintre russe Chaïm Soutine (1893-1943) sont conservés par le musée de l’Orangerie. Ils seront le noyau d’une rétrospective, organisée à l’automne 2012, célébrant la puissance expressionniste et l’ardeur d’une palette uniques dans le Paris de l’entre-deux-guerres. L’influence que cette œuvre eut sur les artistes de la fin du XXème siècle rend nécessaire un nouveau regard sur un peintre encore incompris en France.
http://www.exponaute.com/expositions/4834-soutine/
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Pour préparer ma visite de vendredi, j'ai lu:L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 63
En 1906, de grands collectionneurs havrais créent le Cercle de l’Art moderne. Leur objectif : défendre l’art le plus novateur au sein de leur cité. Ils acquièrent des œuvres de Monet, Pissarro, Vuillard ou Marquet, réunies le temps d'une exposition au musée du Luxembourg.
Articles
- Le Havre et le Cercle de l'Art moderne. Une histoire singulière
- La création du Cercle de l’Art moderne
- Au Havre, l’impressionnisme est chez lui !
- Le fonds Eugène Boudin du musée Malraux
- Eugène Boudin, Barques et estacade (Trouville)
- Claude Monet, Soleil d’hiver, Lavacourt
- L’essence secrète du monde des nabis
- Paul Sérusier, Le Berger Corydon
- Félix Vallotton, Haut de forme, intérieur ou La Visite
- Les fauves, pleins feux sur la modernite
- Le fonds Raoul Dufy du musée Malraux
- Raoul Dufy, La Rue pavoisée
- André Derain, Le Vieil Arbre
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J'ai aimé vendredi:L'art du voyage
Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque, permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Goghà celle d'Hiroshige.
Tout le monde en France est persuadé que l’artiste japonais le plus célèbre est Hokusai. C’est une erreur qui amuse beaucoup au Japon.En effet, le Léonard de Vinci japonais n’est pas le maître de La Vague mais un autre qui n’a encore jamais eu l’honneur des musées en France : Utagawa Hiroshige. Pourtant au temps des impressionnistes, Hiroshige est de loin l’artiste qui a le plus fasciné l’ensemble du groupe des jeunes contestataires des Salons.