Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Plus de 780.000 visiteurs
La rétrospective consacrée au peintre américain au Grand Palais, qui a fermé ses portes dimanche, a récolté un énorme succès.
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Picasso, Breton, Ernst, Dali, Arp, De Chirico, Cocteau...
Né à la veille du XXe siècle, Paul Eluard (1895-1952) est le grand poètede l'amour et de la paix. Il est aussi l'ami des arts. Pour la premièrefois, la vie et l'œuvre de cet artiste majeur de la littérature française seront évoquées très largement. Humaniste, amoureux, homme de bien, poète, ami des artistes, ambassadeurdes communistes, il est une des figures incontournables de la premièremoitié du siècle dernier.
L'exposition présente le poète à travers son œuvre et sa vie, ses amis et ses amours. Huit chapitres permettront d'approcher l'homme et l'écrivain, à travers des objets personnels : reconstitution de son bureau avec sa bibliothèque, ses manuscrits, ses ouvrages, ses amis et ses passions. Une partie de l'histoire de France se déroule des Premiers poèmes, signés de son véritable patronyme Eugène Grindel, aux poésies de la Résistance avec les manuscrits de Liberté, aux poésies d'amour.
Collectionneur exceptionnel de la peinture de ses amis, d'objets sauvages, il réunit autour de ses vers les plus célèbres des artistes deson temps : Hans Arp, Salvador Dali, Pablo Picasso, Max Ernst, Man Ray, André Beaudin, Jean Cocteau, Apel les Fenosa, Hans Bellmer ou Alberto Giacometti.
La collection du musée d'art et d'histoire de Saint-Denis - le poète fait une importante donation à sa ville natale - est enrichie pour l'occasion de prêts d'institutions publiques et privées, de collectionneurs et de marchands : aux manuscrits, éditions originales, photographies, dessins, gravures et documents privés s'ajoutent peintures et objets de sa collection africaine, océanienne et amérindienne provenant de collections publiques et privées.
Commissariat : Ville de Saint-Denis, musée d'art et d'histoire, Sylvie Gonzalez, conservateur en chef du patrimoine, directeur.
Tous les jours 10h-19h (lundi 14h-19h).
Jours fériés : exposition ouverte lundi 1er avril (Pâques), mercredi 1er mai, mercredi 8 mai, jeudi 9 mai (Ascension) et lundi 20 mai (Pentecôte).
Tél. 04 50 83 15 90
courrier@ville-evian.fr
Télécharger l'audioguide complet de l'exposition en français / download the whole audio tour in english (à venir)
Télécharger le flyer de l'exposition
Télécharger le dépliant de l'exposition
Télécharger le dépliant de l'exposition en anglais
http://www.ville-evian.fr/france/DT1206090808/page/Les-expositions-au-PalaisLumiere.html
Site François-Mitterrand
Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]
mardi - samedi de 10h à 19h
dimanche de 13h à 19h
sauf lundi et jours fériés
tarif plein : 7 €
tarif réduit : 5 €
billet couplé 2 expositions : 10 €
billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €
Réservations FNAC au 0892 684 694 0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com
du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie
Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.
http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_expositions/f.age_dor_cartes_marines.html
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Émile Savitry, Portrait de Django Reinhardt, 1933
Accédez au mini-site de l'exposition
Enfant de la balle né à l’arrière d’une roulotte, aristocrate du swing grandi dans les bas-fonds de la « Zone », Django Reinhardt (1910-1953), « fils de l’air » comme se plaisait à le décrire Jean Cocteau, a conquis aussi bien les intellectuels férus de jazz que les danseurs des bals canailles ou la clientèle chic des cabarets sélects, grâce à la magie de sa guitare.
Django Reinhardt a fasciné ses contemporains par la manière dont son éclatante virtuosité a triomphé de son handicap, faisant oublier qu’il avait perdu l’usage de deux doigts dans l’incendie de sa roulotte, à l’âge de dix-huit ans. Prenant la tête, avec le violoniste Stéphane Grappelli, du Quintette du Hot Club de France, il a donné naissance à un nouveau style de jazz : le jazz manouche. Il a partagé la scène avec certains des plus grands noms : Coleman Hawkins, Duke Ellington ou Benny Carter.
Des bals de la rue de Lappe au Boeuf sur le toit, des boîtes de Pigalle à la Salle Pleyel, des grands cinémas des Champs-Élysées au Cirque Médrano ou aux puces de Saint-Ouen, le parcours de Django est une géographie parisienne en soi. Outre une collection de documents inédits et l’évocation de l’atelier des mythiques guitares Selmer, l’exposition fait une place à ceux qui ont su capter l’âme de Paris : des photographes comme Eugène Atget, Brassaï, Émile Savitry, Willy Ronis ou Robert Doisneau, mais aussi des écrivains, des peintres et sculpteurs.
http://www.citedelamusique.fr/francais/musee/expo_temporaires.aspx
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Visuel de l'affiche de l'exposition "Mary Cassatt : Dessins et gravures de la collection Amroise Vollard", 2012 (DR).
Informations pratiques :
Accès
Métro Ligne 9 Iéna, Alma-Marceau et Ligne 1 et 9, Trocadéro
RER C, Pont de l'Alma
Bus 72, 63, 92, 32, 82
Ouverture
de 10h30 à 18h30 les mercredis, vendredis, samedis et dimanches
de 12h à 20h00 le jeudi
Tarifs
Plein tarif : 7 EUR
Tarif réduit : 5 EUR (enfants de 12 à 17 ans, chômeurs, seniors de plus de 60 ans et étudiants)
Gratuité : moins de 12 ans
Informations complémentaires Mona Bismarck American Center for Art & Culture 34, avenue de New-York 75116 Paris Tel : +33 (0)1 47 23 83 37 +33 (0)1 47 23 83 37 En savoir plus sur le lieu
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Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.
Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.
Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.
Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.
Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.
Autour de l’exposition :
Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
Jeu. 25 oct. 18h30
Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
Mardi 27 nov. 19h30
Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
Lundi 03 déc. 18h30
Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Dim. 13 Janv. 20h
Fables polyphoniques, concert de clôture.
http://www.pba-lille.fr/spip.php?article2418
En prélude à l’exposition de l’automne 2012 : Fables du paysage flamand, Bosch, Brueghel, Bles, Bril, BABEL est la première exposition exclusivement contemporaine sur le thème universel de la Tour de Babel, la plus célèbre des allégories architecturales de l’histoire de l’art.
BABEL présente une centaine d’oeuvres de 40 artistes qui illustrent les multiples facettes du mythe biblique dans l’art contemporain... L’engouement actuel pour la Tour de Babel répond à celui du XVIe siècle flamand. A l’exemple des tours de la Renaissance flamande, qui fourmillent de détails, l’immense richesse graphique de ces visions contemporaines entre en résonance avec certaines tragédies du monde moderne.
Dans la peinture, la photographie, le cinéma d’anticipation et la BD, les Babel contemporaines et futuristes confrontent l’hommes à sa propre vanité et à la part d’insensé qui gouvernent parfois ses actes, guidés par l’orgueil et l’ambition.
Dans cette perspective morale et philosophique, l’exposition condense les références anciennes, modernes et actuelles pour produire un effet de vertige dans le temps et dans l’espace.
(A. Kiefer ; J. & D. Chapman ; D. Zhenjun ; R. Fischer ; F. Schuiten…)
Commissaire de l’exposition : Régis Cotentin, Chargé de la programmation contemporaine.
Tarifs : 5 € - 3 € (exposition seule) et 8 € - 5 € (expo. + musée)
À p. du 06 octobre, inclus dans le billet musée + expositions :9 € - 6 €)
Achetez vos billets en ligne !
Autour de l’exposition :
Mer. 14 nov. 12h30.
Les Greniers de Babel, visite-lecture.
Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, Nocturne étudiants.
Lun. 03 déc. 2012
Têtes de lecture. Lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Catalogue de l’exposition : 88 pages, 65 illustrations, 12 €. Editions Invenit.
Application mobile gratuite pour iPhone et Android disponible sur AppStore et Google Play. En partenariat avec Audiovisit.
Téléchargez le dossier de presse de l’exposition BABEL.
Cette exposition est réalisée grâce au mécénat du Crédit du Nord, d’Avenir Public et de Air liquide. En partenariat avec Let’s motiv.
Elle est produite dans le cadre de FANTASTIC / lille3000.
The Wind, 2010 © Du Zhenjun - Galerie RX, Paris
Site François-Mitterrand
Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]
mardi - samedi de 10h à 19h
dimanche de 13h à 19h
sauf lundi et jours fériés
tarif plein : 7 €
tarif réduit : 5 €
billet couplé 2 expositions : 10 €
billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €
Réservations FNAC au 0892 684 694 0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com
du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie
Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.
Gustave Le Gray (1820-1884), le plus important photographe du Second Empire, a initié à la photographie une génération d’amateurs provenant de tous les milieux sociaux. Autour du maître, ces derniers ont inventé une esthétique en rupture avec l'enseignement des Beaux-Arts. Ebauchant, avec plus de 70 ans d’avance, le mouvement moderniste de l'entre-deux-guerres, ces photographes construisent des images qui surprennent par leur audace et leur perfection. La liste des élèves, aussi longue qu’hétéroclite, s’est étoffée depuis l’importante rétrospective, que la Bibliothèque nationale de France a consacrée à Le Gray, en 2002. De nouvelles œuvres ont surgi. Aux noms de Le Secq, Nègre, Greene, Salzmann, il faut désormais ajouter ceux de Bérenger, Delaunay, Du Manoir, et bien d’autres.
Le musée de la Vie romantique rend hommage à Julien Viaud, né à Rochefort, passé à la postérité sous le nom de Pierre Loti. Les contrastes de la vie de l'homme de lettres et de l'officier de marine auront intrigué ceux qui, nombreux, l'ont adulé de son vivant. Ses contemporains auront été fascinés par la légende des amours de ce romantique fantasque, complexe et attachant attiré par la chimère de l'Orient. Cet hommage à un écrivain, perpétuel voyageur, académicien à 40 ans, est d'abord une invitation au voyage et au 'ressouvenir' : Constantinople, Alger, l'Egypte, le Sinaï mais aussi le 'calme blanc' des brumes de l'Islande et la mélancolie de l'enfance à Rochefort...
L'exposition fait résonner les correspondances entre ses textes les plus célèbres - 'Aziyadé', 'Pêcheur d'Islande', 'Le Désert', 'Prime Jeunesse', 'Fantôme d'Orient' - et une centaine d'oeuvres : peintures, oeuvres sur papier, photographies et objets d'art provenant de nombreuses collections publiques et privées dont les musées... Sans oublier la maison de Pierre Loti à Rochefort.
Musée de la Vie romantique, 16 rue Chaptal, 75009 Paris - Renseignements : 01.55.31.95.67
jusqu'au 3 décembre 2006
Source: Evene
Précédente publication:
20/10/2006 12:30
http://www.musees-nationaux-alpesmaritimes.fr/chagall/expositions/en-cours/
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Précédentes publications:
16/12/2012 16:01
Publié le 08/05/12 Par Elodie D
L'exposition Nicolas Poussin et Moïse présentée par la Galerie des Gobelins du 22 Mai au 15 Décembre 2012 dévoile un chef d’œuvre du XVIIème siècle : pour la première fois depuis sa fabrication, La Tenture de Moïse - une exceptionnelle tapisserie - sera exposée en France... Une occasion de rendre hommage aux travaux de Nicolas Poussin.
À Roubaix, ce n'est pas seulement le peintre qu'on célèbre. C'est aussi le décorateur, le costumier, le sculpteur et le céramiste.
Précédente publication:
27/11/2012 18:31
du 24 novembre au 25 février 2013
Gustave Courbet, Renard dans la neige, 1860, huile sur toile Dallas museum of Art Exposition organisée en collaboration avec le Musée de la Chasse, Paris Commissariat général : Musée Gustave Courbet Commissaire scientifique : Gilbert Titeux, docteur en histoire de l’art, auteur d’une thèse portant sur les représentations de la chasse dans la peinture de Courbet Assisté de : - Dominique de Font-Réaulx, conservateur en chef au Musée du Louvre - Laurence des Cars, conservateur en chef, directrice scientifique de l’agence France Museum - Raphaël Abrille, conservateur au Musée de la Chasse et de la Nature (Paris) - Noël Barbe, ethnologue, chercheur au IIAC, Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de l’institution de la culture (CNRS, EHESS, ministère de la culture), directeur de l’Ethnopôle Musée Courbet - Pierre Feuvrier, Directeur de la Fédération des la chasse et de la nature du Doubs
Courbet a réalisé plus de cent-trente tableaux évoquant la chasse, les chasseurs ou le gibier. Ces oeuvres n’ont guère été étudiées à ce jour et en dehors d’une exposition présentée au Japon en 2002-2003 intitulée « A Painter with Hunter’s Eye » et celle du Grand Palais en 2007 où une salle leur avait été spécialement consacrée, les oeuvres cynégétiques de Courbet n’ont jamais, à elles seules, constitué le thème privilégié d’une exposition. Ce projet s’inscrit dans le cadre du label Ethnopôle (Pôle national de recherche et de ressources en ethnologie)attribué par le Ministère de la Culture au Musée Courbet en 2010, au titre des activités relevant des thématiques suivantes : les relations entre activités artistiques, population et Gustave Courbet, Renard pris au piège, vers 1860, Musée Courbet territoire ; les modalités de représentation d’un territoire ; les modalités d’intervention artistique et d’action culturelle.
Visites guidées sans réservation, tous les samedis à 15h et dimanches à 11h00.Visites guidées pour les groupes à partir de 10 personnes sur réservation obligatoire .Visites proposées également en anglais, allemand et espagnol.Le service des réservations est ouvert du lundi au vendredi de 10h à 12h : reservationpaysdecourbet@doubs.fr - tél : 03 81 86 59 55 |
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Pour Francine et les autres, je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres, notamment mes "Paysages de bohémiens" qui a le même sujet que cette expo
sur laquelle je me documente
cf. catégorie et sous-partie à ce nom
et que j'espère voir
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En parcourant les salles de l'Orangerie, qui présente une rétrospective du peintre d'origine russe Chaïm Soutine, on peut bien se poser la question du titre : où est l'ordre dont il est question ? En revanche, du chaos, on en trouvera partout dans la peinture de cet ami de Matisse et de Modigliani qui semble faire souffler la tempête et l'inquiétude dans ses paysages, la faim dans ses natures mortes et l'angoisse du vivant, et du survivant, dans ses fameux portraits de pâtissier ou de groom, au corps maigre et aux yeux dévorants et un peu hallucinés. Riche, avant-gardiste (sa peinture annonce l'expressionnisme et le pinceau d'un Francis Bacon), la vie de Soutine vaut bien ce salut posthume…
Réunis par la passion du marchand Paul Guillaume pour ces « portraits où la mesure et la démence luttent et s’équilibrent », vingt-deux tableaux du peintre russe Chaïm Soutine (1893-1943) sont conservés par le musée de l’Orangerie. Ils seront le noyau d’une rétrospective, organisée à l’automne 2012, célébrant la puissance expressionniste et l’ardeur d’une palette uniques dans le Paris de l’entre-deux-guerres. L’influence que cette œuvre eut sur les artistes de la fin du XXème siècle rend nécessaire un nouveau regard sur un peintre encore incompris en France.
http://www.exponaute.com/expositions/4834-soutine/
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En 1906, de grands collectionneurs havrais créent le Cercle de l’Art moderne. Leur objectif : défendre l’art le plus novateur au sein de leur cité. Ils acquièrent des œuvres de Monet, Pissarro, Vuillard ou Marquet, réunies le temps d'une exposition au musée du Luxembourg.
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