Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Primitifs italiens : à la recherche du vrai ou du faux
Vierge à l'enfant , de Lorenzo di Credi. Crédits photo : RMN/Gérard Blot
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J’ai assis la Beauté sur mes genoux. (…) Et je l’ai injuriée. Rimbaud
L’exposition « La Collection Michael Werner » réunit près de 900 œuvres dont une partie des 127 peintures et sculptures données récemment au musée par le marchand d’art allemand. Rassemblant une quarantaine d’artistes, cette présentation rend hommage au travail accompli par Michael Werner au cours des cinquante années de son activité de galeriste et de collectionneur.
Move right
La version du musée Munch de l’œuvre expérimentale de 1894 d’Edvard Munch Puberté vient de subir une analyse et un processus de conservation approfondis. Pour la première fois depuis plus de dix ans, l’œuvre peut être exposée. Puberté a inspiré la sélection d'œuvres qui sont exposées dans les cinq salles du musée cet été.
L’exposition apporte une interprétation et une réflexion sur le motif de Puberté à travers une sélection d’œuvres de Munch, organisées de manière thématique dans les cinq salles du musée. Une des salles d’exposition s’inspire par exemple de l’angoisse qui est perceptible dans le tableau. Les célèbres motifs de Munch comme le Cri et Angoisse y sont notamment exposés. Une autre salle est consacrée à l’aspect érotique du tableau, avec de nombreuses variations autour d’un thème cher à Munch, les rapports entre l’homme et la femme.
Au total, quatre-vingt œuvres des collections du musée Munch sont exposées, avec des tableaux, des œuvres graphiques et des dessins.
Pablo Picasso et Françoise Gilot, peintre et muse
25 mai-7 octobre 2012
Compagne de Picasso depuis 1943 et mère de ses deux enfants, Claude et Paloma, Françoise Gilot est une spectatrice assidue des corridas aux côtés de l’artiste dans les arènes de Nîmes et d’Arles. Par son témoignage recueilli en entretiens filmés, elle apporte de précieux éclairages sur cette période. Elle est présente dans l’œuvre de Picasso dans des scènes d’intimité familiale et des portraits, ou photographiée à ses côtés dans l’atelier qu’il occupe un temps à Antibes.
A travers dessins, céramiques, gravures de Picasso et des photographies (Robert Capa, Pierre Sima, Robert Doisneau, Denise Colomb), l’exposition approfondit ainsi leurs relations, jusqu’à leur séparation où elle ouvrit, superbe, à cheval, le paseo d’un festival taurin organisé en août 1954 à Vallauris.
Peintre elle-même, Françoise Gilot n’a jamais sacrifié son travail artistique. Ce cheminement, elle le poursuit, à 90 ans, avec constance et sérénité. La sélection de peintures et dessins, présentés au Musée du Vieux Nîmes, offre ainsi un regard sur le travail d’une artiste qui a su faire le lien dans les années 50 entre l’Ecole de Paris, à laquelle elle s’apparente et la scène artistique new yorkaise.
Cet hommage nîmois à Françoise Gilot s’inscrit plus largement dans ceux qui lui sont rendus au cours de l’année 2012, pour célébrer ses quatre-vingt dix ans, et en particulier celui de la galerie Gagosian à New York à partir du mois d’avril sous le titre Pablo et Françoise.
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Découvrez, grâce à ce hors-série, l'histoire de cette collection où l'on croise aussi bien Pablo Picasso, Ernst Ludwig Kirchner, que Mark Rothko, Willem de Kooning, Gerhard Richter ou Georg Baselitz...
Donner à voir une année de création, tel est l’ambitieux projet de l’exposition « 1917 », présentée au Centre Pompidou-Metz. Une année de création en temps de guerre, qui plus est. Alors que ce premier conflit mondial s’éternise et s’enlise, que des dizaines de milliers d’hommes meurent des deux côtés du front, qu’en est-il de l’art, de la littérature ou du cinéma ? Réponse en près de 800 œuvres et documents que réunit leur date commune : 1917.
http://www.dossier-art.com/numero-16/1917.3600.php
Expo au Centre Pompidou Metz jusqu'au 24 septembre
Cette exposition consacrée à Eugène Isabey présente l'exploration inédite des paysages normands et bretons par un artiste dont la palette et la virtuosité font regarder autrement le spectacle de la nature.
Aile Sully, 2e étage, salles 20-23, jusqu'au 17 Septembre 2012
http://www.louvre.fr/expositions
Une exposition du Musée des Beaux-arts et d'archéologie de Valence en partenariat avec lux Scène nationale et la médiathèque, à l’occasion de « Rousseau 2012 en Rhône-Alpes ».
- entrée libre -
Cet ensemble fait partie des grandes décorations que Maurice Denis a réalisées pour des particuliers. Le commanditaire, Gabriel Thomas (1854-1932), fait construire en 1895, sur le coteau de Bellevue à Meudon, une vaste demeure en briques roses, de style Louis XIII, qu’il baptisera « Les Capucins ». Lorsque Maurice Denis propose à Gabriel Thomas de réaliser le décor de sa salle à manger, ce dernier lui suggère de s’inspirer de la nature environnante, des vergers et des fleurs que l’on trouve alors à Meudon.
Le décor se compose d’une suite d’images ravissantes et paisibles qui représentent des femmes au bain, à la fontaine, au jardin, réunies pour la musique ou la conversation. L’impression de douceur est paradoxalement obtenue par la juxtaposition de teintes vives avec des tons pastel et du blanc. Déposées en touches fragmentées, parfois pointillistes, elles harmonisent l’ensemble dans une atmosphère de « rêve blanc ». Les panneaux de L’Éternel Printemps mêlent si étroitement le profane et le religieux que le jardin terrestre idéal se transforme en Éden et la femme, en Madone.
http://www.musee-mauricedenis.fr/maurice-denis/quelques-oeuvres/article/l-eternel-printemps
du 28 juin 2012 au 2 septembre 2012 François-Mitterrand / Galerie François Ier
Dans le cadre des Estivales, la Bibliothèque nationale de France présente plus de 500 dessins originaux de Georges Wolinski choisis parmi sa collection entrée récemment à la BnF, grâce à un don généreux de l’auteur. Georges Wolinski a dessiné pour plus de 40 journaux, produit une centaine d’albums, réalisé publicités et affiches, pièces de théâtre, films, et sketchs télévisés. Rien n’aura échappé au regard et à l’ouïe de cet observateur amusé, marqué par une forte empreinte surréaliste et totalement décomplexé.
Le débat autour de la restauration de "La Vierge et l’enfant avec Sainte Anne " de Léonard de Vinci a redémarré avec les déclarations d’experts français affirmant que le Louvre est allé trop loin dans le nettoyage de ce chef-d’œuvre, actuellement exposé au Louvre.
Jusqu’à présent, les tenants d’une restauration plus modérée ne s’étaient pas exprimés sur le résultat final. Mais une spécialiste de la restauration des œuvres d’art, Ségolène Bergeon Langle, a estimé dans Le Journal des Arts du vendredi 27 avril 2012 que « le principe de précaution » n’avait pas été respecté et que le « nettoyage aurait dû aller moins loin » , arguant qu’« il y a moins de modelé dans le visage de la Vierge ». Contrairement à elle, Jacques Franck, n’a pas démissionné du comité scientifique international constitué par le Louvre autour de la « Sainte Anne » , mais il regrette l’allègement des vernis « plus prononcé que prévu ».
Cette restauration a été menée par une restauratrice d’origine italienne, Cinzia Pasquali, assistée du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Vincent Pomarède, directeur du département des peintures du Louvre, assure avoir mené une restauration « prudente » et mis « le pied sur le frein » pour tempérer les ardeurs de membres anglais ou italiens de la commission. De son côté, l’association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (Aripa) estime que les micro-soulèvements de la couche picturale n’étaient pas liés à la dégradation des vernis, comme l’avançait le C2EMF, mais à des « mouvements du bois ».
Du 16 juin 2012 au 19 août 2012
Après le succès de l'exposition sur le peintre Foujita, la Grande Halle de Chamerolles, accueillera l'exposition « Femmes artistes : passions, muses et modèles ». De Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun à Niki de Saint Phalle, elle retrace à travers 150 oeuvres le destin d'une cinquantaine de femmes artistes nées ou ayant vécu dans l'entourage professionnel, intellectuel et familial d'autres génies de leur époque, du XVIIIème au XXème siècle.
http://www.tourismeloiret.com/fr/0/0/1/135/actualites/d/0/femmes-artistes-passions-muses-et-modeles
Archives municipales de Saint-Étienne
Depuis plusieurs années, le groupe « Mémoire » de la maison de quartier du Soleil engrange des témoignages, des archives, des photographies sur l’histoire du quartier. Cela a donné lieu à des expositions et à des soirées-diaporamas qui ont rencontré un vif succès. Souhaitant approfondir la connaissance de l’histoire du quartier et exploiter le fruit de leurs recherches dans un ouvrage, les membres du groupe « Mémoire » ont franchi les portes des archives municipales de Saint-Étienne en 2008. Rapidement, un partenariat a été établi entre la maison de quartier et les archives, en y associant l’unité « Ville d’Art et d’Histoire » de la ville de Saint-Étienne, chargée de la publication d’un volume de la collection Trames urbaines sur le quartier du Soleil.
Présentée à l’hôtel de ville pour les Journées européennes du Patrimoine et à la Maison de quartier fin 2010, l’exposition s’exporte cours Fauriel, où elle est agrémentée de documents originaux ; ceci est l’occasion notamment de montrer quelques plans et affiches de l’ancienne commune d’Outrefuran dont faisait partie le Soleil jusqu’en 1855 et des affiches du XXe siècle.
Sont également présentés des objets émanant des collections particulières des habitants du quartier.
Contact
Archives municipales
164 cours Fauriel – 42100 Saint-Etienne
tél : 04-77-34-40-41
Site
Courriel
Mots clés : impressionisme, peinture, Petit Palais, Jean-Louis Forain
Par Ariane BavelierSur la montagne Sainte-Geneviève à Paris, visitez le Panthéon (1764-1790), chef d'œuvre de l'architecte Soufflot. Découvrez les grandes personnalités inhumées dans la crypte, qui dessinent le visage de notre identité nationale. De la colonnade extérieure du dôme, profitez d'un large panorama sur la capitale
Par Eric Bietry-Rivierre
10/03/2011 | Mise à jour : 11:47 Réagir
D' Annibal Carrache à Nicolas Poussin et Claude Gellée, dit le Lorrain, c'est à Rome, dans la première moitié du Grand Siècle, que les codes classiques d'une nature idéale se fixent. Unité de temps, de lieu et d'action: voici donc le paysage en majesté au Grand Palais. Prétendre qu'on assiste à sa naissance serait faux. On possède des représentations panoramiques dès l'Antiquité. Dire qu'il s'agit d'une gestation avant l'apogée du plein air l'est tout autant. Mais c'est certainement dans la Ville éternelle, dans ce foyer alors exceptionnel d'artistes venus de toute l'Europe, que l'attention portée aux campagnes, aux villes et aux rivages atteint celle que l'on porte aux scènes bibliques, mythologiques ou historiques. Même s'il est encore loin d'être réaliste ou totalement dénué d'anecdote, le paysage n'est plus le genre mineur qu'il avait été jusqu'alors. On le voit souvent jouer le premier rôle dans les compositions les plus importantes.
Since antiquity, gemstones (also known as hard or semiprecious stones) have been cut and polished for use in jewelry, in the creation of vases and cups, and in the decoration of palaces. Rediscovered and developed in sixteenth-century Florence, pietra dura (hard stone) objects were collected and sometimes used as political propaganda among the Medici. A sign of wealth, taste, and power, they were also offered as diplomatic gifts or acquired by foreign sovereigns. In the following centuries, they not only aroused admiration at major European courts but also prompted artists to work with gemstones. In eighteenth-century Saxony (part of Germany), the technique was revived again by Johann Christian Neuber (1736–1808), one of Dresden's most famous goldsmiths.
Neuber specialized in creating small gold boxes decorated with local stone, such as agate, jasper, and carnelian, fashioning enchanting landscapes, elaborate floral designs, and complex geometric patterns with tiny pieces of cut and polished stones set in gold-framed cells, a technique known as Zellenmosaik (cell mosaic). Responding to the increasing interest of the European elite in the natural sciences, Neuber created the Steinkabinettabatiere (stone cabinet snuffbox), made of dozens of samples of local gemstones, each numbered on its gold rim and described in an accompanying booklet. Often incorporating Meissen porcelain plaques, cameos, and miniatures, these unique objects reflect the Saxon court's interest in both luxury items and the natural sciences.
The Frick Collection presents the first comprehensive introduction to Neuber's oeuvre, including important diplomatic gifts and approximately thirty-five snuffboxes, bonbonnières (candy boxes), and fashionable
accessories. These objects were appreciated not only at the Saxon court but also throughout Europe. Offered as refined gifts, they were also
acquired to attest to the wealth and good taste of their owners. Snuffboxes were especially fashionable: more than containers for tobacco powder, they were elegant accessories of a highly sophisticated society. Carried in hand or taken from a pocket, the delicate box would immediately arouse admiration.
The exhibition is co-organized by the Grünes Gewölbe of the Staatliche Kunstsammlungen Dresden, Galerie J. Kugel, Paris, and The Frick Collection. Support for the presentation in New York is generously provided by Walter and Vera Eberstadt, Aso O. Tavitian, Margot and Jerry Bogert, and an anonymous donor.
Exposition organisée par la FONDATION PIERRE GIANADDA et le CENTRE POMPIDOU - Paris
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2 mars au 24 juin 2012
tous les jours de 10 h à 18 h |
Parmi les genres picturaux issus de l’Académie, le portrait, dont on pouvait penser qu’il serait rétif aux diverses révolutions esthétiques, modernistes notamment, a produit la plupart des icônes de l’art du XXe siècle. On ne fait pas un portrait impunément sans que surgissent d’emblée des présupposés philosophiques, religieux, mythiques ou métaphysiques.
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