Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Voyage du 14 au 19 février,Paris, 2: Casanova, la passion de la liberté(je lui ai présenté Cannelle, clin d'oeil à Francine)
Photo perso du 15 février
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Photo perso du 15 février
Raoul et Jean Dufy Complicité et rupture 14 avril — 26 juin 2011 |
|
Le musée Marmottan Monet organise pour la première fois en France une exposition consacrée à Raoul (1877-1953) et Jean (1888-1964) Dufy. Regroupant une centaine de peintures, d’aquarelles et de céramiques provenant de musées et de collections particulières du monde entier, l’exposition cherche à mettre en évidence les liens qui unissent l’oeuvre de Jean à celle de Raoul comme ce qui les singularise l’une de l’autre. Esquissant en préambule les périodes fauve et cubiste de Raoul, le parcours présente ensuite des grands thèmes communs aux deux frères et propose de comparer leur peinture : mer, fenêtres ouvertes et ateliers constituent la première partie du parcours ; puis les thèmes se singularisentà travers deux sections parallèles : à la palette chaude et à la touche vibrante des cirques peints par Jean répond la musique évoquée par Raoul ; aux courses et paddocks de Raoul font ensuite face les allées cavalières de Jean ; Commissariat |
http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/
À la Pinacothèque de Paris, du 16 septembre 2011 au 08 janvier 2012
La Pinacothèque de Paris présente du 16 septembre 2011 au 8 janvier 2012 une lecture inédite de l'œuvre du sculpteur Alberto Giacometti. L'exposition événement de la rentrée, intitulée Giacometti et les Étrusques, est attendue à Paris par les spécialistes et les amateurs de l'artiste depuis plus de cinquante ans.
L'intérêt de Giacometti pour la figure primitive se retrouve très tôt dans son œuvre, mais l'art étrusque en particulier va provoquer chez l'artiste un bouleversement considérable. Il découvre cette civilisation brillante au département d'archéologie du Louvre et surtout au cours de l'exposition sur l'Art et la civilisation des Etrusques de 1955 à Paris.
Ce peuple étrange et mystérieux, créa une forme d'art exceptionnel en qualité, en richesse et en beauté, composée principalement de sarcophages sculptés et de figures guerrières puissantes. Les étrusques développèrent également une forme de figure sculptée longiligne. Le choc fut tel pour Giacometti qu'il souhaita aller plus loin dans la compréhension de ce peuple et de son art. Cette révélation constitue l'une des clés essentielles à la compréhension de sa forme de création la plus connue et la plus forte : la représentation de longues figures verticales, émaciées à l'extrême.
L'artiste se rendit en Toscane afin d'approfondir ses recherches sur cette civilisation antique. C'est à Volterra, cité de l'Étrurie, qu'il découvre l'œuvre sculptée emblématique du monde étrusque, l'Ombre du soir. Les figures célèbres de Giacometti, des séries de Femme de Venise à celles des Homme qui marche, ne peuvent se concevoir sans référence à cette sculpture longiligne et puissante.
La Pinacothèque de Paris présente ce rapprochement exceptionnel. L'Ombre du soir est accompagnée de plus de cent cinquante objets étrusques exposés avec une trentaine de sculptures de Giacometti.
L'exposition Expressionismus & Expressionismi en partenariat avec : Métrobus, La Fnac, Paris Match, BFMTV, France Info
« L'une des plus célèbres découvertes de l'archéologie précolombienne du XXe siècle est certainement celle des masques funéraires en mosaïque de jade, dont le plus connu est celui du souverain Pakal, mis au jour en 1952. La Pinacothèque de Paris présente jusqu'au 10 juin, en partenariat avec France Info, 12 masques originaux restaurés et une reproduction du masque de Pakal, ils sortent pour la première fois du Mexique. »
Lire l'article de Claire Baudéan et écouter l'émission« Les Mayas ont donc utilisé le jade pour les masques représentant les dieux mais aussi ceux des dignitaires, placés dans leur tombeau, accompagnés de leurs bijoux et des accessoires jugés importants pour leur passage dans l'au-delà, comme des vases contenant du maïs et du cacao. Car "le jour le plus important de la vie était le jour de mort", auquel le dignitaire était "préparé toute sa vie". »
Lire l'article« La Pinacothèque de Paris présente du 26 janvier au 10 juin 2012 une exposition consacrée à la civilisation Maya. L'occasion de découvrir une douzaine de très précieux masques en mosaïque de jade, des joyaux exceptionnels, qui ont été entièrement restaurés. »
Lire l'article de Marie Pujolas et voir la vidéo« Cette année, la Pinacothèque exposera donc pour la première fois en France des masques des cérémonies funéraires mayas en jade comme élément central des rites d’inhumation des gouvernants de cette fascinante civilisation méso-américaine. »
Lire l'article de Aline Timbert« Le Mexique a retrouvé au total 35 masques funéraires de jade, en différents sites, et en a restauré pour le moment 14, selon Sofia Martinez del Campo Lanz, commissaire mexicaine de l'exposition. »
Lire l'article« Avant cette potentielle fin du monde (annoncée pour le solstice d’hiver), nous aurons au moins eu droit à l’exposition sur les masques de jade mayas dont les tensions franco-mexicaines nous avaient frustrés l’an dernier. »
Lire l'article« Sept tombes de dirigeants mayas sont reconstituées et les masques sont présentés avec le reste du trousseau funéraire qui comprend colliers, boucles d'oreilles, pectoral, bracelets, céramique et autres offrandes. »
Lire l'article« Il s’agit là d’une incroyable découverte archéologique faite au Mexique au cours de la dernière décennie. Ces masques exceptionnels, entièrement restaurés par les spécialistes de l’archéologie maya les plus éminents, sont des représentations de divinités. Ils furent créés pour les plus hauts dignitaires et gouverneurs des cités mayas enfouies, et leur mission première étaient tout simplement de leur assurer... une vie éternelle. »
Lire l'article d'André Balbo« La Pinacothèque de Paris expose pour la première fois les Masques de Jade Mayas du 26 janvier au 10 juin 2012 : fabriqués il y a plus de 2000 ans pour certains et restaurés il y a peu, ces masques constituent une découverte archéologique majeure. Après l'exposition L'or des Incas, la Pinacothèque nous offre la chance d'admirer les vestiges d'une civilisation, considérée comme l'une des plus brillante dans les domaines scientifiques ! »
Lire l'articleÀ la Pinacothèque de Paris, du 26 janvier 2012 au 10 juin 2012
La Pinacothèque de Paris poursuit son exploration des cultures précolombiennes et mésoaméricaines. Après le succès de l’exposition L’Or des Incas : origines et mystères, la Pinacothèque de Paris présente la découverte archéologique la plus importante de la dernière décennie au Mexique : les masques en mosaïque de jade.
Ces masques exceptionnels, entièrement restaurés par les plus éminents spécialistes en archéologie maya, représentent les visages de la divinité. Créés pour les gouverneurs les plus prestigieux des cités perdues mayas, ils avaient pour mission d’assurer la vie éternelle à ces hauts dignitaires après leur mort.
On a découvert à ce jour une quinzaine de masques qui sont présentés pour la plupart à la Pinacothèque de Paris. Cet ensemble rarissime, que le Mexique accepte exceptionnellement de porter hors de ses frontières, sera exposé aux côtés d’une centaine d’œuvres qui quittent le pays pour la première fois. La Pinacothèque propose ainsi une véritable plongée dans la cosmogonie sophistiquée et mystérieuse de cette culture millénaire.
Les masques de jade exposés ont été retrouvés dans les sépultures des élites mayas. Une partie des masques funéraires représente les visages individualisés des dirigeants mayas. C’est le cas de l’extraordinaire masque du roi Pakal qui fige pour l’éternité les traits du souverain. La lecture des œuvres est enrichie par une fructueuse mise en contexte : les masques sont en effet présentés avec le reste du trousseau funéraire qui comprend colliers, boucles d’oreilles, bracelets, céramiques et autres offrandes. C’est la première fois, depuis leur exhumation et leur dispersion dans différents musées, que ces œuvres sont rassemblées. Sept tombes de dirigeants mayas sont ainsi reconstituées.
Une autre partie des masques exposés représente les divinités du panthéon maya qui, à l’instar des ancêtres mythiques incas, combinent des traits humains, animaux et végétaux. Portés par l’élite maya durant les cérémonies rituelles, les masques lui permettaient d’endosser le visage de la divinité et d’accomplir ainsi son rôle d’intermédiaire entre les sphères terrestre et céleste.
L'exposition Les Masques de jade en partenariat avec : Instituto Nacional de Antropologia e Historia, Conaculta, Institut Français, Métrobus, La Fnac, BFMTV, France Info
la Pinacothèque de Paris, du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012
La Pinacothèque de Paris présentera du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012 une étude inédite de l'Expressionnisme allemand. Ce mouvement pictural sera envisagé à travers la confrontation de ses deux courants fondateurs, Der Blaue Reiter et Brücke.
Le titre Expressionismus & Expressionismi fait référence à l'importante exposition sur le Futurisme, intitulée Futurismo & Futurismi, qui a eu lieu à Venise en 1986. Ce néologisme permettait de montrer la diversité des mouvements constituant le Futurisme italien. De la même façon, Expressionismus & Expressionismi illustre la diversité des origines de l'Expressionnisme allemand, qui, souvent perçu comme monolithique est pourtant composé de deux approches diamétralement opposées.
Musée de l'Orangerie
Paris, musée national de l'Orangerie
Paris, Hôtel de Ville, salle Saint-Jean
Considéré comme l'un des artistes les plus emblématiques du génie finlandais au tournant des XIXe et XXe siècle, Akseli Gallen-Kallela n'a jamais fait l'objet d'une exposition monographique en France. Ses liens avec Paris sont cependant étroits. Il fut élève de l'Académie Julian dans les années 1880, triompha à l'Exposition universelle de 1900 avec les fresques du pavillon finlandais sur des thèmes tirés de l'épopée du Kalevala, exposa de nouveau à Paris en 1908 avant de s'embarquer pour l'Afrique d'où il ramena une série flamboyante de peintures et aquarelles.
du 9 Février 2011 au 23 Mai 2011
Commissaire : Guido Messling
Pour marquer l’ouverture sur l’Europe de la partie de sa programmation dédiée à la Renaissance, le musée du Luxembourg rouvre ses portes avec une exposition consacrée à Lucas Cranach (vers 1472-1553), l’un des artistes majeurs de la Renaissance germanique. Ce peintre fécond et polyvalent, dont la carrière couvre toute la première moitié du XVIe siè ...
TARIFS :
Plein Tarif : 11,00 euros
Tarif Réduit : 7,50 euros
Billet famille (2 adultes/2 jeunes) : 29,50€
Téléchargez les conditions tarifaires de l’exposition
COMMISSARIAT GENERAL :
Giovanni C. F Villa, professeur en histoire de l’art à l’Université de Bergame, spécialiste de la peinture vénitienne de la Renaissance
PRESENTATION DE L’EXPOSITION :
Aux côtés de Giovanni Bellini et de Vittore Carpaccio, Giovanni Battista Cima da Conegliano (1459-1517) compte parmi les grands peintres qui travaillent à Venise à la fin du XVe et au début du XVIe siècle, à l’époque où la ville devient un des pôles les plus brillants de la Renaissance italienne.
À Venise, Cima s’impose très vite comme le maître des grands retables en explorant des effets de composition inédits, où se mêlent de manière originale nature et architecture. Il introduit des asymétries et des échappées insolites, ménage des ouvertures surprenantes, comme dans la Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André (Parme, Galleria Nazionale). Partout apparaît son amour des vastes étendues, exaltées par la lumière, encadrées de montagnes et de collines, qui évoquent les reliefs caractéristiques de sa région natale. A la peinture de paysage, il donne un souffle nouveau. Nul autre avant Cima, n’a su rendre l’atmosphère argentée et légère de la Vénétie avec cette poésie qui n’appartient qu’à lui.
La vie de Giovanni Battista Cima est celle d’un jeune homme sorti du lot, porté par son talent à faire une carrière remarquable. En effet, rien dans ses origines ne le prédestine à réussir à Venise en tant qu’artiste. Il n’y est même pas né, mais a grandi dans l’arrière-pays, dans une bourgade nommée Conegliano, située au pied du massif montagneux des Dolomites. De plus, son père travaille dans le textile (le nom « Cima » vient d’ailleurs du métier de cimatore exercé par son père). C’est donc un destin hors du commun que celui de ce provincial qui parvient à s’imposer comme un maître réputé, et cela en dépit de la concurrence qui fait rage à Venise où des dynasties de peintres, comme celles des Bellini ou des Vivarini, sont déjà fort bien implantées. Dans les années 1490, il est reconnu à Venise comme le peintre d’art sacré par excellence. Dans ce domaine, le doge lui-même le considère meilleur que Bellini ou que Carpaccio.
Cette ascension sociale, Cima la doit d’abord à une forme de perfection, fondée sur la minutie de son dessin, sa maîtrise de la peinture à l’huile (une technique alors relativement nouvelle dans l’histoire de la peinture vénitienne), l’étendue de sa palette aux couleurs lumineuses. Ce métier virtuose lui permet d’atteindre un haut niveau de précision dans la représentation des détails : la ciselure d’un bijou, la texture chatoyante d’une draperie, les boucles cuivrées d’une chevelure. Le soin fascinant avec lequel il décrit les visages, les expressions et les regards, souvent mélancoliques, lui permet de conférer à ses peintures une profonde humanité, perceptible notamment dans ses nombreuses Vierges à l’Enfant, comme celle conservée aux Offices de Florence.
La réussite de Cima réside aussi dans sa réceptivité aux idées nouvelles et dans son extraordinaire capacité d’assimilation. Dans le sillage d’Antonello de Messine et de Giovanni Bellini, notamment, il forge d’abord ses premières armes. Il ne tarde pas à proposer à son tour de nouveaux modèles auxquels Bellini lui-même ne sera pas insensible. De passage à Venise, Albrecht Dürer, attiré par la renommée de Cima, lui rend visite et est frappé par ses œuvres. Son influence est aussi déterminante pour les maîtres de la génération suivante, Lorenzo Lotto, Sebastiano del Piombo, Titien, qui tous sauront retenir les leçons de sa peinture et y puiser des idées pour leurs propres compositions. Au sommet de sa carrière, Cima sait encore reconnaître les avancées d’un peintre plus jeune, Giorgione, et modifier sa manière de peindre, en optant pour une touche plus vibrante et suggestive dont le Saint Jérôme au désert des Offices est un des plus beaux exemples. Ainsi, autour de Cima, ce sont plusieurs générations d’artistes qui ne cessent de dialoguer entre elles.
L’exposition Cima maître de la Renaissance vénitienne réunit des œuvres exceptionnelles, dont de grands tableaux d’autel, qui pour la première fois sont présentés hors de l’Italie. Elle permet de découvrir ainsi l’œuvre d’un artiste en phase avec son temps et de porter un nouveau regard sur la prestigieuse histoire de Venise.
L’exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais en collaboration avec Artematica.
(Visuel : Cima da Conegliano, Saint Sébastien, 1500-1502 © Musée des Beaux-Arts de Strasbourg, photo M. Bertola)
http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-10/
De l'Europre du Nord aux rives de la Méditerranée
Un accrochage renouvelé et une présentation inédite de carnets de dessins permettent de découvrir les pérégrinations de Henner (1829-1905), son regard sur les grands maîtres et le goût pour l'orientalisme de Guillaume Dubufe (1853-1909)...
Deux ans après sa réouverture, le Musée national Jean-Jacques Henner renouvelle profondément la présentation de ses collections permanentes et propose une exposition qui met en lumière la place du paysage dans l'œuvre de Henner (1829-1905). Plus de 90 peintures et dessins, sorties spécialement des réserves et restaurées, retracent l'itinéraire artistique du peintre et permettent de saisir de la singularité de sa démarche.
Alors qu'une partie des artistes de la deuxième moitié du XIX° siècle s'efforcent de témoigner de leur temps et de leur environnement en empruntant leurs sujets dans la vie quotidienne et en utilisant des techniques novatrices, dites impressionnistes, Henner construit, au contraire, un univers pictural qui lui est propre où la réalité observée se transforme en vision onirique. Dès 1864, après cinq années passées comme pensionnaire à la Villa Médicis à Rome, il abandonne ainsi la peinture « d'après nature » pour s'attacher à recréer dans son atelier un paysage idéal en s'inspirant des maîtres anciens, poètes ou peintres. Nus bucoliques, nus idylliques, nymphes et autres naïades peuplent un paysage rêvé, celui de son Alsace perdue.
Le "petit journal" de l'exposition : à télécharger
Découvrez quelques images de l'exposition :
http://www.flickr.com/photos/hennerintime/sets/72157628343329301/
Retrouvez l'exposition sur Facebook : https://www.facebook.com/events/283233748404675/
Autres actualitésLa mairie du VIIIème arrondissement et le musée Cernuschi ont souhaité placer l’automne 2007 sous le signe de la peinture chinoise à l’encre contemporaine. En parallèle avec l’exposition Chan Ky-Yut au musée Cernuschi, la mairie du VIIIème arrondissement présente trois peintres de Hangzhou : He Shuifa (1946-), Jiang Baolin (1942-) et Zeng Mi (1935-).
Ces peintres, qui appartiennent sensiblement à la même génération, ont également en commun un lieu d’activité qui est aussi une source d’inspiration : la ville de Hangzhou, à proximité de Shanghai, qui a su rester l’un des centres de création les plus stimulants de la Chine au fil de ses mutations. C’est sans doute l’un des lieux privilégiés pour appréhender l’évolution de la peinture chinoise…et c’est tout le mérite de Paul Rouillé, qui a collectionné ces oeuvres, d’avoir su s’y rendre pour nouer des contacts avec ces artistes dès le début des années 80. Les oeuvres de He Shuifa, Jiang Baolin et Zeng Mi, permettent d’entrevoir le mouvement de libre réappropriation des thèmes classiques de la peinture chinoise favorisé par l’ouverture qui a suivi les années de la révolution culturelle. Cette liberté vis-à-vis du sujet se manifeste également par un renouveau formel. Ainsi il est possible de lire en filigrane dans la peinture de He Shuifa l’héritage d’une forme de classicisme, tandis que Jiang Baolin se laisse entraîner vers une forme de simplification géométrique plus radicale. Chez Zeng Mi, le pinceau volontairement gauche est au service d’un regard aiguisé capable de saisir avec humour la poésie du quotidien.
http://cernuschi.paris.fr/fr/expositions/trois-peintres-de-hangzhou
L'École de Chaillot présente les travaux des ateliers sur sites réalisés par les élèves de 2e année du DSA «architecture et patrimoine».
À Saint-Léonard de Noblat, en Haute-Vienne, ils ont travaillé sur trois maisons emblématiques présentant un enjeu patrimonial à l'échelle de la ville et sur les moulins du pont de Noblat, leur périmètre d'influence et leur inscription dans le site.
Une cinquantaine de photographies et des documents d'époque retracent l'histoire des palais du Trocadéro (1878) et de Chaillot (1937) depuis les travaux de terrassement de la colline en 1866 jusqu'à aujourd'hui.
La mémoire des lieux se révèle dans sa plus grande diversité, à travers le temps et au gré des événements historiques qui s'y sont succédés.
Des portraits d'anonymes et de personnalités saisis par l'objectif se superposent aux vues architecturales.
Ces esprits des lieux sont les garants de la temporalité des images, photographies d'artistes renommés ou d'anonymes.
Sur les clichés, les palais se dévoilent sous des angles de vue insolites. Les paysages éphémères conçus lors des Expositions universelles, le site de Chaillot sous l'Occupation et lors de la Libération sont parmi les temps forts de l'exposition.
Exposition conçue et réalisée par la Cité de l'architecture & du patrimoine / musée des Monuments français en partenariat avec les Archives nationales
http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24115-esprits_des_lieux.html
" Je demande aux hommes d'être des promeneurs"
http://www.fondationsaintjohnperse.fr/html/2012_01_20_Guerre_photos_vernissage.htm
Expo vue le 27 janvier 2011
cf. aussi:
Expositions au Centre |
< Toute la liste |
9 novembre 2011 - 30 juillet 2012
|
|
|
Paris, Musée de l’Orangerie, du 7 octobre 1011 au 9 janvier 2012.
1. Santiago Rusinol (1861-1931)
La Cour des orangers dit aussi Jardins arabes à Grenade, 1904
Huile sur toile - 86,5 x 107 cm
Castres, Musée Goya
Photo : Castres, Musée Goya cliché P. Bru
Si le Siècle d’or de la peinture espagnole est accroché aux cimaises de nos plus grands musées, l’histoire de l’art hispanique entre Goya et Picasso apparaît souvent comme un océan mystérieux duquel émergent quelques îles, elles-mêmes peu connues du grand public, avec pour nom Zuloaga ou Sorolla y Bastida. Il va de soi que cette image ne reflète pas la réalité mais bel et bien notre méconnaissance : au mépris ordinaire d’un certain XIXe siècle encore pratiqué par quelques cénacles retardataires, s’ajoutait jusqu’ici la distance géographique et historique d’une Espagne jugée lointaine comme vaguement marginale. La présentation au Musée de l’Orangerie, en collaboration avec la Fondation culturelle Mapfré, d’une soixantaine d’œuvres de l’art espagnol allant des années 1890 à 1920 fournit une excellente opportunité d’en découvrir ou redécouvrir la diversité et la richesse. On doit donc, avec une malice toute bienveillante, se féliciter, d’une certaine manière, qu’une brouille diplomatique de la France avec une ancienne colonie espagnole, le Mexique, ait repoussé à plus tard l’exposition consacrée à Diego Rivera et Frida Khalo initialement prévue à cette date. Le catalogue de l’exposition et le dossier de presse insistent sur une Espagne de la fin du XIXe siècle meurtrie d’avoir perdu Cuba ; voici une revanche amusante sur le Mexique ! Quelque admiration qu’on ait pour les muralistes, n’y a-t-il pas une justice à ce que l’art du XIXe siècle espagnol, si méconnu chez nous, devance ces grands noms de la peinture mexicaine souvent montrés ? Notre remarque en guise de clin d’œil a surtout pour but de féliciter l’équipe franco-espagnole qui a pu monter en un temps record cette présentation délectable.