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Des expositions - Page 32

  • Catégories : Des expositions, Redon Odilon

    Odilon Redon, Prince de rêve

     

    Expo

    Peinture

    Du 23/03/2011 au 20/06/2011Redécouvrez l’œuvre de l’un des plus grands génies de l’art moderne : de l’époque angoissée des "Noirs" (fusains, lithographies) jusqu’à la profusion colorée des dernières œuvres, Odilon Redon a profondément marqué la génération symboliste. Retraçant l’évolution stylistique de l’artiste dans un parcours chronologique, l’exposition réunit plus de deux cents œuvres issues des grandes collections françaises et internationales.

    http://www.digitick.com/index-css4-rmn-pg5-rg235.html

  • Catégories : Des expositions

    L’ascension parisienne de Kees Van Dongen

    Timothée Jouan-Ligné 22 mai 2011 à 12:43


    Exposition – Retraçant le début de la carrière du peintre hollandais naturalisé français, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris offre une rétrospective inédite d’un artiste tombé en disgrâce, de ses premières années au sommet de sa gloire mondaine parisienne dans les années 1930. Un peintre génial et indépendant à découvrir.

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  • Nous aimons:C'était Manufrance, un siècle d'innovations 1885-1985

    Du samedi 14 mai 2011 au lundi 27 février 2012

    Le Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne présente à l'occasion du 10ème anniversaire de sa rénovation une exposition de référence consacrée à l'histoire de Manufrance .

    Un projet inédit

    Première mondiale, l'exposition consacrée à l'entreprise Manufrance, présentera tout un pan de l'histoire de la société à travers de nombreux objets, photographies et entretiens.

    Cette exposition a également pour ambition de dévoiler au grand public le caractère avant gardiste et innovant de la manufacture d'armes et cycles de Saint-Etienne.
    Pionnière dans de nombreux domaines (VPC, publicité, organisation scientifique du travail etc.), Manufrance est un pilier du patrimoine culturel et industriel français.

    Cette exposition s'appuiera sur le travail de plusieurs années de recherche de Mme Nadine Besse, conservateur en Chef du Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Etienne et véritable spécialiste de la manufacture. A partir d'un travail scientifique cette exposition tiendra à l'écart les nombreuses idées reçues sur l'entreprise et rendra compte de manière
    objective de 100 ans d'histoire.

    Depuis 1925, le Musée d'Art et de d'Industrie a collecté plus de 450 objets et accessoires de la manufacture : armes, cycles, machines à coudre, affiches publicitaires, photographies etc. ainsi que de nombreuses publications : tous les catalogues de vente par correspondance, tous les Chasseur français de 1885 à nos jours, de nombreux documents
    graphiques, les archives du bureau d'études et une partie des archives du service publicité.

    A cela, s'ajoutent 120 heures d'entretiens audio et l'équivalent filmé provenant des éléments utilisables de la mémoire Manufrance.
    Ce monument du patrimoine culturel stéphanois sera présenté au grand public à travers cette exposition incontournable pour tous ceux qui souhaitent comprendre ce qu'était vraiment l'entreprise Manufrance.

    L'exposition

    Sur plus de 700 m2, l'histoire de Manufrance sera retracée de ses début en 1885 à sa fin en 1985.

    A l'origine de l'entreprise, deux jeunes armuriers, Etienne Mimard et Pierre Blachon, fondateurs de la Manufacture Française d’Armes et Cycles de Saint-Etienne. Armes de chasse, cycles, accessoires et mobiliers simples, modernes, fiables et durables, tels étaient les produits diffusés sous les marques Idéal, Robust, Hirondelle, Omnia, dans les foyers français, l'empire colonial, et dans la majeure partie de l'Europe et de l'Afrique.

    Avant-gardiste, l'entreprise met en place pour la première fois en Europe en 1887, un système de vente directe par catalogue pour joindre les clients sans intermédiaire à leur domicile. Parallèlement, le mensuel Le chasseur français est fondé dès 1885.
    Avec précocité, la société adopte un système d'organisation scientifique de l'administration et de la production, préfigurant la taylorisation de l'industrie française.


    A partir du décès de Mimard en 1944, on ne relève pas de transformations importantes de ce système jusqu'à la fin de l'entreprise. C'est pourquoi la période 1885-1944 sera la partie de l'exposition la plus étoffée.

    L'« après Mimard » ne sera pas négligé pour autant car il offre l'opportunité d'exploiter des sources vivantes de la mémoire. 12 histoires de vie filmées par Marie-Ange Poyetpour le musée, restituant des portraits intimistes des personnels féminins de la manufacture de l'après-guerre à la fermeture de l'entreprise, seront ainsi accessibles.

    « Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat »

    Affiche de l'exposition Manufrance

    Visuel exposition Manufrance

    Préparation du Tarif-Album 1952. Montage photographique rehaussé à l'encre et à la gouache.

    http://www.saint-etienne.fr/index.php?module=cms&action=getContent&id_heading_object=2079

  • Nous avons aimé le 22 mai 2011:2011 - l’ANNÉE MANUFRANCE. Le catalogue d’expo « Manufrance » s’ouvre au musée d’art et d’industrie

     

     

    Une exposition d’une grande exhaustivité sur l’histoire de Manufrance. En médaillons : l’atelier de canonnerie en 1910 et la sortie de Manufrance  / P. Vacher et DR

    Une exposition d’une grande exhaustivité sur l’histoire de Manufrance. En médaillons : l’atelier de canonnerie en 1910 et la sortie de Manufrance / P. Vacher et DR

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    Nostalgique, vintage, passionnante, époustouflante ... La saga de Manufrance à Saint-Étienne démarre en 3D. Une œuvre collector et historique

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  • J'ai aimé hier:L'estampe au temps de l'impressionnisme

    Salles des pastels - 2e étage - Impressionnistes
    Jusqu'au 23 mai 2011

    Entre 1860 et la fin du XIXe siècle, nombreux sont les peintres qui, à l’instar des impressionnistes, expérimentent de façon novatrice les techniques traditionnelles de la gravure. Qu’il s’agisse d’eau-forte ou de lithographie, la liberté du trait, les effets de texture et le caractère d’inachèvement caractérisent généralement ces œuvres graphiques.

     
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    Edouard Manet, Lola de Valence, eau forte, 1862-63
     

    Le peintre Félix Bracquemond (1833-1868) est l’un des initiateurs de cet intérêt nouveau des peintres pour la gravure. Il est le fondateur en 1862 à Paris avec l’imprimeur Alphonse Cadart (1828-1875) de la Société des Aquafortistes, association qui expose et diffuse avec succès les eaux-fortes proposées en albums.   

    Les œuvres gravées d’Edouard Manet (1832-1883) sont bien représentées dans les collections du musée des Beaux-Arts. L’artiste contribue au renouvellement de la technique de l’eau-forte, en lien avec les thèmes de ses peintures. Il interprète parfois lui-même en gravure ses propres tableaux, comme Lola de Valence d’après le tableau de 1862, conservé au musée d’Orsay.
    Il exploite magistralement les possibilités de la lithographie : le visage de Berthe Morisot (1841-1895), amie du peintre souvent choisie comme modèle, y est saisi avec vivacité en quelques traits, loin d’une représentation photographique figée.

    A la suite des impressionnistes, les paysagistes cherchent à rendre les aspects changeants de la lumière suivant les variations atmosphériques liées aux études en  plein-air au fil des saisons. En gravure, leurs approches diffèrent suivant les sensibilités ou l’instant saisi : travail du trait en petites touches pour Soleil couchant dans le port d’Anvers de Johan Barthold Jongkind (1819-1891), fines zébrures du rendu de la pluie pour Les fiacres sous la pluie de Félix Buhot (1847-1898), et en lithographie, velouté de la chaleur d’été pour La Pêche du lyonnais Adolphe Appian (1818-1898).

     

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:Max Schoendorff, Accrochage

    Salles 200 - 2e étage - Art moderne
    Jusqu'au 3 mai 2011

    Le musée des Beaux-Arts possédait deux œuvres de Max Schoendorff dont l’une acquise dès 1970. Grâce à la générosité de plusieurs donateurs – André Dubois, Françoise Dupuy-Michaud, Jean-Paul Jungo, Gilbert Monin – la collection du XXe siècle s’est enrichie d’un ensemble de dessins, de peintures et de lithographies. À l’occasion de ces donations, le musée invite à redécouvrir les travaux de cet artiste.

     
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    Max Schoendorff, Florizel et Perdita, 1988 © Lyon, musée des Beaux-Arts
     

    Max Schoendorff, né à Lyon en 1934, est issu d’une famille de cristalliers lorrains. Son père lui fait découvrir la langue et la culture germaniques. Après des études littéraires qui le conduisent au professorat, il renonce à son poste d’enseignant pour assister un de ses amis, l’homme de théâtre Roger Planchon. Puis il abandonne l’écriture au profit de la peinture. Dorénavant, il expose régulièrement, à Lyon notamment, d’abord à la galerie Folklore-Marcel Michaud, puis, à partir de 1966, à la galerie Verrière.

    Au début des années 1960, c’est le théâtre qui l’accapare encore. Il est tour à tour décorateur, costumier, scénographe et metteur en scène. Dans les années 1970, il collabore, entre autres, avec le metteur en scène Jacques Rosner, travaille pour le T.N.P. de Villeurbanne, la Comédie-Française, les Opéras de Paris et de Lyon, ou encore le Schiller Theater de Berlin. Le cinéma est également une de ses passions : il est l’un des cofondateurs de la revue Premier Plan, du Congrès indépendant du cinéma international (C.I.C.I.), enfin décorateur pour Jean-Marie Straub et Danièle Huillet.

    Schoendorff appartient à une génération profondément marquée par l’imaginaire surréaliste. Les écrivains Antonin Artaud et Georges Bataille, les peintres Max Ernst, André Masson et Hans Bellmer ont enrichi sa recherche. Mais sa peinture semble également nourrie par des maîtres anciens comme Greco, Rubens, ou Grünewald.

     

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:Lyon et les arts de l'Islam

    Le Génie de l’Orient, Lyon et les arts de l’Islam

    Parcours de l’exposition-dossier
    2 avril - 19 septembre


    Au XIXe siècle, Lyon joue un rôle particulier dans la découverte des arts de l’Islam. Dans cette ville prospère engagée dans le développement industriel et bancaire, les grands bourgeois aiment à s’entourer d’objets précieux. À partir des années 1860, certains de ces collectionneurs se passionnent pour les objets de l’Espagne musulmane, du Maghreb, d’égypte, de Turquie ou encore du Proche et Moyen-Orient.
    Sur le modèle des grands musées européens et sous l’influence de ces amateurs éclairés, les musées lyonnais constituent peu à peu des collections « d’art oriental » et de grandes expositions sont organisées, dans le but explicite de renouveler le regard des artisans et de favoriser ainsi la création artistique. Sous l’influence de cette vogue « orientalisante », la « mauresque » et « l’arabesque » comptent bientôt parmi les ornements privilégiés de la soierie lyonnaise.
    C’est cet engouement lyonnais pour les arts de l’Islam que cette exposition propose de découvrir.
    TARIFS

     

    Exposition : 10€ / 6€ / Gratuit
    Le billet de l'exposition donne accès à l'exposition dossier Lyon et les arts de l'Islam (2e étage salle d'expo-dossier) et aux collections permanentes.
    Carte musées : 20€ carte valable un an dans six musées de la ville.
    L'audioguide de l'exposition est inclus dans le prix du billet.
    Visites commentées : 3€/ Gratuit

    HORAIRES
    Musée et exposition ouverts tous les jours, sauf mardi et jours fériés, de 10h à 18h, vendredi de 10h30 à 18h.

     


    NOCTURNE dans l'exposition
    Vendredi 6 mai de 18h à 22h : 5€/ Gratuit
    Sans réservation. Programmation détaillée
    Café-restaurant ouvert jusqu'à 23h.

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:"Le génie de l'Orient"

    216254_139530752786292_100001881054048_261797_1662057_n.jpgl’Europe moderne et les arts de l’Islam.

    2 avril - 4 juillet 2011

     


     

    Au cours du XIXe siècle, l’Europe découvre un nouvel univers visuel, celui des arts de l’Islam.

    Le marché de l’art et les collections privées contribuent à forger un nouveau regard et un nouveau savoir à  travers les voyages et les expéditions, le développement de la photographie, les publications, les expositions.
    À l’occasion de voyages, nombre de collectionneurs constituent des ensembles d’œuvres souvent spectaculaires qui témoignent de l’émerveillement de l’Occident pour l’Orient. L’exposition suggère que nous demeurons aujourd’hui les héritiers de ces nouveaux codes visuels.

    La découverte des arts de l’Islam donne naissance à deux révélations :
    - l’une, diffusée surtout par la peinture, s’inspire des décors des palais et harems pour une vision fantasmée de la fable orientaliste ;
    - l’autre est portée par les théoriciens de l’ornement et certains artistes d’avant-garde. Ils recherchent dans l’art de l’islam une nouvelle esthétique qui pourrait transformer les codes de représentation occidentale. Tapis et tissus, céramiques, métaux, marqueteries de bois ou encore d’ivoire introduisent un nouveau répertoire de formes, de motifs et de techniques.

    L’exposition illustre ces deux visions à travers différents parcours individuels ou collectifs : Pionniers, voyageurs, photographes ou collectionneurs sont fascinés par l’originalité de cette nouvelle culture visuelle alors même que l’histoire de la représentation est en crise.

    Le parcours s’achève avec l’évocation d’un moment d’espoir utopique : celui où des artistes, comme Henri Matisse ou Paul Klee, ont rêvé, peu avant la Première Guerre mondiale, d’une fusion entre regard « occidental » et regard « oriental ».

     
    Commissariat de l'exposition
    Salima Hellal, conservateur du patrimoine, chargée des collections d'objets d'art, musée des Beaux-Arts de Lyon,
    Rémi Labrusse, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université de Paris X Nanterre.
    Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/ Direction générale des patrimoines/ Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.

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  • J'ai aimé hier:D'après Michel-Ange

    216254_139530752786292_100001881054048_261797_1662057_n.jpg

    D’après Michel-Ange
    Graveurs et copistes de la Renaissance au XIXe siècle

    Giorgio Ghisi, Jérémie, détail, vers 1549, burin

    Giorgio Ghisi, Jérémie, détail, vers 1549, burin

    Michel-Ange est un nom retentissant de notre culture, un artiste légendaire qui attire aujourd’hui les foules et transite, par le biais des images de ses créations, dans l’univers de la publicité et des médias.
    Mais pour Michelangelo Buonarroti (1475-1564), la renommée ne se fait pas attendre : deux biographes, Vasari et Condivi, exaltent son talent au milieu du XVIe siècle, alors que ses réalisations suscitent déjà une floraison de commentaires et de reproductions sous différentes formes. Cette production considérable de copies, réalisées d’après les compositions du maître, est très représentée dans les collections de la Bibliothèque municipale de Lyon. Elle permet de retracer l’évolution même du phénomène Michel-Ange et le rayonnement de son style, grâce à la circulation d’estampes qui diffusent un peu partout ses pièces maîtresses, avant la généralisation des procédés photographiques.
    L’exposition D’après Michel-Ange introduit ainsi à la réception de l’œuvre du grand artiste et invite, simultanément, à une relecture par étapes de son parcours. Les estampes de la Bibliothèque sont confrontées à d’autres supports et techniques de reproduction (dessin, moulage, peinture), avec un jeu de renvois qui montre souvent une dérivation indirecte d’après l’original michelangelesque (une « copie de la copie »), ou parfois en propose une réinterprétation personnelle.

    Claudio Galleri
    Commissaire de l’exposition
    responsable de la collection d’estampes
    BM Lyon

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  • Catégories : Des expositions, Le paysage, Lyon(Rhône,69:études,travail), Voyage

    L'Orient, de la description à l'abstraction

    LEMONDE | 20.04.11 | 15h10

    L'expédition de Bonaparte en Egypte, la conquête de l'Algérie au temps de Louis-Philippe, la constitution de l'Empire britannique, la multiplication des voyages et des explorations : au cours du XIXe siècle, l'Orient - entendez ici l'immense espace qui s'étend du Maroc jusqu'à l'Inde - a été de plus en plus parcouru par les Européens. Ils l'ont visité, ils y ont commercé, ils y ont pris le pouvoir.

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  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    LE DESSIN FRANÇAIS DE PAYSAGE AUX XVIIe ET XVIIIe SIECLES

    Conseil Général des Hauts-de-Seine - 13/04/2011 12:37:59

    Du 14 mai au 15 août au Petit château du Domaine de Sceaux, le Conseil général des Hauts-de-Seine propose au grand public de découvrir une nouvelle exposition : Le Dessin français de paysage aux XVIIe et XVIIIe siècles. C'est la première fois qu'une exposition est présentée dans ce nouvel espace culturel, situé en plein centre ville.

    Cette exposition inédite se compose d'une cinquantaine d'oeuvres provenant des fonds propres du musée de l'Île-de-France et de plusieurs grandes collections publiques françaises comme celles du Musée du Louvre à Paris. Des dessins s'imposent comme l'Ermitage sur un rocher de Jacques Callot, Paysage au moulin de Sébastien Bourdon ou Nemi : l'église Saint-François et le lac de Charles-Joseph Natoire.

    Les dessins de Claude Gellée, de Sébastien Bourdon ou de Pierre Patel, au XVIIe siècle, véhiculent une pensée résolument classique, nourrie de poésie virgilienne appelant à une méditation sereine, tandis que ceux de François Boucher, de Jean-Honoré Fragonard ou d'Hubert Robert, au siècle suivant, cherchent davantage, par leurs rythmes puissants et presque musicaux, à surprendre et déstabiliser le spectateur.

    Le fonds propre du musée de l'Île-de-France complète une sélection valorisant différents types de paysages, servis par une grande diversité de techniques graphiques (pierre noire, sanguine, lavis d'encre, aquarelle...). Que la représentation porte sur des sites rustiques ou urbains, que le cadrage en soit panoramique ou resserré, que l'élément humain y trouve ou non sa place, ces feuilles se livrent comme autant de visions singulières du monde, soutenues par des principes esthétiques très affirmés.

    Cette exposition permet d'apprécier la poésie propre de chaque feuille, au carrefour d'une vision toujours originale et d'une technique éprouvée.

    A noter : en prolongement de l'exposition, une dizaine d'oeuvres du XIXe siècle est présentée au Château du Domaine de Seaux : Le château de Bellevue et les coteaux de Saint-Cloud de Jean-Lubin Vauzelle, Le parc du château de Mousseau à Evry et La fenaison dans le parc de Mousseau à Evry de Jean-Marie Morel...

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  • Catégories : Des expositions

    Van Dongen, le retour

     

    Mots clés : , , ,

    Par Valérie Duponchelle
    01/04/2011 | Mise à jour : 15:03
    En 110 tableaux choisis avec pertinence entre 1895 et 1931, voici en chair et en os un artiste inoubliable qui «couche sur la toile ou le papier ce qui lui tombe sous les yeux, sur-le-champ, sinon il n'y parvient pas». (Sébastien Soriano/Le Figaro)
    En 110 tableaux choisis avec pertinence entre 1895 et 1931, voici en chair et en os un artiste inoubliable qui «couche sur la toile ou le papier ce qui lui tombe sous les yeux, sur-le-champ, sinon il n'y parvient pas». (Sébastien Soriano/Le Figaro)

    Le Musée d'art moderne de Paris propose de redécouvrir ce peintre d'avant-garde, adulé puis dédaigné

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  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    Paysage idéal, paysage mental au Grand Palais

    Annibal Carrache, Paysage fluvial, vers 1590© National Gallery of Art, Washington

    Paysages de rêve et paysages du rêve… De Nature et idéal : le paysage à Rome 1600-1650 à Odilon Redon, il n’y a qu’un pas. Les deux expositions se trouvent au Grand Palais à Paris. La première nous ramène aux origines du genre à l’âge classique, au moment où le paysage était idéalisé, la seconde nous fait pénétrer dans les espaces mentaux du « prince du rêve » symboliste. En 2012, le paysage entre au programme de l’option facultative d’Histoire des arts en Terminale.

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  • Catégories : Baudelaire Charles, Des expositions

    Manet : le plus moderne des classiques

    Mots clés : , , ,

    Par Véronique Prat
    08/04/2011 | Mise à jour : 11:46
    «La lecture», qui représente madame Manet en 1868, est prétexte à un éblouissant «morceau de peinture», une symphonie de blancs qui fera dire à Zola: «Je ne crois pas qu'il soit possible d'obtenir un effet plus puissant avec des moyens moins compliqués».
    «La lecture», qui représente madame Manet en 1868, est prétexte à un éblouissant «morceau de peinture», une symphonie de blancs qui fera dire à Zola: «Je ne crois pas qu'il soit possible d'obtenir un effet plus puissant avec des moyens moins compliqués».

    Edouard Manet n'avait fait l'objet d'aucune exposition d'ensemble en France depuis plus de vingt-cinq ans. Le musée d'Orsay, au travers d'une centaine de toiles, cerne une nouvelle figure du peintre. À découvrir en avant-première.

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