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Des expositions - Page 37

  • Catégories : Des expositions

    Les frères Van Velde, une belle cordée de l'art

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    «L'Angélus» de Millet, mieux vaut l'original

    Par Valérie Duponchelle
    04/05/2010 | Mise à jour : 11:37 Réagir

    «100 artistes pour l'Angélus» ou la ferveur de l'hommage, à Barbizon jusqu'au 31 juillet.

     

    Angélus-Bastille du Français Gérard Fromanger. DR
    Angélus-Bastille du Français Gérard Fromanger. DR

     

    Bienheureux les Chinois qui découvriront L'Angélus de Millet avec les six autres trésors prêtés par le Musée d'Orsay pour anoblir le pavillon France, le temps de l'Exposition universelle de tous les records à Shanghaï. Ils seront descendus à bonne cadence depuis le jardin à la française qui couronne l'édifice de Jacques Ferrier, jusqu'à cette pause muséale, brève et sous haute garde. Derrière la paroi blindée, lisse comme un trompe-l'œil, qui protège ces ambassadeurs de notre culture, les deux paysans ont posé leurs outils pour se mettre en prière (petit format surprenant de 55 × 66 cm, daté 1857-1859). Hors cadre, l'angélus sonne au clocher lointain de l'église Saint-Paul de Chailly-en-Bière, près de Barbizon.

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    J'ai aimé hier:Bram et Geer van Velde | Deux frères, un nom

    242_362_aff-officielle.jpgExposition du 17 avril au 19 juillet 2010

    Le musée des Beaux-Arts de Lyon propose un regard croisé sur deux artistes majeurs du XXe siècle, les frères Bram van Velde (1895-1981) et Geer van Velde (1898-1977). L’exposition analyse et confronte la peinture des deux frères d’origine hollandaise. Comment se sont-ils affranchis de toutes références artistiques pour exprimer leur propre individualité ? Pourquoi l’un s’écarte du réel et des codes habituels de la peinture quand l’autre demeure fidèle au cubisme ?
    Cette exposition s’impose particulièrement à Lyon. Depuis 2004, ces deux artistes sont largement présents au sein du musée grâce aux différents achats, dépôts et des dons.

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    Les Orientales

    Lieu : Maison de Victor Hugo - Paris
    du 26 Mars 2010 au 4 Juillet 2010

    La critique EVENE par Julie de la Patellière :
    Construction fantasmatique d’une Europe en pleine Révolution industrielle, l’Orient fait fureur au début du XIXe siècle. De Chateaubriand à Lord Byron, de Delacroix à Baudelaire, c’est le même Orient abasourdi de soleil, noyé dans les vapeurs du bain et les fumées du "kief", plus sensuel, plus libre, plus heureux que la vieille Europe corsetée. D’aucuns reprochent à la jeune avant-garde de choisir là un bien mauvais sujet. La célèbre préface des ‘Orientales’ de Victor Hugo proclame alors la liberté d’un "livre inutile de pure poésie" et jette les bases d’une nouvelle modernité artistique. Pourtant l’écrivain n’a jamais visité l'Orient. Peu importe. Cette terre est avant tout un long rêve, le souvenir entêtant d’une vie vécue avant. Les parfums y sont lourds, l’azur immobile, et les chairs alanguies se pâment longuement comme le vent indolent qui meut le feuillage des arbres. L’exposition de la maison Victor Hugo parvient à retracer très clairement les différentes étapes de cette fiévreuse obsession. Les compartiments de couleurs chaudes isolent les femmes captives au harem, et les guerriers sauvages, nous invitant à leur rendre visite individuellement. Fluide et naturel, le passage du texte (présenté en extraits aux murs) aux tableaux s’opère en un seul coup d’oeil, le temps d’une ruade de cheval, d’une cascade d’or, du flottement d’un voile. Rêveries de sang, reflets d’argent, dômes bleus et nudités : l’Orient romantique n’est pas une réalité mais le travestissement idéal d’un imaginaire en quête d’ailleurs. La magie du portrait exotique offre la possibilité d’un miroir inversé, dépaysant… avant qu’il ne s’éloigne : "Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne / Ton soleil d’Orient s’éclipse, t’abandonne / Ton beau rêve d’Asie avorte, et tu ne vois / Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée / Brouillard à ta fenêtre et longs flots de fumée."

     Plus sur "Les Orientales"

    Cf aussi:

    http://www.lemonde.fr/culture/portfolio/2010/06/07/les-orientales-s-exposent-a-la-maison-de-victor-hugo-a-paris_1367923_3246.html

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    L’Impressionnisme au fil de la Seine

    La note evene : 4/5
    La note evene : 4/5

    Lieu : Musée des Impressionnismes - Giverny
    du 1 Avril 2010 au 18 Juillet 2010

    La critique EVENE par Guillaume Benoit :
    Entre Paris et la Normandie, le coeur des puristes balance pour déterminer avec exactitude le lieu de naissance de l'impressionnisme. Pourtant, du Salon des refusés aux plaines délicates de Giverny, la Seine irrigue ses quais avec la même régularité, entraînant les marques de l'histoire avec une égale constance. Car avant d'être le sujet privilégié de ces peintres de la modernité, la Seine a, tout au long du XIXe siècle, constitué le témoin de l'évolution des techniques et de la culture. C'est sur ses rives que les Français découvrent ces machines de fer qui chargent et déchargent ce que les hommes ne peuvent lever, sur ses quais que s'ouvrent les guinguettes des plaisirs, où musiciens et artistes se donnent rendez-vous pour trinquer sous les lampions. Quelques instants d'une vie de bohème. Un formidable Théodore Rousseau ouvre ainsi l’exposition : aussi beau qu'inquiétant, il vient annoncer toute l'ambiguïté du sujet, sonnant la fin d'un romantisme exacerbé pour découvrir des paysages dont toute la beauté se mesure à présent à l'aune des techniques de l'homme ; où la marque de l'industrie imprègne désormais jusqu'aux lignes d'horizon. La première partie est d’ailleurs à cette image, sombre, où les silhouettes s'amoncellent, actives et dures à la tâche. Gigantesque et intime, la Seine trimballe ainsi ses paradoxes de Paris au Havre, de Caillebotte à Marquet. Le parcours traite son sujet de la plus belle des manières, en développant toute une constellation de problématiques autour du thème. De la Seine des plaisirs à la Seine sociale, les Impressionnistes restent loin du seul fantasme d'un fleuve comme simple sujet. Au contraire, la somme de toutes ces toiles très différentes et indéniablement pleines de qualités parvient à faire de celui-ci un véritable personnage dont le visage change au gré des yeux qui l'observent, l'apprivoisent et le ramènent à la vie. Jusqu'à l'éclat total, avec un merveilleux Monet, 'Les Glaçons' qui vaut, à lui seul, le voyage.

     Plus sur "L’Impressionnisme au fil de la Seine"

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    L'art de l'ambivalence

    LEONARD TSUGUHARU FOUJITA

    g2654_home.jpgEmilie Trochu pour

    Evene.fr - Avril 2010

    Un an après la mort de sa veuve, le 2 avril 2009, le musée des Beaux-Arts de Reims consacre une importante exposition au peintre Léonard Foujita, jusqu'au 28 juin 2010. L'occasion de se familiariser avec cet artiste surprenant et inclassable qui a choisi pour dernière demeure la capitale du champagne. Autour de ses oeuvres ou dans les fresques de l'étonnante chapelle qu'il a conçue et dans laquelle il repose, flotte encore un parfum de mystère. Portrait d'un artiste qui cultive l'ambivalence. Sur la simple dalle de marbre gris qu'abrite la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix de Reims, on déchiffre en lettres dorées un patronyme aux étranges sonorités : Léonard Foujita. A l'image de celui qui l'a porté, ce nom évoque des origines contrastées, mi-japonaises mi-européennes. Autrefois dénommé Tsuguharu Fujita, le peintre francise son patronyme à son arrivée à Paris en 1913. Bien des années plus tard, presque au terme d'une carrière mouvementée mais couronnée de succès, il se convertit au catholicisme et choisit comme nom de baptême celui de l'un des plus grands artistes de la Renaissance, qu'il a beaucoup admiré. Au-delà du choix religieux, ce changement d'identité rappelle le sentiment de dualité qui transparaît aussi bien dans sa biographie que dans son oeuvre. Aussi mondain qu'acharné de travail, en équilibre entre deux cultures et plusieurs esthétiques, tantôt omniprésent, tantôt absent, plusieurs fois marié d'un côté ou de l'autre du Pacifique… difficile de cerner ce personnage à l'allure aussi atypique qu'insaisissable.

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    Désirs d'éternité,rituels pour l'au-delà

    Exposition 'hors les murs'
    présentée
    au Musée Gallo-Romain
    de Saint-Romain-en-Gal - Vienne
    du 15 avril au 14 novembre 2010.
     


    L’être humain, à la différence des autres êtres vivants, a conscience de sa propre mort.

    Et cette mort, celle des autres, la nôtre, nous touche tous.

    Comment donc l’humanité compose-t-elle alors avec la mort ?Ad5076770St1Sz170Sq4129910V0Id1.gif

    Cet obstacle oblige nos cultures à s’organiser. Les rituels funéraires, les croyances en un avenir après la fin, seraient avant tout les expressions d’une tentative d’accepter et de dépasser l’inacceptable : tout finira un jour.

    Le dernier passage est entouré de pratiques destinées à faciliter la séparation des vivants et des morts. Les gestes, les paroles, le cérémonial apaisent, remettent de l’ordre en attribuant une nouvelle place à chacun, donnent du sens à l’insensé.

    Reflets culturels des sociétés, quels que soient l’époque et le lieu, les conceptions et les usages liés à la mort se modifient.

    Aujourd’hui encore, de nouveaux enjeux relationnels se tissent autour de la mort.

    Une grande diversité d’objets est présentée :

    • collections archéologiques, provenant de l’Égypte des pharaons, d’une nécropole caucasienne du 1er Âge du Fer, de l’Asie du Sud-est du 10e siècle ;
    • collections ethnologiques de la province du Fujian en Chine, d’Asie du Sud-est, d’Afrique, d’Australie (Aborigènes), de Nouvelle Calédonie (Kanaks) et de France ;
    • collections contemporaines (photographies, peintures, sculptures).

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  • Les bonnes impressions de Claude Monet

    Par Valérie Sasportas
    19/04/2010 | Mise à jour : 14:36

    En 2008, le Grand Palais avait accueilli 780 000 personnes pour l'exposition «Picasso et les maîtres».
    En 2008, le Grand Palais avait accueilli 780 000 personnes pour l'exposition «Picasso et les maîtres». Crédits photo : Le Figaro

    Cinq mois à l'avance, le Grand Palais ouvre lundi les réservations pour la rétrospective consacrée au peintre impressionniste.

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    Un patrimoine au fil de la plume

    Par Claire Bommelaer et Béatrice De Rochebouet
    15/04/2010 | Mise à jour : 15:44

    263 404 euros - Le manuscrit autographe du Mythe de Sisyphe d'Albert Camus est passé en vente publique le 11 octobre 2006 chez Sotheby's. (Sotheby's/Rex Features/REX/SIPA)
    263 404 euros - Le manuscrit autographe du Mythe de Sisyphe d'Albert Camus est passé en vente publique le 11 octobre 2006 chez Sotheby's. (Sotheby's/Rex Features/REX/SIPA)

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  • Le "père" du genre paysage en peinture

    b73309d383d39115a07629854062afb6.jpg

    Et Patinir apparut dans le paysage
    LE MONDE | 24.08.07

    © Le Monde.fr

    Joachim Patinir ou Patenier (né vers 1480 à Dinant ou Bouvignes - mort le 5 octobre 1524 à Antwerpen), également connu sous le nom de de Patinier et de Patiner était un peintre et dessinateur de style flamand de la Haute Renaissance. Il fut membre de la guilde des peintres d'Anvers. On pense qu'il était l'oncle de Henri Blès, également peintre. Spécialisé dans les paysages et fortement influencé par Jérôme Bosch, Patinir réalisa des œuvres où se mêlaient des éléments fantastiques, des bois, des contrées imaginaires, des villes et des cours d'eau. Patinir collabora avec Quentin Matsys. On attribue à Patinir certains des paysages présents dans les toiles de ce dernier. À la mort de Patinir, Matsys s'occupa de ses enfants.

    Principales œuvres 

     La Fuite vers l'Égypte, Anvers, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten Saint Jérôme dans le désert, 1515, Paris, Musée du Louvre Traversée du monde souterrain, entre 1515 et 1524, Madrid, Musée du Prado Paysage avec Saint Jérôme, Madrid, Musée du Prado Le baptême du Christ, vers 1515, Vienne, Kunsthistorisches Museum

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Joachim_Patinir

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    Le projet Alphonse Bertillon et l’identification des personnes, 1880-1914

    26 février 2010
    Par Marc Renneville

    portail bertillonLe projet Alphonse Bertillon et l’identification des personnes, 1880-1914 propose au grand public et à la communauté scientifique une fenêtre dédiée à Alphonse Bertillon et à l’histoire de l’identification judiciaire de la fin du XIXe au début du XXe siècle. L’apport de connaissances sur l’itinéraire d’Alphonse Bertillon à travers la mise en ligne d’une grande partie de son œuvre constitue le cœur de ce projet.

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    Exposition Wang Keping/La Chair des forêts

    DU 1ER AVRIL AU 12 SEPTEMBRE 2010

     

    « La simplicité est mon idéal la nature ma complice » Wang Keping

    A l’exception d’un bronze de 2009, fonte inédite d’une oeuvre monumentale intitulée Renaissance, la sélection présentée est exclusivement constituée de sculptures en bois crées de 1989 à 2008.

    Personnages hybrides aux visages sans traits, ces figures sont animées par l’énergie vitale du bois dont la peau retirée révèle la chair et les lignes de vie. Elles sont la révélation « d’une présence » dans les formes naturelles de l’arbre, ses branches, ses noeuds qui leur donnent vie. Elles portent l’héritage de la culture et de la philosophie chinoises et l’empreinte si originale du sculpteur, leur surface brûlée à la patine noire et brillante. 

     

    viewmultimediadocument.jpgAu caracère primitif de ses sculptures, renouant avec les archétypes les plus anciens de la représentation, se mèle l'extrême raffinement de ses compositions plastiques aux lignes et volumes longuement médités. Son oeuvre frappe par sa singularité et son authenticité.

     

    La présence de Wang Keping au musée Zadkine révèle bien des résonances entre l'oeuvre des deux sculpteurs.

    La belle formule de "tendresse plastique" que le critique d'art Maurice Raynal avait inventée pour Zadkine en 1920 pourrait aussi être appliquée à Wang Keping.

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    Les trésors de Méroé dévoilés au Louvre

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    J'ai vu mercredi:Ebru

    expo-ebru-lyon1_pt.jpgReflets de la diversité culturelle en Turquie

    Photographie Attila Durak

     

    Réalisé par l'artiste turc Attila Durak et fruit d'une quête de six ans sur le terrain, Ebru est un impressionnant voyage photographique chez les peuples de Turquie et d'Anatolie. Attila Durak, capturant leurs visages dans une complicité partagée, a mis en pleine lumière la richesse et la diversité culturelle de ce pays.    

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    Jean Cocteau

    cocteau.jpgLieu : Palais Lumière - Evian
    Dates : du 20 Février 2010 au 23 Mai 2010

    Présentation

    Né il y a 120 ans à Maisons-Laffitte, Jean Cocteau occupe depuis plus d'un siècle l'espace artistique et reste présent à travers toutes les facettes de sa création. Si le grand public connaît son oeuvre, ou du moins, une partie de ses écrits, de sa filmographie ou de son théâtre, moins nombreux sont ceux qui connaissent son travail de dessinateur, de peintre et d'une manière générale l'ensemble de ses recherches plastiques. Cette exposition, par son caractère rétrospectif, a pour ambition de faire découvrir la richesse et la diversité d'une oeuvre qui exploita tous les champs et tous les moyens artistiques dont il disposa. Ces témoignages devraient permettre d'élargir la vision que l'on a de ce 'génie fragile', témoin et acteur d'époques riches et mouvementées. L'exposition regroupe quelque 450 pièces (dont un tiers de livres rares, correspondances, manuscrits et photos) et couvre les champs de la poésie, du roman et de l'essai, du théâtre et de la danse, de la musique, du cinéma et bien évidemment des arts plastiques.

    Informations complémentaires

    De 7 à 10 euros - Du mardi au dimanche, de 10h30 à 19h - Palais Lumière, quai Albert Besson, 74500 Evian - Renseignements : 04.50.83.15.90


     En savoir plus sur le site : Ville d'Evian

    http://www.evene.fr/culture/agenda/jean-cocteau-29743.php

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    J'ai vu:"Elles" au Centre Pompidou

    paris 13 février 2010 075.jpg

    À partir du 17 février 2010, le deuxième étage du Musée national d'art moderne (niveau 5 du Centre Pompidou) est fermé en raison de la préparation de la nouvelle présentation des œuvres de la section moderne (de 1905 à 1960). L'étage rouvre partiellement ses portes dès le 15 mars et sera entièrement ouvert à la visite en avril.

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