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Des expositions - Page 38

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des expositions, Soulages Pierre

    J'ai aimé vendredi:Soulages au Centre Pompidou

    Présentation de L'EXPOSITION



    Le Centre Pompidou célèbre, par une grande rétrospective, l'œuvre du plus grand peintre de la scène française actuelle, Pierre Soulages. À la veille de son 90ème anniversaire, Soulages, « peintre du noir et de la lumière », est reconnu comme l'une des figures majeures de l'abstraction.

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  • Catégories : Des expositions

    J'ai aimé vendredi:"Chefs d'oeuvres miraculés de Wuppertal"

    fauves et expressionistes 12 février 2010 hf.jpgPEINTURE - Vert-de-gris et pas de l'oie : le national-socialisme n'aimait pas plus la couleur que la liberté. Il qualifia toutes les avant-gardes d'avant et d'après-guerre 14-18 de « dégénérées » puis se mit à en purger les collections dès qu'il mettait la main dessus. Par bonheur, non loin de Düsseldorf, à Wuppertal (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) une partie du fonds du musée local a subsisté. Prévoyant l'orage, le banquier Eduard von der Heydt avait pris soin de déposer ses toiles à l'abri, en Suisse. Soit des travaux de Die Brücke (le Pont), groupe fondé à Dresde en 1905 qui rassemblait Kirchner, Heckel ou Nolde. D'autres du Blaue Reiter (le Cavalier bleu), formation qui avait pris la relève vers 1911 de la Nouvelle association des artistes de Munich, représentée par Kandinsky, Jawlensky, Franz Marc, Macke et Münter. D'autres encore issus de la « nouvelle objectivité » de Beckmann, Dix et Grosz ; des huiles signées d'expressionnistes autrichiens tels Kokoschka ou Oppenheimer, et de fauves français tels Dufy, Braque, Vlaminck et Van Dongen. Pour compléter cette internationale de l'anti-académisme, les von der Heydt avaient aussi acheté le Norvégien Munch, le Français Delaunay ou le Russe von Bechtejeff (fortement influencé par l'Art déco). Présentée à Marmottan en échange des trésors impressionnistes, la cinquantaine de pièces de cette collection révèle une véritable Europe de la création. Saturés d'outre-mer, de vert pétaradant, d'orange vif, de jaune soleil, de violet criard et de rouge pivoine, ou au contraire, dans des gammes si sombres et oppressantes qu'ils en deviennent prophétiques, ces tableaux témoignent d'une époque où des univers nouveaux surgissaient en rafales de tous les grands centres urbains, des deux côtés du Rhin. Leur lien ? Der Sturm, un magazine berlinois fondé par Herwarth Walden, lequel était marié à une poétesse de… Wuppertal. 

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  • Catégories : Des expositions

    Une exposition consacrée à Aragon à l'Adresse Musée de La Poste

    Voici une occasion de redécouvrir des textes poète surréaliste et d'admirer des tableaux de ses maîtres

    Rédigé par Julien Loubière, le jeudi 04 février 2010 à 15h39

    Du 14 avril au 19 septembre 2010, L’Adresse Musée de La Poste accueille l'exposition « Aragon et l’art moderne » dédiée au poète Louis Aragon, animateur du dadaïsme et du surréalisme.

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  • Catégories : Des expositions

    Diaporama : Vanités : l’hymne à la vie du musée Maillol

    hirst_287x107.jpgLucy Schwartz | [7 clichés] | 4 février 2010
    Dans l’exposition « C’est la vie ! Vanités de Caravage à Damien Hirst », le musée Maillol présente un parcours singulier dans l’Histoire de...

    Connaissance des Arts

    vanités.jpg

    A l'occasion de l'exposition de la Fondation Dina Vierny, musée Maillol, ce hors-série revient sur le genre de la Vanité.

    Incontournable dans la peinture ancienne, elle trouve aujourd'hui encore un écho dans la création contemporaine.


    http://www.connaissancedesarts.com//peinture-sculpture/actus/nos_publications/hors-serie-connaissance-des-arts-exposition-vanites-caravage-damien-hirst-musee-maillol-dina-vierny-82751.php?xtor=EPR-1029

  • Jean Raoux, maître de la sensualité Régence

    Même si c'est Montpellier, sa ville natale, qui l'honore d'une première rétrospective, on aurait tort de croire que Jean Raoux (1677-1734) n'est qu'un peintre d'intérêt régional. Certes, son ami Antoine Watteau lui a fait de l'ombre dans les manuels d'histoire de l'art. Pourtant, comme le démontre brillamment le Musée Fabre, en quatre-vingts pièces dont plus de la moitié sont des tableaux, Raoux a largement contribué à imposer dans le goût français une autre voie que celle du «Grand Genre ».

    «En opérant la synthèse de la peinture vénitienne, flamande et hollandaise, Jean Raoux assure la transition entre le classicisme, fixé de Poussin à Le Brun, et la peinture galante, de Watteau à Boucher », résume le directeur du lieu, Michel Hilaire. De fait, on reconnaît aisément les charmants minois féminins qu'il aimait, ainsi que son mécène, le grand libertin Philippe de Vendôme dont l'étonnant portrait en vieillard débraillé et las des plaisirs temporels mériterait de quitter l'ambassade de France à Bruxelles, où il demeure en dépôt, pour rejoindre les cimaises du Louvre.

    Ces visages typiquement Régence ont des joues aussi rondes que celles des satyres et de charmantes petites lèvres rosées surmontées d'un nez grec. Les plus beaux sont ceux de La Liseuse et de son pendant, Le Silence ou l'Indiscrète, tableaux presque aussi mystérieux que ceux de Vermeer desquels ils découlent. Conservés au Musée Calvet d'Avignon, ils ont également fait le voyage.

    Un expert en jeux de lumière

    Quant aux formes dodues des nymphes du Bain de Diane, elles sont rendues ­encore plus désirables par l'eau, dont la transparence laisse voir le bas des cuisses.

    Comme ces scènes mythologiques, les scènes allégoriques (L'Odorat et Le Goût, prêts du Musée Pouchkine venus pour la première fois en France) et de genre (magnifique et inédit clair-obscur de La Liseuse à la lampe, issu d'une collection particulière) se voient systématiquement magnifiées par un grand rayon de lumière éclairant l'action principale.

    En début de parcours, La Vierge du Rosaire, médiocre toile religieuse venue de l'église Notre-Dame-du-Lac de Lunel, prouve qu'un jeune rapin peut parfois réaliser de rapides progrès. Suit une période italienne. Raoux est déjà un virtuose du coloris en demi-teintes, un expert en jeux de lumière et reflets complexes. Son trait est fin, le rendu des satins et des soieries magistral, enfin, la facture alterne : tantôt porcelainée, tantôt moelleuse.

    La période française, celle où Raoux loge à la commanderie du Temple, chez Vendôme, et durant laquelle il côtoie le jeune Voltaire qui l'admire, est celle de l'aisance. Si son époque le prise d'abord pour ses qualités de portraitiste, on préfère aujourd'hui les exquises et émouvantes allusions grivoises. Comme cette Jeune Fille faisant voler un oiseau (venue de Sarasota, Floride), à la lumière mi-vénitienne mi-rembranesque. « Le chardonneret est depuis l'Antiquité romaine associé au sexe mâle », explique Michel Hilaire. Le fait qu'il soit attaché à un fil tenu par une jeune fille joyeuse signifie que dans les mains de la Beauté, nous sommes toujours le jouet du désir. Une loi éternelle.

    Jusqu'au 14 mars au Musée Fabre 39, bd Bonne-Nouvelle 34000 Montpellier. Catalogue 208 p., 30 €. Tél. : 04 67 14 83 00. www.museefabre.fr

    http://www.lefigaro.fr/culture/2009/11/30/03004-20091130ARTFIG00639-jean-raoux-maitre-de-la-sensualite-regence-.php

  • Catégories : Des expositions

    « Peintre de l'imaginaire »

    tordeux.jpg

    Le centre d'exposition de la photographie de reportage propose une expo baptisée « Peintre de l'imaginaire », avec les photos de Pascal Tordeux.

    Des paysages épurés, en grands formats.Jusqu'au 17 février, à la bibliothèque municipale. Ouvert le mercredi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

    http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2009/12/30/article_les-expositions.shtml

  • La grande crue de la Seine de 1910 jusqu'au au samedi 6 février 2010

    - La grande crue de la Seine de 1910 - exposition - www.viafrance.com100 ans de la grande crue de 1910

    Les hauts-de-Seine et la crue de 1910.

    Pour célebrer le centenaire de la grande crue de 1910, 3 villes du département des Hauts-de-Seine (Boulogne-Billancourt, Sèvres et Suresnes) vous propose des expositions sur le sujet. Vous découvrez, pour chacune de ces villes, des panneaux avec des photos de Boulogne, Sèvres et Suresnes prises au moment de la crue de la Seine.

    Mise à jour en cours.

    Exposition réalisée par la Direction des eaux

    Du mardi 26 janvier au samedi 6 février 2010 :
    Voir l horaire


    Plus d’information sur l’adresse de l’evenement :
    Médiathèque de Suresnes


    PLAN DE Médiathèque de Suresnes, France

    Acces au 5 rue Ledru-Rollin  92150 SuresnesFrance

    AGENDA DE Médiathèque de Suresnes, France

    http://www.viafrance.com/evenements/la-grande-crue-de-la-seine-de-1910-exposition-528151.aspx

  • Catégories : Des expositions

    Deux artistes exposent à l'hôtel de ville de Cambrai jusqu'au 1er février

    vendredi 22.01.2010, 05:04 - La Voix du Nord

    |  L'EXPOSITION |

    Le peintre Jean-Michel Beaussart et le sculpteur Olivier Lozé présentent leurs oeuvres à la salle de la République ...

     

    , du samedi 23 janvier au lundi 1er février. Le vernissage de cette exposition est programmé ce vendredi à 18 heures, en présence de nombreuses personnalités locales. Rencontre avec le peintre Jean-Michel Beaussart.

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  • Catégories : Des expositions

    « Turner and the Masters » : une expo de maîtres, de la Tate au Grand Palais

    Turner-self-portrait.jpgLe Lorrain, Canaletto, Poussin, Rembrandt, Rubens furent parmi les grands maîtres auprès desquels Joseph Mallord William Turner (1775-1851) nourrit sa passion de la peinture, puisa son inspiration, développa son génial désir de peindre. L’exposition « Turner and the Masters », présentée à la Tate Britain du 23 septembre 2009 au 31 janvier 2010, vient éclairer le complexe et passionnant processus de formation du regard, d’inspiration, de dialogue et d’affirmation du style personnel de Turner.

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  • Catégories : Des expositions

    Thierry Lambert au Baz'art des mots

     Comment caractériser l'art de Thierry Lambert,  j'y vois à la fois de l'innocence et une mûre information. S'inspirant d'un très large éventail de mythes, de cultures et de rites, il utilise des matières naturelles dont se servirent les fresquistes de maintes grottes espagnoles, françaises, australiennes, brésiliennes, africaines, etc... ou diverses peuplades du monde pour peindre leur visage, leur corps ou leur totems. Défendre ce qui subsiste encore d'un monde où les pouvoirs magiques  ne sont pas un vain mot, où cinq couleurs - pas plus qu'il n'y a de doigts dans nos mains ou de voyelles dans notre alphabet, suffisent à représenter la conscience de l'être et son destin cosmique. Texte de Jean Rousselot Collections : Musée d'Art Brut, Collection Neuve Invention - Lausanne,  Musée de l'Art en Marche - La Palisse, FCABI, Bègles, Musée du Bizarre, Musée de l'Insolite.  Thierry Lambert La Sapineraie - 38840 Saint Hilaire du Rosier Tél. : 06 32 50 66 69 
     Photo perso et texte : 
     http://www.art-insolite.com/pageinsolites/insolambert.htm 

    Baz'art des mots:

    arras 2 janvier 2010 017.jpghttp://www.lauravanel-coytte.com/search/baz'art%20des%20mots

  • Catégories : Des expositions

    Le groupe de Bloomsbury, une redécouverte à la piscine de Roubaix

    Vanessa Bell (1879-1961), Sujet de conversation, 1912, Hull, University of Hull - Art Collection - © Estate of Vanessa Bell, courtesy Henrietta Garnett © ADAGP, Paris, 2009 Photo © DR

    Bloomsbury_04.jpg

    Alice Serrano - 25 novembre 2009

    C’est la première exposition en France consacrée à ces artistes anglo-saxons. Le groupe de « Bloomsbury » actuellement à la Piscine de Roubaix. Un groupe peu connu ici, et qui a pourtant beaucoup marqué l’Angleterre.

     

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  • À Londres, l'âge d'or espagnol frappe les esprits

    Attention âmes sensibles s'abstenir ! Par son réalisme illusionniste, le baroque espagnol - l'andalou particulièrement - est d'une force qui épate toujours, jusqu'au plus blasé des aficionados de la 3D numérique sur écran géant. Il a été développé par des gens de grande foi persuadés que pour véhiculer le message divin, le meilleur moyen était de frapper les esprits de la façon la plus spectaculaire possible.

    À Séville, Cordoue ou Grenade, nous sommes à la frontière des terres d'un islam qui prohibe la représentation anthropomorphe dans l'art religieux. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, leurs églises résolument contre-réformistes choisissent d'en prendre l'exact contre-pied.

    Dépasser le réalisme

    Les artistes qui décorent la cathédrale de Tolède ou qui célèbrent la récente canonisation d'Ignace de Loyola vont alors faire saigner les christs à gros bouillon, flageller les dos en sueur des pénitents, exhiber les stigmates de saint François ou la tête fraîchement tranchée de saint Jean le Baptiste pour que les foules s'agenouillent toujours plus nombreuses au pied de la Croix. Ouailles, brebis égarées, voire mahométans troublés.

    À la National Gallery de Londres, l'exposition «Le Sacré rendu réel» rappelle toute l'ingéniosité - mais aussi le génie - de cette esthétique. Dans les sculptures du fils de Dieu supplicié, crucifié ou gisant, on peine à réaliser que les yeux et des larmes sont de verre, et les dents en ivoire. Dans ce corps mort gisant sur son suaire de Gregorio Fernández (prêt du Prado), le sang coagulé n'est autre que la sève séchée du bois. On l'a fait suinter avant de la peindre en rouge. Quant aux ongles des mains, ils sont en corne de taureau.

    Mais le plus intéressant de cette exposition est qu'elle met pour la première fois en regard seize peintures célèbres d'Andalousie avec autant de sculptures, mal connues à l'étranger, de cet âge d'or espagnol. Diego ­Velázquez et Francisco de Zurbarán (sa Crucifixion de 1627 est un prêt remarquable de l'Art Institute de Chicago) sont ainsi présentés avec beaucoup de sens aux côtés de remarquables pièces richement polychromées, certaines toujours consacrées et vénérées dans les monastères, les églises et lors des Fêtes-Dieu de la péninsule. Ainsi, le saint François d'Assise en méditation, que Pedro de Mena réalisa en 1663, n'avait jamais quitté la sacristie de la cathédrale de Tolède.

    «Une sculpture n'était considérée comme telle qu'une fois peinte, note ­Xavier Bray, commissaire de l'exposition. Et ce furent ceux qui devinrent les peintres les plus célèbres de leur temps qui s'en chargeaient.» Principaux mécènes, les chartreux (robe de bure blanche) et franciscains (robe de bure brune) faisaient vivre les nombreux ateliers dans lesquels ils s'épanouissaient. Ainsi est-ce probablement au jeune Velázquez qu'on doit la splendide robe d'or et d'azur de l'Immaculée Conception, une Vierge venue de ­Séville et attribuée à Juan Martinez ­Montañés.

    Autre sculpteur, Francisco Pacheco enseigna au futur peintre des Ménines, devenu plus tard son beau-fils, ainsi qu'à toute une génération d'artistes. Ces plasticiens dont les noms ne sont guère passés à la postérité léguèrent à ces peintres devenus des gloires de l'histoire de l'art occidental le sens de l'expression faciale ou gestuelle maximale. De fait, miséricorde, compassion, extrême sensibilité aux douleurs d'ici-bas se lisent d'abord dans les œuvres peintes. Bien après discerne-t-on le désir d'égaler ou de dépasser le réalisme dérangeant des figures de bois creux, de tissu, de plâtre ou de papier mâché.

    Jusqu'au 24 janvier. Catalogue National Gallery Company, 208 p., 19.99 £. www.nationalgallery.org.uk

     

     

    Immaculée

    Conception, 1620

    de Juan Martinez ­Montañés

    (ci-dessus) . Crucifixion, 1627,

    de Francisco

    de Zurbarán

    (ci-contre).

    The Art Institute of Chicago. Robert A. Waller Memorial

    Fund (1954.15)/National Gallery


    SELECTION FIGARO


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  • J'ai vu : Marina Perez Simao

    Marina-PSimao-serie2009-420x380.jpg

    Du 19 septembre 2009 au 10 janvier 2010
     
    Marina Perez Simao
    Lauréate du 1er Prix des Partenaires
     
    Le Club des Partenaires du Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne Métropole, créé en 2006 et qui regroupe une douzaine d'entreprises mécènes de la région stéphanoise, a pour objectif de contribuer au rayonnement du musée sur le territoire et en France par différentes actions de communication et de soutien aux activités artistiques. En 2009, il a décidé de créer le Prix des Partenaires, attribué à un jeune artiste qui vit et travaille en France. Ce nouveau prix consiste en une exposition au Musée d'Art Moderne accompagnée d'une publication. Les critères de sélection retenus pour cette première édition étaient : la place importante du dessin dans le travail de l'artiste, une maturité technique, la cohérence de sa carrière, un langage authentique et une narration profonde qui raconte notre époque.

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  • Souvenirs d’Italie au musée de la Vie romantique

    Cet automne, le Petit Palais s’invite au musée de la Vie romantique et propose une sélection d’oeuvres issues de ses collections et signées d’artistes français ayant visité l’Italie du XVIIe siècle au milieu du XIXe siècle. La péninsule italienne, patrie de tous les arts, offre le parcours initiatique obligé des jeunes peintres en quête d’idéal, en particulier les lauréats du Prix de Rome, rejoints par poètes, écrivains et jeunes aristocrates qui achèvent leur éducation par le fameux Grand Tour. Leurs thèmes de prédilection sont les vestiges et les ruines romaines, l’iconographie mythologique, les monuments de la Renaissance, et naturellement les jeunes beautés romaines (comme Marietta, idéalisée par Corot). Leur palette s’éclaire à la lumière transalpine, devant des paysages si éminemment « pittoresques ».Souvenirs-d-Italie.jpg

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  • J'ai vu :Pierre Coulibeuf

    Du 19 septembre 2009 au 10 janvier 2010
     
    Pierre Coulibeuf
    Dans le labyrinthe
     
    "Le monde est une énigme, voudrait signifier l'exposition-installation : c'est-à-dire un monde fait de signes obscurs, de figures mouvantes, étranges, de chemins qui bifurquent sans cesse - mais aussi de contradictions, de retours, de dédoublements. Un monde où les personnages semblent habités par des puissances extérieures. Un monde de médiums, de passeurs (les acteurs, les artistes acteurs) : passage d'une réalité à une autre, d'un état psychique à un autre. Un monde conduit par un principe de répétition-variation qui affecte le langage, les êtres, les lieux. Dans ce labyrinthe, Ariane a emmêlé son fil ; elle nous perd et, nous perdant, nous permet de faire des rencontres, de faire l'épreuve du Retour, l'épreuve du cercle sans commencement ni fin, où les identités se dissolvent pour faire place aux simulacres, aux fictions pures. Le monde est devenu fable, c'est-à-dire le monde n'existe que dans le récit (...)."

    Coulibeuf-Delectatio-420x380.jpg

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  • Catégories : Des expositions

    Les Enfants modèles,de Claude Renoir à Pierre Arditi

    enfants_modeles_boxe.jpgLa Boxe - Maurice Denis
    © ADAGP 2009

    Nombreux sont les enfants qui ont posé pour leurs parents artistes, père ou mère, que ces derniers soient sculpteurs (Belmondo, Petit, Carrière) ou peintres (Cézanne, Renoir, Picasso, Lempicka, Denis, Redon, Derain, Arditi). Cette exposition et son catalogue se proposent de partir à la découverte de leurs expériences de « jeunes modèles », de ces séances de pose qui furent de bons ou de moins bons souvenirs. Certains furent turbulents comme Jean-Paul Belmondo, d'autres « sages comme des images » ; d'autres relatent des moments insolites comme l'académicien Jean-Marie Rouart, réveillé en pleine nuit, par un père attaché à dessiner son visage d'ange, scrutant dans son sommeil à l'aide d'une lampe-torche puissante et effrayante.

    Dans tous les cas de figure, ces témoins familiers gardent un souvenir précis et émouvant de ces moments particuliers partagés avec des parents artistes pour lesquels ils confessent toujours une grande admiration.

    Le principe de l'exposition est de présenter le portrait de l'enfant – sculpture ou peinture – avec en regard son impression personnelle de ce moment de « temps arrêté », sous la forme d'un texte écrit par lui-même ou d'une interview.

    Téléchargez le dossier de presse complet.

     Cette exposition vous est présentée en partenariat avec la marque Jacadi.

    DECOUVERT GRACE AU TELEMATIN D'AUJOURD'HUI

    © Musée de l’Orangerie - RMN

     

  • Catégories : Des expositions

    J'ai vu LE 14 OCTOBRE:François Maspero et les paysages humains.

    maspero.jpg2009, cinquantenaire des éditions François Maspero.

    Du 16 septembre au 15 novembre 2009, le Musée de l’imprimerie rend hommage à François Maspero, éditeur, écrivain et traducteur, avec une exposition qui marque aussi le cinquantenaire des éditions Maspero, fondées en 1959.

    Les concepteurs et commissaires de l’exposition sont Alain Léger (Librairie À plus d’un Titre, Lyon) et Bruno Guichard (La Maison des Passages, Lyon), avec le conseil scientifique de Julien Hage, (Université de Versailles - Saint Quentin).

    L’objectif de l’exposition : assurer une transmission, une réflexion, et une rencontre avec François Maspero, créer une envie de découvrir et de redécouvrir le fonds des éditions Maspero, de lire l’écrivain et le traducteur contemporain et ainsi de s’interroger sur notre histoire collective et nos itinéraires et trajectoires personnels.

    En savoir plus


    http://www.imprimerie.lyon.fr/imprimerie/sections/fr

    Cf. mes autres notes sur ce musée:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/musée%20de%20l'imprimerie%20de%20lyon

    COMS OUVERTS

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  • J'ai vu :L'attraction de l'espace

    Fontana-concetto-spaziale-420x380.jpg

    Au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau
     
    L'exposition L'Attraction de l'espace a pour ambition d'offrir au public un ensemble inédit de témoignages historiques, scientifiques et artistiques de ce qu'est, depuis le XIXe siècle jusqu'à nos jours, l'observation puis la conquête de l'espace. Autour du thème universel de la conquête de l'espace, imaginaire ou bien réelle, l'exposition met en dialogue des oeuvres d'artistes, de photographes, d'architectes, de designers avec des travaux et des outils scientifiques. Cette invitation au voyage s'attache à l'éternelle poursuite d'absolu, aux tentatives incessantes d'exprimer l'inaccessible qui se manifestent dans les oeuvres d'artistes majeurs de notre temps, en regard des progrès scientifiques depuis la fin du XIXe siècle.

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  • J'ai visité le Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne

    sté11 octobre 2009 003.jpgLe Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne a été inauguré le 10 décembre 1987.
    Le Musée d'Art Moderne émane du Musée d'Art et d'Industrie dont il constituait l'une des sections.
    Il prend place, aujourd'hui encore, avec le Musée de la Mine et le Musée d'Art et d'industrie rénové, dans un complexe de musées dont l'une des missions essentielles a été, depuis la fin du XIXème siècle, le rassemblement de collections unissant les productions de l'art et de la technique à l'ère industrielle.

    Les collections du musée sont particulièrement riches (Monet, Magnelli, Picasso, Brauner, Léger...) ; elle comprend une majorité d'œuvres du XXème siècle, mais également une collection d'art ancien.
    C'est pourquoi il n'est pas possible d'exposer certains chefs-d'oeuvres en permanence, d'autant plus que certains d'entre eux font l'objet de prêts auprès de musées nationaux et internationaux, à l'occasion d'expositions temporaires.

    Seul
    e une présentation selon un rotation régulière permet d'en entrevoir l'ampleur. 

    Texte:

    http://www.mam-st-etienne.fr/

    Photo perso

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  • Catégories : Des expositions

    J'ai vu le 17 septembre 2009:Titien, Tintoret, Véronèse... Rivalités à Venise(du 17-09-2009 au 04-01-2010)

    L’exposition entend faire le point sur la peinture vénitienne dans la seconde moitié du XVIe siècle, époque au cours de laquelle les artistes de la lagune opèrent une synthèse unique adaptant le maniérisme de l’Italie centrale à leur vision naturaliste du monde.titien.jpg

    Titien, Vénus au miroir

    © Courtesy Board of Trustees of The National Gallery of Art, Washington

     

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