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Des expositions - Page 39

  • Catégories : Des expositions

    J'ai vu le 16 septembre 2009:Bruegel, Memling, Van Eyck... La collection Brukenthal au Musée Jacquemart- André

    brueghel.jpg

    Le Musée Jacquemart-André accueille, du 11 septembre 2009 au 11 janvier 2010, les chefs-d’œuvre de la collection Brukenthal, l’une des plus prestigieuses d’Europe centrale qui rassemble des œuvres flamandes des plus grands maîtres du XVème siècle au XVIIème siècle : Van Eyck, Jordaens, Bruegel, Memling ou Teniers.

    En savoir plus sur l'expo sur mon site source :

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailALaUne&eventId=485

    et sur le musée dans ma note d'hier.

  • Catégories : Des expositions

    Miroirs d'Orient au Palais des Beaux-Arts de Lille

    miroirs d'orient.jpgDu 15 Mai au 31 août 2009

    Dessins / Photographies / Autochromes / Vidéo du XIXe au XXIe siècle

    Exposition organisée en correspondance avec l’exposition Istanbul Traversée – lille3000

    Avec Miroirs d’Orients, le Palais des Beaux-Arts de Lille offre au visiteur un parcours d’images du Maroc à l’Iran de 1830 à aujourd’hui.

    Dans une approche historique puis contemporaine, l’exposition propose un regard sur la construction de l’image orientaliste, à travers une perception simultanée de dessins, d’autochromes, de photographies et de vidéo. Pittoresque d’observation et fantasmes présents dans les œuvres du XIXe siècle sont réinterprétés par les artistes contemporains.
    Les voyageurs qui exploraient l’Orient au XIXe et au XXe siècle croisent aujourd’hui ceux venus d’Orient qui convoitent l’Occident. Il s’ensuit un jeu de miroirs qui fonctionne désormais à double sens, et fait de la culture orientaliste le révélateur parfois inattendu de nos attentes réciproques.
    La scénographie de l’exposition permettra d’apprécier les correspondances esthétiques d’un siècle à l’autre et d’un art à l’autre, à travers plus de 200 œuvres au sein d’un même parcours.

    LES ARTISTES
    Dessins de Théodore Chassériau, Alfred Déhodencq, Eugène Fromentin, Émile Marquette... Photographies de Pascal Sebah, Antonio Beato, James Robertson, les Frères Abdullah, Jules Gervais-Courtellemont, Félix Bonfils, Maxime du Camp… Artistes contemporains : Yasmina Bouziane, Shadi Ghadirian, Kahn & Selesnik, Anton Solomoukha, Kimiko Yoshida, Bill Viola.

    LES OEUVRES
    • 49 dessins orientalistes du musée des Beaux-Arts de Lille dont certains exposés pour la 1ère fois.
    • 94 photographies originales et autochromes du XIXe au XXe siècle dont certains présentés sous forme d’album
    • 63 œuvres contemporaines (5 séries de photographies et 1 vidéo)

    LES PRÊTEURS
    Le musée du Louvre, le musée d’Orsay, la Bibliothèque nationale de France, le musée départemental Albert Kahn de Boulogne, le musée Nicéphore Niepce de Chalon-sur-Saône, la cinémathèque Robert Lynen de la Ville de Paris, le musée français de la photographie de Bièvres, l’école nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et les collectionneurs privés.
    La partie contemporaine présente des œuvres issues pour la plupart des collections des artistes et de la galerie Aeroplastics Contemporary de Bruxelles.

    - Horaires d’ouverture :
    Lundi de 14h à 18h
    Du mercredi au dimanche de 10h à 18h
    Fermé le mardi, et le 14 juillet.

    - Tarifs : 6 € - 4 € Billet PBA XXL permettant l’accès aux collections permanentes, à l’exposition Istanbul, traversée et à l’exposition Miroirs d’Orients.

    Groupes : 4 euros/personne.
    Groupes scolaires et médiation : entrée gratuite.

    Entrée gratuite pour tous le 1er dimanche de chaque mois.

    Pass lille3000 : entrée libre pour les porteurs de pass journée, duo et saison

    Pour en savoir plus :
    téléchargez le Dossier de Presse de l’exposition
    téléchargez le Guide de Visite de l’exposition

    Enseignants, préparez votre visite :
    téléchargez le Cahier Pédagogique de l’exposition

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/spip.php?article1214

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  • Vu lundi dernier:« Antoine Poidebard, archéologue des airs », aux Archives Municipales

    poidebard.jpgDu mardi 3 mars au samedi 16 mai 2009

    A l’occasion de l’exposition « Riches mémoires de l’aéronautique en région lyonnaise », les Archives municipales rendent hommage à l’archéologue et jésuite lyonnais, Antoine Poidebard.
    L’exposition retrace l’étonnante trajectoire de ce pionnier de l’archéologie aérienne. Mobilisé dès le début de la Grande guerre dans l’armée en tant qu’infirmier en Lorraine puis en tant qu’interprète et diplomate en Arménie, il s’installe définitivement au Liban en 1924. Pendant près de trente ans grâce au concours de l’armée, il va prendre des milliers de clichés aériens qui révèleront des vestiges peu ou pas visibles au sol.

     Jeudi 5 mars, à 18h30 : conférence inaugurale avec projection en compagnie de Lévon Nordiguian de l’Université St-Joseph de Beyrouth.

     Entrée libre

     Plus d’infos

    http://www.culture.lyon.fr/culture/sections/fr/musees__expositions/actualites/antoine_poidebard_archeologue_de

    A voir aussi(je n'en ai vu qu'un bout car l'expo est fermée le lundi):

    aviation.jpgDu 22 octobre 2008 au 16 mai 2009
    Riches mémoires de l'aéronautique en région lyonnaise

    http://www.archives-lyon.fr/expo/index.html

     

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  • Catégories : Des expositions

    Nous avons vu(et aimé puisque j'en parle ici) le 8 novembre 2008 à Saint-Vallier une expo de sculpture et peinture

    de Michel Capdevert intitulée "Double vue"(jusqu'au 16 novembre à la Salle d'arts plastiques.)

    "Formé à l'Ecole Boule, Michel Capdevert a longtemps travaillé pour les Monuments historiques, sur des chantiers de restauration. Il sculpte en taille directe et a choisi de s'exprimer au travers de l'abstraction. C'est aussi un habitué des grands rassemblements internationnaux de sculoteurs de glace.
     Michel Capdevert a participé au salon de l'Ecole française."

    Vous pouvez voir une de ces oeuvres sur son site:

    http://www.netannuart.com/data/pages/indexC.htm

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  • Catégories : Des expositions

    A n a - M a r i a A K D I M E G A R Z O N

    garzon.jpg Le ï l a    F a r a o u i    e t    A s s i a   F a r a o u i

    o n t    l e    p l a i s i r   d e   v o u s   c o n v i e r

    a u    v e r n i s s a g e    d e    l ' e x p o s i t i o n

     

     

    c r é a t i o n . . .  t  o u t    s i m p l e m e n t !!

    A n a - M a r i a     A K D I M E    G A R Z O N

     

     

    L e    j e u d i   1 8    D é c e m b r e    à    d e   1 9  h e u r e s
     
     
     
     
     
     
    E x p o s i t i o n    d u   18   d é c e m b r e   2 0 0 8    a u    1 7   j a n v i e r   2 0 0 9

     

     
    NADAR
    galerie d'art
     
    5, rue al manaziz
    maârif
    casablanca
     
    tel: 022 23 69 00

  • Catégories : Des expositions

    Envie de voir:SUR LES QUAIS(vu dans la presse ceweek-end du 6-7décembre)

    marquet.jpg2.jpg

    Albert Marquet, Le Quai du Havre, 1934, huile sur toile, Liège, musée d'Art moderne et d'Art contemporain, © MAMAC – Liège, ADAGP

    PORTS, DOCKS ET DOCKERS, DE BOUDIN À MARQUET

    DU 18 OCTOBRE 2008 AU 25 JANVIER 2009

    Des impressionnistes jusqu'aux photographes de l'entre-deux-guerres, un siècle d’évolution du paysage portuaire


    MUSÉE MALRAUX 2, boulevard Clemenceau - 76600 Le Havre
    INFORMATIONS : Tél. 02 35 19 62 62 Fax 02 35 19 93 01
    Site : http://www.musees-haute-normandie.fr
    E-mail : museemalraux@ville-lehavre.fr
    HORAIRES : Du lundi au vendredi de 11h à 18h. Le samedi et dimanche de 11h à 19h
    Fermé le mardi et les 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 11 novembre, 25 décembre.
    PRIX D’ENTRÉE : Plein tarif : 5 €. Tarif réduit : 3 €. Gratuit chaque premier samedi du mois.
    CONTACT PRESSE : Heymann Renoult Associées 29, rue Jean-Jacques Rousseau – 75001 Paris
    Tél. 01 44 61 76 76 Fax 01 44 61 74 40 E-mail : e.grau@heymann-renoult.com

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  • Catégories : Des expositions

    Du côté d'Amsterdam

    amsterdam.jpgPhilippe Viguié Desplaces  (Figaroscope)
    21/11/2008

    2004 Netherlands Board of Tourism & Conventions
    A l'approche des fêtes, Amsterdam propose cinq grandes expositions. A ne plus savoir où jeter les yeux.
     
    L'exposition qui commence. C'est celle consacrée à caspard David Friedrich et aux paysages romantiques. Elle se tient dans le joli Musée de l'Ermitage, succursale de l'Ermitage de Saint-Petersbourg. Pour l'occasion, neuf tableaux du grand peintre romantique allemand ont quitté la Russie. Mis en perspective avec des contemporains, c'est un voyage passionnant dans l'oeuvre d'un peintre qui a souffert d'un rappochement avec le nationalisme allemand. Jusqu'au 17 janvier 2009.

     

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  • Catégories : Des expositions

    Envie de voir:Exposition Jean Marais, l'éternel retour

    jean marais.jpgLe musée de Montmartre, à Paris, présente du 4 novembre au 3 mai une grande exposition consacré à Jean Marais, à l'occasion des dix ans de la disparition du comédien.
    (France)
    Festival du 04 Novembre 2008 au 03 Mai 2009

    L'objectif est de révéler les facettes méconnues d'un artiste aux talents multiples. Parrainée par Francis Huster, cette rétrospective réunira de très nombreux souvenirs et oeuvres de l'artiste. Le visiteur pourra admirer ainsi le costume brodé que l'acteur portait dans Peau D'Ane, mais aussi ses premiers croquis d'adolescent et le César d'honneur reçu en 1980.

     

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  • Catégories : Des expositions

    Masques. De Carpeaux à Picasso

    masque.jpgAdrien Goetz
    27/10/2008 | Mise à jour : 10:53 | .
     
    Il y a les masques japonais, parés des mystères du théâtre nô. Il y a les masques d'Afrique qui fascinaient les cubistes. Il y a les masques de la côte Nord-Ouest de l'Amérique qui inspirèrent La Voie des masques à Claude Lévi-Strauss. Tout cela est bien connu, archiétudié. Mais qui savait que l'Europe, au XIXe siècle, avait cultivé une culture des masques très originale, qui inspira Rodin, Bourdelle ou Picasso ? Ces masques, porteurs eux aussi de vertus magiques, scéniques, symboliques, n'ont rien à envier à ceux des cultures lointaines. C'est ce que révèle cette magistrale exposition conçue par Édouard Papet, conservateur au Musée d'Orsay, spécialiste de sculpture : ces masques français, italiens, allemands ne sont pas anecdotiques, ils forment un univers complexe, d'une richesse égale à celle dont témoignent les masques du Japon, de l'Afrique, ou de l'île de Vancouver. Ils ont eu, eux aussi, leurs usages rituels. Une Atlantide de masques inquiétants, grotesques ou sublimes, oubliés par les historiens de l'art renaît ici d'un coup. On comprend aussi, par rebond, pourquoi l'Occident fut si réceptif aux visages venus du Japon vers 1875 et aux sculptures africaines après 1900 : l'imaginaire européen parlait déjà le langage des masques.

     

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  • Catégories : Des expositions

    Expo "Mythiques amériques" au Musée de l'Image d'Epinal

    mythiques.jpgLes lorrains et le nouveau monde : images et rencontres…

    Comment des imagiers d’Epinal peuvent-ils bien représenter les indiens des plaines américaines sans jamais s’y être rendu ? Pourquoi Saint-Dié est-elle marraine de l’Amérique ? Saviez-vous que c’est un lorrain, ministre de la marine, qui a décidé de fonder une nouvelle colonie en Guyane en 1763 ? Et que Buffalo Bill était venu à Epinal avec son impressionnant Wild West Show ?

     

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  • Catégories : Des expositions

    J'ai lu:Figaro Hors-Série : Les soldats de l’éternité

    107867311.jpg

    L’empereur Qin et les secrets de son incroyable nécropole


    Isabelle Schmitz, membre du Comité de rédaction du Figaro Hors-Série, nous présente le numéro du mois d’avril 2008 consacré à l’armée enterrée de l’empereur Qin.


    Découvert en 1974 par des paysans alors qu’ils creusaient un puits, le mausolée de Qi Shihuangdi met à jour plus de 7000 statues façonnées il y a plus de deux millénaires.
    Merveilleusement illustré par Araldo de Luco, le hors-série propose un prélude à l’exposition de la pinacothèque de Paris du 15 avril au 14 septembre 2008. Les photographies mettent tour à tour en avant l’expression humaine des soldats, les détails (tels les coiffures, les armures) ainsi que des vues d’ensemble des troupes, nous faisant ressentir l’ambiance surréaliste, « magique » à la vue de ces statues qui ont traversé les siècles.

    Irina de Chikoff raconte l’histoire des temps originels de la Chine et l’avènement de l’empire du Milieu. Elle poursuit avec la vie de celui qui est vu comme le premier dictateur, bien qu’il ait été à l’origine de la nation chinoise, de la construction de la Grande muraille de Chine ou encore du premier code juridique de ce pays.
    Ce récit quelque peu romancé est complété par Alain Barluet, qui s’est rendu à de nombreuses reprises sur le site de Xi’an et qui en présente l’histoire.
    D’autres journalistes, sinologues, historiens, ou encore un des commissaires de l’exposition en la personne d’Alain Thote contribuent à présenter ces fabuleux trésors archéologiques ainsi que l’époque à laquelle ils appartiennent.

    En savoir plus :

    Poursuivez cette découverte avec Les soldats de l’éternité, exposition à Paris avec Lothar Von Falkenhausen commissaire de l’exposition.


    La Pinacothèque de Paris

    http://canalacademie.com/spip.php?article3012

  • Catégories : Des expositions

    Vu au Palais des Beaux-Arts de Lille le 5 mars 2008:L’Atelier de la Monnaie(commentaires réouverts)

    En 1956 à Lille, face aux contraintes formelles de l'enseignement officiel de l'école des Beaux-Arts, des étudiants s'organisent en groupe de contestation radicale. Roger Frézin, Pierre Olivier, Claude Vallois, Jean-Pierre Dutour, Jean Brisy, Jean Parsy et Lyse Oudoire sont les piliers d'un groupe nommé en 1957 'l' atelier de la Monnaie'. Le but de ces jeunes artistes qui veulent se libérer des contraintes académiques est de présenter aux Lillois la création contemporaine lors de manifestations publiques. Cette exposition au Palais des Beaux-Arts de Lille présentera une sélection des oeuvres exposées lors de ces événements interdisciplinaires et rencontres de plasticiens et de non plasticiens organisés entre 1957 et 1972. Environ 150 oeuvres, trois par père fondateur et une par artiste invité. Parmi ces invités d'honneur, nous trouvons des artistes de l'Ecole de Paris comme Balthus, des représentants de l'abstraction lyrique comme Alfred Manessier, de l'Art Informel (Jean Fautrier), des surréalistes, de l'Op Art, de la nouvelle figuration, et bien d'autres encore. A l'époque incompris du grand public et parfois de la critique, les artistes de la Monnaie avaient le courage de leurs opinions et ont fait de Lille pendant cette période un centre de présentation et de diffusion de l'art contemporain auquel l'exposition souhaite rendre hommage.

    1543437670.jpghttp://www.evene.fr/culture/agenda/l-atelier-de-la-monnaie-20966.php

    Cette exposition est maintenant finie.

    Regret: l'avoir vue à la fin de la visite du musée. Résultat: plus assez d'énergie physique(on pietine beaucoup dans les musées, faim(visite de 10h à 14h) et au bout d'un moment, je ne "vois plus rien". Etes-vous comme moi?

    Heureusement, j'ai le petit guide pour me remémorer l'expo et la poursuivre en pensée.

  • Catégories : Des expositions

    Les caprices de Goya

    1547825916.jpg
    Du 25 avril au 28 juillet 2008
    Evénement inédit : pour la première fois à Lille, l’exposition présente l’intégralité de la série des Caprices de Goya (1746-1828), et les confronte à leurs interprétations contemporaines.


    Francisco de Goya y Lucientes (Fuendetodos, 1746 - Bordeaux, 1828) compte, avec Velázquez, parmi les plus grands peintres de l’école espagnole et de l’histoire de l’art européen. A l’instar de Dürer au XVIe siècle et de Rembrandt au XVIIe siècle, il fut également un dessinateur et un graveur exceptionnel.
    Devenu sourd en 1792, Goya transforme son art jusqu’alors fait de scènes religieuses, de scènes aimables ou de portraits, pour créer des œuvres aux tons plus sombres, portant un regard ouvertement critique sur les événements et la société de son temps.
    Trois grands thèmes y sont abordés : les relations amoureuses, la satire sociale et la sorcellerie où le fantastique règne davantage. Ils sont une des expressions majeures de cette révolution artistique et esthétique au crépuscule du siècle des Lumières.
    La série des Caprices, dont la première édition parait en 1799, se compose de 80 estampes réalisées à l’eau-forte et à l’aquatinte, parfois rehaussées de burin et de pointe sèche.
    Ces images satiriques d’une grande finesse d’imagination, sont comme des rébus dont la subtilité de lecture pose encore de nombreuses interrogations sur leur interprétation. En explorant l’âme humaine à travers ces estampes, Goya leur confère un langage universel et intemporel. L’exposition présente la série dans son intégralité pour la première fois à Lille.

    Dans son prolongement, l’exposition présente la série Los Nuevos Caprichos du photographe plasticien japonais Yasumasa Morimura ainsi qu’une sélection d’estampes tirées de Like A Dog Returns To Its Vomit des artistes londoniens Jake & Dinos Chapman.
    Ces deux œuvres importantes sont directement inspirées des Caprices. Créées en 2004-2005, elles participent à rendre compte de l’actualité et de l’universalité du message satirique de Goya. L’artiste japonais Yasumasa Murimora, en incarnant seul tous les personnages des célèbres estampes, ouvre l’univers de Goya au jeu de la parodie. Ainsi démultipliés, ses travestissements démontrent l’universalité et l’éternité de l’absurdité et de l’obscénité humaine.
    Saluée comme l’une des plus importantes séries d’estampes de l’art contemporain, l’ensemble Like A Dog Returns To Its Vomit des Britanniques Jake & Dinos Chapman fait cohabiter leur étrange galerie de portraits, de faces grimaçantes, de créatures et de personnages hybrides avec les chimères du peintre espagnol. Transposant l’univers de Goya dans le fantastique d’anticipation, l’esthétique des deux frères projette ces saynètes dans le futur.
    Ce point de vue contemporain est complété d’un choix de volumes, trois couples des figurines United Enemies de l’artiste allemand Thomas Schütte, deux sculptures de l’Américaine Rona Pondick et enfin deux autres figures de l’Anglais David Reekie.

    - Horaires d’ouverture :
    Lundi 14h -18h
    Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi et Dimanche 10h - 18h.
    Fermé le mardi, le 1er mai et le 14 juillet.

    - Tarifs (individuels) :
    Exposition seule : 5 € - 3,50 €
    Exposition + Collections permanentes : 6,50 € - 5 €
    Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans, les demandeurs d’emploi, les RMIstes… (voir le détail des conditions en caisse)

    Tarifs groupes, comités d’entreprise et professionnels du tourisme sur demande auprès du Service Réservations.
    Tél. 03 20 06 78 17 - Fax. 03 20 06 78 61 - reservationpba@mairie-lille.fr

    - Un Guide de Visite illustré de 24 pages est remis gratuitement avec le billet d’entrée à l’exposition.

    - Téléchargez le Dossier de Presse de l’exposition.

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/spip.php?article594

    Pour avoir plusieurs fois visité le musée de Castres où il y a beaucoup de Goya et déjà vu certains de ces caprices; cette expo va être grandiose.

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des expositions

    Je viens de lire:Camille Claudel, un destin malheureux, un talent exceptionnel

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    Un Hors Série du Figaro


    À l’occasion de la rétrospective Camille Claudel au musée Rodin en avril 2008, le Figaro Hors-Série propose un numéro autour de l’œuvre de cette artiste au destin tragique. Isabelle Schmitz, membre de la rédaction du Figaro Hors-Série, nous présente ce numéro exceptionnel.


    Extrait de l’éditorial de Michel de Jaeghere, directeur de la rédaction du Figaro hors-série :

    « Pas plus qu’à ses contemporains, ce n’est pas par son art que Camille Claudel s’est imposée à la postérité. Plutôt par un désastre : celui de son existence. Sa beauté, sa passion, sa folie, son enfermement. Sa mort était passée inaperçue, après trente ans d’internement au milieu des déments : elle était alors oubliée depuis longtemps. L’ouverture de la salle consacrée à son œuvre au musée Rodin en 1951, n’avait eu, à son tour, aucun retentissement. Interrogé la même année par Jean Amrouche pour un entretien radiodiffusé, Paul Claudel avait eu ces mots terrifiants : « Ma sœur Camille ! Ah, c’est un sujet terriblement triste et dont il m’est difficile de parler (…). La nature s’était montrée prodigue à son égard ; ma sœur Camille avait une beauté extraordinaire, de plus une énergie, une imagination, une volonté tout à fait exceptionnelles. Et tous ces dons n’ont servi à rien : après une vie extrêmement douloureuse, elle a abouti à un échec complet (…) Moi, j’ai abouti à un résultat. Elle, elle n’a abouti à rien (…) ».
    Elle n’avait abouti à rien. Elle n’avait obtenu ni fonction officielle, ni siège à l’Académie. Ni ambassade, ni médaille. Elle s’était contentée de poursuivre la beauté et d’y brûler sa vie. Perdue pour les grandeurs d’établissement.
    La redécouverte viendrait de la littérature, avec la biographie romancée d’Anne Delbée, Une femme (1982), que suivrait le beau film de Bruno Nuytten (1988), servi par la ressemblance troublante, incroyable d’Isabelle Adjani avec son modèle. Le succès populaire ouvrait enfin, à la grande oubliée, l’occasion d’une revanche, fût-ce parfois au prix de raccourcis saisissants. Camille Claudel, c’était une femme, un malheur, un destin. Une femme libérée des conventions étroites de la morale bourgeoise, qui s’était sacrifiée à l’admiration qu’elle portait, en Rodin, à un géant de l’histoire de l’art aux ridicules de notable, aux indélicatesses de grand mâle dominant. Une artiste brisée dans son inspiration par les contraintes de l’atelier. Une insoumise poussée à la folie par le manque d’amour et de reconnaissance […]. »


    « Le mérite de la rétrospective qu’organise aujourd’hui le musée Rodin est de compléter cette vision forcément simplificatrice en donnant à une œuvre trop longtemps méconnue la toute première place. De faire la part de ce qu’elle doit à la « syntaxe de Rodin », de ce qu’elle a de proprement novateur, par la peinture des états d’âme, l’emploi subtil de matériaux précieux, la volonté de rompre avec les canons de l’académisme, le don de transfigurer en allégories les choses vues. Le paradoxe est qu’elle nous offre, par là, l’occasion de parcourir la plus subtile des autobiographies. Non seulement, avec L’Implorante, L’Age mûr, par la mise en scène romantique de ses malheurs et de ses déchirements, mais, plus secrètement, par l’alternance des personnages aux yeux clos, concentrés, vulnérables, abandonnés à la promesse de l’amour ou tendus vers une beauté intérieure, inaccessible, avec les visages aux regards levés vers le ciel, comme aspirés par une espérance invincible (…). Camille Claudel n’a pas laissé d’autoportrait spirituel. Impénétrable, elle semble protéger de nos regards un secret indicible. »

    Sommaire

    Les mouvements de l’âme
    Journées de la vie d’une artiste
    L’extase et l’agonie
    Auguste et Camille
    La petit Paul
    La tension intérieure, entretien avec Aline Magnien
    Naissance d’un mythe
    A nous deux Paris
    Le silence et la mer
    L’emmurée
    Les vestiges du jour
    Le dossier de l’écran

    L’année Claudel
    Une saison chez Rodin
    Entretien avec Dominique Viéville
    Plaisirs et lectures

    En savoir plus

    Une grande rétrospective Camille Claudel est présentée au Musée Rodin à Paris du 15 avril au 20 juillet 2008

    Le Figaro hors-série est disponible en kiosque. Pour acheter d’anciens numéros, cliquez ici

    http://www.canalacademie.com/Camille-Claudel.html

  • Catégories : Des expositions

    Expo vue lundi 28 avril:LEÇONS DE CHOSES

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    DU 08/03/2008 au 18/05/2008
    Style : Peinture
    Lieu : Musée des Papillons

    Eloge de la découverte et de la curiosité, éveil des sens... Il y a dans l’atmosphère des leçons de choses, le plaisir oublié pour l’observation minutieuse, le discernement et le goût du détail.
    Mes peintures sont des palimpsestes dans lesquels on entre par le biais de distorsions spatiales, d’inserts, de repentirs. Interroger le thème des leçons de choses c’est évoquer l’idée de “mémoire” mais jamais dans une posture nostalgique ou passéiste.
    Simplement en acceptant de placer ma peinture dans une histoire.
    Une histoire de l’école, de l’homme, de l’art.
    Delphine Leviste

    Tarif :
    Individuel : Tarifs en vigueur
    GRATUIT pour les moins de 6 ans et pour tous le premier dimanche du mois.

    Entrée libre le samedi 17 mai de 19h00 à 1h00 du matin à l’occasion de la Nuit des Musées.
    Groupe :

    Horaires : Ouvert du lundi au dimanche de 14h à 18h
    Fermé le mardi.


    http://www.ville-saintquentin.fr/pages/popup/detail_e1.asp?id=113