Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Doisneau : Paris en liberté (Paris)

Pont d'Iéna, 1945
Robert Doisneau
© Atelier Robert Doisneau
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http://www.linternaute.com/sortir/diaporama_expositions/9.shtml
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Pont d'Iéna, 1945
Robert Doisneau
© Atelier Robert Doisneau
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http://www.linternaute.com/sortir/diaporama_expositions/9.shtml
Exposition organisée par The Metropolitan Museum of Art, New York et l’Institut du monde arabe, Paris.
Rarement deux destins ont été aussi intimement liés, malgré les antagonismes et les péripéties de l’Histoire. En effet, Venise, cette cité-État européenne, qui a exercé une suprématie économique et commerciale pendant des siècles en Méditerranée, avait instauré, depuis le IXe siècle, des rapports privilégiés avec les dynasties du Proche-Orient et tissé des liens solides avec Le Caire, Damas et Byzance-Constantinople.
L’exposition couvre plusieurs siècles – du vol de la dépouille de Saint-Marc, à Alexandrie en 828, à la fin de la République – et différentes aires géographiques, marquant un intérêt particulier pour les échanges artistiques et culturels entre Venise et le Proche-Orient.
L’exposition, cependant, se concentre sur la période la plus féconde de ces échanges, à savoir : du XIVe au XVIIe siècle.
En effet, c’est dès la fin du XIIIe siècle que Venise commence à se couvrir de palais, de se parer de tapis d’Orient, de soieries, de brocarts et de velours. Pour certains de ces objets la question continue à se poser : sont-ils vénitiens ou orientaux ? Les experts s’y perdent, même encore aujourd’hui.
Venise devient très tôt une puissance mondiale et établit, grâce au commerce, des liens privilégiés avec les grandes dynasties musulmanes : les Ayyoubides, les Mamelouks et les Ottomans. Ainsi s’opère à travers les siècles une transmission des savoirs et des techniques de l’Orient vers Venise. À son tour, la République vénitienne exporte dès le XVIe siècle des objets de luxe à décor islamique vers les grandes capitales d’Orient.
La représentation de Mamelouks et d’Ottomans, avec leur vêture caractéristique, dans les toiles des grands maîtres de la Renaissance, témoigne de la familiarité des Vénitiens avec leurs voisins méditerranéens.
Quelque 250 objets – peintures, textiles et tapis, verreries, céramiques, orfèvreries – provenant des collections vénitiennes et des plus grands musées à travers le monde, illustrent l’itinéraire de cette exposition.
Contacts presse
HORAIRES
Du mardi au vendredi de 10h à 18h
Week-end et jours fériés de 10h à 19h
Nocturne le jeudi jusqu'à 21h
TARIFS
Entrée : 10 € (plein), 8 € (réduit*), 6 € (-26 ans)
Visite conférence (Tous les jours sauf le lundi à 14h30 et 16h30) : 15 € (plein), 13,5 € (réduit*), 11,5 € (- de 26 ans)
IMA Pass (Musée & Exposition) : 12 € (plein)/11 € (réduit*), 8 € ( - de 26 ans)
Entrée libre : Amis de l’IMA, carte ICOM/ICOMOS, moins de 12 ans, handicapés, conférenciers, guides touristiques.
*Bénéficient du tarif réduit : Étudiants, les enseignants, demandeurs d’emplois, LTP. (Justificatif à présenter).
BILLETTERIE
Par téléphone : 0 892 702 604 (0,34 € /min)
Entre le Louvre à Paris et le Palais des beaux-arts à Lille, cinq événements se partagent le printemps.
Jusqu'au 31 janvier 2007, le musée des Beaux-Arts de Brest vous invite à vous balader dans la Bretagne des artistes symbolistes.
Mouvement propre à la fin du XIXe siècle, le symbolisme retranscrit les sentiments et les idéologies humaines par le biais de symboles. Verlaine, Rimbaud ou Mallarmé ont inauguré cette esthétique qui connut son heure de gloire en peinture grâce à Odilon Redon, Puvis de Chavannes ou Gustave Moreau.
L'exposition de Brest se concentre principalement sur les Nabis, sorte de confrérie d'artistes vouée à la recherche de l'émotion primitive et du fondement de l'art. Dans cette recherche artistique, la Bretagne a joué un rôle important, devenant terre d'accueil de nombreux peintres. Un des lieux qui inspira le plus les artistes fut la côté rocheuse et plus précisément Pont-Aven, dans le Finistère.
Ce mouvement pictural précurseur de l'abstraction en peinture a ainsi pu être mis en valeur grâce au prêt d'œuvres majeures effectués par différents musées et de collectionneurs privés.
PRATIQUE
Exposition : Les peintres du rêve en Bretagne
Dates : Jusqu'au 31 janvier 2007
Lieu : Musée des Beaux-Arts, 24 rue Traverse, 29 200 Brest
Horaires : Ouvert de 10h à 12h et de 14h à 18h sauf le lundi, le dimanche matin et les jours fériés
Tarifs : Plein : 4€, réduit : 2,50€, gratuit jusqu'à 18 ans
Informations :
02 98 00 87 96
Sur le Web :
www.mairie-brest.fr
http://www.linternaute.com/sortir/sorties/exposition/peintres-du-reve/peintres-du-reve.shtml
Mise à jour : 04/01/2007
La mode est reine à Saint Etienne, avec une expo majeure sur le ruban,
« Les Enrubannées », au Musée d'Art et d'Industrie jusqu'au printemps. L'occasion de célébrer
Ce musée exceptionnel, unique en France, rappelle à ses visiteurs que Saint Etienne fut, en son temps, la capitale de la révolution industrielle, avant de trouver, aujourd'hui, une vocation naturelle dans le design.
On passera rapidement sur la collection de cycles qui est la première en France et la collection d'armes, seconde derrière celle du Musée des Armées. Toutes deux issues des manufactures d'armes et de cycles qui ont fait la gloire de Saint Etienne.
Ce que l'on sait peut-être moins, (encore que...) et qui est bien plus flatteur à l'œil et au sens de l'esthétique (encore que aussi...), c'est le caractère unique et exhaustif de la collection de rubans, dont la ville a été et reste, le principal centre mondial.
Le musée abrite 1,5 million d'échantillons de rubans, ceintures de bal, écharpes, tableaux tissés et si la fabrication à domicile n'existe plus, le savoir-faire s'est maintenu et les collections continuent à s'enrichir, avec des rubans techniques et des pièces de Haute Couture.
D'autant que le ruban, qui pourrait sembler d'une autre époque, est en train de retrouver une seconde jeunesse sous le crayon des créateurs et quitte son rôle d'accessoire pour incarner la structure même du vêtement et devenir l'élément constitutif du costume.
C'est à cette découverte que convie l'exposition. L'histoire du ruban et de la soie, des fabriques de passementerie, mais aussi tout le passé et le devenir de la mode, à travers le ruban et ses applications. Avec de formidables conférences gratuites, organisées une fois par mois, pendant toute la durée de l'exposition.
Pratique
Musée d'Art et d'Industrie de Saint Etienne
2, place Louis Comte, à Saint Etienne (Loire)
Tél. : 04 77 49 73 00
Ouvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi et jours fériés.
Exposition « Les Enrubannées » du 25 novembre 2006 au 23 avril 2007 - Conférences gratuites à 14h30 le 1er février sur les Canons de la Beauté ; le 13 mars sur le Luxe et la Mode et le 5 avril sur le Mannequin : "du portemanteau au top modèle".
Visites guidées des expositions tous les mercredis matins à 10h30, les samedis à 15h et les dimanches à 16h30.
Ateliers adultes et enfants dans lesquels on apprendra à confectionner des bijoux en ruban.
Documentation
A lire également
Tiziano Vecellio, dit Le Titien (1488/90-1576), acteur indiscutable de la scène artistique européenne du XVIe siècle, est réputé pour les portraits qu’on lui commande de toute l’Italie, puis de l’Europe entière. Ses portraits, que l’on peut qualifier «d'officiels » ou « d’État » ne se contentent plus seulement de capturer la physionomie et le maintien de l’individu mais reflètent désormais son statut social: au-delà de la simple représentation, ses portraits formalisent et pérennisent la place occupée par le modèle dans la société.
Grâce à cela, il reçut d’importantes commandes, notamment des ducs de Ferrare, de Mantoue et d’Urbino, et des familles Gonzague, d’Este et della Rovere. Puis l’empereur Charles Quint le nomma premier peintre de la cour des Habsourg Dans une scénographie évoquant une galerie de l’époque, l’exposition révèlera l’extraordinaire talent de portraitiste du Titien, auteur d’un véritable reportage sur les grandes figures des pouvoirs politique, religieux et culturel en Europe au XVIe siècle. Cette exposition est organisée en collaboration avec le Museo di Capodimonte de Naples, où sont présentés, du 23 mars au 4 juin 2006, dans une exposition plus ample sur le portrait de cour au XVIe siècle, une partie des chefs d'œuvre du Titien qui seront exposés au Musée du Luxembourg.
Le Déluge (1789)
Jean-Baptiste Regnault, Le Déluge (1789). Huile sur toile, 89 x 71 cm. Paris, Louvre, Peintures.
© MNR, Christian Jean
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Fibule Ostheim
Fibule en bronze à visage humain et tête de griffon, Ostheim (Allemagne), Vème siècle av. J.-C.
"Ur - und Frühgeschichtliche Sammlung der Friedrich-Schiller-Universität Jena"
© Droits Réservés
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Comme je ne peux pas aller pour l'instant à Paris voir cette exposition, j'ai dévoré ce "Télérama Hors série" de décembre 2006 qui s'intitule "L'Egypte surgie des eaux au Grand Palais" et qui retrace "dix ans de fouilles en baie d'Aboukir."
Le texte est passionnant , les images magnifiques; il y aussi une bonne bibliographie (textuelle et virtuelle) à la fin et toutes les cooordonnées pour aller voir l'exposition.
Ceci dit, ces hors-série de Télérama sont souvent excellents.
Maintenant, je vais aller voir:
- le site de l'exposition:http://www.tresors-engloutis-degypte.fr/Website.aspx?l=2
- le site de l'Institut européen d'archéologie sous-marine:http://www.franckgoddio.org
N'oubliez pas, si vous y allez de ne me ramener un souvenir virtuel.
Bonne visite réelle ou virtuelle.
Si vous y allez avant moi (facile: ça fait loin du Maroc), racontez-moi!.......
H. Toulouse-Lautrec, Au cirque, travail sur le panneau
© Musée Toulouse-Lautrec Albi Tous droits réservés.
Thème récurrent, le cirque fait partie de l'univers d'Henri de Toulouse-Lautrec dès son enfance. La figure de l'écuyère, de l'acrobate, le numéro du clown, comme les prouesses équestres, le fascinent et lui inspirent de nombreuses oeuvres. Une présentation de l'ensemble des 39 dessins réalisés sur ce sujet mettra en évidence l'attirance de l'artiste pour le monde circassien.