Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Des expositions - Page 43

  • Catégories : Des expositions

    Venise et l'Orient à l'Institut du Monde Arabe jusqu'au 18 février 2007

     

    medium_expo-venise-img.jpgmedium_art_illus_fil_visuel_venise.jpgExposition organisée par The Metropolitan Museum of Art, New York et l’Institut du monde arabe, Paris.


    Rarement deux destins ont été aussi intimement liés, malgré les antagonismes et les péripéties de l’Histoire. En effet, Venise, cette cité-État européenne, qui a exercé une suprématie économique et commerciale pendant des siècles en Méditerranée, avait instauré, depuis le IXe siècle, des rapports privilégiés avec les dynasties du Proche-Orient et tissé des liens solides avec Le Caire, Damas et Byzance-Constantinople.

    L’exposition couvre plusieurs siècles – du vol de la dépouille de Saint-Marc, à Alexandrie en 828, à la fin de la République – et différentes aires géographiques, marquant un intérêt particulier pour les échanges artistiques et culturels entre Venise et le Proche-Orient.

    L’exposition, cependant, se concentre sur la période la plus féconde de ces échanges, à savoir : du XIVe au XVIIe siècle.

    En effet, c’est dès la fin du XIIIe siècle que Venise commence à se couvrir de palais, de se parer de tapis d’Orient, de soieries, de brocarts et de velours. Pour certains de ces objets la question continue à se poser : sont-ils vénitiens ou orientaux ? Les experts s’y perdent, même encore aujourd’hui.

    Venise devient très tôt une puissance mondiale et établit, grâce au commerce, des liens privilégiés avec les grandes dynasties musulmanes : les Ayyoubides, les Mamelouks et les Ottomans. Ainsi s’opère à travers les siècles une transmission des savoirs et des techniques de l’Orient vers Venise. À son tour, la République vénitienne exporte dès le XVIe siècle des objets de luxe à décor islamique vers les grandes capitales d’Orient.

    La représentation de Mamelouks et d’Ottomans, avec leur vêture caractéristique, dans les toiles des grands maîtres de la Renaissance, témoigne de la familiarité des Vénitiens avec leurs voisins méditerranéens.

    Quelque 250 objets – peintures, textiles et tapis, verreries, céramiques, orfèvreries – provenant des collections vénitiennes et des plus grands musées à travers le monde, illustrent l’itinéraire de cette exposition.


    Contacts presse









    HORAIRES

    Du mardi au vendredi de 10h à 18h
    Week-end et jours fériés de 10h à 19h

    Nocturne le jeudi jusqu'à 21h

    TARIFS

    Entrée : 10 € (plein), 8 € (réduit*), 6 € (-26 ans)
    Visite conférence (Tous les jours sauf le lundi à 14h30 et 16h30) : 15 € (plein), 13,5 € (réduit*), 11,5 € (- de 26 ans)
    IMA Pass (Musée & Exposition) : 12 € (plein)/11 € (réduit*), 8 € ( - de 26 ans)
    Entrée libre : Amis de l’IMA, carte ICOM/ICOMOS, moins de 12 ans, handicapés, conférenciers, guides touristiques.
    *Bénéficient du tarif réduit : Étudiants, les enseignants, demandeurs d’emplois, LTP. (Justificatif à présenter).

    BILLETTERIE

    Par téléphone : 0 892 702 604 (0,34 € /min)

    http://www.imarabe.org/temp/expo/venise-orient.html

  • Catégories : Des expositions

    Expositions du printemps 2007: de Praxitèle à Anselm Kiefer

    MARIE-GUY BARON, FRANÇOISE DARGENT ET ÉRIC BIÉTRY-RIVIERRE.
     Publié le 04 janvier 2007
    Actualisé le 04 janvier 2007 : 10h31

    Entre le Louvre à Paris et le Palais des beaux-arts à Lille, cinq événements se partagent le printemps.

    AU LOUVRE, le printemps sera résolument grec avec Praxitèle, en majesté du 23 mars au 18 juin. Curieusement, alors qu'il est pour la sculpture, avec Phidias et Lysippe, l'équivalent d'Homère pour la littérature, la France n'a jamais consacré au maître d'Athènes, l'inventeur du nu féminin, la moindre exposition. Cette erreur devrait être très brillamment réparée. Les marbres viennent d'être restaurés et les prêts d'institutions européennes s'annoncent abondants. Enfin, la carrière et la production du maître de l'art grec du IVe siècle av. J.-C. est beaucoup mieux connue.
    Toutefois, les deux commissaires, Alain Pasquier et Jean-Luc Martinez, préviennent : pour l'Antiquité, l'exercice de la monographie a ses limites, les contours du corpus, la notion même d'auteur, étant flous. Alors, pour contourner l'écueil, ils s'attacheront aussi à évoquer les différents et nombreux regards qu'ont eus les siècles sur le créateur de la Vénus de Cnide, de l'Apollon Sauroctone et de l'Éros de Thespies.
    Autre première, au Palais des beaux-arts de Lille, du 27 avril au 15 août : la rétrospective internationale du peintre français d'origine flamande Philippe de Champaigne, alors que la dernière remonte à 1952. Sous-titrée « Entre politique et dévotion », cette exposition, projet européen attendu, répond à une vision géostratégique en ce sens que Champaigne (1602-1674) se situe au carrefour de styles, d'écoles et de visions philosophiques entre le classicisme, le centralisme français et le baroque de l'Europe du Nord-Ouest. Un sujet monographique fortement lié aux recherches fondamentales sur l'esthétique au XVIIe siècle.
    Un gigantesque ensemble d'oeuvres nouvelles
    En même temps, du 25 avril au 15 août, le Centre Pompidou fête ses trente ans sous le signe de Marcel Duchamp, dont la rétrospective avait fait l'ouverture en 1977. « Airs de Paris », la grande exposition ­anniversaire, reprend le titre d'une de ses oeuvres, Air de Paris, mais au pluriel pour mettre l'accent sur sa nature pluridisciplinaire. En deux volets elle réunit 57 artistes et 16 paysagistes, designers, architectes sur les thèmes de la ville et de la vie urbaine qui présentent des oeuvres de 1970 à nos jours. Organisé en dix chapitres, le volet ­consacré à l'art s'attache aux mutations technologiques, électroniques et sociales à travers le regard des artistes, notamment On Kawara, Gordon Matta-Clark, Chris ­Marker, Raymond Hains, Tatiana Trouvé, Carsten Höller, Jean-Luc Moulène, Daniel Buren, Saâdane Afif, Dominique Gonzales-Foerster et Nan Goldin.
    Toujours au printemps mais mordant surtout sur l'été, du 30 mai au 8 juillet, une naissance est attendue au Grand Palais rénové. Celle de la nouvelle exposition « Monumenta » qui, sous l'immense nef de verre et d'acier, accueillera chaque année un artiste de renommée internationale. L'Allemand Anselm Kiefer, qui vit et travaille depuis plus de dix ans en France, inaugure cette manifestation par un gigantesque ensemble d'oeuvres nouvelles qui rendent hommage aux poètes engagés Paul Celan et Ingeborg Bachman.
    À la Bibliothèque nationale, on célèbre, dès le 27 mars, une figure de la photographie française, Eugène Atget, né il y a cent cinquante ans. L'institution puise dans ses fonds acquis dès 1900 auprès de l'artiste. L'homme réalisa une vaste collecte documentaire du Paris qui disparaissait sous ses yeux, révélant une capitale pittoresque. Ce « Balzac de la caméra », selon les mots de la photographe Berenice Abbott, a influencé de nombreux artistes, notamment aux États-Unis, et reste dans son art l'une des références majeures du siècle dernier.
    Ainsi, on le constate, la palette des expositions 2007 s'annonce aussi large que variée pour des musées de plus en plus fréquentés mais également de plus en plus en concurrence. Ceux qui proposeront des événements de qualité sans se contenter de louer leurs mètres carrés pour des réceptions ou des réunions professionnelles, ou qui résistent à la tentation des produits dérivés douteux, investissent à long terme.
  • Catégories : Balades, Des expositions, Des musées, La peinture

    Les peintres du rêve en Bretagne

    medium_les_peintres_du_reve.jpg

    Jusqu'au 31 janvier 2007, le musée des Beaux-Arts de Brest vous invite à vous balader dans la Bretagne des artistes symbolistes.

    Le symbolisme, de la littérature à la peinture

    Mouvement propre à la fin du XIXe siècle, le symbolisme retranscrit les sentiments et les idéologies humaines par le biais de symboles. Verlaine, Rimbaud ou Mallarmé ont inauguré cette esthétique qui connut son heure de gloire en peinture grâce à Odilon Redon, Puvis de Chavannes ou Gustave Moreau.

    Les Nabis et la Bretagne

    L'exposition de Brest se concentre principalement sur les Nabis, sorte de confrérie d'artistes vouée à la recherche de l'émotion primitive et du fondement de l'art. Dans cette recherche artistique, la Bretagne a joué un rôle important, devenant terre d'accueil de nombreux peintres. Un des lieux qui inspira le plus les artistes fut la côté rocheuse et plus précisément Pont-Aven, dans le Finistère.

    Ce mouvement pictural précurseur de l'abstraction en peinture a ainsi pu être mis en valeur grâce au prêt d'œuvres majeures effectués par différents musées et de collectionneurs privés.

    PRATIQUE

    Exposition : Les peintres du rêve en Bretagne
    Dates : Jusqu'au 31 janvier 2007
    Lieu : Musée des Beaux-Arts, 24 rue Traverse, 29 200 Brest
    Horaires : Ouvert de 10h à 12h et de 14h à 18h sauf le lundi, le dimanche matin et les jours fériés
    Tarifs : Plein : 4€, réduit : 2,50€, gratuit jusqu'à 18 ans
    Informations : 
    02 98 00 87 96
    Sur le Web : 
    www.mairie-brest.fr

    http://www.linternaute.com/sortir/sorties/exposition/peintres-du-reve/peintres-du-reve.shtml

  • Saint Etienne, quand l’art rencontre l’industrie

    medium_ste.2.jpg

    Mise à jour : 04/01/2007

    La mode est reine à Saint Etienne, avec une expo majeure sur le ruban,
    « Les Enrubannées », au Musée d'Art et d'Industrie jusqu'au printemps. L'occasion de célébrer

    Ce musée exceptionnel, unique en France, rappelle à ses visiteurs que Saint Etienne fut, en son temps, la capitale de la révolution industrielle, avant de trouver, aujourd'hui, une vocation naturelle dans le design.

    On passera rapidement sur la collection de cycles qui est la première en France et la collection d'armes, seconde derrière celle du Musée des Armées. Toutes deux issues des manufactures d'armes et de cycles qui ont fait la gloire de Saint Etienne. 

    Ce que l'on sait peut-être moins, (encore que...) et qui est bien plus flatteur à l'œil et au sens de l'esthétique (encore que aussi...), c'est le caractère unique et exhaustif de la collection de rubans, dont la ville a été et reste, le principal centre mondial.

    Le musée abrite 1,5 million d'échantillons de rubans, ceintures de bal, écharpes, tableaux tissés et si la fabrication à domicile n'existe plus, le savoir-faire s'est maintenu et les collections continuent à s'enrichir, avec des rubans techniques et des pièces de Haute Couture.

    D'autant que le ruban, qui pourrait sembler d'une autre époque, est en train de retrouver une seconde jeunesse sous le crayon des créateurs et quitte son rôle d'accessoire pour incarner la structure même du vêtement et devenir l'élément constitutif du costume.

    C'est à cette découverte que convie l'exposition. L'histoire du ruban et de la soie, des fabriques de passementerie, mais aussi tout le passé et le devenir de la mode, à travers le ruban et ses applications. Avec de formidables conférences gratuites, organisées une fois par mois, pendant toute la durée de l'exposition.

    Pratique

    Musée d'Art et d'Industrie de Saint Etienne

    2, place Louis Comte, à Saint Etienne (Loire)

    Tél. : 04 77 49 73 00

     

    Ouvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi et jours fériés.

     

    Exposition « Les Enrubannées » du 25 novembre 2006 au 23 avril 2007 - Conférences gratuites à 14h30 le 1er février sur les Canons de la Beauté ; le 13 mars sur le Luxe et la Mode et le 5 avril sur le Mannequin : "du portemanteau au top modèle".

     

    Visites guidées des expositions tous les mercredis matins à 10h30, les samedis à 15h et les dimanches à 16h30.
    Ateliers adultes et enfants dans lesquels on apprendra à confectionner des bijoux en ruban.

    mairie-st-etienne.fr

    Documentation

     

    UNE BONNE OCCASION DE VISITER SAINT-ETIENNE,UNE VILLE CHERE A MON COEUR.
  • Catégories : Des expositions, Des musées, La peinture

    Titien, le pouvoir en face du 13 septembre 2006 au 21 janvier 2007 au Musée du Luxembourg(Paris)

     Tiziano Vecellio, dit Le Titien (1488/90-1576), acteur indiscutable de la scène artistique européenne du XVIe siècle, est réputé pour les portraits qu’on lui commande de toute l’Italie, puis de l’Europe entière. Ses portraits, que l’on peut qualifier «d'officiels » ou « d’État » ne se contentent plus seulement de capturer la physionomie et le maintien de l’individu mais reflètent désormais son statut social: au-delà de la simple représentation, ses portraits formalisent et pérennisent la place occupée par le modèle dans la société.

     

    Grâce à cela, il reçut d’importantes commandes, notamment des ducs de Ferrare, de Mantoue et d’Urbino, et des familles Gonzague, d’Este et della Rovere. Puis l’empereur Charles Quint le nomma premier peintre de la cour des Habsourg Dans une scénographie évoquant une galerie de l’époque, l’exposition révèlera l’extraordinaire talent de portraitiste du Titien, auteur d’un véritable reportage sur les grandes figures des pouvoirs politique, religieux et culturel en Europe au XVIe siècle. Cette exposition est organisée en collaboration avec le Museo di Capodimonte de Naples, où sont présentés, du 23 mars au 4 juin 2006, dans une exposition plus ample sur le portrait de cour au XVIe siècle, une partie des chefs d'œuvre du Titien qui seront exposés au Musée du Luxembourg.

     

    http://www.museeduluxembourg.fr/presenttitien.php

  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'histoire

    Par Toutatis, la religion des Gaulois (Lyon)

    Fibule Ostheim
    Fibule en bronze à visage humain et tête de griffon, Ostheim (Allemagne), Vème siècle av. J.-C.
    "Ur - und Frühgeschichtliche Sammlung der Friedrich-Schiller-Universität Jena"

    © Droits Réservés

    lieu : Musée Gallo-Romain, Lyon- Fourvière

    date : jusqu'au 7 janvier 2007

    http://www.linternaute.com/sortir/diaporama_expositions/7.shtmlmedium_toutatisg.jpg
  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'histoire

    Exposition "Trésors engloutis d'Egypte" au Grand Palais jusqu'au 16 mars 2007

    medium_telerama_egypte.jpgComme je ne peux pas aller pour l'instant à Paris voir cette exposition, j'ai dévoré ce "Télérama Hors série" de décembre 2006 qui s'intitule "L'Egypte surgie des eaux au Grand Palais"  et qui retrace "dix ans de fouilles en baie d'Aboukir."

    Le texte est passionnant , les images magnifiques; il y aussi une bonne bibliographie (textuelle et virtuelle) à la fin et toutes les cooordonnées pour aller voir l'exposition.

    Ceci dit, ces hors-série de Télérama sont souvent excellents.

    Maintenant, je vais aller voir:

    -medium_expo_egypte.jpg le site de l'exposition:http://www.tresors-engloutis-degypte.fr/Website.aspx?l=2

     

     

     

     

     

     

    - le site de l'Institut européen d'archéologie sous-marine:http://www.franckgoddio.org

    medium_goddio.jpg

     

     

     

     

     

     

     

    N'oubliez pas, si vous y allez de ne me ramener un souvenir virtuel.

    Bonne visite réelle ou virtuelle.

  • En piste ! Toulouse-Lautrec et le cirque au Musée d'Albi jusqu'au 26 novembre 2006

    medium_cirque.jpgH. Toulouse-Lautrec, Au cirque, travail sur le panneau
    © Musée Toulouse-Lautrec
    Albi Tous droits réservés.

    Thème récurrent, le cirque fait partie de l'univers d'Henri de Toulouse-Lautrec dès son enfance. La figure de l'écuyère, de l'acrobate, le numéro du clown, comme les prouesses équestres, le fascinent et lui inspirent de nombreuses oeuvres. Une présentation de l'ensemble des 39 dessins réalisés sur ce sujet mettra en évidence l'attirance de l'artiste pour le monde circassien.

    Lire la suite