Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
FMI : Lagarde séduit l’Amérique avant son oral
Portrait
http://www.liberation.fr/economie/01012344952-fmi-lagarde-seduit-l-amerique-avant-son-oral
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Natalie Clifford Barney est née à Dayton (Ohio, Etats-Unis) le 31 octobre 1876, dans une riche famille américaine.
Elle reçoit la meilleure éducation, apprend le français, lit Verlaine et Baudelaire. Adolescente elle découvre le Paris de la fin du siècle. Liane de Pougy racontera dans Idylle saphique (1901) sa liaison avec "Moonbeam" (rayon de lune).
En 1900, Natalie Barney publie un premier volume de vers, Quelques portraits-sonnets de femmes, d'inspiration symboliste. Elle rencontre ensuite la poétesse Renée Vivien, qui fait d'elle sa muse. Rendue célèbre par ses amours (Colette, Lucie Delarue-Mardrus, plus tard Romaine Brooks), elle devient l'égérie du tout-Paris littéraire. En 1904, La Femme qui vit avec moi évoque une liaison sur le mode mineur. En 1910, elle donne Éparpillements, florilège de maximes, puis Je me souviens, long poème en prose consacré à sa liaison avec Renée Vivien, enfin un recueil de poèmes, Actes et entractes.
Remy de Gourmont, épris d'elle, lui adresse des Lettres à l'amazone qu'il publie dans Le Mercure de France (janvier 1912-octobre 1913). Pendant la guerre, Natalie Barney est résolument pacifiste. En 1920, son recueil Poems et poèmes célèbre la femme sur des mètres variés. En 1921, elle fait paraître Pensées d'une amazone et en 1927 publie les Lettres intimes à l'amazone, que lui avait jadis écrites Gourmont.
Aventures de l'esprit (1929) réunit des portraits littéraires, avant Celle qui est légion (1930), autoportrait romanesque. En 1939, Nouvelles pensées de l'amazone suscite l'admiration de son ami Max Jacob. Elle séjourne à Florence de 1940 à 1946, puis regagne la rue Jacob où elle tient toujours salon. Peu à peu Natalie Barney est oubliée, malgré la publication de Souvenirs indiscrets en 1960, suivis de Traits et portraits en 1963.
Délogée de sa maison de la rue Jacob, Natalie Clifford Barney meurt à l'hôtel Meurice, à Paris, le 02 février 1972.
Il me faut chanter ici ce que je ne voudrais point chanter
Car j'ai fort à me plaindre de celui dont je suis l'amie
Je l'aime plus que tout au monde
Mais rien ne trouve grâce auprès de lui
Ni Merci, ni Courtoisie, ni ma beauté, ni mon esprit,
Je suis trompée et trahie comme je devrais l'être
Si je n'avais pas le moindre charme.
L'oeil de l'âme
plaidoyer pour l'imaginationBaude, Jeanne-Mariepréface Dominique SalinBayard , Montrouge (Hauts-de-Seine)collection ChristusParution
François Rivière
28/04/2011 | Mise à jour : 14:47 Réagir
En novembre 2005, répondant à l'invitation du petit-fils d'Agatha Christie rencontré au Canada lors de la première de Chimneys, une pièce oubliée de l'auteur de La Souricière, l'Irlandais John Curran vient séjourner quelque temps à Greenway House. Ce fanatique de la romancière est aussitôt sous le charme de la belle maison géorgienne dominant l'embouchure de la Dart, qui, il le sait, a souvent servi de décor aux machinations criminelles de son idole. Mais il ignore encore qu'en explorant les combles de la vénérable demeure il va être amené à faire une découverte exceptionnelle. Pas moins de soixante-treize carnets de notes couverts de l'écriture désuète et parfois difficile à déchiffrer de la Duchesse de la Mort gisaient dans un placard depuis que Rosalind, la fille unique d'Agatha, les y avait pieusement relégués. Ayant obtenu des héritiers l'autorisation de se livrer à un travail de décryptage puis d'analyse de ces précieux grimoires, Curran réalise ainsi le rêve secret de tout fondu de l'œuvre christienne: découvrir enfin les secrets de fabrication de romans aussi légendaires que Dix petits nègres, A.B.C. contre Poirot ou Mort sur le Nil. Avec patience, abnégation et un sens inouï de la «réorganisation» de ces notes griffonnées sans ordre ni autre logique que celle d'un imaginaire capricieux, Curran s'attelle bientôt à la composition d'un livre à partir du contenu de carnets pareils aux papyrus mis au jour par les égyptologues.
La grande helléniste avait consacré un livre à sa mère adorée. Et prié son éditeur de ne le publier qu'à sa mort. "Jeanne" paraît le 23 mars.
Anthologie : 29 voix de femmes à travers la poésie contemporaine de langue française
Christiane Laïfaoui, Jean-Claude Rossignol
Préface de C.Krähenbühl et D.Mützenberg
DIVERS
Une anthologie de poèmes de vingt-neuf femmes d'expression française venant des cinq continents.
http://www.harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=9758
Pierre Charly, apprenti cordier (peut-être d'origine italienne), né aux alentours de 1470, illettré au point de ne pas savoir signer, épouse Guillermette Decuchermois, sans doute âgée ; celle-ci est veuve depuis 1489 de Jacques Humbert, dit Labé (ou L'Abbé [forme la plus ancienne], l'Abé, Labbé, Labbyt), cordier installé rue de l'Arbre sec. Pierre reprend le surnom de Labé, qui est attaché au fonds. Il s'agit d'une raison sociale, et c'est bien ainsi que Louise l'utilisera, comme nom de plume.
D’origine gréco-roumaine, Anna de Noailles est née à Paris, où elle vécut de 1876 jusqu’à sa mort, en 1933. À partir de son premier recueil, Le Coeur innombrable (1901), couronné par l’Académie Française, Noailles composa neuf recueils de poèmes, trois romans (dont le savoureux Visage émerveillé, en 1904), un livre combinant histoires courtes et méditations sur les relations hommes-femmes (Les Innocentes, ou La Sagesse des femmes, 1923), un recueil de proses poétiques (Exactitudes, 1930), et une autobiographie couvrant son enfance et son adolescence (Le Livre de ma vie, 1932).
Anna de Noailles fut la seule femme poète de son temps à recevoir les plus hautes distinctions publiques. En dépit de l’oubli partiel auquel elle fut soumise après sa mort, des jugements critiques ultérieurs confirment que cette reconnaissance était méritée. Reflétant la situation de Noailles entre romantisme et modernisme, un écart entre forme et contenu caractérise sa poésie où des concepts et des images dynamiques s’efforcent de dissoudre une structure qui reste largement classique.
est
ILLEGAL
IMMORAL
OU FAIT GROSSIR!
Madame de Sévigné, Lettre du 18 avril 1696
ATELIER-MUSEE DU LIVRE ET DE LA TYPOGRAPHIE
Une librairie
Une maison d'édition
COLOPHON
Maison du Bailli
26230 GRIGNAN
http://colophon.pagesperso-orange.fr/
Je décroche mes posters, décorations dont celui-ci
Mots clés : Guillemette de Sairigné, Comtesse du Luart, La circassienne
Par Hélène Carrère d'Encausse
Quelle femme étonnante que l'héroïne du livre de Guillemette de Sairigné. Gali Hagondokoff, issue de la plus ancienne aristocratie de la Kabarda - petit territoire de ce Nord Caucase multiple et toujours agité - devenue Gali Bajenov par la vertu d'un mariage célébré en pleine révolution russe, et finalement Leïla, comtesse du Luart. Ces identités successives et si diverses - caucasienne, russe et enfin aristocrate française - recouvrent une personnalité puissante, dominée par une volonté d'exister à son gré jamais démentie, et une vie, ou plutôt des vies multiples.
D'origine libanaise, elle est née au Caire en 1920. Elle réside à Paris depuis 1946. Elle est l'auteure de nombreux recueils de poèmes, de pièces de théâtre et de romans parmi lesquels Le sixième jour, L'Enfant multiple, L'Artiste...
LE MONDE DES LIVRES | 20.01.11 | 10h59 • Mis à jour le 20.01.11 | 10h59
Par la puissance de ses passions, par le feu de sa volonté, par son intelligence et son imagination, Françoise Giroud avait réussi à faire entrer plus d'une vie entre les deux dates qui bornèrent la sienne (1916-2003). Journaliste, écrivain, femme politique, mais aussi scénariste et parolière, elle fut une militante de la cause féminine, l'amie de tout ce que Paris comptait d'intelligence et la plus avisée des découvreuses de talents. Aussi fallait-il une certaine audace pour s'attaquer à sa biographie - pour essayer d'attraper, dans la masse des événements, des contradictions et des mystères, ce que fut cette figure du XXe siècle. Laure Adler, qui a souvent travaillé sur des destins de femmes (notamment Marguerite Duras et Hannah Arendt), était évidemment bien placée pour approcher cette personnalité fascinante, dont Christine Ockrent a donné un premier portrait, en 2003 (Françoise Giroud, une ambition française, chez Fayard).
Fille de l'écrivaine féministe Mary Wollstonecraft et du philosophe William Godwin, elle grandit dans un milieu littéraire et anarchiste, et reçut une excellente education culturelle, connaissant le grec, le latin et le français. Elle épouse à l'âge de seize ans le poète et veuf Percy Bisshe Shelley. Elle fréquente avec lui Lord Byron et voyage en Suisse et en Italie. C'est au cours d'une nuit italienne, en 1818, qu'elle écrivit 'Frankenstein ou le Prométhée moderne', oeuvre fantastique intrigante et moderne. Par la suite, elle continue d'écrire des romans, 'Valperga' en 1823, 'The Last Man' en 1826, ainsi que quelques nouvelles comme 'Faulkner'. A la fin de sa vie, elle s'occupa d'assurer la publication des oeuvres de Percy Shelley, tout en rédigeant des biographies d'auteurs italiens comme Boccace ou Machiavel.
http://www.evene.fr/celebre/biographie/mary-shelley-6345.php
« Mais si un jour dans ce pays / On songe à m'ériger un monument, / Je donne mon accord à cet honneur / A une seule condition - ne pas l'ériger / Près de la mer où je suis née : / Le dernier ...
"Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à apprendre"
40 ans de mouvements de libération des femmes…
et maintenant ?
Exposition, débat, rencontre, projection
du 23 novembre au 4 décembre 2010
dans les bibliothèques de Lyon
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