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Des lieux - Page 16

  • Catégories : Des lieux, J'ai aimé

    J"ai aimé voir le 25 septembre 2012: les arènes de Nîmes

    L'amphithéâtre de Nîmes, daté du 1er siècle de notre ère, est le mieux conservé du monde romain. Deux carrières situées à proximité de la ville, Barutel et Roquemaillère, ont fourni les pierres pour la construction.

    L'amphithéâtre mesure 133m de long pour 101m de large. Sa façade extérieure, haute de 21m et composée de deux niveaux d'arcades, est divisée en 60 travées. Un système de galeries voûtées et d’escaliers rayonnants permet aux spectateurs de gagner rapidement leur place.

    Dans l’Antiquité, plus de 20.000 personnes, réparties selon leur rang social, pouvaient assister aux spectacles offerts par les notables. La disposition des gradins offre de toute part une visibilité parfaite sur la piste, l’arena. 

    Depuis la fin de l’époque romaine, l’amphithéâtre échappe à la démolition grâce à une occupation ininterrompue. 
    Dès le VIe siècle, le monument est transformé en forteresse. Les arcades sont murées. Les vicomtes de Nîmes et les chevaliers des Arènes s’y établissent au Moyen Âge. Au XIVe siècle, l’édifice perd sa fonction militaire. Il est encombré de constructions privées : maisons, ateliers, entrepôts. Le quartier des Arènes subsiste jusqu’en 1809. Après la démolition des maisons et le dégagement de la piste, plusieurs années de travaux seront nécessaires à sa restauration.

    http://www.nimes.fr/index.php?id=885

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : Des lieux, J'ai aimé

    J'ai aimé le 25 septembre le carré d'art contemporain de Nîmes

    Installé depuis 1993 dans le superbe bâtiment conçu par Lord Norman Foster, la collection du Musée d'Art Contemporain illustre la période des années 1960 à nos jours, avec près de 400 oeuvres réunies autour de trois axes majeurs :
    - un panorama de l'art français avec la représentation de grands mouvements et des ensembles de figure singulière,
    - une identité méditerranéenne autour du sud de la France, de l'Espagne et l'Italie
    - une présentation des tendances anglo-saxonnes et germaniques.

     Carré d'Art - Musée d'Art Contemporain propose tout au long de l'année des expositions temporaires et des accrochages renouvelés régulièrement de ses collections, accompagnés d'activités d'animations et de formations.

     Carré d'Art - Musée d'Art Contemporain, c'est aussi un centre de documentation spécialisé en art contemporain, une librairie renommée et une Association des Amis du Musée d'Art Contemporain très dynamique

    http://www.nimes.fr/

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  • J'ai aimé faire découvrir la Fondation Vasarely(ma première visite remonte au 27 janvier) à mon mari(pour notre anniversaire)

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2012/02/05/fondation-vasarely-a-aix-en-provence.html

    La Fondation Vasarely

    Ayant atteint la renommée internationale, Victor Vasarely souhaite créer un centre réunissant urbanistes, architectes et plasticiens pour élaborer la "Cité polychrome du bonheur". Dès 1966, il pose le principe d’une fondation pour diffuser sa conception d’un "art pour tous" et de la "ville de demain" intégrant l’art à l’architecture.

    "Deux grandes forces régissent l’existence : la force du renouveau et celle de la conservation. Le monde va du passé au futur, l’individu du futur au passé… c’est sa tragédie."

    En créant sa Fondation, Victor Vasarely ne souhaite pas entériner une œuvre appartenant au passé, le but n’étant pas d’offrir un mausolée à sa mémoire. La vocation de ce centre est entièrement tournée vers l’avenir, aux nouvelles technologies, aux sciences, à l’informatique…

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  • Catégories : Des lieux, Van Gogh Vincent

    Saint-Rémy de Provence

    VINCENT VAN GOGH


    vangogh
    Vincent van Gogh est sans doute le plus connu des artistes qui ont séjourné à Saint Rémy de Provence.

    Il arrive le 8 mai 1889 à Saint Rémy de Provence, en provenance d’Arles, pour être " interné", à sa demande, à l'Asile Saint Paul de Mausole. Fasciné par la qualité de la lumière et l’ardente beauté des paysages qu’il découvre à Saint Rémy, très inspiré, heureux et soulagé de trouver enfin une ambiance sereine et compréhensive auprès des religieuses et du personnel qui l’accueillent, il réalisera près de 150 peintures et de nombreux dessins en l’espace d’un an.

    Cette période saint rémoise est considérée comme majeure dans l’œuvre de Vincent van Gogh. Il quittera Saint Rémy le 16 mai 1890 pour Auvers sur Oise, où il disparaîtra un peu plus de deux mois plus tard, le 29 juillet 1890.

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  • Cloître Saint-Trophime(photo perso)

    Pic_0517_039.jpgDate : XIIe-XIVe siècles.

    Le cloître occupe la partie sud-est du site actuel, lequel se trouve entre le théâtre antique et la place de l’hôtel de ville. On y accède par le portail et la cour de l’archevêché qui s’ouvre sur cette place du centre ville.

    Le cloître Saint-Trophime est au centre des bâtiments canoniaux de la cité épiscopale. A partir du XIIe siècle, l’espace au sud de la cathédrale Saint-Trophime est occupé par deux grands ensembles : d’une part, le palais de l’évêque, d’autre part, le claustrum, un espace réservé à la communauté des chanoines, «ceux qui vivent selon la loi de l’Eglise». Vers cette époque, le Chapitre d’Arles est touché par la réforme grégorienne. Celle-ci tente d’imposer une règle de vie commune à ces clercs chargés d’assister l’évêque et de gérer les biens de l’Eglise. On entreprit donc la construction de bâtiments conventuels organisés autour d’un cloître. Les deux premières galeries, romanes, de ce dernier, présentent des sculptures d’une exceptionnelle qualité, véritables fleurons de l’art roman provençal. L’édifice sera complété au XIVe siècle de deux autres galeries de style gothique. Les modifications ultérieures de la cité épiscopale préserveront le cloître et ses salles adjacentes. Cependant le temps, l’érosion pluviale et la pollution atmosphérique mettront à mal ces joyaux de la statuaire médiévale. Actuellement des études sont menées afin de procéder, comme sur le portail de l’église voisine, à une restauration de l’édifice.

    La structure du cloître et de ses salles
    L’ensemble des bâtiments canoniaux fut construit en plusieurs étapes. Un vaste réfectoire charpenté sur cave voûtée vint prolonger l’aile sud du transept de la cathédrale, et une première salle capitulaire fut ajoutée à l’est. Doublée en longueur par une autre salle, elle aussi voûtée en berceau, la salle capitulaire reçut, à la fin du XIIe siècle, une somptueuse façade à arcades sur colonnettes, séparées de pilastres à l’antique. Un dortoir voûté vint former un troisième coté à l’est. Les chanoines entreprirent alors de relier ces bâtiments par les galeries d’un cloître, en commençant la construction par la galerie nord (fin XIIe siècle). La galerie orientale, conçue avec l’aile du dortoir, date sans doute du début du XIIIe siècle. Le projet resta inachevé et les pilastres-contreforts des piliers qui scandent le rythme des arcades ne reçurent jamais la superstructure prévue.

    Les galeries romanes
    Le décor des galeries romanes (nord et est), est d’une richesse exceptionnelle. Pour la galerie nord le programme iconographique associe étroitement deux thèmes : une réflexion sur le mystère pascal et une exaltation des saints patrons de l’église d’Arles élevés à la dignité des Apôtres. Dans la galerie est, plus large, l’arcade intègre de nouveaux éléments comme la mouluration des arceaux et des motifs caractéristiques de l’époque gothique, figurés dans des écoinçons : vierges sages et vierges folles ou symboles des Evangélistes. L’iconographie y est fort différente de celle de la première galerie : tandis que l’évocation de la Passion s’inscrit sur les piliers, les chapiteaux offrent, en sens inverse de lecture, un récit vivant de l’enfance et de la vie publique du Christ.

    Les galeries gothiques
    Les deux dernières galeries, (sud et ouest), voûtées sur croisées d’ogives, et le grand portail gothique dans le mur sud du cloître ne furent réalisés que vers 1370-1380. Les piles de la galerie sud, la plus ancienne des deux, sont ornées de niches qui abritaient jadis des statuettes. Le décor sculpté des chapiteaux illustre la vie de saint Trophime, d’après le récit qui en est fait dans un poème rédigé vers 1225. Le programme iconographique de la galerie ouest est moins cohérent que dans les autres galeries. Des épisodes bibliques se mêlent à des thèmes chers aux Arlésiens, accordant une large place aux dévotions nouvelles comme le Couronnement de la Vierge ou le culte des saints de Béthanie. Le centre du cloître de la cathédrale Saint-Trophime est constitué d’un jardin, ancien cimetière. Les voûtes de ces galeries sont soutenues vers l’intérieur par des piliers et des colonnettes et vers l’extérieur par des pilastres engagés dans les murs clôturant le cloître.


    HISTORIQUE
    La construction du cloître vint achever une réédification du complexe cathédral qui avait débuté vers la toute fin du XIe siècle ou au milieu du XIIe siècle. La ville est alors la capitale théorique du royaume d’Arles. L’empereur Frédéric Barberousse est couronné roi d’Arles en 1178 à Saint-Trophime. Entrepris dans une période de prospérité de la ville et de son Eglise, le cloître souffrira du déclin de l‘influence régionale d’Arles au profit d’Aix et d’Avignon. Ainsi les deux dernières galeries ne sont-elles achevées qu’à la fin du XIVe siècle. Une fois achevé, le cloître n’a abrité que peu de temps la communauté régulière. Les chanoines retrouvent une vie séculière (non cloîtrée) en 1455. Les belles salles deviennent alors des greniers et des réserves… Au XVIIe siècle, les salles furent divisées en deux salles par l’ajout d’une voûte et la construction d’un grand escalier à balustres. Après la Révolution, le cloître Saint-Trophime dépend de la paroisse Saint-Trophime et est en partie occupé par des habitations. Il fut classé Monument Historique en 1846 et ses salles en 1943.

    En 1826, la cour intérieure du cloître fut déblayée. En 1843 Prosper MERIMEE, inspecteur général des Monuments Historiques, lance un programme important de restauration et de consolidation des galeries, et de la terrasse, ainsi qu’un nettoyage de la végétation envahissante. Des interventions localisées sont réalisées dans les galeries ouest et sud (colonnes engagées et parements), et la partie occidentale de la galerie sud est colmatée. Par ailleurs, une partie du parement de la galerie ouest est restaurée. Une nouvelle campagne intervient au milieu du XXe siècle, concernant notamment les salles capitulaires et le dortoir, débarrassées de constructions parasitaires. Des ouvertures anciennes sont rétablies et l’accueil du public aménagé en 1976 depuis la cour de l’archevêché. En 2000, des interventions de conservation préventive ont démarré en préambule à la future campagne de restauration du cloître lui-même et de sa statuaire. La réfection des toitures a déjà permis de mettre les galeries hors d’eau, et une préconsolidation de la pierre sous ses concrétions noires, a été entreprise grâce à la pose de pansements de papier Japon. Par ailleurs, il est envisagé d’équiper le cloître d’un véritable lieu d’accueil où se concentreraient une billetterie, une boutique, des sanitaires et des informations améliorant la visite.

    Carte d'identité du monument

    Date : XIIe-XIVe siècles
    Epoque : Moyen Age
    Type : Architecture religieuse
    Statut : Propriété de la Ville d'Arles ; Classé Monument historique (1846 et 1943) ; Patrimoine mondial de l'Unesco (1981)

    http://www.arles-tourisme.com/fr_FR/Ville_visite.aspx?Code=43e5705c-fadb-4e21-9e3a-af1f82c6a0da&Page=1&Ville=Arles

  • Les Alyscamps

    Allée des sarcophages et église Saint-Honorat © Ville d’Arles
    Allée des sarcophages et église Saint-H...
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    Description     

     

    Date : IVe siècle, XIIe siècle

    Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire Romain, tombes à incinération, sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. Mais, c’est à l’époque paléochrétienne que le cimetière prit une importance majeure avec l’inhumation du martyr saint Genest et la sépulture des premiers évêques d’Arles, abrités dans une chapelle bientôt entourée par un grand nombre de tombes pressées sur plusieurs rangs.

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  • "L'escalier du pont de Trinquetaille" à Arles et Van Gogh(photos perso et explications)

    arles 17 mai 2012 055.jpg

    Du quai de la Roquette, Vincent Van-Gogh observe en octobre 1888 le pont métallique qui enjambe le fleuve et distribue les échanges entre les deux rives d'Arles.

    Il embrasse l'ensemble des va-et-vient, le trait d'union et l'escalier par lequel femmes et hommes se rendent sur la passerelle.

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  • Théâtre antique d'Arles

    Vue générale actuelle du théâtre antique © Ville d’Arles
    Vue générale actuelle du théâtre antiqu...
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    © Ville d’Arles
    Description     

     

    Date : Fin du Ier siècle av. J.-C.
    Nommé parfois théâtre romain.

    Précédant d’un siècle son illustre voisin l’amphithéâtre, le théâtre romain d’Arles est aujourd’hui beaucoup moins bien conservé. Construit à la fin du Ier siècle avant J.-C., il date de la première phase d’urbanisation de la colonie romaine fondée par César en 46 av. J.-C.. Edifié sur la colline de l’Hauture, il s’inscrit dans le quadrillage romain, sur le décumanus (voie est-ouest).

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  • Amphithéâtre d'Arles

    L'amphithéâtre d'Arles © Ville d’Arles
    L'amphithéâtre d'Arles © Ville d’Arles
    © Office de Tourisme d'Arles
    © Office de Tourisme d'Arles
    © Office de Tourisme d'Arles
    © Office de Tourisme d'Arles
    © Office de Tourisme d'Arles
    © Office de Tourisme d'Arles

    L’amphithéâtre est le monument romain le plus important de l’ancienne colonie romaine qui nous soit permis d’admirer, quelque deux millénaires après son édification. Son architecture est entièrement conçue en rapport avec sa vocation de lieu à grands spectacles, accueillant un nombreux public. Dans leur élévation initiale, les gradins pouvaient recevoir environ 210'000 spectateurs, dont les flux étaient savamment organisés par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages. Devenu dès le début du Moyen Age une véritable ville close et fortifiée, l’édifice ne fut dégagé qu’au XIXe siècle. Il retrouva alors, pour partie, sa fonction initiale, notamment avec la tauromachie, ce qui lui vaut sont appellation courante actuelle d’«Arènes». C’est aujourd’hui le monument de la ville le plus visité, portant ainsi l’image d’Arles dans le monde entier.

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  • Catégories : Des lieux, J'ai aimé, J'ai vu, Lyon(Rhône,69:études,travail), Mes photos

    J'ai aimé revisiter hier avec des 6 e et un guide :Primatiale Saint-Jean de Lyon

    lyon 28 mai 2010 002 hf (11).jpgPHOTO PERSO DU 28 MAI 2010

    L’église Saint-Jean-Baptiste-et-Saint-Étienne, souvent appelée cathédrale Saint-Jean ou primatiale Saint-Jean est la cathédrale et primatiale de Lyon (France), elle domine le quartier médiéval et renaissance du Vieux Lyon. Le terme de primatiale vient de celui de Primat des Gaules, titre historique de l'archevêque de Lyon.

    Originellement, l'église a été consacrée sous le vocable de Saint-Étienne, tandis que son baptistère était consacré sous celui de Saint-Jean-Baptiste, mais, comme cela est fréquent (un exemple célèbre étant l'Archibasilique Saint-Jean-de-Latran), le vocable du baptistère s'est ensuite appliqué dans la désignation courante.

    Construite de 1180 à 1480, elle mélange le style roman et le gothique. Elle abrite une horloge astronomique du XIVe siècle.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Primatiale_Saint-Jean_de_Lyon

  • Le paysage en dessin

    Signature : Véronique Bouruet-Aubertot - 4 août 2011
     
    Charles-Joseph Natoire, Nemi : l’église Saint-François et le lac, encre et aquarelle sur papier, 31 x 43,6 cm (MONTPELLIER, MUSÉE ATGER).

    Charles-Joseph Natoire, Nemi : l’église Saint-François et le lac, encre et aquarelle sur papier, 31 x 43,6 cm (MONTPELLIER, MUSÉE ATGER).

     

     

     

     

    Claude Gellée, Sébastien Bourdon, Pierre Patel mais aussi François Boucher, Jean-Honoré Fragonard, Hubert Robert : les grands noms de l’art classique français sont là, à travers une cinquantaine de feuilles empruntées aux musées du Louvre, de Montpellier, de Marseille ou de Rennes.

    Vues campagnardes ou urbaines, scènes bucoliques ou ruines tourmentées, l’art du paysage se décline à la pierre noire, la sanguine, le lavis d’encre ou encore l’aquarelle. Avec en contrepoint une sélection de treize dessins du XIXe siècle.

    http://www.connaissancedesarts.com//peinture-sculpture/actus/breves/le-paysage-en-dessin-90573.php?xtor=EPR-1031-[NL_generique]-20110805-[actu]-[peinture-sculpture]

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