Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Musée de la Camargue
Musée de la Camargue |
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Musée de la Camargue |
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Il fait partie des peintres français contemporains les plus célèbres, car il a su apporter sa vision personnelle associée à un métier large, bien que fidèle à la tradition figurative.
Son œuvre s'avère très diverse, car outre ses paysages, il a peint de grandes toiles de compositions, des figures, des natures mortes et il s'est intéressé à toutes les techniques mises à la disposition d'un artiste fertile.
Amateur de paysages méditerranéens, il séjourna au Maroc, en Espagne et en Italie, puis se fixa en Camargue et en Provence.
Le musée du Louvre présente, jusqu'au 25 juin, à Paris, une soixantaine de pièces archéologiques découvertes dans le Rhône.
Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Façade sud de l'hôtel, sur la rue de la...
Description |
Date : 1505 |
“C’est en 1891 que l’Empereur François- Joseph fit construire le « Kunsthistorisches Muséum », dans un style où se mêlent réminiscences baroques et influences de la Renaissance italienne sans que l’on parvienne réellement à distinguer les styles. Il décida d’y exposer au public les immenses richesses accumulées par sa famille : lesoeuvres se comptent par milliers et l’on y admire les chefs-d’oeuvre des peintres les plus rares comme Pierre Breughel l’Ancien par dizaines… En bâtissant ce musée, François-Joseph offrait aux Viennois un palais qui ne serait pas construit pour abriter une famille mais tout ce que l’art avait produit de plus beau.”
Patrick de Carolis, Journaliste et écrivain.
http://boutique.lefigaro.fr/article-n18-le-musee-de-l-histoire-de-l-art-vienne-0-18-822.html
“L’ancien Palais du prince Eugène est peut-être le palais le plus baroque qui soit au monde. Courbes, contrecourbes, volutes, ellipses, stucs chantournés à l’excès, ciels peuplés de nudités virevoltantes, tout a été conçu pour déstabiliser le visiteur, énerver ses sens et le plonger dans un état de latence hébétée.
Ce palais est en soi un défi à l’ordre du monde et à la raison, un rêve de pierre et de marbre qui ne semble obéir qu’aux désirs de son concepteur et aux tourments secrets de son architecte.
Des désirs troubles, aux contours sinueux etmal définis, qui vous hantent sans vraiment se révéler, ni s’assouvir. L’Autriche ne pouvait pas mieux choisir que ce palais fantasmatique pour abriter les chefs- d’oeuvre de ces peintres de la Sécession qui ont projeté sur la toile les reflets de leur inconscient…”
http://boutique.lefigaro.fr/article-n31-le-musee-du-belvedere-superieur-de-vienne-0-18-924.html
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Le musée Marmottan Monet organise, du 8 mars au 1er juillet 2012, la première rétrospective de l’œuvre de Berthe Morisot (1841-1895) présentée à Paris depuis près d’un demi-siècle. 150 peintures, pastels, aquarelles, sanguines et fusains, provenant de musées et de collections particulières du monde entier, permettent de retracer la carrière de la plus illustre des femmes impressionnistes. Cette sélection d’œuvres permet d’évoquer le parcours de l’artiste – depuis sa formation auprès de Corot jusqu’à son œuvre ultime. Elle mettra en évidence un art subtil et délicat, ayant pour thème la célébration de la femme et de l’enfant. Les portraits de jeunes filles au bal, à la toilette, au jardin et de sa fille Julie témoignent de l’évolution de sa peinture qui incarna, aux yeux de ses contemporains, l’impressionnisme triomphant. Les dernières sections de l’exposition, dédiées aux paysages et aux compositions décoratives, mettent en évidence les liens qui unissent l’œuvre de Berthe Morisot à celle de ses http://www.marmottan.com/francais/expositions/prochaines-expositions.aspillustres contemporains : Monet et Renoir. |
Les arcs-en-ciel du noir : invitation à Annie Le Brun
15 mars au 19 août
Annie Le Brun, dont l’essai "Si rien avait une forme, ce serait cela" emprunté au poète, est invitée à dialoguer avec les collections du musée. A vingt ans, Elle rencontre André Breton et côtoie les derniers surréalistes. Poète et essayiste, son érudition et l’acuité de son analyse puisent aux sources les plus intransigeantes, dans le roman noir, chez Sade, Jarry et Raymond Roussel.
Les Vendanges, v. 1891-1892, huile sur toile, 94,9 x 140 cm (COLLECTION PARTICULIÈRE. ©D.R.).
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Le Musée Marmottan Monet accueille une sélection d'œuvres du Musée Von der Heydt de Wuppertal, musée qui détient un ensemble exceptionnel d'oeuvres des différentes avant-gardes du début du 20ème siècle, qui sont regroupées sous le titre "Fauves et expressionnistes de Van Dongen à Otto Dix". |
Paul Cézanne (Huile sur toile) Philadelphie, Philadelphia Museum of Art, The Samuel S. White 3rd and Vera White Collection © 2011. Photo The Philadelphia Museum of Art/Art Resource/Scala, Florence
La perte de l’Alsace-Lorraine
La guerre de 1870 se conclut, le 10 mai 1871, par la signature du traité de Francfort. La France, vaincue, cède au nouvel Empire allemand l’Alsace et une partie de la Lorraine correspondant à l’actuel département de la Moselle. L’Alsace-Lorraine, traduction de l’allemand Elsass-Lothringen, est directement placée sous la souveraineté de l’empereur Guillaume Ier. Dans les territoires annexés comme en France se développent l’esprit de revanche et la nostalgie des provinces perdues. Notons que ce sentiment fut sensiblement moins fort que la mythologie républicaine et patriote ne l’a affirmé. Exacerbé entre 1871 et 1872, il s’estompe rapidement pour resurgir surtout à la veille et durant la Première Guerre mondiale.
Le tableau est commandé, à l’initiative de Mme Kestner, par des dames de Thann à Jean-Jacques Henner, peintre né à Bernwiller, dans le sud de l’Alsace. Il est offert à Léon Gambetta (1838-1882), qui le fait graver par Léopold Flameng pour lui assurer une large diffusion.
Partisan de la guerre à outrance, Gambetta s’était opposé à la signature d’un armistice lorsqu’il était ministre de l’Intérieur et de la Guerre. En février 1871, il est élu dans neuf départements mais choisit d’être député du Bas-Rhin avant de démissionner pour montrer son opposition à l’abandon de l’Alsace-Lorraine. D’après Castagnary, dans Le Siècle du 31 juillet 1871, Gambetta montrait le tableau en disant « C’est ma fiancée ! ».
http://www.lauravanel-coytte.com/search/orsay
http://www.lauravanel-coytte.com/search/expressionisme
http://www.lauravanel-coytte.com/search/kandinsky
http://www.lauravanel-coytte.com/search/l'âge%20d'or%20hollandais
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http://www.musee-delacroix.fr/fr/les-activites/expositions/
Léguée en 1980 à l’Académie des Beaux-Arts par Daniel Wildenstein (1917-2001), le musée Marmottan Monet possède et expose l’extraordinaire ensemble d’enluminures réunies au fil des ans par Georges Wildenstein (1892-1963).
Cette prestigieuse collection de plusieurs centaines de pièces est l’unes des plus importantes au monde et illustre l’art de l’enluminure du Moyen Age à la Renaissance. Le noyau de la collection témoigne de l’inclination profonde de Georges Wildenstein pour les enluminures françaises et italiennes des XVème et XVIème siècles. Toutefois son intérêt poussé pour cet art nous permet aujourd’hui de découvrir des enluminures françaises, italiennes, anglaises et flamandes, du XIIIème au XVIème siècle.
Cette collection renferme quelques un des plus beaux joyaux de cet art, parmi lesquels : « La mission des apôtres » du maître de San Michele a Murano, « Initiale P. Saint Prosdocyme baptisant Vitalien » de Girolamo da Cremona, « Le Songe de saint Romuald. Initiale O. Saint Romuald » d’Atavante, le feuillet des Heures d’Etienne Chevalier par Jean Fouquet et celui du Livre d’heures de Louis XII par Jean Bourdichon.
Depuis le 14 avril 2010 cette collection est présentée dans une salle entièrement réaménagée à cet effet.
Maitre du Bréviaire Moipenny, Jules César recevant l’ambassade des Germains |
http://www.marmottan.com/francais/collections-musee/enluminures-haute-epoque.asp
Raoul et Jean Dufy Complicité et rupture 14 avril — 26 juin 2011 |
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Le musée Marmottan Monet organise pour la première fois en France une exposition consacrée à Raoul (1877-1953) et Jean (1888-1964) Dufy. Regroupant une centaine de peintures, d’aquarelles et de céramiques provenant de musées et de collections particulières du monde entier, l’exposition cherche à mettre en évidence les liens qui unissent l’oeuvre de Jean à celle de Raoul comme ce qui les singularise l’une de l’autre. Esquissant en préambule les périodes fauve et cubiste de Raoul, le parcours présente ensuite des grands thèmes communs aux deux frères et propose de comparer leur peinture : mer, fenêtres ouvertes et ateliers constituent la première partie du parcours ; puis les thèmes se singularisentà travers deux sections parallèles : à la palette chaude et à la touche vibrante des cirques peints par Jean répond la musique évoquée par Raoul ; aux courses et paddocks de Raoul font ensuite face les allées cavalières de Jean ; Commissariat |