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Des musées - Page 35

  • Catégories : Des musées, La télévision

    J'aime regarder "Un soir au musée"

    émission du Jeudi 15 décembre 2011 à 21:40 : The National Galllery, à Londres

    Au sommaire - The National Galllery, à Londres

    Le musée

    Cette semaine, Laurence Piquet nous présente ce lieu, à l’occasion de l’exposition Leonardo da Vinci.

    Documentaires diffusés

    La Joconde, journal intime

    Réagissez sur le wiki

    Invités

     

    - Arturo Galansino, co-commissaire de l’exposition ;
    - Larry Keith, directeur de la conservation au musée ;
    - Sophie Chauveau, écrivain et biographe de De Vinci.

    The National Galllery (en anglais)
    Trafalgar Square
    Londres WC2N 5DN (Royaume-Uni)
    Tél. :
    - Exposition : Leonardo da Vinci
    "Painter at the Court of Milan"
    Jusqu’au 5 février 2012

    Livres

    - Leonardo da Vinci
    "Painter at the Court of Milan"
    Luke Syson (dir.)
    Ed. National Gallery Company, octobre 2011
    304 p. - 59,95 euros
    Catalogue de l’exposition

    - L’Obsession Vinci
    Sophie Chauveau
    Ed. Télémaque, 2007
    350 p. - 21 euros

    - Fragonard
    "L’invention du bonheur"
    Sophie Chauveau
    Ed. Télémaque, octobre 2011
    416 p. - 22 euros

    - Léonard de Vinci
    Daniel Arasse
    Ed. Hazan, octobre 2011
    546 p. - 19 euros

    - Léonard de Vinci
    Johannes Nathan, Frank Zöllner
    Ed. Taschen, 2003
    696 p. - 49,99 euros
    Coffret

    Expositions

    - Boilly
    Jusqu’au 31 décembre 2011
    Palais des Beaux-Arts de Lille
    Place de la République – 59000 Lille

    - Fantin-Latour, Manet, Baudelaire
    "L’hommage à Delacroix"
    Jusqu’au 19 mars 2012
    Musée Eugène-Delacroix
    6, rue de Furstenberg - 75006 Paris

    - Roma + Klein
    "Photographies 1956-1960"
    Jusqu’au 8 janvier 2012
    Maison européenne de la photographie
    5-7, rue de Fourcy - 75004 Paris

    Prochaine émission : jeudi 5 janvier 2012 à 21:40 : Maurice Chevalier
  • Catégories : Des musées

    J'ai aimé visiter vendredi l'atelier Brancusi

    La reconstitution de l'atelier Brancusi, réalisée par Renzo Piano, a reçu le soutien de Asahi Shimbun.

    Brancusi.

    -> Toutes les oeuvres accrochées par créateurs
    ->Toute la collection en ligne



    Constantin Brancusi est né en Roumanie en 1876, où il reçoit une formation traditionnelle à l'Ecole des Beaux-Arts de Bucarest. Il arrive à Paris en 1904 et occupe à partir de 1916 des ateliers situés successivement au 8 puis, à partir de 1928, au 11 de l'impasse Ronsin, dans le XVe arrondissement. C'est dans ces ateliers qu'il crée jusqu'à sa mort en 1957 la majeure partie de son œuvre.
    En 1956, il lègue à l'Etat français la totalité de son atelier avec tout son contenu (œuvres achevées, ébauches, meubles, outils, bibliothèque, discothèque...) sous réserve que le Musée national d'art moderne s'engage à le reconstituer tel qu'il se présentera le jour de son décès.

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des musées, Soulages Pierre

    J'ai aimé visiter vendredi dernier:les collections permanentes du Centre Pompidou

    LES OEUVRES DE 1905 À 1960
    NIVEAU 5
    LES OEUVRES DE 1960 À NOS JOURS
    NIVEAU 4
    ATELIER BRANCUSI

    Vers Niveau 4 Salle 1 Salle 2 Salle 3 Salle 4 Salle 5 Salle 6 Salle 7 Salle 8 Salle 9 Salle 10 Salle 11 Salle 12 Salle 13 Salle 14 Salle 15 Salle 16 Salle 17 Salle 18 Salle 19 Salle 20 Salle 21 Salle 22 Salle 23 Salle 24 Salle 25 Salle 26 Salle 27 Salle 28 Salle 29 Salle 30 Salle 31 Salle 32 Salle 33 Salle 34 Salle 35 Salle 36 Salle 37 Salle 38 Salle 39 Salle 40 Salle 41 Rue Terrasse nord Terrasse ouest Terrasse sud

     

    Ernst, Laurens.

    -> Toutes les oeuvres accrochées par créateurs
    ->Toute la collection en ligne



    Attention : cette présentation virtuelle des oeuvres exposées au Musée est régulièrement mise à jour. Toutefois, les modifications de l'accrochage du Musée (expositions temporaires, prêts d'oeuvres...) peuvent créer un léger décalage entre les informations données ici et les oeuvres réellement présentes dans les salles.

     

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Musee.nsf/AccrochageWeb?readform&RestrictToCategory=1N5&sessionM=3.2.1&L=1

  • Catégories : Des musées

    J'ai aimé visiter vendredi :L'Atelier Brancusi

    Accrochage "Histoire de l'Atelier Brancusi"

     

    Expositions au Centre

    < Toute la liste

    9 novembre 2011 - 30 juillet 2012
    14h00 - 18h00

    Galerie de l'Atelier Brancusi    


    entrée libre


     

    Atelier Brancusi
    Atelier Brancusi
    © Centre Pompidou
     

     

     

    Dossiers pédagogiques

    Liens


    Né en 1876 en Roumanie, Constantin Brancusi a vécu et travaillé à Paris de 1904, jusqu'à sa mort en 1957. La plus grande partie de son oeuvre y fut créée. Dans son testament, il lègue à l'état français la totalité de son atelier, situé impasse Ronsin, Paris XVe. Celui-ci fut reconstruit sur la Piazza en 1997.

    Une collection unique au monde, constituée de 137 sculptures, 87 socles, 41 dessins, deux peintures et plus de 1600 plaques photographiques de verre et tirages originaux.

    Commissaires / organisateurs:
    Mnam/Cci - Brigitte Léal

    http://www.centrepompidou.fr/Pompidou/Manifs.nsf/AllExpositions/44CB0E47B507D245C1257928004AF31E?OpenDocument&sessionM=2.2.1&L=1

  • Nous avons aimé ce week-end:Les Saintes Maries de la MER

    100_1827.JPGPhotos perso du musée

    100_1837.JPG

    Ce musée est un hommage au marquis Folco de  Baroncelli-Javon (1869-1943), personnage emblématique de la Camargue. Lou Marquès, dirigeant du journal félibréen « l’Aïoli » en Avignon, ardent défenseur des coutumes du patrimoine écologique , traditionnel et culturel de la Camargue, il mène une vie de gardian et milite en faveur de la tolérance. C’est à lui que l’on doit la reconnaissance du pèlerinage gitan par les autorités ecclésiastiques.

    Le musée abrite les témoignages des traditions camarguaises, des collections consacrées à la zoologie de la Camargue, à l’archéologie des Saintes Maries de la Mer et au folklore régional. Les pièces ont été réunies en 1942 par un groupe de mainteneurs locaux.

    Le musée est  installé dans l’ancien Hôtel de Ville, aussi prétoire de justice et de paix, construit en 1876 par l’architecte arlésien Véran, qui succède au premier hôtel de ville édifié en 1655. De cet édifice, seuls subsistent les médaillons de marbre aux armoiries de France et de Navarre d’une part, des Saintes Maries de la Mer, d’autre part, sculptés par l’artiste lyonnais Pierre Sibrent, au XVIIème siècle. .

    http://www.saintesmaries.com/page.php?haut=1&navig=visiter&ssnavig=visiter3&sssnavig=visiter&page=visiter3

  • J'ai aimé ce matin:Le musée Joseph Déchelette

    Informations pratiques

    Salle des visites du musée

    Le musée est ouvert au public tous les jours (sauf le mardi et les jours fériés) : de 10h à 12h et de 14h à 18h,
    le samedi de 10h à 18h,
    le dimanche de 14h à 18h

    Ouvert sur demande pour les groupes le mardi

    Des visites guidées et des animations sont organisées sur rendez-vous
    Entrée : 4,50 € - Demi-tarif : 2,50 €
    Carte abonnement : 9 €
    Visite guidée groupe à partir de 10 personnes : 50 € + demi-tarif / personne
    Visite guidée individuelle : 7,50 €

    Gratuit pour les moins de 26 ans
    Etudiants : demi-tarif
    Gratuité tout public le mercredi après-midi

    Associations

    Culture

    Association des Amis du Musée et de la Médiathèque de Roanne

     

     

    http://www.roanneasso.fr/asso/725-amis-du-musee-et-de-la-mediatheque-de-roanne.htm

     

    Contacter le musée

    Musée Joseph Déchelette - Culture

     

    22, rue Anatole France
    42300 Roanne

    04 77 23 68 77
    04 77 23 68 78

    Géopositionner ce point sur une carte

  • Nous avons aimé le 15 août 2011:Le Musée des sapeurs-pompiers de la Loire à Firminy

    Musée des Pompiers

    Le musée des sapeurs-pompiers de la Loire - FirminyLe musée des Sapeurs Pompiers de Firminy est le deuxième de France par son importance. Il existe, en effet, peu d’établissements du même type à aborder le thème des soldats du feu. Toute la richesse de ce musée tient dans son parc de véhicules comprenant plus de 150 pièces. Suite à de récents travaux, il sera désormais ouvert au public toute l’année.

     

    Le Musée des Sapeurs pompiers de la LOIRE, crée en 1997 occupe les locaux actuels depuis 1996, sous l’impulsion de Mr Bernard OUTIN, puis de Mr Dino CINIERI, maires de la commune, des Présidents respectifs du Conseil d’Administration du Service Départemental Incendie et Secours de la LOIRE, le Musée à connu une progression très importante ces dernières années.

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  • Catégories : Des musées, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    Juin au musée

    Un site internet traduit en 9 langues et une application mobile !

     
     
    Ouvrez les portes du musée, où que vous soyez, quand vous le voulez. L'application iPhone est disponible, téléchargez-la gratuitement ! Sur l'AppStore et courant juin sur Android.
    Afin de répondre à une demande croissante du public étranger, le site internet du musée est aujourd'hui accessible en 10 langues.
     

    Expositions

     
     

    LE GÉNIE DE L'ORIENT. L'EUROPE MODERNE ET LES ARTS DE L'ISLAM
    Jusqu'au 4 juillet
    Visites tous les lundis, jeudis et samedis
    Visites en famille
    entre Orient et Occident.
    Dimanche 19 juin à 14h30

    EXPOSITION-DOSSIER LE GÉNIE DE L'ORIENT, LYON ET LES ARTS DE L'ISLAM
    Découvrez le goût des grands amateurs lyonnais du XIXe siècle pour les arts de l’Islam et l’influence de nouveaux décors sur les créations de soieries lyonnaises.
    Jusqu'au 19 septembre
    Visites
    tous les jeudis à 15h (1h).
    Du 7 juillet jusqu'au 15 septembre

     

    Événements

     
     

    Nocturne  : Le premier vendredi de chaque mois jusqu'à 22h, le musée ouvre ses portes à l'occasion de nocturnes thématiques.
    Soirée Art moderne :
    performances Slam, conférence Aragon et la peinture moderne, rencontres thématiques autour de Rodin, Gauguin, Bacon. 5€/ Gratuité.
    Le café-restaurant vous accueille jusqu'à 23h. Vendredi 3 juin de 18h à 22h
    Dernière Nocturne de la saison : vendredi 1er juillet, soirée Sculptures dans le jardin et la chapelle.

    Week-end thématique : Le génie de l'Orient
    Ateliers enfants, visites commentées de l'exposition parents et individuels, démonstration de calligraphie arabe, concert...
    Samedi 18 et dimanche 19 juin

    Fête de la musique : concerts de musique orientale traditionnelle et jazz fusion dans le jardin du musée. Entrée libre dans la limite des places disponible.
    Mardi 21 juin de 18h30 à 22h

    Ouverture exceptionnelle de l'exposition à l'occasion de la Fête de la musique.
    Mardi 21 juin de 18 à 22h.
    5€/ Gratuité

    Carte musées de la Ville de Lyon : 6 musées municipaux en accès illimité = 20€ par an ! En vente à la billetterie du musée.

     

    Activités culturelles

     
     

    Découvrir le musée : Antiquités/ Peintures/ Le musée et ses chefs-d'œuvre 

    Découvrir l'exposition Le génie de l'Orient, Lyon et les arts de l'Islam cet été
    Visites tous les jeudis à 15 (1h).
    Du 7 juillet jusqu'au 15 septembre

    Atelier enfants : inscrivez-vous dès aujourd'hui pour les vacances d'été
    5/6 ans
    : le musée à petits pas
    7/9 ans : Rêves d'Orient
    10/12 ans : Sur les traces de Champollion

  • Nous avons aimé visiter hier:Le Musée de la Mine de Saint-Etienne

    Le site Couriot / Une découverte d’un peu plus d’1h30 de l’univers de la mine qui enchantera petits et grands, à l’ombre de la silhouette du chevalement du principal siège d’extraction du bassin de la Loire entre 1913 et 1950 et au cœur d’un haut lieu du patrimoine stéphanois.


    Après avoir visité la “salle des pendus”, gigantesque et émouvant vestiaire où se changeaient et se lavaient les hommes, puis la lampisterie où chacun prenait sa lampe, place ensuite à la descente au fond, auquel on accède par la colonne du puits. En 45 minutes de parcours souterrain, en empruntant le train qui conduisait les hommes sur les chantiers, puis en se faufilant le long du travers-bancs et en progressant entre les convoyeurs à bandes et ce qui encombrait les galeries, vous serez initié aux techniques de l’extraction comme si vous étiez, tantla galerie a été reconstituée avec soin par les anciens de la mine.

    De retour au jour, la visite n’est pas finie : la salle de la gigantesque machine d’extraction, la salle d’énergie et le grand audiovisuel consacré à l’aventure de la houille dans le bassin stéphanois vous attendent pour terminer de vous compter l’aventure du charbon qui s’est achevée à Couriot en 1973.
    Un parcours fascinant qui fait réellement revivre cet univers qui a fondé la richesse industrielle de Saint-Étienne.

    Musée de la Mine
    de Saint-Étienne
    3, bd Maréchal Franchet d'Esperey
    42000 Saint-Étienne
    Tél : 04 77 43 83 23
    Fax : 04 77 43 83 29

    Fermeture le mardi 

    Visitez le site du guide scolaire des 3 musées

    http://www.saint-etienne.fr/index.php?module=cms&action=getContent&id_heading_object=1111

  • Catégories : Des musées, La télévision

    Un soir au musée 21 avril 2011:Le musée d’Orsay

    Le musée

    Cette semaine, Laurence Piquet nous fait découvrir ce lieu à l’occasion de l’exposition Manet, inventeur du moderne

    Documentaires diffusés

    Edouard Manet, une inquiétante étrangeté

    Réagissez sur le wiki

    Invités

     

    - Guy Cogeval, président de l’établissement public du musée d’Orsay ;
    - Eric Darragon, historien d’art contemporain, professeur émérite à l’université Paris-Sorbonne I ;
    - Gérard Garouste, artiste peintre et sculpteur.

    Musée d’Orsay
    62, rue de Lille - 75007 Paris
    Tél. : 01 40 49 48 14
    Exposition : Manet, inventeur du moderne
    Jusqu’au 3 juillet 2011

    Le chroniqueur Edwart Vignot présente sa chronique "Hors d’œuvre", où il met en lumière un tableau d’Edgar Degas.

    Et aussi

    Livres

    - Manet, inventeur du moderne
    Stéphane Guégan (dir.)
    Ed. Musée d’Orsay/Gallimard, avril 2011
    304 p. - 42 euros

    - Le Figaro
    "Manet, un certain regard"
    Ed. Le Figaro, coll. Hors série, avril 2011
    114 p. - 8,90 euros

    - Manet
    James Henry Rubin
    Ed. Flammarion, avril 2011
    416 p. - 49 euros

    - Il était plus grand que nous ne pensions
    Eric Darragon
    Ed. Nouvelles Editions Scala, coll. Ateliers imaginaires, avril 2011
    207 p. - 19 euros

    Expositions

    - Claude le Lorrain
    "Le dessinateur face à la nature"
    Jusqu’au 18 juillet 2011
    Le Louvre
    Hall Napoléon, sous la pyramide
    75001 Paris

    - Rodin
    "Le plaisir infini du dessin"
    Jusqu’au 13 juin 2011
    Musée Matisse du Cateau-Cambresis
    Palais Fénelon
    59360 Le Cateau-Cambrésis

    Prochaine émission : jeudi 5 mai 2011 à 21:10 : le musée Maillol
     

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    Le musée

    Cette semaine, Laurence Piquet nous fait découvrir ce lieu à l’occasion de l’exposition Manet, inventeur du moderne

    Documentaires diffusés

    Edouard Manet, une inquiétante étrangeté

    Réagissez sur le wiki

    Invités

     

    - Guy Cogeval, président de l’établissement public du musée d’Orsay ;
    - Eric Darragon, historien d’art contemporain, professeur émérite à l’université Paris-Sorbonne I ;
    - Gérard Garouste, artiste peintre et sculpteur.

    Musée d’Orsay
    62, rue de Lille - 75007 Paris
    Tél. : 01 40 49 48 14
    Exposition :
    Manet, inventeur du moderne
    Jusqu’au 3 juillet 2011

    Le chroniqueur Edwart Vignot présente sa chronique "Hors d’œuvre", où il met en lumière un tableau d’Edgar Degas.

    Et aussi

    Livres

    -
    Manet, inventeur du moderne
    Stéphane Guégan (dir.)
    Ed. Musée d’Orsay/Gallimard, avril 2011
    304 p. - 42 euros

    -
    Le Figaro
    "Manet, un certain regard"
    Ed. Le Figaro, coll. Hors série, avril 2011
    114 p. - 8,90 euros

    -
    Manet
    James Henry Rubin
    Ed. Flammarion, avril 2011
    416 p. - 49 euros

    - Il était plus grand que nous ne pensions
    Eric Darragon
    Ed. Nouvelles Editions Scala, coll. Ateliers imaginaires, avril 2011
    207 p. - 19 euros

    Expositions

    -
    Claude le Lorrain
    "Le dessinateur face à la nature"
    Jusqu’au 18 juillet 2011
    Le Louvre
    Hall Napoléon, sous la pyramide
    75001 Paris

    -
    Rodin
    "Le plaisir infini du dessin"
    Jusqu’au 13 juin 2011
    Musée Matisse du Cateau-Cambresis
    Palais Fénelon
    59360 Le Cateau-Cambrésis

    Prochaine émission : jeudi 5 mai 2011 à 21:10 : le musée Maillol
     

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  • J'ai aimé hier:L'estampe au temps de l'impressionnisme

    Salles des pastels - 2e étage - Impressionnistes
    Jusqu'au 23 mai 2011

    Entre 1860 et la fin du XIXe siècle, nombreux sont les peintres qui, à l’instar des impressionnistes, expérimentent de façon novatrice les techniques traditionnelles de la gravure. Qu’il s’agisse d’eau-forte ou de lithographie, la liberté du trait, les effets de texture et le caractère d’inachèvement caractérisent généralement ces œuvres graphiques.

     
    Agrandir l'image
    Edouard Manet, Lola de Valence, eau forte, 1862-63
     

    Le peintre Félix Bracquemond (1833-1868) est l’un des initiateurs de cet intérêt nouveau des peintres pour la gravure. Il est le fondateur en 1862 à Paris avec l’imprimeur Alphonse Cadart (1828-1875) de la Société des Aquafortistes, association qui expose et diffuse avec succès les eaux-fortes proposées en albums.   

    Les œuvres gravées d’Edouard Manet (1832-1883) sont bien représentées dans les collections du musée des Beaux-Arts. L’artiste contribue au renouvellement de la technique de l’eau-forte, en lien avec les thèmes de ses peintures. Il interprète parfois lui-même en gravure ses propres tableaux, comme Lola de Valence d’après le tableau de 1862, conservé au musée d’Orsay.
    Il exploite magistralement les possibilités de la lithographie : le visage de Berthe Morisot (1841-1895), amie du peintre souvent choisie comme modèle, y est saisi avec vivacité en quelques traits, loin d’une représentation photographique figée.

    A la suite des impressionnistes, les paysagistes cherchent à rendre les aspects changeants de la lumière suivant les variations atmosphériques liées aux études en  plein-air au fil des saisons. En gravure, leurs approches diffèrent suivant les sensibilités ou l’instant saisi : travail du trait en petites touches pour Soleil couchant dans le port d’Anvers de Johan Barthold Jongkind (1819-1891), fines zébrures du rendu de la pluie pour Les fiacres sous la pluie de Félix Buhot (1847-1898), et en lithographie, velouté de la chaleur d’été pour La Pêche du lyonnais Adolphe Appian (1818-1898).

     

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:Max Schoendorff, Accrochage

    Salles 200 - 2e étage - Art moderne
    Jusqu'au 3 mai 2011

    Le musée des Beaux-Arts possédait deux œuvres de Max Schoendorff dont l’une acquise dès 1970. Grâce à la générosité de plusieurs donateurs – André Dubois, Françoise Dupuy-Michaud, Jean-Paul Jungo, Gilbert Monin – la collection du XXe siècle s’est enrichie d’un ensemble de dessins, de peintures et de lithographies. À l’occasion de ces donations, le musée invite à redécouvrir les travaux de cet artiste.

     
    Agrandir l'image
    Max Schoendorff, Florizel et Perdita, 1988 © Lyon, musée des Beaux-Arts
     

    Max Schoendorff, né à Lyon en 1934, est issu d’une famille de cristalliers lorrains. Son père lui fait découvrir la langue et la culture germaniques. Après des études littéraires qui le conduisent au professorat, il renonce à son poste d’enseignant pour assister un de ses amis, l’homme de théâtre Roger Planchon. Puis il abandonne l’écriture au profit de la peinture. Dorénavant, il expose régulièrement, à Lyon notamment, d’abord à la galerie Folklore-Marcel Michaud, puis, à partir de 1966, à la galerie Verrière.

    Au début des années 1960, c’est le théâtre qui l’accapare encore. Il est tour à tour décorateur, costumier, scénographe et metteur en scène. Dans les années 1970, il collabore, entre autres, avec le metteur en scène Jacques Rosner, travaille pour le T.N.P. de Villeurbanne, la Comédie-Française, les Opéras de Paris et de Lyon, ou encore le Schiller Theater de Berlin. Le cinéma est également une de ses passions : il est l’un des cofondateurs de la revue Premier Plan, du Congrès indépendant du cinéma international (C.I.C.I.), enfin décorateur pour Jean-Marie Straub et Danièle Huillet.

    Schoendorff appartient à une génération profondément marquée par l’imaginaire surréaliste. Les écrivains Antonin Artaud et Georges Bataille, les peintres Max Ernst, André Masson et Hans Bellmer ont enrichi sa recherche. Mais sa peinture semble également nourrie par des maîtres anciens comme Greco, Rubens, ou Grünewald.

     

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:Lyon et les arts de l'Islam

    Le Génie de l’Orient, Lyon et les arts de l’Islam

    Parcours de l’exposition-dossier
    2 avril - 19 septembre


    Au XIXe siècle, Lyon joue un rôle particulier dans la découverte des arts de l’Islam. Dans cette ville prospère engagée dans le développement industriel et bancaire, les grands bourgeois aiment à s’entourer d’objets précieux. À partir des années 1860, certains de ces collectionneurs se passionnent pour les objets de l’Espagne musulmane, du Maghreb, d’égypte, de Turquie ou encore du Proche et Moyen-Orient.
    Sur le modèle des grands musées européens et sous l’influence de ces amateurs éclairés, les musées lyonnais constituent peu à peu des collections « d’art oriental » et de grandes expositions sont organisées, dans le but explicite de renouveler le regard des artisans et de favoriser ainsi la création artistique. Sous l’influence de cette vogue « orientalisante », la « mauresque » et « l’arabesque » comptent bientôt parmi les ornements privilégiés de la soierie lyonnaise.
    C’est cet engouement lyonnais pour les arts de l’Islam que cette exposition propose de découvrir.
    TARIFS

     

    Exposition : 10€ / 6€ / Gratuit
    Le billet de l'exposition donne accès à l'exposition dossier Lyon et les arts de l'Islam (2e étage salle d'expo-dossier) et aux collections permanentes.
    Carte musées : 20€ carte valable un an dans six musées de la ville.
    L'audioguide de l'exposition est inclus dans le prix du billet.
    Visites commentées : 3€/ Gratuit

    HORAIRES
    Musée et exposition ouverts tous les jours, sauf mardi et jours fériés, de 10h à 18h, vendredi de 10h30 à 18h.

     


    NOCTURNE dans l'exposition
    Vendredi 6 mai de 18h à 22h : 5€/ Gratuit
    Sans réservation. Programmation détaillée
    Café-restaurant ouvert jusqu'à 23h.

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  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier:"Le génie de l'Orient"

    216254_139530752786292_100001881054048_261797_1662057_n.jpgl’Europe moderne et les arts de l’Islam.

    2 avril - 4 juillet 2011

     


     

    Au cours du XIXe siècle, l’Europe découvre un nouvel univers visuel, celui des arts de l’Islam.

    Le marché de l’art et les collections privées contribuent à forger un nouveau regard et un nouveau savoir à  travers les voyages et les expéditions, le développement de la photographie, les publications, les expositions.
    À l’occasion de voyages, nombre de collectionneurs constituent des ensembles d’œuvres souvent spectaculaires qui témoignent de l’émerveillement de l’Occident pour l’Orient. L’exposition suggère que nous demeurons aujourd’hui les héritiers de ces nouveaux codes visuels.

    La découverte des arts de l’Islam donne naissance à deux révélations :
    - l’une, diffusée surtout par la peinture, s’inspire des décors des palais et harems pour une vision fantasmée de la fable orientaliste ;
    - l’autre est portée par les théoriciens de l’ornement et certains artistes d’avant-garde. Ils recherchent dans l’art de l’islam une nouvelle esthétique qui pourrait transformer les codes de représentation occidentale. Tapis et tissus, céramiques, métaux, marqueteries de bois ou encore d’ivoire introduisent un nouveau répertoire de formes, de motifs et de techniques.

    L’exposition illustre ces deux visions à travers différents parcours individuels ou collectifs : Pionniers, voyageurs, photographes ou collectionneurs sont fascinés par l’originalité de cette nouvelle culture visuelle alors même que l’histoire de la représentation est en crise.

    Le parcours s’achève avec l’évocation d’un moment d’espoir utopique : celui où des artistes, comme Henri Matisse ou Paul Klee, ont rêvé, peu avant la Première Guerre mondiale, d’une fusion entre regard « occidental » et regard « oriental ».

     
    Commissariat de l'exposition
    Salima Hellal, conservateur du patrimoine, chargée des collections d'objets d'art, musée des Beaux-Arts de Lyon,
    Rémi Labrusse, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université de Paris X Nanterre.
    Cette exposition est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/ Direction générale des patrimoines/ Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.

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  • Catégories : Des musées, Le paysage

    Ouverture du musée Pierre Bonnard au Cannet le 25 juin 2011

     

    Le 25 juin 2011, le premier musée au monde consacré à Pierre Bonnard ouvre ses portes au Cannet, ville de prédilection du peintre. A cette occasion, une exposition inaugurale est organisée “Bonnard et Le Cannet. Dans la lumière de la Méditerranée”.

     

     

    Le Cannet comme une évidence

    Tout comme Giverny pour Claude Monet, Nice pour Matisse, Le Cannet était un lieu prégnant pour Pierre Bonnard. Il y acheta en 1926 la villa Le Bosquet et y passa plus de vingt ans. Véritable source d’inspirations, lieu de recueillement artistique... la ville et l’environnement de sa maison l’inspira au point qu’il y réalisa ses plus belles oeuvres. Encore trop méconnu du grand public, Bonnard a fait partie des 7 artistes qui ont représenté la France à l’exposition universelle de Shanghai en 2010. C’était donc légitime que Le Cannet célèbre Bonnard en lui offrant son premier musée.

    Un hommage pérenne

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    Pierre Bonnard, Autoportrait (Le Boxeur), 1931 huile sur toile, 54 x 74 cm, Paris, musée d’Orsay, don de la Fondation Meyer, 2000 © Adagp, Paris 2011 © RMN (Musée d’Orsay) / Michèle Bellot

    Tout en prenant en compte la totalité de la carrière de Pierre Bonnard, le contenu scientifique du musée est essentiellement centré sur sa période du Cannet (1922-1947). En dehors de l’exposition inaugurale « Bonnard et Le Cannet. Dans la lumière de la Méditerranée » le musée met en place deux expositions par an, une exposition d’envergure et une exposition de type dossier. Enrichissement de la collectio n Les oeuvres de Pierre Bonnard sont trés recherchées et donc rares sur le marché. Chaque année un budget est consacré à l’acquisition d’oeuvres. A ces achats, s’ajoutent des dons qui sont une belle preuve de confiance de la famille du peintre d’une part, et de mécènes d’autre part, tels que la Fondation Meyer pour le développement artistique et culturel.

    L’exposition inaugurale : Bonnard et Le Cannet, Dans la lumière de la Méditerranée

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  • Catégories : Des musées

    Le Kunstmuseum de Berne sort ses trésors

    19457639_jpg-r_160_214-b_1_CFD7E1-f_jpg-q_x-20100602_033039.jpgUn œuf filmé apparaît sur plusieurs écrans en noir et blanc, transfiguré, méconnaissable: une vidéo de Nam June Païk. (ProLitteris 2010)

     

    Projets d’extension suspendus et perspectives d’avenir imprécises poussent le musée bernois à montrer une partie de sa collection d’art actuel. Des richesses dignes d’un très grand musée si l’espace ne lui était compté.

    http://www.letemps.ch/culture/arts_plastiques

  • Catégories : Des musées

    La National Gallery démêle le vrai du faux

    Par Eric Bietry-Rivierre
    29/07/2010 | Mise à jour : 18:16 Réactions (6)

    Faussaire génial - Chef-d'œuvre d'un faussaire anonyme, ce portrait de groupe ne date que du début du XXe siècle. La National Gallery elle-même a été abusée au point de l'acquérir en 1923. Il est vrai que le style des profils de la Renaissance est respecté. Seules l'identification de pigments apparus au XIXe siècle et la présence de fausses craquelures peintes pour simuler la patine ont révélé la supercherie. Mais il était trop tard. (National Gallery)
    Faussaire génial - Chef-d'œuvre d'un faussaire anonyme, ce portrait de groupe ne date que du début du XXe siècle. La National Gallery elle-même a été abusée au point de l'acquérir en 1923. Il est vrai que le style des profils de la Renaissance est respecté. Seules l'identification de pigments apparus au XIXe siècle et la présence de fausses craquelures peintes pour simuler la patine ont révélé la supercherie. Mais il était trop tard. (National Gallery)

    Le grand musée londonien s'est penché sur une quarantaine de ses œuvres qui ont révélé de mauvaises surprises.

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  • Catégories : Des expositions, Des musées

    Sonia Delaunay et l'art abstrait

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    A partir du 23 juin 2010

    A l’occasion du ré-accrochage de l’œuvre majeure de Sonia Delaunay (1885 - 1979) Rythme couleur 1076 qui vient d’être restaurée, le musée expose, dans la Galerie d’actualité (1er étage), un ensemble d’œuvres abstraites issu de ses collections.
    Cette restauration fondamentale a nécessité des interventions à la fois sur la couche picturale et le support toile.
    Rythme couleur 1076, œuvre particulièrement représentative du travail de Sonia Delaunay (Ukraine, 1885 - Paris, 1979) vient d’être restaurée grâce au mécénat de Sotheby’s. A cette occasion, le tableau sera présenté tout l’été dans la galerie d’actualité, aux côtés de quatorze autres œuvres abstraites de la collection du musée. Certaines de ces œuvres n’ont pas été présentées au public depuis la fermeture du Palais des beaux-arts de Lille pour rénovation en 1991.
    Parmi cette sélection, retrouvez les œuvres de Serge Poliakoff , Frantisek Kupka mais aussi Alfred Manessier, Maurice Estève et Jean-Michel Atlan. Martin Barré et son élève Christian Bonnefoi complèteront ce panorama de près de quarante ans d’art abstrait dans les collections du musée.

    L’œuvre de S.Delaunay, Rythme couleur 1076, a été restaurée grâce au mécénat de Sotheby’s.

     

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/