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Des musées - Page 37

  • Catégories : Des musées

    Musée Fernet-Branca à Saint-Louis(Alsace) le 28 mars 2009

    fernet branca.jpg

    L'histoire de cette distillerie ludovicienne commence à Bâle, le 22 juillet 1907, date à laquelle l'entreprise de construction Broggi et Appiani, « entrepreneurs de travaux en maçonnerie et ciment », dépose une demande d'autorisation de bâtir au maire de Saint-Louis pour le compte de la famille Branca de Milan, selon les plans de l'architecte milanais G. Merlini.

    Pour en savoir plus:

    http://www.museefernetbranca.fr/page00010006.html

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des musées, Mulhouse, Voyage

    Musée de l’impression sur étoffes à Mulhouse le 31 octobre 2008

    musée impression.jpgEn 1833, les industriels mulhousiens rassemblés au sein de la Société Industrielle de Mulhouse décident de conserver leurs créations. Mieux ils s’efforcent de compléter ces archives en collectionnant les productions d’autres pays et d’autres temps. L’ensemble devenu vite important, se constitue de textiles du monde entier, centré sur l’impression alsacienne. La préoccupation, clairement avouée, est professionnelle : il s’agit de regrouper les productions passées pour inspirer les dessinateurs textiles et servir à leur apprentissage. Cet esprit d'émulation du dessin appliqué préside à la création, en 1857, du Musée du Dessin industriel, destiné avant tout aux praticiens. Les collections augmentent régulièrement, offrant une source de plus en plus riche aux industriels de l'impression. Ce principe d'accueil des industriels se poursuit aujourd'hui au sein du Service d'Utilisation des Documents. Une bibliothèque spécialisée d'environ 9000 volumes reçoit chercheurs et étudiants.

     

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  • Catégories : Des musées

    Imagerie d' Epinal le 30 octobre 2008

    ATELIER.jpg1796

     Jean-Charles Pellerin, cartier dominotier à Épinal (Vosges) se lance dans une belle aventure, une fabrique qui utilise les techniques d'impression de son époque, la gravure sur bois pour l'expression du trait , et le coloris au pochoir pour faire vivre l'image par la couleur.

     

    Dans son petit atelier de la rue Léopold Bourg, il donne naissance à la future Imagerie d'Épinal. Il sait s'adapter aux techniques dites modernes avec la lithographie en 1820 et il n'hésite pas à construire des machines permettant la mécanisation de huits coloris au pochoir avec l'aquatype. La fabrique vit ses heures de gloire grâce à une distribution populaire assurée par les colporteurs qui, de village en village font connaître les travaux de l'Imagerie. Après cette ascension, il y eut la terrible descente aux enfers suivie du dépôt de bilan. 

     

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  • Catégories : Des musées

    Visite du Samedi 20 septembre 2008:Musée européen de l'avion de Chasse

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    Le musée vous présente les avions de combat les plus célèbres au monde. Ces monstres d’acier savourent ici une retraite bien méritée en compagnie d’avions de liaison, d’entraînement et de prototypes. Les superbes maquettes du Kit Model Montilien viennent compléter cette collection de près de 40 avions dont certains dépassent les 20 tonnes.

    Cette visite vous fera passer de 800 à 2 400 km/h sans quitter notre belle terre !

    http://www.meacmtl.com/

    Cette note a été selectionnée par Paperblog:

    http://www.paperblog.fr/1112646/visite-du-samedi-20-septembre-2008musee-europeen-de-l-avion-de-chasse/

  • Catégories : Atelier de Ghislaine, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Des musées

    Découverte d'un lieu le 14 mars 2008:Le musée du Vermandois

    C'est grâce à son emplacement géologique que Vermand fut à l'époque Gauloise une ville et plus tard Gallo-Romaine une enceinte militaire.

    De nos jours un Musée existe, depuis 1976, il se trouvait à l'hôtel de ville de Vermand. Puis après la réfection de l'ancien moulin situé sur les bords de l'ominion et mis à disposition  par la municipalité, le Musée s'y installa en juillet 1995.

    Installé dans les locaux de l'ancien moulin, le Musée du Vermandois vous invite à découvrir ses nombreuses et diverses collections réparties en différents thèmes sur cinq niveaux du bâtiment.439726208.jpg

     

    http://www.museeduvermandois.fr/page_accueil.htm(Pour en savoir plus).

     

    Nous avons visité rapidement(manque à temps car ce musée demanderait plusieurs heures de visite passionnante) avec notre ami Jean-Pierre qui avec sa femme Ghislaine(et d'autres) sont bénévoles dans ce musée qui regroupe en fait plusieurs musées: archéologie, art religieux, costumes, métiers d'antan.

     

    Au passage, je remercie encore ces amis saint-quentinois d'être venus nous chercher à Roissy et de nous y avoir ramenés.

  • Catégories : Des musées

    La prochaine fois que j'irais dans le nord, peut-être:"La piscine" de Roubaix

    1312918368.jpgLa Piscine est l'un des plus beaux musées de France installé à Roubaix dans une ancienne piscine art déco des années 30. Découvrez des collections exceptionnelles de peintures, sculptures, céramiques et tissus des 19 et 20ème siècles.


    http://www.roubaix-lapiscine.com/pages/2007/08/2-2%20-%20visite-%20animations.php

    A VOIR LA - BAS EN CE MOMENT:Le zoo d'Orsay

    Quand Emmanuelle Héran arrive comme conservatrice au musée d’Orsay, elle découvre, dans les réserves, plus de 200 sculptures animalières et décide de sortir au grand jour ces richesses oubliées. A partir de cet été, le musée parisien présentera donc une section entièrement dédiée à l’art animalier. En attendant, Orsay a prêté une partie de sa collection à La Piscine de Roubaix pour une exposition intitulée avec humour « Le Zoo d’Orsay ». C’est dans un décor vert pomme que sont exposées un peu plus de 150 œuvres signées des plus grands noms : Manet, Courbet, Delacroix, Bonnard, Pompon, Gauguin, Grasset, Doré… Les animaux sont classés par « famille ». Ainsi, peut-on, grâce à un choix varié de tableaux, dessins, pastels, sculptures et objets d’art couvrant toute la période de 1848 à 1914, passer des animaux à plumes (faisans, paons, canards, coq…), aux animaux exotiques (girafes, singes, éléphants, antilopes…), domestiques (chats, chiens, chevaux…) mais également au monde marin. Le public se retrouve à l’intérieur d’une véritable ménagerie, les cris des différents animaux étant diffusés en fond sonore. Autre exposition accrochée au même moment à La Piscine : « Bijoux-sculptures. L’art vous va si bien ! ». 150 bijoux provenant de différentes collections, dont celle de Diane Venet, épouse du sculpteur Bernar Venet et commissaire de l’exposition, proposent une autre vision de la parure aux XXe et XXIe siècles. Il n’est pas question ici de joaillerie mais d’art moderne et contemporain où l’on croise les noms de Calder, Fontana, Picasso, Rauschenberg, Kapoor… Ils ont tous créé des « sculptures to wear » souvent restées inconnues du grand public.

     

    Elodie de Boysson

    Les expositions « Le Zoo d’Orsay » et « Bijoux-sculptures. L’art vous va si bien ! » ont lieu jusqu’au 25 mai à La Piscine-musée d’Art et d’Industrie André Dilligent, 23, rue de l’Espérance, 59100 Roubaix. Renseignements : 03 20 69 23 60 et www.roubaix-lapiscine.com

    Image : François Pompon, Ours blanc, 1922, Roubaix, La Piscine, musée d’art et d’industrie André Diligent - dépôt du musée de saint-omer en 1994 (photo A. Loubry).


    http://www.connaissancedesarts.com/peinture-sculpture/actu/articles/oeuvres-expositions/point-de-vue/le-zoo-dorsay-et-bijoux-dartistes-a-roubaix.html

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des musées

    Le palais des Beaux-Arts de Lille visité en mars 2008

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    Le Palais des Beaux-Arts de Lille, l’un des premiers musées français, abrite dans son imposant bâtiment caractéristique du répertoire architectural du XIXe siècle, des collections de peinture européenne, un cabinet des dessins, un département des Antiquités, du Moyen Âge et de la Renaissance, des céramiques des XVIIe et XVIIIe siècles, des sculptures françaises du XIXe siècle et des Plans-Reliefs du XVIIIe siècle.

    Les travaux de rénovation, achevés en 1997, ont permis non seulement l’agrandissement du musée (d’une surface de 15 000 m2, il est passé à 22 000 m2) mais aussi l’aménagement des sous-sols où sont aujourd’hui installées les galeries consacrées au Moyen Âge et à la Renaissance et la salle des Plans-Reliefs. Une salle d’expositions temporaires, un auditorium, une bibliothèque et des ateliers pédagogiques y ont aussi été créés.
    Le "bâtiment-lame" situé à l’arrière du bâtiment principal et renvoyant ainsi son reflet dans ses parois de verre, abrite les bureaux de la conservation et de l’administration, le cabinet de dessins, les ateliers de restauration et le restaurant.

    Les collections mondialement renommées du Palais des Beaux-Arts retracent un panorama complet des plus grands foyers artistiques européens du XIIe au XXe siècle.
    Le département du Moyen Âge et de la Renaissance présente de grands chefs-d’oeuvre européens de la sculpture et de l’orfèvrerie romanes et gothiques (Vieillard de l’Apocalypse de Saint-Omer, Encensoir aux hébreux, Retable de saint Georges) et de la Renaissance (Donatello). La peinture italienne, espagnole, des pays germaniques et surtout des anciens Pays-Bas est bien représentée (Dirk Bouts, Jan Bellegambe).
    Le département des peintures compte plus de 650 tableaux parmi lesquels : l’école flamande, qui comprend un ensemble rare de Maniéristes du Nord (Barthel Bruyn, Van Hemessen, ateliers de Brueghel et de Bosch), de majestueux tableaux d’autel (Rubens, Van Dyck et Jordaens), ainsi qu’une collection de peinture hollandaise (Emmanuel de Witte, Pieter Codde, Jacob Van Ruisdael, Pieter Lastman) représentative de la quasi-totalité des genres pratiqués à Amsterdam, Anvers, Delft, Haarlem et Utrecht au XVIIe siècle.
    De Champaigne à Manet, le parcours de peinture française est également très complet ; certains tableaux constituent des jalons essentiels de son évolution (David, Chardin, Delacroix, Courbet…). Les bouleversements esthétiques du XIXe siècle sont représentés en peinture par Monet, Sisley, Seurat, Puvis de Chavannes et en sculpture par Pajou, David d’Angers, Carpeaux, Camille Claudel, Rodin.
    La peinture italienne n’a pas bénéficié des grands envois de l’Etat à l’époque de Napoléon mais comporte toutefois des œuvres insignes de Véronèse, Tintoret, Bassano.
    Le cabinet espagnol restitue, en peu de tableaux, l’intensité spirituelle de cette école, avec les chefs d’œuvre de Goya, Greco, Ribera et Valdes Leal.
    Enfin, le cabinet des dessins riche de 4 000 feuilles, dont 30 dessins de Raphaël, fait du musée de Lille une référence mondiale pour tous les amateurs et les spécialistes du genre.
    Le musée réserve aussi une section à l’archéologie méditerranéenne (Egypte, Nubie, Grèce, Chypre, Italie).

    Mais le Palais des Beaux-Arts de Lille, c’est aussi une programmation culturelle qui se situe à la croisée des époques et des disciplines artistiques (littérature, théâtre, musique, danse, cinéma, vidéo, installations..), avec des rendez-vous réguliers qui incitent à une découverte sans cesse renouvelée de ses collections et de ses expositions par tous les publics.

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/spip.php?rubrique2

    Je crois que je l'avais dèjà visité à sa réouverture, quand je vivais dans le Nord mais j'avais du me concentrer sur l'expo sur Watteau alors que là, j'ai commencé par les collections permanentes. J'en ai pris plein les yeux, j'ai pris beaucoup de notes(de futures notes ici si je trouve le temps), j'ai discuté avec quelqu'un du musée.

    Un tableau de Brueghel le jeune(d'après Brueghel l'Ancien) dans la salle des maniéristes du nord du département des peintures:La prédication de Saint Jean-Baptiste

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    Les prédicateurs protestants parcouraient les Pays-Bas et prêchaient les nouveaux enseignements à ciel ouvert. Il en allait de même pour les anabaptistes qui se réclamaient de Saint Jean-Baptiste. Bruxelles montre une réunion de son époque, mais remplace le prédicateur par Saint Jean-Baptiste. De son bras gauche, il désigne le Christ qui se distingue des autres spectateurs par sa robe claire (voir détails).

    http://www.pieter-bruegel.com/salles/prediction.htm

  • Catégories : Des musées

    Peut-être lors d'un prochain séjour dans le Nord:LE MUSEE D'ART MODERNE LILLE METROPOLE

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    Vue du chantier du Musée. Photo : Max Lerouge / LMCU
    Inauguré le 13 novembre 1983 et situé dans un vaste parc, le Musée d’art moderne a été conçu par l’architecte Roland Simounet pour abriter la prestigieuse donation faite par Geneviève et Jean Masurel à la Communauté Urbaine de Lille en 1979.
    La plupart des grands artistes d’avant-garde ayant vécu en France dans la première moitié du XXe siècle y sont représentés. La collection comporte notamment des chefs-d’oeuvre cubistes de Georges Braque, Henri Laurens, Pablo Picasso ainsi que des ensembles de référence d’oeuvres de Fernand Léger, Joan Miró et Amédéo Modigliani.
    Le Fauvisme, le Surréalisme, l’École de Montparnasse, l’École de Paris, l’Art Naïf et les artistes du Nord de la France y sont également représentés.
    Depuis son ouverture, le musée constitue une collection d’art contemporain rassemblant des oeuvres d’artistes français et étrangers.

    Le Musée d'art moderne Lille Métropole a fermé ses portes pour des travaux d'extension et de modernisation le  29 janvier 2006. Une extension conçue par l'architecte Manuelle Gautrand permettra de présenter en permanence, à l'automne 2009, la collection d'art brut donnée en 1999 par l'association L'Aracine à la Communauté urbaine de Lille. Le Musée bénéficiera, dans sa configuration nouvelle, de vastes salles d'exposition temporaire, continuant ainsi à proposer de expositions d'envergure consacrées à l'art moderne, l'art contemporain et l'art brut. La bilbliothèque Dominique Bozo sera agrandie et restructurée. À sa réouverture, le Musée sera le seul, sur un plan international, à proposer au public l'accès à une prestigieuse collection d'art moderne, à un ensemble d'art contemporain de référence ainsi qu'à une collection d'art brut sans égal en France.
    Durant sa fermeture le Musée propose un programme d'expositions temporaires et d'activités pédagogiques et culturelles.

     QUELQUES NOUVELLES DES COLLECTIONS

     ACTUALITES DES ACTIVITES CULTURELLES

     EXPOSITIONS HORS LES MURS

     Diaporama : LE WEEK-END DE CLÔTURE

      DEVENEZ PARTENAIRE DU MUSEE

    http://mam.cudl-lille.fr/mam.php

    Le pire c'est que j'ai habité pendant 4 ans pas très loin et que je n'y suis jamais allée. Honte sur moi! Mais je ne suis pas la seule dans ce cas, je crois?...

  • Catégories : Des musées

    Le musée espagnol du Prado s’agrandit

    c5c39b2f5596266a1f3b065515e46fdc.jpgGrâce à la construction de sa nouvelle aile, le musée du Prado à Madrid a augmenté sa surface d’exposition de 50%. Dès mercredi, les visiteurs pourront découvrir ce nouvel espace gratuitement jusqu’au 4 novembre prochain.

    15.715,27 nouveaux mètres carrés d’exposition : il s’agit de la surface correspondante à l’extension du musée du Prado situé à Madrid. Ce projet de 152 millions d’euros a demandé cinq années de construction pour aboutir au réaménagement du cloître de Jeronimos et à l’extension du musée.

    L’architecte
    L’architecte Rafael Moneo a travaillé sur ce projet en respectant l’architecture originale du musée. Il a utilisé des matériaux similaires à ceux d’origine tels que le granit et la brique. La façade du bâtiment a également été refaite, notamment les grandes portes en bronze réalisées par la sculptrice Cristina Iglesias. L’intérieur a été conçu de façon innovante et surprenante avec des étages disposés en mezzanine.

    Elargissement culturel
    Les espaces consacrés aux activités culturelles vont s’élargir de façon importante avec des nouvelles galeries pour les expositions temporaires ou encore une salle de théâtre pour la lecture. Grâce à ces réaménagements, le musée va pouvoir diversifier ses activités et augmenter sa programmation culturelle. Certains endroits seront revalorisés : le Département de l’éducation occupera un espace plus important qu’auparavant au sein du musée.

    Fanny Bonnin

    30/10/2007

    http://www.batiactu.com/data/30102007/30102007-175416.html

  • Peinture:Un Poussin au musée des Beaux-Arts de Lyon

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    Publié le 18/07 à 17:54

    "La fuite en Egypte", tableau de Nicolas Poussin, a été racheté par l'Etat et ira rejoindre les collections lyonnaises.

    Des négociations étaient en cours depuis plusieurs mois en vue de l'acquisition par l'Etat et la Ville de Lyon de ce tableau classé "trésor national". L'oeuvre sera donc acquise par l'Etat pour le musée du Louvre et rejoindra, par dépôt, les collections du musée des Beaux-Arts de Lyon d'ici le début de l'année 2008. Une opération de mécénat rare...

    Mais pourquoi mettre en dépôt cette oeuvre à Lyon ? Tout simplement car le tableau est historiquement lié à la région et notamment à la ville. En effet, Jacques Sérisier, un contemporain de Poussin qui fut le premier collectionneur du tableau et qui en fut aussi très probablement le commanditaire, est originaire de Lyon.

    La trace du tableau s'est perdue vers 1713 jusqu'à ce qu'il reparaisse en vente publique en 1986, comme copie d'atelier d'abord, authentifié ensuite en 1994 comme de la main de Poussin. Le tableau, déclaré il y a trois ans "trésor national", ne pouvait quitter le territoire jusqu'au 11 février dernier, date de l'expiration de cette interdiction. C'est à cette date que tous ce sont engagés dans une course contre la montre pour conserver le tableau. Le revoici à Lyon, la boucle est donc bouclée.

    Cet achat permet également à l'oeuvre de rester en France et de contribuer ainsi "à élargir le rayonnement d'une des collections les plus importantes d'Europe pour la peinture française du XVIIe siècle" selon le communiqué de presse du ministère de la Culture. Cet achat est une opération de mécénat remarquable qui permet d'enrichir les collections françaises. C'est grâce à l'entente et à l'union du musée des Beaux-Arts de Lyon et du musée du Louvre que l'achat a pu aboutir. Il aura également fallu l'aide de 18 mécènes, entreprises ou donateurs privés pour que l'oeuvre puisse rejoindre les collections françaises.

    En effet le prix du tableau avait été fixé par le propriétaire "à la hauteur d'une oeuvre qui, de l'aveu de tous, est d'une exceptionnelle qualité". 17 millions d'euros, c'est la somme qu'il aura fallu récolter pour que le public lyonnais puisse admirer ce tableau datant de la fin de 1657-1658, soit la dernière période de l'artiste.

    Source: http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/32856622-fr.php

  • Un peintre à (re) découvrir:Jacques Stella

    medium_stella.jpgJacques Stella s'affranchit de Poussin

    ANNE-MARIE ROMERO.
     Publié le 05 avril 2007
    Actualisé le 05 avril 2007 : 10h21

    Au Musée des Augustins de Toulouse, une rétrospective de Jacques Stella, peintre de Richelieu, longtemps éclipsé par Poussin, auquel on avait attribué certaines de ses toiles.

    BIEN S€R, il s'agit de peinture du XVIIsiècle, classique, hyperclassique même, qui rebute certains, un style surnommé l'« atticisme parisien » des Lesueur, La Hyre et Poussin, ces artistes qui « aimaient faire lisse, des couleurs claires, juxtaposées avec une audace raffinée, parfois avec une pointe de préciosité, un modelé savant », selon la définition de Pierre Rosenberg. Jacques Stella, (1596-1657) en est l'illustration typique, et pourtant il est bien plus que cela. Miniaturiste, dessinateur spontané de scènes de la vie quotidienne, graveur hors pair, peintre sur pierre, marbre, sur cuivre et, surtout, artiste humain, modeste, sensible, qui a aimé égayer les plus académiques de ses constructions picturales de quelques détails familiaux, intimes et touchants.
    Ce sont plus de 150 de ses oeuvres, peintes ou dessinées, que présente le Musée des Augustins de Toulouse - propriétaire d'une pièce magistrale de l'artiste, Le Mariage de la Vierge -, enrichissant ainsi l'exposition que les Lyonnais avaient pu admirer précédemment.
    Stella, lyonnais d'origine ­flamande, d'une dynastie de peintres, fait le « voyage en Italie », s'arrête à Florence puis part pour Rome où il sera le protégé de la famille Barberini. De ce séjour, il rapportera des miniatures inspirées de Jacques Callot et de ­ravissants dessins de petites gens croquées sur le vif, aux antipodes de la peinture officielle qui lui sera commandée par Richelieu. Fasciné par les défis techniques, il peint aussi sur « pietra dura », notamment un très beau Songe de Jacob utilisant les veines de l'onyx pour placer ses personnages.

     
    Peintre d'Église

     
    Car lorsque Stella rentre en France, décidé à se rendre à la cour d'Espagne, le cardinal premier ministre le retient. Il souhaite contrebalancer le baroque espagnol avec une autre manière d'illustrer la Contre-Réforme : une réutilisation de l'Antiquité « marquée du sceau de la rigueur intellectuelle, écrit Sylvain Laveissière, commissaire de l'exposition, au service d'une religion réconciliée avec la raison ».
    Stella devient alors presque exclusivement un peintre d'Église et travaille sur des commandes de grands et moyens formats : L'Assomption de la Vierge, L'Adoration des Anges (Stella en peint sur tous ses tableaux), Sémiramis appelée au combat. Autant de scènes convenues, avec des visages portant des masques anonymes sur lesquels il pose les affects de circonstance. Ses décors architecturaux antiques sont figés, ses couleurs froides, notamment son rose caractéristique, tirant sur le mauve, ses bleus, qu'il affectionne, éclatants mais glacés. La lumière vient de face, sans nuance. À cet égard, Clélie passant le Tibre, un épisode de l'histoire de Rome et des Étrusques, peut être considéré comme un chef-d'oeuvre du genre. Huit jeunes filles, idéalisations de la femme, d'une esthétique aussi parfaite que la composition est artificielle, baignent dans une lumière blanche et froide.
    Pourtant, dès qu'il le peut, il introduit un élément insolite, touchant. Dans David et Bethsabée, une de ses plus belles oeuvres, un petit chien, une table chargée de mets, un costume orientalisant insufflent la fantaisie. Il trouve aussi des accents inattendus de tendresse dans La Vierge donnant la bouillie à Jésus enfant et dans toute sa série sur la sainte Famille, où Joseph, rassurant et puissant, dans la force de l'âge, prend une importance inusitée.
    Mais son amitié - « funeste » - pour Poussin lui a nui. Lorsque sa nièce, Claudine Bouzonet-Stella, fera graver ses derniers dessins, le graveur signera Nicolas Poussin. Et il faudra attendre le XXe siècle pour que nombre de ses oeuvres, injustement attribuées, soient restituées à cet artiste qui méritait d'être classé parmi les plus grands.
    « Jacques Stella, peintre de Richelieu », Musée des Augustins, Toulouse, jusqu'au 17 juin. Tél. : 05 61 22 21 82.

     
    © Le Monde.fr
    image:www.lyonweb.net
  • Exposition "Picasso-Carmen, Sol y Sombra" au Musée Picasso à Paris du 21 Mars au 21 Juin 2007

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    L’exposition montre comment la fascination de Picasso pour Carmen s’apparente à une longue quête imaginaire et souterraine sur le thème des amours tragiques.
    "Provocante et rebelle, Carmen, icône de la passion, hante l’oeuvre de Picasso. La mythique héroïne de Prosper Mérimée (nouvelle publiée en 1845) et de Georges Bizet (opéra créé en 1875) assiège l’artiste depuis son oeuvre de jeunesse où gitanes et prostituées confondent leur aura sulfureuse. Quelque 220 oeuvres sont ainsi rassemblées autour de ce « motif carménien » : peintures, dessins, gravures, photographies et documents.

    Croisant présentation chronologique et thématique, l’exposition revient d’abord sur l’oeuvre précoce (1898-1903) de l’artiste. Le croquis madrilène d’une jeune femme fait mention du prénom, « Carmen », dès 1898. Il inaugure un cycle marqué par la vision noire du Goya des Caprichos ou des Sueños où bohémiennes et majas (« les belles ») se révèlent indissociables de l’emblématique Célestine, entremetteuse et sorcière (Fernando Rojas, La Célestine ou tragicomédie de Calixte et Mélibée, 1499 ; Pablo Picasso, La Célestine, 1904). Puis, sous les travestissements d’une Espagne de fantaisie avec panoplie de mantille, châle, grand peigne et éventail, l’artiste va métamorphoser et plier à ses recherches plastiques les plus radicales la fatale héroïne. L’exposition rassemble ainsi pour la première fois à Paris quelques uns des grands tableaux peints par l’artiste dans les années 1904-1918. Ils forment une véritable galerie de portraits féminins en costume espagnol alliant modernité et références aux maîtres anciens et contemporains (Goya, Vélasquez, Manet) : Fernande à la mantille, 1905, Portrait de Benedetta Canals, 1905, Grand Nu au peigne, 1906, Femme à l’éventail, 1909, Femme à la mantille, « La Salchichona », 1917, Portrait d’Olga à la mantille, 1917, Blanquita Suarez, 1917, Olga au fauteuil, 1918.

    L'« opéra funèbre » de Bizet s’achève par le meurtre de Carmen sur fond de mise à mort du taureau dans l’arène. Cette symétrie du sacrifice de l'animal sauvage et de la femme va inspirer tout particulièrement l’oeuvre surréaliste de Picasso. En témoignent, dans l’exposition, les riches variations mytho-tauromachiques, dessinées et gravées, mettant en scène les étreintes et combats des toreros/toreras des années 1920-1935. Dans les années cinquante, c’est à l’illustration de la nouvelle de Mérimée que l’artiste travaille enfin, avec un très bel ensemble d’aquatintes et de burins où la « Carmencita » picassienne apparaît comme l’incarnation même de la peinture (Pablo Picasso, Prosper Mérimée, Louis Aragon, Carmen des Carmen, Paris, Editeurs français réunis, 1964). Carmen, foyer d'une ardente symbolisation iconographique, se révèle figure du double, du peintre lui-même se reflétant au miroir de la femme, de l'autre."

    INFOS PRATIQUES

    MUSÉE PICASSO, Hôtel Salé, 5, rue de Thorigny, 75003 Paris

    Accès:
    Métro : Saint-Paul / Chemin Vert / Saint Sébastien Froissart
    Bus : 29, 96, 69 et 75

    Horaires:
    Ouvert tous les jours sauf le mardi. De 9h30 à 17h30 (à 18h00 à partir du 1er avril)
    Tarifs: 7,70 € plein tarif ; 5,70 € tarif réduit (de 18 à 25 ansinclus) ; gratuit pour les moins de 18 ans, et le premier dimanche de chaque mois.

    Pour toute information complémentaire, vous pouvez consulter le site du Musée Picasso.
    http://www.hotels-paris-rive-gauche.com/blog/index.php/2007/03/14/1626-exposition-picasso-carmen-sol-y-sombra-au-musee-picasso-a-paris-du-21-mars-au-21-juin-2007
  • Picasso : Autoportrait au nez rouge

    ÉRIC BIÉTRY-RIVIERRE.
     Publié le 22 mars 2007
    Actualisé le 22 mars 2007 : 10h38

    La Fondation Pierre-Gianadda passe l'oeuvre au crible de la thématique circassienne.

    ENFANT, il adorait aller au Tivoli Circo Ecuestre de Barcelone. Adulte, il fréquentait Medrano. Vieillard, il ne ratait jamais une diffusion de «La piste aux étoiles». Parmi tous les artistes passionnés par le cirque - et l'on sait combien ils sont nombreux, depuis le Pierrot de Watteau -, Pablo Picasso est assis aux premiers rangs. À une place aussi importante que celle qu'il occupe dans l'histoire de l'art. En 2004 « La grande parade », exposition organisée au Grand Palais par Jean Clair à partir de l'essai définitif écrit sur la question par Jean Starobinsky (Portrait de l'artiste en saltimbanque, Gallimard), l'avait magistralement démontré. Aujourd'hui, dans le cirque naturel du Valais suisse qu'est Martigny, la Fondation Pierre-Gianadda se focalise sur l'artiste en passant l'ensemble de sa carrière au crible du thème des arts de la piste et des saltimbanques. Peu de grandes huiles - tout de même plusieurs Arlequins au costume en damier de plus en plus propice au cubisme, deux Paulo en Pierrot, enfants tristes de 1925 et 1929, une Femme acrobate aussi radicalement démembrée qu'épurée de 1930... En revanche, beaucoup d'esquisses, de dessins et d'aquatintes où la pensée fuse, de plus en plus sûre de son trait, de plus en plus proche du sujet.
    Une passion conservée tout au long de la vie
    Voilà Picasso dompteur d'une humanité bestiale. Picasso clown à la fois amusé et triste d'un monde pathétique. Picasso bateleur aimant se frotter à mille défis inédits, acrobate du risque, forain de l'aventure. Voilà aussi Picasso fabricant de masques ou encore goinfre de ballerines. Et partout se rêvant marginal, maudit et merveilleux. Oui, décidément, l'artiste ne pouvait trouver ailleurs que dans la sciure, la sueur et le fard meilleure métaphore de lui-même. La splendide série de photographies de David Douglas Duncan le montrant déguisé en clown, jubilant comme un enfant, explique tout. Picasso allait partager cette passion avec presque toute l'avant-garde du début du XXe siècle et, surtout, la conserver tout au long de sa vie. Avec, comme seul concurrent d'Arlequin, le Minotaure. À Martigny, l'accrochage ménage l'espace sacré d'un temple antique dédié à Mithra, dieu solaire. Lors des fouilles, on y trouva une tête de taureau tricorne en bronze. La bête fabuleuse était déjà en piste...
    Jusqu'au 10 juin à la Fondation Pierre-Gianadda. 10, rue de la Gare, 1920 Martigny (Suisse). Catalogue 366 p. couleur, 30 eur. Tél. : + 41 27 722 39 78 et http://www.gianadda.ch
  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art

    Fragonard à l'honneur à Besançon

     
    Une centaine de dessins et peinture de l'artiste exposés pour la première fois, jusqu'au 2 avril 2007

    Ces oeuvres, que Besançon possède grâce aux généreux legs au XIXe siècle, sont exposés pour la première fois au musée des Beaux-Arts et d'archéologie.

    Pierre Rosenberg, historien d'art et membre de l'Académie-Française, a authentifié 93 des 123 oeuvres exposées. 

     "La gloire actuelle de Fragonard repose autant sur ses dessins que sur ses tableaux. On notera l'extraordinaire variété des techniques des dessins de l'artiste (...) comme de leurs sujets (...). On sera séduit par leur virtuosité et leur élégance, leur charme et leur spontanéité", souligne M. Rosenberg.

    Une partie des dessins a été réalisée lors des deux voyages en Italie du peintre, qui dessine, croque et saisit sur le vif ce qu'il a sous les yeux: personnages, portraits, scènes de rue, ruines antiques, paysages de la campagne romaine etc.

    Parmi les oeuvres présentées: la célèbre série des sanguines décrivant à l'été 1760 les jardins de la villa d'Este à Tivoli, près de Rome, considérée comme l'une des plus grandes réussites de l'art du dessin au XVIIIe siècle, ainsi qu'un rare portrait au pastel du peintre, l'émouvant "Portrait de vieille dame, dit de Sophie".
        
    Exposition "Les Fragonard de Besançon", musée des Beaux-Arts et
    d'archéologie de Besançon, du 8 décembre 2006 au 2 avril 2007. Tarifs: 5 et 2,50 euros. Renseignements au 03.81.87.80.49

    Publié le 08/12 à 10:19

     

    http://cultureetloisirs.france3.fr/artetexpositions/actu/26576035-fr.php

  • Catégories : Des musées

    A propos de l'exposition Praxitèle déjà évoqué ici:Le musée d'Athènes refuse un prêt au Louvre

    medium_athenes.jpgLa Grèce a refusé de prêter au Louvre un bronze devant constituer l'un des fleurons d'une exposition parisienne

    La Grèce a fait de la préservation et du retour au pays de son patrimoine antique un cheval de bataille.

    Le musée parisien était persuadé qu'Athènes allait lui prêter cet Ephèbe de Marathon (325-300 avant JC), au point de l'avoir représenté sur les affiches de l'exposition consacrée au sculpteur Praxitèle, qui débute le 23 mars.

    Dans un communiqué, le Louvre a fait part de sa "vive stupéfaction", affirmant que la Grèce connaissait depuis avril 2005 la liste des oeuvres demandées et avoir "à deux reprises" reçu "un accord oral" pour leur prêt.

    Lire la suite

  • Il y a un an en France. Paris 1

    medium_20060204PlaceVosgesMVHugo.jpg Exposition :Cet immense rêve de l'océan... Paysages de mer et autres sujets marins par Victor Hugo
    2 décembre 2005- 5 mars 2006 - prolongation jusqu'au 19 mars 2006.

     

    A la Maison de Victor Hugo (que j’avais déjà visitée auparavant).

     

     

     

    Hôtel de Rohan-Guéménée
    6, place des Vosges
    75004 Paris
    Tél. : 01 42 72 10 16
    Fax. : 01 42 72 06 64

     

     

    Photo :Place des Vosges et l’hôtel de de Rohan-Guéménée au fond

     

    « Rendez-vous compte de l’état de mon esprit dans la solitude splendide où je vis, comme perché à la pointe d’une roche, ayant toutes les grandes écumes des vagues et toutes les grandes nuées du ciel sous ma fenêtre. J’habite dans cet immense rêve de l’océan, je deviens peu à peu un somnambule de la mer, et, devant tous ces prodigieux spectacles et toute cette énorme pensée vivante où je m’abîme, je finis par ne plus être qu’une espèce de témoin de Dieu.

    C’est de cette éternelle contemplation que je m’éveille pour vous écrire. Prenez donc ma lettre comme elle est, prenez ma pensée comme elle vient, un peu décousue, un peu dénouée par toute cette gigantesque oscillation de l’infini. »

    C’est de cette lettre adressée en 1856 au jeune poète belge, Franz Stevens, par l’exilé de Guernesey, que la maison de Victor Hugo à Paris a emprunté le titre de son exposition : « Cet immense rêve de l’océan…, Paysages de mer et autres sujets marins par Victor Hugo »

    Cette exposition sur le thème de la mer se tient jusqu’au 5 mars 2006 à la Maison de Victor Hugo (6, place des Vosges, 75004 Paris). Elle fait suite à l'acquisition de l’exceptionnelle édition des Travailleurs de la mer, exemplaire de l’auteur enrichi de dessins inédits, lettres et "copeaux" (notes et premiers essais de texte). Outre ces documents inédits, le musée présente des photographies de l’exil à Jersey puis à Guernesey, une centaine de dessins de Hugo (dont les magnifiques phares des Casquets et d'Eddystone), provenant de collections privées et de différents musées, et 45 gravures de Fortuné Méaulle réalisés à partir de dessins de l’auteur des Travailleurs de la mer.

    Dans une des lettres écrites de Hauteville (Guernesey) à ses fils Charles et François-Victor, nous découvrons que les Travailleurs de la mer n’était pas le titre initialement prévu : « Le collectionnement est terminé, j’ai gardé jusqu’à présent le secret du titre, je vous le confie à vous, mes bien-aimés. Ne le dites encore à personne, le livre sera intitulé L’abîme. »

    Après l’exposition de la Bibliothèque nationale de France sur Victor Hugo - l’homme océan, en 2002, voici une nouvelle occasion de pénétrer l'univers imaginaire et grandiose de celui qui fut tout à la fois poète, romancier et dessinateur de l’océan.

    Source :http://www.ifremer.fr/envlit/actualite/20060204.htm

    Pour voir le catalogue de l’exposition : http://www.ifremer.fr/envlit/actualite/pdf/20060204_PRESSE_Cet_immense_reve.pdf

     

     

     

    Pour voir l’exposition de la BNF , "Victor Hugo, l’homme océan " : http://expositions.bnf.fr/hugo/index.htm

  • Catégories : Des expositions, Des musées, L'art, L'érotisme

    Rodin, les Figures d’Eros jusqu'au 18 mars 2007 au Musée Rodin

    Dessins et aquarelles érotiques. 1890-1917
    Exposition présentée au musée Rodin du 22 novembre 2006 au 18 mars 2007



    Ou se termine le nu ? Ou commence l’érotisme ?

    L’érotisme représente une part très importante de l’oeuvre de Rodin. Le musée Rodin présente aujourd’hui un exceptionnel ensemble de 145 dessins et aquarelles qui montre la fascination que Rodin eut pour le corps féminin.
    A partir des années 1890, Rodin réalise des centaines de dessins d’après les modèles féminins qui posent pour lui dans son atelier dans des attitudes inédites, rarement convenues, souvent sensuelles, extravagantes et provocantes. Ces dessins s’inscrivent souvent dans une recherche de la forme pure, l’érotisme se manifeste néanmoins comme une donnée essentielle, comme le moteur principal de sa démarche créatrice.

    Ouvert tous les jours sauf le lundi de 9h30 à 16h45.
    79 rue de Varenne 75007 Paris. M° Varenne
    exposition+parc : 6 euro , tarif réduit 4 euro
    billet jumelé : exposition+musée+parc : 9 euro, tarif réduit : 7 euro

     Le petit Journal de l'exposition (.pdf 2.4 Mb)

    http://www.musee-rodin.fr/accueil.htm


     

  • Catégories : Chagall Marc, Des expositions, Des musées

    Expo:Chagall et Tériade, l’empreinte d’un peintre au musée Matisse du Cateau -Cambresis jusqu'au 28 février 2007

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    Chagall : la donation d’Alice Tériade

        

     

    Dans le cadre de l’opération Feuille à Feuille qui rassemble 12 expositions sur le thème des collections de gravures des musées du Nord-Pas de Calais, le Musée départemental Matisse du Cateau-Cambrésis a choisi de mettre en valeur les livres gravés par Marc Chagall et édités par Tériade provenant de la donation qu’Alice Tériade a faite au musée en 2000. Madame Tériade a en effet choisi le Musée départemental Matisse pour recevoir l’ensemble des 27 livres édités par Tériade avec les plus grands artistes du XX° siècle, les 500 gravures originales issues des publications et les 26 numéros de Verve, une des plus belles revue d’art du XXe siècle. 

    Le musée expose, pour la première fois dans leur quasi totalité, les cinq livres réalisés par Chagall et édités par Tériade qui condensent tous les thèmes que privilégiera Chagall : Les Âmes mortes, texte de Nicolas Gogol, 1948, Les Fables de la Fontaine, 1952, La Bible, 1956, Daphnis et Chloé, texte de Longus, 1961, Cirque, texte de Chagall, 1967, les éditions de Verve réalisées avec les œuvres de Chagall dont celui sur Les Contes de Boccace de la Bibliothèque de l’Arsenal.

    http://www.ac-amiens.fr/pedagogie/arts_plastiques/pages/8apamiens285.htm

  • Le Musée Fabre de Montpellier agrandi et musclé(clin d'oeil à Elisabeth)

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    Le Musée Fabre agrandi et musclé
    LE MONDE | 02.02.07

    © Le Monde.fr
    La nouvelle aile du Musée Fabre à Montpellier regroupe les vingt tableaux de la donation du peintre Pierre Soulages (ici, le 7 décembre 2006).

    AFP/PASCAL GUYOT