Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Trésors exotiques dans toute la France
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Jusqu'au 31 janvier 2007, le musée des Beaux-Arts de Brest vous invite à vous balader dans la Bretagne des artistes symbolistes.
Mouvement propre à la fin du XIXe siècle, le symbolisme retranscrit les sentiments et les idéologies humaines par le biais de symboles. Verlaine, Rimbaud ou Mallarmé ont inauguré cette esthétique qui connut son heure de gloire en peinture grâce à Odilon Redon, Puvis de Chavannes ou Gustave Moreau.
L'exposition de Brest se concentre principalement sur les Nabis, sorte de confrérie d'artistes vouée à la recherche de l'émotion primitive et du fondement de l'art. Dans cette recherche artistique, la Bretagne a joué un rôle important, devenant terre d'accueil de nombreux peintres. Un des lieux qui inspira le plus les artistes fut la côté rocheuse et plus précisément Pont-Aven, dans le Finistère.
Ce mouvement pictural précurseur de l'abstraction en peinture a ainsi pu être mis en valeur grâce au prêt d'œuvres majeures effectués par différents musées et de collectionneurs privés.
PRATIQUE
Exposition : Les peintres du rêve en Bretagne
Dates : Jusqu'au 31 janvier 2007
Lieu : Musée des Beaux-Arts, 24 rue Traverse, 29 200 Brest
Horaires : Ouvert de 10h à 12h et de 14h à 18h sauf le lundi, le dimanche matin et les jours fériés
Tarifs : Plein : 4€, réduit : 2,50€, gratuit jusqu'à 18 ans
Informations :
02 98 00 87 96
Sur le Web :
www.mairie-brest.fr
http://www.linternaute.com/sortir/sorties/exposition/peintres-du-reve/peintres-du-reve.shtml
Mise à jour : 04/01/2007
La mode est reine à Saint Etienne, avec une expo majeure sur le ruban,
« Les Enrubannées », au Musée d'Art et d'Industrie jusqu'au printemps. L'occasion de célébrer
Ce musée exceptionnel, unique en France, rappelle à ses visiteurs que Saint Etienne fut, en son temps, la capitale de la révolution industrielle, avant de trouver, aujourd'hui, une vocation naturelle dans le design.
On passera rapidement sur la collection de cycles qui est la première en France et la collection d'armes, seconde derrière celle du Musée des Armées. Toutes deux issues des manufactures d'armes et de cycles qui ont fait la gloire de Saint Etienne.
Ce que l'on sait peut-être moins, (encore que...) et qui est bien plus flatteur à l'œil et au sens de l'esthétique (encore que aussi...), c'est le caractère unique et exhaustif de la collection de rubans, dont la ville a été et reste, le principal centre mondial.
Le musée abrite 1,5 million d'échantillons de rubans, ceintures de bal, écharpes, tableaux tissés et si la fabrication à domicile n'existe plus, le savoir-faire s'est maintenu et les collections continuent à s'enrichir, avec des rubans techniques et des pièces de Haute Couture.
D'autant que le ruban, qui pourrait sembler d'une autre époque, est en train de retrouver une seconde jeunesse sous le crayon des créateurs et quitte son rôle d'accessoire pour incarner la structure même du vêtement et devenir l'élément constitutif du costume.
C'est à cette découverte que convie l'exposition. L'histoire du ruban et de la soie, des fabriques de passementerie, mais aussi tout le passé et le devenir de la mode, à travers le ruban et ses applications. Avec de formidables conférences gratuites, organisées une fois par mois, pendant toute la durée de l'exposition.
Pratique
Musée d'Art et d'Industrie de Saint Etienne
2, place Louis Comte, à Saint Etienne (Loire)
Tél. : 04 77 49 73 00
Ouvert tous les jours de 10h à 18h sauf le mardi et jours fériés.
Exposition « Les Enrubannées » du 25 novembre 2006 au 23 avril 2007 - Conférences gratuites à 14h30 le 1er février sur les Canons de la Beauté ; le 13 mars sur le Luxe et la Mode et le 5 avril sur le Mannequin : "du portemanteau au top modèle".
Visites guidées des expositions tous les mercredis matins à 10h30, les samedis à 15h et les dimanches à 16h30.
Ateliers adultes et enfants dans lesquels on apprendra à confectionner des bijoux en ruban.
Documentation
A lire également
Tiziano Vecellio, dit Le Titien (1488/90-1576), acteur indiscutable de la scène artistique européenne du XVIe siècle, est réputé pour les portraits qu’on lui commande de toute l’Italie, puis de l’Europe entière. Ses portraits, que l’on peut qualifier «d'officiels » ou « d’État » ne se contentent plus seulement de capturer la physionomie et le maintien de l’individu mais reflètent désormais son statut social: au-delà de la simple représentation, ses portraits formalisent et pérennisent la place occupée par le modèle dans la société.
Grâce à cela, il reçut d’importantes commandes, notamment des ducs de Ferrare, de Mantoue et d’Urbino, et des familles Gonzague, d’Este et della Rovere. Puis l’empereur Charles Quint le nomma premier peintre de la cour des Habsourg Dans une scénographie évoquant une galerie de l’époque, l’exposition révèlera l’extraordinaire talent de portraitiste du Titien, auteur d’un véritable reportage sur les grandes figures des pouvoirs politique, religieux et culturel en Europe au XVIe siècle. Cette exposition est organisée en collaboration avec le Museo di Capodimonte de Naples, où sont présentés, du 23 mars au 4 juin 2006, dans une exposition plus ample sur le portrait de cour au XVIe siècle, une partie des chefs d'œuvre du Titien qui seront exposés au Musée du Luxembourg.
Le Déluge (1789)
Jean-Baptiste Regnault, Le Déluge (1789). Huile sur toile, 89 x 71 cm. Paris, Louvre, Peintures.
© MNR, Christian Jean
lieu : Musée Magnin |
date : jusqu'au 10 janvier 2007 |
Fibule Ostheim
Fibule en bronze à visage humain et tête de griffon, Ostheim (Allemagne), Vème siècle av. J.-C.
"Ur - und Frühgeschichtliche Sammlung der Friedrich-Schiller-Universität Jena"
© Droits Réservés
lieu : Musée Gallo-Romain, Lyon- Fourvière |
date : jusqu'au 7 janvier 2007 |
Comme je ne peux pas aller pour l'instant à Paris voir cette exposition, j'ai dévoré ce "Télérama Hors série" de décembre 2006 qui s'intitule "L'Egypte surgie des eaux au Grand Palais" et qui retrace "dix ans de fouilles en baie d'Aboukir."
Le texte est passionnant , les images magnifiques; il y aussi une bonne bibliographie (textuelle et virtuelle) à la fin et toutes les cooordonnées pour aller voir l'exposition.
Ceci dit, ces hors-série de Télérama sont souvent excellents.
Maintenant, je vais aller voir:
- le site de l'exposition:http://www.tresors-engloutis-degypte.fr/Website.aspx?l=2
- le site de l'Institut européen d'archéologie sous-marine:http://www.franckgoddio.org
N'oubliez pas, si vous y allez de ne me ramener un souvenir virtuel.
Bonne visite réelle ou virtuelle.
Si vous y allez avant moi (facile: ça fait loin du Maroc), racontez-moi!.......
Situé au nord est du bassin houiller de Lorraine, le Carreau Wendel est un ancien siège d'extraction et de traitement du charbon exploité de 1856 à 1986. Cinq puits permettaient de produire plus de 10 000 tonnes de charbon par jour grâce aux 4 600 mineurs travaillant sur le site. Deux lavoirs de 2 500 m2, 13 km de voies ferrées, un terril de 5 kms de long, voilà en quelques chiffres significatifs l'importance du Carreau Wendel.
H. Toulouse-Lautrec, Au cirque, travail sur le panneau
© Musée Toulouse-Lautrec Albi Tous droits réservés.
Thème récurrent, le cirque fait partie de l'univers d'Henri de Toulouse-Lautrec dès son enfance. La figure de l'écuyère, de l'acrobate, le numéro du clown, comme les prouesses équestres, le fascinent et lui inspirent de nombreuses oeuvres. Une présentation de l'ensemble des 39 dessins réalisés sur ce sujet mettra en évidence l'attirance de l'artiste pour le monde circassien.
Parlant de ses tableaux, Marc Chagall disait :"J’ai voulu les laisser dans cette maison pour que les hommes essaient d’y trouver une certaine paix, une certaine religiosité, un sens à la vie (...) Peut-être dans cette maison viendront les jeunes et les moins jeunes chercher un idéal de fraternité et d’amour tel que mes couleurs et mes lignes l’ont rêvé (...) Je voudrais aussi qu’en ce lieu on expose des oeuvres d’art et des documents de haute spiritualité de tous les peuples, qu’on entende leur musique et leur poésie guidée par le cœur"
" Notre essai de culture eut une triste fin,
Mais il fit mon délice un long temps et ma joie " (Paul Verlaine)
Verlaine quitte l'institution Notre Dame à Rethel en août 1879, où il enseignait depuis la rentrée 1877.
Là, il s'est pris d'affection pour un de ses éléve, Lucien Létinois, originaire de Coulommes, village situé à 14 Kms de Rethel. En pleine période mystique, Verlaine décide de faire de Lucien le "fer de lance" de sa rédemption, Létinois sera le remplacant de son fils Georges et l'inverse de Rimbaud, il en fera "un bon catholique et un bon citoyen".
Après un bref séjour en Angleterre, tous deux rentrent à Coulommes où "Verlaine redécouvrit la campagne française..., sa sérénité, son rythme lent, ses horizons apaisants. L'idée lui vint d'acquérir une exploitation rurale et de s'y retirer en gentilhomme : poète et paysan". (P.Petitfils. VERLAINE)
Cette exposition d'ouvrages, programmée par la Bibliothèque de l'IMA avant la disparition, le 30 août, du fondateur du roman arabe moderne, permettra au public de découvrir l'ensemble de ses livres, tant en langue arabe qu'en traduction française.
Entrée libre de 13h à 20h - Bibliothèque (niveau 3)
Une rencontre-débat avec ses traducteurs français et des critiques littéraires sera organisée le samedi 30 septembre. De 16h à 17h30. Pour en savoir plus sur ce programme : 01 40 51 34 99