Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Photo Christophe Teyssier
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Photo Christophe Teyssier
http://www.le1hebdo.fr/numero/19/repres-sur-l-histoire-de-barcelone-350.html
Le musée Denys-Puech est un écrin architectural conçu au début du XXe siècle pour présenter les oeuvres données par l’artiste à la ville de Rodez.
Sculpteur académique renommé pour ses figures féminines, Denys Puech (1854-1942) était natif de Bozouls, un petit village situé à une vingtaine de kilomètres de la capitale ruthénoise mais avait effectué ses premières années de formation à Rodez dans l’atelier de François Mahoux.
Entre 1910 et 1942, il a donné une grande partie de son fonds d’atelier ainsi que diverses oeuvres de sa collection personnelle pour permettre la création d’un musée dans ce qu’il considérait comme sa ville natale.
Le musée Denys-Puech est un « musée de poche » consacré à la sculpture sous toutes ses formes (environ 300 m2 d’exposition pour les deux étages consacrés aux collections et 170 m2 pour la salle d’expositions temporaires). Le visiteur peut circuler doucement (tous les espaces sont accessibles aux personnes à mobilité réduite) à travers les collections et les expositions temporaires illustrant différents aspects de l’histoire de la sculpture depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’à nos jours.
En effet, depuis les années 80, le musée Denys-Puech s’est ouvert à la création contemporaine. En 1989, lors de la rénovation du musée, François Morellet a inscrit sur les deux pignons une intégration – Cercle et carré - qui commente discrètement l’architecture d’André Boyer. Ce dialogue entre passé et présent se poursuit à travers les collections contemporaines, centrées autour de la sculpture, et présentées par roulement dans la salle située au niveau – 1 du musée dans le cadre d’une exposition annuelle intitulée Le musée sans réserves. En 2005, six chiens en bronze peint du jeune sculpteur Aurèle ont pris place sur les consoles ornant la façade du musée comme pour affirmer visiblement la double identité du musée Denys-Puech - musée des Beaux-Arts tourné vers le XIXe siècle et musée d’Art contemporain ouvert sur la création.
place Clémenceau
12000 Rodez
Tél. : 05 65 77 89 60
musee.denyspuech@mairie-rodez.fr
collection unique de statues-menhirs
N° 76 - mars 2014 - 9,00 €
ISSN : 0998-8041
Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)
« Connu pour ses romans et ses relations de voyages, Pierre Loti l'est moins pour ses textes courts, évocations et nouvelles. L'intérêt de ces quatre textes autour de Constantinople réside dans leur forme autant que dans leur fond. Écrits plusieurs années après Azyadé, ils ne montrent pas seulement la Turquie pittoresque mais un pays à l'identité menacée. À travers ce constat, confronté au cosmopolitisme qui désagrège les traditions ottomanes, Loti dresse le bilan de sa propre vie, en s'identifiant à la ville qu'il a le plus aimée. Constantinople est le fidèle reflet de la déchirure de l'écrivain partagé entre l'invention de sa vie et sa vie réelle. » (présentation de l'éditeur)
Préface de Sophie Basch.
Dans BiblioMonde
Istanbul. Le regard de Pierre Loti : Une soixantaine de photographies de Pierre Loti et des extraits inédits de son journal
Les Désenchantées
Aziyadé - Fantôme d'Orient
http://www.bibliomonde.com/livre/constantinople-fin-siecle-416.html
À lire sur Tranströmer : une page sur le site du printemps des poètes, un article de Marc Blanchet dans le Matricule des anges, et un extrait sur Poezibao.
Ce texte est repris par Laurent Margantin sur son site Œuvres ouvertes - à découvrir au passage.
Tranströmer vient de recevoir le prix Nobel de littérature 2011.
La parution dans la collection Poésie / Gallimard des œuvres poétiques complètes du Suédois Tomas Tranströmer nous permet de découvrir une figure essentielle de la poésie contemporaine, figure reconnue internationalement mais encore mal connue en France. Il faut rendre hommage aux éditions Le Castor astral qui ont publié Baltiques traduit par Jacques Outin en 1996.
L’académie suédoise a décerné le prix Nobel de littérature à l’un des compatriotes, le poète Tomas Tranströmer, âgé de 80 ans.
Je précise que cette article n'est pas de moi mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Nathalie Lebrun, attachée culturelle de la ville de Morestel, et Bernard Deviller, président des amis de la maison Ravier, présentent les œuvres d’Albert Gleizes, l’initiateur du cubisme, et de ses adeptes lyonnais.