Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aimé - Page 115
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé, J'ai lu
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Tony CRAGG
"Frame" (Cadre), 2012. Courtesy Collection Anthony Cragg Studio. © ADAGP, Paris 2013. Crédit photo : Michael Richter.
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J'ai lu hier:Description du numéro L'Estampille/L'Objet d'Art n° 495
Quels projets pour le Louvre ? Entretien avec Jean-Muc Martinez, président-directeur du Louvre. Le goût de Diderot, exposition au musée Fabre de Montpellier. Le nouvel écrin du palais Galliera. Michiel Coxcie, le Rapahël flamand ? Le service Orloff, cadeau d'adieu à Catherine II. Daniel-Henry Kahnweiler, le marchand des cubistes. Paris Tableau, la valse des attributions.
Articles
- Quels projets pour le Louvre ?
- Un chef-d'œuvre de l'art moghol au Louvre
- "Un vaste théâtre" : Diderot et le Salon
- Le nouvel écrin du palais Galliera
- Michiel Coxcie, le Raphaël flamand ?
- Le service Orloff, cadeau d'adieu de Catherine II
- Kahnweiler le marchand des cubistes
Actualités
- Georges de La Tour (1593-1652), peintre de saint Jérôme
- François-André Vincent, un artiste entre Fragonard et David
- Hieronymus Cock, un éditeur d’estampes à la Renaissance
- Jean Cousin père et fils, chantres du maniérisme français
- L'âge d'or de la gravure à Montmartre
- Le destin des sœurs Bonaparte
- Paul Klee : “L’art ne reproduit pas le visible, il?rend visible”
- La vie silencieuse d'Antoni Tàpies
- Une vision panoramique de l'art australien
- Mondrian, Newman, Flavin : trois approches des?principes élémentaires de l’art
- Constructivistes et expressionnistes au service d’une utopie à Lakenhal
- Ventes futures
- Musées
- Des paroles... et des actes ?
- Des opérateurs de ventes sanctionnés
- Paris Tableau, la valse des attributions
- Frieze Masters : une foire en devenir
- Galeries
- Novembre sous le signe de la photographie
- Adjugés
- Calendrier des expositions
L'Estampille/L'Objet d'Art n° 494 - Vallotton, le feu sous la glace
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J'ai lu :Rubens - Hélène Fourment au carrosse
Il avait connus tous les honneurs, séjourné dans les plus grandes cours d’Europe, traversé la vie et ses tourments. Peintre vieillissant que pourtant rien ne blase, Rubens a trouvé dans l’amour de sa jeune épouse l’expression aboutie de son génie.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
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Jeudi, j'ai aimé à Paris:Irma Boom
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Andrea Del Castagno, La Sibylle de CUMES (vu au Louvre dans l'expo "Renaissance jeudi)
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Ferdinand Hodler, Regard dans l'infini(vu à Orsay mercredi)
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Filippo BRUNELLESCHI, Le Sacrifice d'Isaac (détail) – 1401 - Bronze partiellement doré - Musée national du Bargello, FLORENCE - © Lorenzo Mennonna, courtesy of Italian Ministry for Cultural Heritage and Activities(vu au Louvre jeudi)
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Donatello,Tête de cheval(vu dans dans l'expo "Renaissance" du Louvre jeudi)
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Donatello,Buste reliquaire
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János Mattis-Teutsch (1884-1960), Paysage Vers 1917(vu à Orsay mercredi)
Huile sur carton – H. 50 ; L. 50 cm
Budapest, Galerie nationale hongroise
© DR – Museum of Fine Arts – Hungarian National Gallery, Budapest 2013Exposition « Allegro Barbaro, Béla Bartók et la modernité hongroise 1905-1920″, du 15 octobre 2013 au 5 janvier 2014.
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Peliké attique représentant une scène érotique, début du Ve siècle avant J.-C. Photo : Su concessione della S.B.A.E.M. - Museo Archeologico Nazionale Tarquiniense, Tarquinia / Fabio Barbieri(vu au Musée Maillol mercredi)
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Frida Kahlo, Le bus, 1929 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
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Frida Kahlo, En pensant à la mort, 1943 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
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Frida Kahlo, la colonne brisée, 1944 (vu au Musée de l'Orangerie mercredi)
http://lcs.a-france.clg50.ac-caen.fr/~boivint/3e/references3/0_oeuvres3/frida_kahlo/kahlo.html
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J'ai lu hier:Au coeur des enchères
Hors série - Au coeur des enchères Un guide de 196 pages pour décrypter l'économie des enchères.
EN KIOSQUE LE 25 OCTOBRE 2013
http://www.gazette-drouot.com/static/annonce_encheres/publication_gazette_drouot.html
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Lorenzo Lotto, Le Songe de la jeune fille ou Allégorie de la Chasteté, vers 1505 dans La Renaissance et le Rêve : Bosch, Véronèse, Le Greco…
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Ecole de Hyeronymus Bosch, "La vision de Tondale"(La Renaissance et le rêve)
http://www.allposters.fr/-sp/La-vision-de-Tondal-Affiches_i1348852_.htm
La Vision de Tondale, récit latin du milieu du 12e siècle, n’est pas un simple avatar de la tradition des visions infernales, illustrée depuis le haut Moyen Âge par des auteurs aussi considérables que Grégoire le Grand ou Bède le Vénérable, pour ne citer qu’eux. Son originalité est de présenter la visite aux enfers d’un chevalier laïc qui, loin d’être un spectateur, subit lui-même les tourments qu’il décrit. La découverte se mêle à la pénitence, donnant au texte une dimension affective autant qu’intellectuelle. Les qualités du récit, présentant une remarquable description de l’au-delà, expliquent sa diffusion exceptionnelle auprès des publics laïcs et religieux. La Divine Comédie y trouve l’une de ses sources.
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Batista Dossi ,"Allégorie de la nuit" dans "La Renaissance et le Rêve : Bosch, Véronèse, Le Greco… "
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De Venise à Paris: la "Vision apocalyptique" de Jérôme Bosch
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J'ai aimé jeudi devant le Petit Palais:Welcome Parade
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J'ai aimé jeudi au Petit Palais:Rubens et Van Dyck
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Les origines de l’estampe en Europe du Nord (1400-1470)
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Remerciements :
Exposition organisée par le musée du Louvre en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France
L’apparition de l’estampe en Occident constitue un phénomène majeur de l’histoire et de l’histoire de l’art. À partir de 1400, artistes et graveurs expérimentèrent diverses techniques permettant par l’impression d’une matrice gravée et encrée sur un support de créer et de diffuser des images multipliables à l’identique. Si les estampes circulèrent très vite partout en Europe, les régions germaniques en furent le foyer principal, bien avant que cette invention ne fût transposée dans le domaine de l’impression des textes par Gutenberg vers 1450.
L’exposition traite de l’apparition de ce phénomène en l’étudiant sur une période de soixante-dix ans, jusqu’au début de la carrière de Martin Schongauer, graveur rhénan qui changea fondamentalement le statut de l’estampe au sein des arts. En réunissant pour la première fois deux fonds majeurs en France et en Europe – la collection de la réserve du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France et la collection Edmond de Rothschild du département des Arts Graphiques au musée du Louvre –, elle met en lumière les différentes étapes de l’évolution de l’estampe, ses acteurs et ses modalités de production, ses rapports avec les autres arts et ses usages.
À travers un choix d’oeuvres, l’exposition montre la diversité des thèmes illustrés. Support et instrument de la dévotion du temps, la gravure a aussi servi des sujets plus audacieux, comme celui du désir charnel ou des scènes de genre dont la teneur nous apparaît aujourd’hui encore bien familière.
Commissaire(s) :
Séverine Lepape, Bibliothèque nationale de France
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Jean Cousin père et fils
Une famille de peintres au XVIe siècle
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Le XVe siècle français a été le siècle de Jean Fouquet et d’Enguerrand Quarton, le XVIIe, celui de Georges de La Tour et de Nicolas Poussin. Le XVIe siècle a eu Jean Cousin.
Son nom, glorifié dans les histoires anciennes, inscrit au fronton des écoles des beaux-arts et à l’attique des musées, n’a jamais été oublié. Il demeure le symbole du renouveau du vitrail et de la tapisserie au XVIe siècle. Un magistral Livre de perspective et un manuel pour apprendre à dessiner, Le Livre de pourtraicture, en ont assuré le renom. Mais, pour la plupart d’entre nous, Cousin n’est plus aujourd’hui que le peintre d’un seul tableau, Eva Prima Pandora. Récemment restaurée, cette Ève profane, premier grand nu féminin de la peinture française, odalisque sacrée et cavernicole, fixe l’image primordiale de la femme dans toute sa séduction.
Ce tableau est présenté ici au centre de la création de cet artiste polyvalent et fécond à côté de dessins magistraux, de sculptures, d’estampes, de livres à gravures, d’une tapisserie, d’une broderie et d’une pièce d’armure, qui confirment les mérites insignes de Cousin dans toutes les techniques. Un choix d’oeuvres de son fils et héritier complète l’image de ce grand inventeur d’un style qui, classique avant la lettre, s’est nourri tout autant du passé cultivé par la Renaissance que des sophistications du maniérisme.
Commissaire(s) :
Dominique Cordellier, musée du Louvre, département des Arts graphiques et Cécile Scailliérez, musée du Louvre, département des Peintures.