Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Tony CRAGG
"Frame" (Cadre), 2012. Courtesy Collection Anthony Cragg Studio. © ADAGP, Paris 2013. Crédit photo : Michael Richter.
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"Frame" (Cadre), 2012. Courtesy Collection Anthony Cragg Studio. © ADAGP, Paris 2013. Crédit photo : Michael Richter.
Quels projets pour le Louvre ? Entretien avec Jean-Muc Martinez, président-directeur du Louvre. Le goût de Diderot, exposition au musée Fabre de Montpellier. Le nouvel écrin du palais Galliera. Michiel Coxcie, le Rapahël flamand ? Le service Orloff, cadeau d'adieu à Catherine II. Daniel-Henry Kahnweiler, le marchand des cubistes. Paris Tableau, la valse des attributions.
L'Estampille/L'Objet d'Art n° 494 - Vallotton, le feu sous la glace
Il avait connus tous les honneurs, séjourné dans les plus grandes cours d’Europe, traversé la vie et ses tourments. Peintre vieillissant que pourtant rien ne blase, Rubens a trouvé dans l’amour de sa jeune épouse l’expression aboutie de son génie.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11475/?nouveaute=1
Huile sur carton – H. 50 ; L. 50 cm
Budapest, Galerie nationale hongroise
© DR – Museum of Fine Arts – Hungarian National Gallery, Budapest 2013
Exposition « Allegro Barbaro, Béla Bartók et la modernité hongroise 1905-1920″, du 15 octobre 2013 au 5 janvier 2014.
http://lcs.a-france.clg50.ac-caen.fr/~boivint/3e/references3/0_oeuvres3/frida_kahlo/kahlo.html
Hors série - Au coeur des enchères |
Un guide de 196 pages pour décrypter l'économie des enchères. |
EN KIOSQUE LE 25 OCTOBRE 2013 http://www.gazette-drouot.com/static/annonce_encheres/publication_gazette_drouot.html |
http://www.allposters.fr/-sp/La-vision-de-Tondal-Affiches_i1348852_.htm
La Vision de Tondale, récit latin du milieu du 12e siècle, n’est pas un simple avatar de la tradition des visions infernales, illustrée depuis le haut Moyen Âge par des auteurs aussi considérables que Grégoire le Grand ou Bède le Vénérable, pour ne citer qu’eux. Son originalité est de présenter la visite aux enfers d’un chevalier laïc qui, loin d’être un spectateur, subit lui-même les tourments qu’il décrit. La découverte se mêle à la pénitence, donnant au texte une dimension affective autant qu’intellectuelle. Les qualités du récit, présentant une remarquable description de l’au-delà, expliquent sa diffusion exceptionnelle auprès des publics laïcs et religieux. La Divine Comédie y trouve l’une de ses sources.
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Remerciements :
Exposition organisée par le musée du Louvre en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France
L’apparition de l’estampe en Occident constitue un phénomène majeur de l’histoire et de l’histoire de l’art. À partir de 1400, artistes et graveurs expérimentèrent diverses techniques permettant par l’impression d’une matrice gravée et encrée sur un support de créer et de diffuser des images multipliables à l’identique. Si les estampes circulèrent très vite partout en Europe, les régions germaniques en furent le foyer principal, bien avant que cette invention ne fût transposée dans le domaine de l’impression des textes par Gutenberg vers 1450.
L’exposition traite de l’apparition de ce phénomène en l’étudiant sur une période de soixante-dix ans, jusqu’au début de la carrière de Martin Schongauer, graveur rhénan qui changea fondamentalement le statut de l’estampe au sein des arts. En réunissant pour la première fois deux fonds majeurs en France et en Europe – la collection de la réserve du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France et la collection Edmond de Rothschild du département des Arts Graphiques au musée du Louvre –, elle met en lumière les différentes étapes de l’évolution de l’estampe, ses acteurs et ses modalités de production, ses rapports avec les autres arts et ses usages.
À travers un choix d’oeuvres, l’exposition montre la diversité des thèmes illustrés. Support et instrument de la dévotion du temps, la gravure a aussi servi des sujets plus audacieux, comme celui du désir charnel ou des scènes de genre dont la teneur nous apparaît aujourd’hui encore bien familière.
Commissaire(s) :
Séverine Lepape, Bibliothèque nationale de France
Une famille de peintres au XVIe siècle
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Le XVe siècle français a été le siècle de Jean Fouquet et d’Enguerrand Quarton, le XVIIe, celui de Georges de La Tour et de Nicolas Poussin. Le XVIe siècle a eu Jean Cousin.
Son nom, glorifié dans les histoires anciennes, inscrit au fronton des écoles des beaux-arts et à l’attique des musées, n’a jamais été oublié. Il demeure le symbole du renouveau du vitrail et de la tapisserie au XVIe siècle. Un magistral Livre de perspective et un manuel pour apprendre à dessiner, Le Livre de pourtraicture, en ont assuré le renom. Mais, pour la plupart d’entre nous, Cousin n’est plus aujourd’hui que le peintre d’un seul tableau, Eva Prima Pandora. Récemment restaurée, cette Ève profane, premier grand nu féminin de la peinture française, odalisque sacrée et cavernicole, fixe l’image primordiale de la femme dans toute sa séduction.
Ce tableau est présenté ici au centre de la création de cet artiste polyvalent et fécond à côté de dessins magistraux, de sculptures, d’estampes, de livres à gravures, d’une tapisserie, d’une broderie et d’une pièce d’armure, qui confirment les mérites insignes de Cousin dans toutes les techniques. Un choix d’oeuvres de son fils et héritier complète l’image de ce grand inventeur d’un style qui, classique avant la lettre, s’est nourri tout autant du passé cultivé par la Renaissance que des sophistications du maniérisme.
Commissaire(s) :
Dominique Cordellier, musée du Louvre, département des Arts graphiques et Cécile Scailliérez, musée du Louvre, département des Peintures.
La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460
du 26 Septembre 2013 au 6 Janvier 2014
« Le printemps de la Renaissance » retrace la genèse de cet immense mouvement artistique et culturel qui naît dans la Florence républicaine du début du XVe siècle.
Au début de la Renaissance, une nouvelle vision de l’homme dans son rapport à l’univers et à l’histoire se met en place à Florence. L’exposition présente les oeuvres conçues à partir des innovations majeures, souvent liées à l’antiquité classique, qui transformèrent la conception de l’art en Occident. L’invention de grandes figures inscrites dans un contexte humaniste autant que chrétien, les débuts de l’utilisation de la perspective mathématique par les artistes, le développement de nouveaux sujets comme les petits esprits (spiritelli), ou de nouveaux types de sculptures, comme le monument équestre ou le portrait en buste, sont quelques-uns des thèmes qui incarnent cette nouvelle conception du monde.
Les sculptures de Donatello forment l’un des fils directeurs du parcours à travers quelques-uns des grands chefs-d’oeuvre de celui qui apparaît comme l’artiste le plus créatif du siècle. Elles n’éclipsent cependant pas le travail magistral d’autres sculpteurs illustres comme Ghiberti, Luca della Robbia, Michelozzo, Desiderio da Settignano ou Mino da Fiesole. Les panneaux de Brunelleschi et de Ghiberti pour le concours de la seconde porte du Baptistère de Florence (1401), le Saint Matthieu de Ghiberti ou le Saint Louis de Toulouse de Donatello, les terres cuites émaillées de Luca della Robbia ou la série de bustes florentins comptent au nombre des oeuvres majeures où se manifeste l’extraordinaire éclosion créative de la Florence du Quattrocento.
Commissaire(s) :
Marc Bormand, conservateur en chef au département des Sculptures du musée du Louvre et Beatrice Paolozzi Strozzi, directrice du musée national du Bargello.
Exposition organisée par le musée du Louvre et la Fondation Palazzo Strozzi à Florence, avec le concours exceptionnel du musée national du Bargello.
Présentée à Florence du 23 mars au 18 août 2013.
Cette exposition bénéficie du mécénat principal de eni et du mécénat associé de Deloitte.