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J'ai aimé - Page 119

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Véronèse, le triomphe de la couleur" d'Anne-Sophie Molinié

    VÉRONÈSE, le triomphe de la couleur

    Dès l'âge de 25 ans, Paolo Caliari, dit Véronèse, prend place parmi les grands peintres de Venise, aux côtés de Titien et de Tintoret. Le jeune homme propose une autre peinture, haute en couleurs, particulièrement séduisante pour la République de Venise du milieu du XVIe siècle.

    Car pour Véronèse, tout est prétexte à la couleur, et sous son pinceau, scènes profanes et religieuses se confondent presque. Peintes au sein d'architectures théâtrales, elles lui donnent l'occasion de célébrer le faste de la noblesse vénitienne, parée de riches étoffes aux couleurs vibrantes, d'une intense luminosité. De sa palette claire se dégage une grande sérénité, une grande légèreté.

    Dans Véronèse, le triomphe de la couleur, Anne-Sophie Molinié analyse l'œuvre du peintre et resitue le contexte historique et artistique dans lequel il a élaboré sa belle manière.

    Agrégée d'histoire et docteur en histoire, Anne-Sophie MOLINIÉ enseigne l'histoire de l'art à l'université Paris Sorbonne (Paris IV). Spécialiste de la peinture du XVe au XVIIe siècle, elle est l'auteur d'articles sur l'art italien, l'art espagnol et l'art flamand de cette période et d'une thèse consacrée à l'iconographie de la résurrection des morts dans l'Italie de la Renaissance (Honoré Champion, 2007).
    Ses recherches portent actuellement sur le genre du portrait dans la théorie de l'art et dans la pratique picturale en Italie et en Espagne au XVIe siècle.


    Elle a également publié Rembrandt, d'ombre et de lumière, Mantegna, peintre des princes, et Filippo Lippi, la peinture pour vocation dans cette même collection

    http://www.editions-a-propos.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=10

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai aimé lire:Nicolas Remin, "L'impératrice lève le masque"

    couverture

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    L’IMPÉRATRICE LÈVE LE MASQUE

    Durant l'hiver 1862, la Venise, indépendante et souveraine, n'est plus qu'un lointain souvenir. La ville est sous domination autrichienne, petite parcelle de l'Empire sur lequel règne l'empereur François-Joseph et une femme entrée dans la légende, dite
    « Sissi ». Et lorsqu'un de ses conseillers est retrouvé mort en compagnie d'une prostituée, à bord d'un bateau reliant Trieste à Venise, une tempête s'annonce sur la lagune... Le commissaire Alvise Tron, héritier désargenté d'une des plus anciennes familles de l'aristocratie vénitienne, se voit retirer l'enquête qu'il vient de commencer par les autorités militaires et reçoit l'ordre d'oublier jusqu'à l'existence de ce double meurtre. C'est mal connaître cet incorrigible rêveur qui a sa propre conception du devoir, surtout lorsque l'impératrice en personne lui demande de retrouver le coupable, coûte que coûte.

    « L'auteur a le chic pour mêler une dose raisonnable de suspense à pas mal de finesse dans la description des situations et des personnages. Vivement le suivant ! »
    Raphaëlle Rérolle, Le Monde


    http://www.10-18.fr/site/l_imperatrice_leve_le_masque_&100&9782264044877.html

    Précédente publication:

    27/01/2013 11:21

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, L'art, Venise

    J'ai aimé lire:"Les Mémoires de Giorgione" de Claude Chevreuil

    Les Mémoires de Giorgione

    En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.

    http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848

    Précédente publication:

    30/01/2013 00:17

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai rencontré hier après-midi:OLAF LANDAU,Un an de cabane

    Un an de cabaneEn 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.

    Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.

    Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.

    http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html

    jE  suis jurée de ce prix littéraire:


     

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    Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013

    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)


    Précédentes publications:

    22/12/2012 22:19

    22/01/2013 08:52

    25/01/2013 09:44

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai fini cette nuit(d'insomnie) de lire:Frédéric Lenormand,"Les mystères de Venise, Tome 2 : La nuit de San Marco "

    Panique au Palais des Doges ! Un homme a été poignardé en pleine séance du Grand Conseil, sous l'immense fresque du paradis peinte par Tintoret. Mille cinq cents nobles étaient présents mais personne n'a rien vu. Soucieux d'étouffer le scandale, l'inquisiteur Saverio Barbaran charge Leonora d'élucider cette affaire en toute discrétion. Une nouvelle fois, la jeune héritière des dalla Frascada mène l'enquête entre le Grand Canal, la Douane de mer et le café Florian.

    Loredan poursuit son exploration de la Sérénissime République au temps de Goldoni et de Casanova. Eternellement romanesque, Venise y apparaît dans sa subtile ambivalence, à l'image de ses reflets marins, de son décor théâtral et de ses masques moqueurs

    http://www.amazon.fr/Les-myst%C3%A8res-Venise-Tome-Marco/dp/221364344X

    Précédente publication:

    29/01/2013 19:17

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise, Voyage

    J'ai fini hier soir:"Léonora agent du Doge " de Loredan

     

    Loredan est le nom de plume d'un auteur dont on ne connaît pas l'identité jusqu'en 2012. Clin d'oeil au lecteur c'est aussi le nom d'un des Doges de la Cité lacustre.

    Ses romans policiers mettent en scène une jeune fille Léonora Pucci. L'action du premier roman intitulé Léonora agent du Doge se déroule en 1762. Venise n'est plus à l'apogée de sa splendeur. Cependant c'est encore une République indépendante et souveraine. Confessions d'un masque vénitien et La nuit de San Marco sont les deux derniers ouvrages de l'auteur.

    Contrairement aux deux héros précédents, le personnage principal est une femme, issue de la noblesse vénitienne par son père seulement car conçue hors mariage. L'histoire du premier ouvrage tourne autour de la personnalité de l'héroïne. L'histoire de la cité au temps des Doges et son organisation administrative sont abordées par petites touches.

    Lire aussi Suite101: Les mystères de Venise : Venise au XVIIIème siècle | Suite101.fr http://marie-h-dhifi.suite101.fr/les-mysteres-de-venise--venise-au-xviiieme-siecle-a26036#ixzz1YyAyKifG

    et Suite101: Venise | Suite101.fr http://marie-h-dhifi.suite101.fr/sur-les-pas-de-donna-leon-a-venise-a17200#ixzz1YyA8KPh8



    Read more at Suite101: Venise dans la littérature policière : un voyage dans le temps. | Suite101.fr http://suite101.fr/article/venise-dans-la-litterature-policiere--un-voyage-dans-le-temps-a19158#ixzz20xT5ZCMy

    http://suite101.fr/article/venise-dans-la-litterature-policiere--un-voyage-dans-le-temps-a19158

    Précédentes publications:

    18/07/2012 09:47

    23/01/2013 19:32

    26/01/2013 11:22

     

  • Fin de l'expo Soulages à Lyon (vue le 3 novembre 2012)

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai aimé LIRE:Espíritu Pampa, Sur les chemins des Andes de Sébastien Jallade (Transboreal-2012)

     

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    22/12/2012 22:13

    16/01/2013

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai pris plaisir à lire:Les ponts en france

    De l'Antiquité à nos jours

    Le pont est certainement une œuvre au sens concret et symbolique fort. Étymologiquement, le terme indo-européen de pent signifie «voie de passage» ou «chemin». L’idée sous-jacente est celle d’une liaison entre deux points séparés par un obstacle infranchissable: cours d’eau ou précipice par exemple. Symboliquement, le pont relie aussi le naturel au surnaturel : le terme latin de pontifex, «pontife», littéralement le «faiseur de pont», désigne celui qui fait le lien entre le monde des hommes et celui des dieux.

    Lire la suite

  • J'ai aimé lire hier:Naissance des arts protestants

    Arts Sacrés n° 21 - Janvier/Février 2013

    L’année 2013 est une date historique pour les Églises protestantes de France : elle scelle l’union des calvinistes (ou réformés) et des luthériens. À cette occasion, Arts sacrés tourne son regard vers les origines de l’art protestant. Quelle place les premiers luthériens et calvinistes ont-ils réservé à l’art ? En quoi ces prises de positions historiques sont-elles riches d’une vitalité ou d’un renouveau pour l’art d’aujourd’hui ? Les Français connaissent peu leur patrimoine culturel protestant, majoritairement calviniste. Pourtant la peinture de l’Âge d’or hollandais, la culture nord-américaine et la naissance de l’art abstrait ne se comprendraient pas sans y reconnaître l’héritage du français Calvin… Une relecture de cet art, discret mais très présent, nous révèle bien des surprises. D’autres surprises nous attendent dans ce numéro : avec l’œuvre d’un peintre du XIXe siècle, Jean-Jacques Henner, qui nous fait découvrir un mouvement encore peu étudié des historiens de l’art, où la recherche de la spiritualité prend parfois les voies de la sensualité ; avec les plus grands chefs-d’œuvre de l’art orthodoxe serbe menacés aujourd’hui de destruction ; avec les vitraux de la Sainte-Chapelle que la restauratrice Claire Babet prend devant nous dans ses mains ; avec la théologie élaborée qui soutient chaque détail du film à succès Le Hobbit ; et enfin, une des plus belle découverte de ce début d’année « post-apocalyptique » : l’espérance dont sont porteurs les artistes contemporains, et dont ils témoignent dans des créations autour du thème biblique de Job.

     

    Dossier

    • DOSSIER. Naissance des arts protestants
    • La Réforme et les arts visuels. Des positions différenciées ouvertes à la modernité
    • Les premiers temples protestants en France : formes, fonctions, symbolisme
    • Fléchères, Un château-temple en souveraineté de Dombes
    • Les temples de Napoléon. De la Réforme catholique à la Réforme protestante
    • Le chant et la musique dans la tradition protestante

    Articles

    • Paysages du sacré. Kosovo : chefs-d'œuvre en péril
    • Le geste et l'outil. Tenir la lumière entre ses mains
    • Images du réel. Entre sensualité et spiritualité. Jean-Jacques Henner, un peintre épris d’absolu
    • L'œil instruit. Le Nouvel An chinois. Replongée rituelle dans l’harmonie du monde
    • Paroles et musique.Tolkien au cinéma. La théologie du hobbit
    • Moment de création. Job ou "l'art au défi de l'espérance"

    Actualités

    • L’art est liturgie
    • Triple émotion baroque au Louvre
    • Soixante siècles de pluralité religieuse au Liban
    • Passeur de lumière
    • Après les critiques, la récompense
    • Pierres d’églises, un art de construire
    • Une culture inter-ethnique ?
    • Film : Anna Halprin ou la danse comme pensée
    • Livres
    • Calendrier

    http://www.arts-sacres.fr/numero-21/naissance-arts-protestants.3724.php

  • J'ai fini hier soir:"So much pretty" de Cara Hoffman

    So much prettyHaeden, petite ville de l’État de New York. La nature a repris ses droits, car le chômage a sévi. C’est l’Amérique post-industrielle dans toute sa noirceur.
    Un jour, la jeune serveuse Wendy disparaît. Elle est retrouvée dans un triste état. Stacy Flynn, journaliste ambitieuse, est prête à tout pour démasquer les coupables, mais aussi pour rencontrer un homme capable d’assouvir ses besoins.
    Une adolescente, Alice, partage son obsession pour cette affaire. Ses parents, Gene et Claire, qui tentent de faire coïncider leur existence à Haeden avec leurs rêves de jeunesse, sont loin de comprendre ce que leur fille ressent.
    Petit à petit, les récits des habitants semblent composer un tableau du drame et des événements qui l’ont précédé. Au sein duquel le lecteur entrevoit une autre tragédie. Mais l’écrivain nous réserve un dénouement à mille lieux de ce qu’on pouvait imaginer.
    Avec un sens redoutable du suspense, Cara Hoffman nous livre la cartographie réelle d’un monde qu’on aurait pu prendre pour le paradis : une vie saine loin des grandes villes. Elle immortalise également les tourments de l’adolescence et le cauchemar de tout parent.
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    Entendu ce matin dans Télématin(émission du matin que je regarde depuis...) rubrique livres

    Olivia de Lamberterie(critique littéraire qui présente la rubrique) a dit qu'une collection noire (polar) avait été crée au sein de la prestigieuse collection "Cosmopolite" (littérature étrangère) des Editions Stock

    Preuve, a t-elle dit, que les polars ont acquis leurs titres de noblesse

    Comprenne qui pourra

    Qui ne lit pas mon blog

    Et fait un air dégoûté à chaque fois que je lui parle d'un polar lu ou vu

    Précédentes publications:

    11/11/2012 13:04: découverte du livre et achat

    30/11/2012 09:01 début de lecture

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai fini hier soir:"Orchidée fixe" de Serge Bramly

    Orchidée fixe

    « J’ai commencé ce livre il y a un peu plus de vingt ans. Je l’ai abandonné et l’ai repris à plusieurs reprises. L’idée d’écrire quelque chose sur Marcel Duchamp m’obsédait mais je n’ai pas su pendant longtemps quelle forme cela devait prendre. Je commençais un chapitre, le jetais au rancart, l’envisageais sous un autre angle, et mes notes se seraient accumulées sans fin si je n’avais eu un jour l’idée d’y introduire des éléments personnels, quasi autobiographiques, ce dont je m'étais toujours abstenu dans mes romans. Mon point de départ était une lettre que l’artiste avait écrite à son ami Henri-Pierre Roché, le 27 mai 1942, du Maroc. Il fuyait alors l’occupation allemande et venait d’être interné dans un camp de transit, à Aïn Sebaa, dans les envions de Casablanca. ‘‘Évidemment, écrivait-il, le camp d’hébergement est une horreur (pas de lit et une salle commune avec paillasses, hommes et femmes, une centaine), mais j’ai réussi à échapper à cela.’’ Il ajoutait : ‘‘Je couche seul dans une salle de bains, très confortable, à 7 kilomètres de Casa au bord de la mer.’’ Mon projet a commencé à prendre forme lorsque je lui ai adjoint une narratrice, l’arrière-petite-fille des propriétaires de la salle de bains où Duchamp avait trouvé refuge, et un universitaire que ses recherches avaient lancé sur les traces de l’artiste. L’une habitait Tel-Aviv où avaient émigré ses parents, l’autre, Français expatrié, enseignait à l’Université du Colorado : il n'appartenait qu'à Duchamp de les réunir. Orchidée fixe (calembour emprunté aux notes l’artiste) est ainsi l’histoire d’une double rencontre, d’une double passion, et de milieux et d’époques qui se croisent dans une longue suite de causes et d’effets. » Serge Bramly

     

    L'auteur

     

     

    Né en 1949 à Tunis, Serge Bramly est l’auteur de nombreux romans : L’Itinéraire du fou (prix Del Duca), La Danse du loup (Prix des libraires 1983), Ragots et surtout, Le Premier Principe, Le Second Principe (Lattès, 2008), qui a reçu le prix Interallié. Il a écrit également des essais sur la Chine (Le Voyage de Shanghai), sur l’art (Léonard de Vinci, prix Vasari 1995 ; réédité en 2012) et la photographie.

     

    En savoir plus

    http://www.editions-jclattes.fr/livre-orchidee-fixe-serge-bramly-337062

    Précédentes publications de cette note:

    21/09/2012 10:11

    26/11/2012 07:58

     

  • J'ai fini hier soir le catalogue de l'expo "Bohèmes"

    Géricault, Van Gogh, Van Dongen, Degas, Courbet, Picasso mais aussi Georges de la Tour, Frans Hals, Léonard de Vinci et d'autres sont réunis ici pour un voyage pittoresque dans une mise en scène audacieuse. Imaginez-vous : s'attabler dans un café sous le regard des protagonistes de l'Absinthe de Degas ou encore s'approcher d'un misérable poêle dans l'atelier d'un artiste (Delacroix ?) au regard fiévreux et pénétrant !   -  

    http://www.decidelart.fr/visites.php

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    1ere publication et début de la lecture:

    18/11/2012 19:07

     

    enn rentrant de l'expo à Paris

  • J'ai terminé hier soir:"Les joyaux du paradis" de Donna Leon(nouvelle catégorie/sous-partie)

    Une enquête magistrale menée dans la Venise actuelle, mêlant brillamment musique et suspenses, fiction et réalité.

    Caterina Pellegrini, musicologue italienne enseignant à Manchester, accepte avec joie un poste de documentaliste au sein d’une fondation à Venise. Contre toute attente, la place n’est pas de tout repos. Deux cousins se disputent l’héritage d’un ancêtre dont la succession serait tranchée par de vieux documents auxquels seule Caterina a accès. Le fameux ancêtre, compositeur baroque et diplomate, remplissait des missions cruciales auprès des cours allemandes pour le Saint-Siège.
    A mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère: le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps?

    Donna Leon et Cécilia Bartoli ont décidé de remettre à l’honneur un génie de la musique baroque, Agostino Steffani. La collaboration de ces deux femmes est un événement international: le roman Les Joyaux du paradis et le disque Mission (Decca) sortent simultanément dans le monde entier.

    http://www.donnaleon.fr/livres/les-joyaux-du-paradis.html

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    précédente note sur cette auteure:http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2012/07/04/la-femme-au-masque-de-chair-de-donna-leon.html

    Précédente publication de cette note pour le début de ce libre:19/11/2012 16:14

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai terminé hier soir le livre de Joël Dicker, Grand Prix du roman de l'Académie française

     

    Le Monde.fr avec AFP |25.10.2012 à 17h27 • Mis à jour le25.10.2012 à 17h46

    A 27 ans, le Suisse Joël Dicker est primé pour son deuxième roman.A 27 ans, le Suisse Joël Dicker est primé pour son deuxième roman. | AFP/PATRICK KOVARIK

    Joël Dicker, jeune auteur suisse de 27 ans, a été couronné jeudi 25 octobre par le Grand Prix du roman de l'Académie française pour son deuxième roman, La Vérité sur l'affaire Harry Quebert, paru aux éditions de Fallois-L'Age d'homme, a annoncé l'Académie.

    Lire la suite

  • Pour préparer notre visite de samedi, j'avais lu:Bohèmes

    au Grand Palais

    8,50 € TTC

     
    septembre 2012

    Chantée, filmée, versifiée, exaltée, cent fois déclarée morte et toujours renaissante, la « Bohème » fait partie des mythes modernes. Née au milieu du XIXe siècle, entre Romantisme et Réalisme, elle accompagne une profonde transformation du statut de l’artiste. Désormais le jeune talent ne se place plus sous la protection de quelque prince : il est ce génie solitaire, misérable et incompris qui anticipe les convulsions de
    la société.
    Du phénomène de société au mythe artistique, la figure du bohémien est un sujet de prédilection pour les artistes, nourris du fantasme d’une vie sans attaches et sans règles, intense et sensuelle. Entre séduction et répulsion, ces figures de la liberté et de l’errance peuplent au XVIIe siècle, les oeuvres de Georges de la Tour, Simon Vouet ou Sébastien Bourdon, au XVIIIe siècle, les comédies des théâtres et au XIXe siècle, les
    clairières de Corot, Turner ou Diaz.
    À travers Victor Hugo, Théophile Gautier et Franz Liszt, la génération romantique prend fait et cause pour le vagabond, jusqu’à l’avènement de « l’artiste bohème » exalté par des poètes comme Baudelaire et des artistes comme Courbet, Van Gogh, Satie, Modigliani, Picasso, Manet, source essentielle de l’élaboration du mythe moderne de l’artiste.
    Mais les bohémiens ne sont finalement véritablement tolérés qu’en peinture et le XXe siècle leur vaudra une répression historique avant que le surréalisme n’érige l’errance en une voie de création majeure.

    Par des mises en relations inédites, en s’appuyant sur une vaste iconographie autant que sur les croisements entre les disciplines (peinture, littérature, photographie, musique), cette exposition ambitionne d’apporter un jour nouveau sur cette histoire commune entre tziganes et artistes. Elle éclaire un phénomène qui, de Léonard à Picasso, traverse toute l’histoire des arts et des sociétés, et résonne encore dans le monde contemporain.
    A l’occasion de cette exposition Beaux Arts consacre un hors série sur ce mythe de la bohème et sur la fascination que la nation tzigane a exercé sur l'art et les artistes.


    Informations sur le livre: 60 pages - 22 x 28.5 cm
    EAN : 9782842789404
    Reliure : Broché
     

    Pour Francine et les autres, je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres, notamment mes "Paysages de bohémiens" qui a le même sujet que cette expo

    sur laquelle je me documente

    cf. catégorie et sous-partie à ce nom

    et que j'espère voir

    en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La peinture

    Soutine ou le lyrisme desespéré

    985876420.jpgN° Hors Série 34- janvier 2008 - 8,50 €-ISSN : 0998-8041

    Soutine par Pierre Drieu La Rochelle
    Soutine par Maurice Sachs
    UNe jeunesse aux confins de la légende
    D'un autoportrait à l'autre
    Soutine portraitiste
    De la Ruche à la fondation Barnes
    De la vache enragée au Boeuf écorché
    Paysages des années 1920
    Soutine, de reconnaissances en tourments
    La Raie, nature morte ou portrait ?
    Variation sur l'enfant de choeur
    Le baroque de Soutine

    http://www.faton.fr/scripts/index_numero.asp?id_titre=5&id_pro=1486

     

    Je me suis beaucoup penché bien sûr sur les paysages; cet homme me fascine d'autant plus qu'un vieil ami peintre a connu Soutine et que j'ai vu un de ces tableaux(hors musées) par ce biais. Beaucoup de souvenirs et d'émotion.

    31/03/2008 11:53

  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé

    J'ai aimé vendredi:Chaïm Soutine (1893-1943) - L'ordre du chaos

    En parcourant les salles de l'Orangerie, qui présente une rétrospective du peintre d'origine russe Chaïm Soutine, on peut bien se poser la question du titre : où est l'ordre dont il est question ? En revanche, du chaos, on en trouvera partout dans la peinture de cet ami de Matisse et de Modigliani qui semble faire souffler la tempête et l'inquiétude dans ses paysages, la faim dans ses natures mortes et l'angoisse du vivant, et du survivant, dans ses fameux portraits de pâtissier ou de groom, au corps maigre et aux yeux dévorants et un peu hallucinés. Riche, avant-gardiste (sa peinture annonce l'expressionnisme et le pinceau d'un Francis Bacon), la vie de Soutine vaut bien ce salut posthume…

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  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Chaïm Soutine, l'ordre du chaos au Musée de l'Orangerie

    Soutine - Musée de l’Orangerie

    Réunis par la passion du marchand Paul Guillaume pour ces « portraits où la mesure et la démence luttent et s’équilibrent », vingt-deux tableaux du peintre russe Chaïm Soutine (1893-1943) sont conservés par le musée de l’Orangerie. Ils seront le noyau d’une rétrospective, organisée à l’automne 2012, célébrant la puissance expressionniste et l’ardeur d’une palette uniques dans le Paris de l’entre-deux-guerres. L’influence que cette œuvre eut sur les artistes de la fin du XXème siècle rend nécessaire un nouveau regard sur un peintre encore incompris en France.

    http://www.exponaute.com/expositions/4834-soutine/

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, Le paysage

    Pour préparer ma visite de vendredi, j'ai lu:L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 63

    L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 63 - Septembre 2012

    En 1906, de grands collectionneurs havrais créent le Cercle de l’Art moderne. Leur objectif : défendre l’art le plus novateur au sein de leur cité. Ils acquièrent des œuvres de Monet, Pissarro, Vuillard ou Marquet, réunies le temps d'une exposition au musée du Luxembourg.

     

    Articles

    • Le Havre et le Cercle de l'Art moderne. Une histoire singulière
    • La création du Cercle de l’Art moderne
    • Au Havre, l’impressionnisme est chez lui !
    • Le fonds Eugène Boudin du musée Malraux
    • Eugène Boudin, Barques et estacade (Trouville)
    • Claude Monet, Soleil d’hiver, Lavacourt
    • L’essence secrète du monde des nabis
    • Paul Sérusier, Le Berger Corydon
    • Félix Vallotton, Haut de forme, intérieur ou La Visite
    • Les fauves, pleins feux sur la modernite
    • Le fonds Raoul Dufy du musée Malraux
    • Raoul Dufy, La Rue pavoisée
    • André Derain, Le Vieil Arbre

    http://www.estampille-objetdart.com/numero-63/cercle-l-art-moderne-collectionneurs-d-avant-garde-havre.3651.php

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