Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aimé - Page 67
-
-
J'ai lu:L'argument de l'ignorant(BU)
-
J'ai lu dans mon 2 e CDI:Le Voyage inspiré
-
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé, J'ai lu, L'art, La presse
J'ai lu hier:artpress I avril 2018
-
J'ai lu:Architecture du 20e siècle en France. Modernité et continuité
-
J'ai fini hier soir:Architecture du 20e siècle en France. Modernité et continuité(ramené de Lyon le 13 avril)
-
Le 20 avril au MUSÉE D’ALLARD, collection de jouets
-
Le 20 avril au MUSÉE D’ALLARD
-
Nous avons visité le 20 avril: le MUSÉE D’ALLARD
-
Je viens de finir:Jake: terriblement beau et bien écrit!
-
J'ai lu ce mois d'avril:
Avril 2018
-
Lyon, Place Bellecour le 13 avril 2018
-
Nabil Ayouch (Razzia) : « Casablanca est une ville sauvage, bruyante, sale, chaotique… mais inspirante »
VIDÉO CINÉMA -
Le pont de l'Horme hier
-
Nous nous sommes promenés hier dans:Terrenoire
Terrenoire Administration Pays France Ville Saint-Étienne Canton Saint-Étienne-Nord-Est-1 Statut Ancienne commune Démographie Population 7 652 hab. (1999) Géographie Coordonnées 45° 26′ 03″ nord, 4° 26′ 16″ est Altitude Min. 467 m
Max. 641 mTransport Bus M3 20 29 71 S3 Localisation Géolocalisation sur la carte : France
modifier Terrenoire est une ancienne commune française de la Loire, détachée de Saint-Jean-Bonnefonds en 1866 et rattachée en 1970 à la ville de Saint-Étienne.
-
Dans "La littérature Française en 100 romans" du Moyen-Ange à nos jours(BU)
il y a "Sylvie" de mon cher Nerval
Je sais maintenant que chaque homme porte en lui - et comme au-dessus de lui - un fragile et complexe échafaudage d'habitudes, réponses, réflexes, mécanismes, préoccupations, rêves et implications qui s'est formé et continue à se transformer par les attouchements perpétuels de ses semblables.
Vendredi ou les limbes du Pacifique -
Michel Tournier
-
J'ai lu dans mon bain:Hors-série : Mary Cassatt, une impressionniste américaine à Paris
-
J'ai lu hier:La littérature Française en 100 romans(BU: notamment pendant les Portes ouvertes de mon 1 er lycée)
La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie parconséquent pleinement vécue, c'est la littérature. Cette vie qui, en un sens,habite à chaque instant chez tous les hommes aussi bien que chez l'artiste.
A la recherche du temps perdu, Le Temps retrouvé (1927) de
Marcel ProustMontesquieu (1689-1755), Lettres persanes, 1721:"Tu ne le croirais pas peut-être, depuis un mois que je suis ici, je n'y ai encore vu marcher personne. Il n'y a pas de gens au monde qui tirent mieux partie de leur machine que les Français; ils courent, ils volent: les voitures lentes d'Asie, le pas réglé de nos chameaux, les feraient tomber en syncope."
Voltaire, "Candide":
"Après le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel auto-da-fé ; il était décidé par l'université de Coïmbre que le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler. "
Rousseau, "Julie":
"- Il faut des spectacles dans les grandes villes, et des romans aux peuples corrompus. J'ai vu les mœurs de mon temps, et j'ai publié ces lettres. Que n'ai-je vécu dans un siècle où je dusse les jeter au feu ! "
-
J'ai aimé :Sème la mort(médiathèque: commencé le 24, terminé le 27)
“Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière.
”De Victor Hugo / Les Contemplations -
Le 13 avril, nous avons visité, un peu déçus par la petitesse de l'expo:Hommage à Jacques Truphémus
Jacques Truphémus, Au Café, 1975 Image © Lyon MBA - Photo Alain Basset
Yves Bonnefoy. Poèmes pour Truphémus
Un café
Cet homme et cette femme,
Leur long silence inquiète la lumière,
Elle vient sur leurs mains, qui sont immobiles.
Peintre, anime leurs doigts
D’un peu de couleur claire. Que ce soit
Comme un reste de jour dans la nuit qui tombe.Et l’une, alors,
Bougera, frémira. La table est d’angle,
Juste sous le vitrage à travers quoi
Sont visibles les hâtes du ciel du soir.Des vitres ? Non, un prisme. Et son rayon
Qui cherche, dans la pénombre de la salle.
Ici, rien que le monde. Là, dehors,
L’espérance qui rentre, avec fatigue,
De sa longue journée n’importe où en ville.Ah, mes amis,
Passez, c’est tout un fleuve. Comment apprendre
À vivre, c’est-à-dire à mourir ? Peu de temps
Pour cela quand déjà le café ferme.
Tant de malentendus ! Mais sur la toile
Qui semble inachevée, ces verres vides
Mais à briller, un peu. C’est peut-être l’anneau
Unique de deux vies qui se confondent.Yves Bonnefoy
« Poèmes pour Truphémus », Ensemble encore, ed. Mercure de France, Paris, 2016 -
Ephemera le 13 avril 2018
-
J'ai lu hier:"D'un siècle à l'autre", catalogue des collections XXe siècle du Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole(quasi neuf pour un tiers de son prix)chez le bouquiniste pour:
-
J'ai lu:Pourquoi ceci n'est pas une piste de skate - L'architecture moderne expliquée (ramené il y a 15 jours de chez Artbook à Lyon)
-
J'ai lu hier:DOSSIER DE L'ART KUPKA, PIONNIER DE L'ABSTRACTION N° 257 - Mars 18(une super découverte d'un artiste)