Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aimé - Page 97
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Nous avons découvert cet après-midi pas très loin de chez nous:Le bois d'Avaize
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Film, J'ai aimé, Le cinéma
J'ai aimé hietr après-midi au cinéma:Stefan Zweig, adieu l'Europe"
le récit d'un exil
Fuir la guerre ne l'aura pas épargné : Stefan Zweig se suicide en 1942. Maria Schrader retrace ses années d'exil dans un film empreint d'authenticité. Lire -
J'ai lu à la gym cet après-midi(et vu l'expo du même nom à Paris):Paula Modersohn-Becker
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Nous avons adoré hier soir au cinéma (et j'ai pleuré):Déesses indiennes en colère
Date de sortie 27 juillet 2016 (1h 43min)
Elles sont actives, indépendantes et libres. Des femmes indiennes d'aujourd'hui. Réunies à Goa pour huit jours, elles se racontent leurs histoires d'amour, leurs doutes, leurs désirs. Jusqu’à ce qu’une nuit pas comme les autres remette tout en question...
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J'ai terminé hier soir:CENT CLES POUR COMPRENDRE ROUEN
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé
L'Insoutenable légèreté de l'être
Date de reprise 27 juillet 2016 - Version restaurée
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J'ai lu hier:Le Mont-Saint-Michel pierre à pierre
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J'ai lu à la gym:Les musées de Rouen Normandie
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D'une anse à l'autre
Paimpol - BeauportVous aimerez...
Le port de Paimpol, l’île St Riom au loin, la pointe de Guilben et le charme romantique de l’Abbaye de Beauport.
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Sur le chemin de St Jacques, nous avons visité la Maison du textile de Fresnoy le Grand
Implantée dans une ancienne entreprise textile à Fresnoy-le-Grand, la Maison du Textile, musée vivant de la tradition textile, vous plonge dans l'incomparable univers de ce savoir-faire à travers les techniques de tissage (Jacquard et Aubusson) et de broderie d'hier à aujourd'hui.
Vous apprendrez l'histoire des Etablissements "La Filandière" en visitant un atelier constitué de 28 métiers à tisser Jacquard mais aussi en participant à des pôles d'animations et de démonstrations.La reconstitution d'un intérieur de maison de tisserand vous plongera à l'époque du tissage à domicile dans les années 30 et vous permettra de découvrir des métiers aujourd'hui oubliés : rotier, navetier, contremaître...
L'initiation à certains métiers textiles révolus vous permettra aussi de devenir trameur sur rouet ou encore "rentreur" de fils sur petits peignes...
Spécial enfant : Pars avec Bobine, ton compagnon de visite et perce les mystères de l'univers textile : énigmes, jeux et ateliers t'attendent !
Lors de ta visite, n'hésites pas à demander le programme des animations de l'année : ateliers créatifs, club des p'tits tisserands, "Viens fêter ton anniversaire au musée !" -
Nous avons suivi en partie en juillet le chemin de St Jacques
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J'ai lu hier:Comprendre les marées
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J'ai terminé hier soir:Le dompteur de lions(médiathèque: commencé le 2)
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J'ai fini hier soir:De Turner à Monet. La découverte de la Bretagne par les paysagistes au XIXe siècle
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J'ai fini dans mon bain:Beaux Arts magazine n° 386 (août 2016)
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J'ai terminé hier:La femme qui pleure(commencé le 3)
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J'ai lu hier:Sculptures végétales(médiathèque)
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Je viens de terminer:Hors-série : L'Alhambra et le Généralife
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J'ai vu en juillet 2016 les traces de Jeanne d'Arc à Rouen
a cité qui a vu le martyre et la mort de Jeanne d'Arc se devait, plus qu'aucune autre, d'élever un souvenir digne de la sainte héroïne. Plus d'une cinquantaine de projets de monuments à Jeanne d'Arc ont été comptabilisés à Rouen.
Les souvenirs se trouvent sur les lieux même de l'épopée johannique comme le donjon du chateau de Philippe-Auguste où elle fut enfermée, la place du Vieux-Marché avec le pilori et l'emplacement du bûcher, l'abbaye de St-Ouen, la Seine où l'on jeta ses cendres, l'archevêché ou plusieurs séances de son procès eurent lieu, l'abbaye de St-Ouen dont le cimetière fut le lieu de son abjuration. Tout comme Orléans, mais à un degré moindre, cette ville organise depuis 1878 ses fêtes Jeanne d'Arc au mois de mai.
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J'ai aimé la semaine dernière à la BM de Part-Dieu:Pasolini, Una vita violenta
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Cela a été très émouvant de voir l'Eglise Saint-Sever de Rouen où mon mari est allé quand il était jeune
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Nous avons parcourir en juillet les LANDES DE PLOUMANAC'H
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Regard sur le patrimoine architectural de la ville de Guingamp(où nous passé une semaine en juillet 2016)
Le centre-ville de Guingamp, vue générale sud prise depuis la rive droite du Trieux (2008)
Présentation historique
Aux portes du Trégor, à la croisée d′anciennes voies romaines, Guingamp, Gwengamp en breton, est une ancienne ville comtale établie sur un escarpement rocheux dominant la rive droite du Trieux. Cette ville aux origines toutes médiévales a connu, vers le milieu du XIXème siècle, d′importantes transformations que Benjamin Jollivet a bien voulu présenter en ces termes 1 :« Cette ville avait une très grande importance militaire (...). Elle était entourée d′épaisses murailles, avec revêtement en pierre de taille, et bordées d′un parapet à créneaux et mâchicoulis. Douze bastions dont quelques-uns surmontés de tourelles, protégeaient ses murailles, au pied desquelles, pour plus de sûreté encore, on avait creusé de larges douves (...). Enfin, on y pénétrait par quatre portes principales, fermées par des herses et ponts-levis, et chargées de bas-reliefs représentant les armes des membres de la maison de Penthièvre (...). Guingamp n′est plus la cité des Penthièvre. Sa cuirasse de guerre est trouée de toutes parts, et n′apparaît plus que de loin en loin, par fragments épars, peu nombreux, sans point de contact désormais (...). Ses portes bardées de fer, que la trahison livra aux troupes du roi de France Charles VIII ; ses murailles épaisses précédées de douves ; son château ducal, où fut reçu Bertrand Du Guesclin ; le petit fort de Saint-Léonard, si vaillamment défendu par l′intrépide Gouicquet, à la tête de la jeunesse guingampaise ; tout cela a disparu sans pour ainsi dire laisser de traces ... Débarrassée maintenant de toute étreinte, la ville déploie ses ailes, franchit les limites étroites que lui avait imposée sa lourde ceinture de granit, et respire à l′aise. L′air circule en toute liberté au milieu de ses rues, qui partout s′élargissent ; les voitures pour y pénétrer, n′ont plus à redouter de voir crouler sur elles ces vieilles portes de Rennes et de Brest, sous lesquelles, il y a moins de 30 ans [vers 1830], les rouliers ne passaient qu′après en tremblant d′effroi ; les douves malsaines et dangereuses ont cédé leur place à un vaste champ de foire, parfaitement nivelé, où darde le soleil ; les anciens ponts Saint-Michel sont remplacés, les Cantons élargis, la jolie chapelle de l′hôpital dégagée des tristes masures qui la cachaient aux regards ; pour tout dire, en un mot, le vieux Guingamp n′existe plus ! ».