Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Beaux-Arts mars 2014
Beaux Arts magazine - N°357
Prochain numéro le 20 février 2014
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Beaux Arts magazine - N°357
Prochain numéro le 20 février 2014
N° 73 - mars 2014 -
ISSN : 0998-8041
Depuis que les portes du harem de Soliman le Magnifique se sont refermées sur sa jeunesse et sa beauté, Hürrem, la petite esclave tartare, n'a qu'une idée en tête : se venger des Ottomans. Aussi déploie-t-elle des trésors d'ingéniosité pour se faire remarquer du Conquérant de Rhodes, devenir d'abord sa favorite, puis son épouse, et enfin sa conseillère... Elle n'hésitera pas à user du poison et à intriguer pour éliminer tous ceux qui se mettent en travers de sa route, qu'il s'agisse du grand vizir ou du propre fils du sultan... Lorsque, en 1558, elle meurt en maudissant Soliman et sa descendance, son fils est sur le trône et le déclin de l'Empire ottoman déjà amorcé. Tableau saisissant du harem de Soliman le Magnifique, monde de violence et de sensualité où se mêlent plaisirs délicats et cruauté effrénée ; documentation historique de premier ordre... Un roman remarquable !
http://www.amazon.fr/Les-Nuits-Topkapi-Colin-Falconer/dp/2266072412
Sur les 1000 quatrains rédigés par le mage Nostradamus et constituant ses célèbres prophéties, seuls 942 ont été retrouvés. Qu'est-il advenu des 58 quatrains manquants ? Et que peuvent-ils bien annoncer pour qu'on ait cherché à les soustraire aux yeux du monde ? C'est la question qui fait avancer deux hommes aux objectifs très différents : Adam Sabir, un auteur américain qui désespère de mettre la main sur ce manuscrit afin de pouvoir relancer sa carrière et Achor Bale, un adepte du Corpus Maleficus, une antique société secrète dédiée à la protection et à la promulgation des trois antéchrists annoncés dans les versets de Nostradamus - Napoléon, Adolf Hitler, et "Celui qui doit venir"...
Globe-trotter insatiable, Mario Reading a eu l'occasion de s'exercer au dressage en Autriche, de gérer des plantations de café au Mexique ou de faire du commerce de livres anciens. Mais il est surtout l'un des grands spécialistes de Nostradamus avec 150 000 exs vendus pour son dernier essai.
http://bibliotheque.eleusis.pagesperso-orange.fr/trilogie%20nostradamus.htm
Le Musée du Monde - vol. 19
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Son dix-neuvième numéro célèbre l’une des ruptures dans l’histoire de la peinture : l’autoportrait d’Albrecht Dürer qui, à la toute fin du XVe siècle, bouleverse la Renaissance.
Autoportrait tenant un chardon
Introspectif et indépendant, le jeune peintre qui se campe, en 1493, énigmatique et tendre dans son Autoportrait ou Portrait de l’artiste tenant un chardon, pose déjà les bases de son esthétique. Une touche soignée, attentive aux moindres détails de la matière, un symbolisme sobre mais évident, un soin porté aux accents d’une anatomie vibrante et aux effets voluptueux des volumes… Dürer, à 22 ans, est un jeune maître qui va bientôt conquérir, en plus du coeur de sa fiancée, la destinée flamboyante d’un maître européen. Le délicat chardon qu’il tient entre ses doigts en est un signe annonciateur qui nourrit les interprétations des spécialistes, y voyant ici une promesse de mariage, là – dans ses épines pouvant rappeler la couronne du Christ – la profession de foi d’un artiste déterminé à sur monter toutes les épreuves. A chaque étape de sa vie, Dürer s’observe évoluer, vieillir, glissant dans ses autoportraits la virtuosité et la finesse acquises dans l’ensemble de son oeuvre y compris dans ses gravures, dont la diffusion étendra sa renommée et son prestige. Pourfendeur d’une sagesse équilibrée et d’un goût convenu, rebelle pourtant respectueux des traditions d’Italie et du Nord, Dürer invente une manière que saisiront au vol, longtemps après, les peintres expressionnistes, dans la traduction juste et crue de l’émotion. Avec et par lui la Renaissance fait un bond, notre regard également.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11507/?nouveaute=1
En couverture
Ces artistes fascinés par le visage
Et aussi : le tour du monde des projets les plus ...
de
Pour Ace Atkins, le fléau qui ravage le Mississipi rural est double : les promoteurs immobiliers véreux et les bouilleurs de meth. La ville imaginaire de Jericho, dans le comté de Tibbehah possède les deux.
Quinn Colson, tout juste revenu de missions en Afghanistan et en Irak, s’y rend pour assister aux obsèques de son oncle, le shérif local, qui s’est apparemment « suicidé » avec son calibre .44. L’adjointe du shérif, Lilly Virgil, pense qu’on l’a aidé. L’horrible Johny Stagg, malfrat de l’immobilier, souhaite récupérer la ferme du shérif, dont Colson a hérité, et qu’il aurait gagné au poker. Colson n’est pas près de se laisser faire. Il fait appel à son vieux camarade, vétéran lui aussi, pour régler ses comptes. Il croise aussi la route d’une adolescente de seize ans, enceinte jusqu’aux dents, à la recherche du père de l’enfant, probablement sous les verrous dans la prison du coin.
Elle est « recueillie » dans la ville champignon qui a fleuri sur un terrain vague à l’entrée de Jericho et dont le chef de tribu, un gourou de la suprêmatie blanche, a un labo de meth. Bref, il faudra toute la force de caractère et l’expérience acquise à l’armée pour que Colson démêle cette histoire.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch
Véritable temple dédié au peintre, le Van Gogh Museum est dépositaire de la plus grande collection d’œuvres de Vincent, et se situe à la pointe des recherches sur son travail. Le directeur et les conservateurs du musée reviennent point par point sur le génie et l'unicité de son oeuvre. Le Van Gogh Museum a également été un soutien essentiel lors de l'écriture de la biographie à?quatre mains de Steven Naifeh et Gregory White Smith parue très récemment aux éditions Flammarion, deux auteurs qui nous livrent dans ce numéro leur vision du peintre.
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Dans ce dix-septième opus, François Boucher nous entraîne dans l’intimité des palais. Ses oeuvres traduisent avec délicatesse la frivolité de l’époque.
Le Déjeuner
Protégé de Madame de Pompadour, premier peintre de Louis XV, François Boucher traduira dans son oeuvre les palais dorés d’une vie insouciante, les froissements de soie, le claquement des éventails et le murmure d’alcôves abritant des amours débridées que la morale de l’époque ne semblait nullement réprouver. Mais ce peintre du secret mal gardé, au ton moqueur parfois grivois, sait aussi surprendre les instants les plus anodins, dans l’intimité respectueuse d’une simple réunion familiale. S’il réalise dans Le Déjeuner une scène d’intérieur à l’architecture savante, à la lumière subtile et bienveillante, où chaque objet dit son époque rococo, c’est pour en livrer, avec délicatesse et tendresse, la sensualité joyeuse. L’ordinaire devient une fête, des retrouvailles, un rendez-vous sensuel, transformant le premier repas de la journée en instant d’éternité. Ce dessinateur d’exception, qui se forma très jeune à la gravure, dépeint la grâce du quotidien et du temps présent. Il incarne par son habileté le siècle des Lumières et ce goût français qui marquera tout l’Occident. Témoin, acteur et commentateur, il sait aussi bien habiller le réel que déshabiller une femme pour en suggérer le désir et l’émoi. Ses scènes pastorales ou mythologiques, ses portraits de l’aristocratie poursuivent, avec humilité et liberté, l’oeuvre de Watteau dont il a abondamment gravé les oeuvres. Mais le néoclassicisme, revenant à une plus grande sévérité, aura raison de sa douce légèreté rocaille. Pourtant, il appartient à ce monde utopique qui, malgré ses apparences désinvoltes, bouleversera le monde des idées. On lui reprocha ses artifices, mais c’était peut-être sa façon de peindre une vérité.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://www.wawacity.su/fr/ebooks/140622-telecharger_arts-magazine-no-84-fevrier-2014.html
Quitter Dakar, au rythme des foulées, aller jusqu’à Paris, se déplacer au gré des rencontres : tel était le pari de Pierre Cherruau. Ce reporter-écrivain a choisi de longer l’Atlantique à pied, d’emprunter des chemins de traverse pour raconter le continent africain. Nulle prouesse physique ou sportive, il a pris le pouls de l’Afrique, donné la parole aux habitants, écouté leurs colères, leurs enthousiasmes et leurs passions pour la terre rouge, couleur de latérite, qui les a vus naître.
Ce voyage est aussi personnel à plus d’un titre. La course est l’occasion de renouer en esprit avec un père parti trop tôt, cet autre Pierre Cherruau, lui aussi journaliste et écrivain, disparu avant d’avoir eu le temps d’écrire tous les livres rêvés. Un père qui en initiant son fils à la course, sur les rives de la Garonne lui a donné le goût de la liberté. Et puis, ses liens avec l’Afrique sont familiaux : sa femme est Sénégalaise et ses enfants, des héritiers de la culture nomade des peuls.
Ce récit, intime et sensible, est aussi un moment d’égarement volontaire, un « temps volé », où le professionnel de l’information cesse enfin d’être pressé et connecté, où il échappe à la frénésie de l’actualité. Il renoue avec ce qui fait l’essence de ce métier : les hommes et les imprévus
Et si la folie était ce qu'on pouvait leur souhaiter de mieux ? Une nouvelle enquête de Jack Caffery.
Les patients de l'établissement psychiatrique de haute sécurité Beechway sont très sensibles à la suggestion. Une hallucination peut se répandre tel un virus. Aussi, lorsque plusieurs malades se livrent à des actes d'automutilation, et que l'un d'entre eux va jusqu'à se donner la mort, le fantôme de « la Maude », une infirmière sadique qui terrorisait les pensionnaires à l'époque où Beechway était un hospice, ressurgit.
Afin de mettre un terme à l'hystérie collective qui gagne même son équipe, AJ, infirmier psychiatrique fraîchement nommé coordinateur, décide de faire appel aux services du commissaire Jack Caffery. Il soupçonne l'un de ses patients, Isaac Handel, d'être à l'origine de la psychose. Si son intuition est juste, il faut agir rapidement. Car Handel vient d'être libéré. Et qui sait ce dont il est capable ?
Dans ce thriller dérangeant et rythmé construit à la manière d'un huis clos, Mo Hayder brosse une série de tableaux, plus inquiétants les uns que les autres, qui semblent donner vie à nos pires cauchemars.
http://www.pressesdelacite.com/site/fetiches_&100&9782258092389.html
Formes géométriques, pures et dynamiques : le style Art Déco (1919-1940) se caractérise par son attractivité et sa vivacité.
Né de l’impulsion des créateurs français tels que les architectes Henri Sauvage, Robert Mallet-Stevens, Pierre Patout, les décorateurs André Véra, Louis Süe, André Mare et Jacques-Émile Ruhlmann, le couturier Paul Poiret ou encore le sculpteur François Pompon, il est le fruit d’une vision d’ensemble émanant de champs artistiques variés.