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J'ai lu - Page 104

  • J'ai fini hier soir:Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre

    Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre vous invite à parcourir la remarquable collection Moreau-Nélaton, autour de Corot au Louvre et de Delacroix au musée Delacroix : l'histoire de trois générations de passionnés d'art.

    Un grand dossier est également consacré au Louvre-Lens pour le 1e anniversaire du musée et l'ouverture de l'exposition « Les Etrusques et la Méditerranée. La cité de Cerveteri ».

    Ce numéro vous propose aussi de découvrir le chantier de fouilles de Gabies, à proximité de Rome, ainsi qu'une sélection d'expositions à voir cet hiver au Louvre et ailleurs, en France et à l'étranger.

     http://editions.louvre.fr/fr/grande-galerie.html

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, Voyage

    J'ai lu hier:Gauguin - Sur la plage

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le quinzième volume nous entraîne dans le sillage de ce voyageur au regard simple et incisif. Un artiste loin des préjugés de son temps, qui réconcilie l’être et la nature.

    Sur la plage
    Une enfance péruvienne, une guerre de 1870 passée à bourlinguer pour la marine marchande ont nourri chez Paul Gauguin un goût de l’ailleurs. L’abandon de soi et des siens fut le prix de sa liberté dans un territoire immense et inconnu. Laissant derrière lui une brève carrière de courtier en Bourse et le possible confort d’une vie bourgeoise, il choisit l’aventure. Celle de la peinture, de l’impressionnisme aux nabis, du groupe de Pont-Aven à l’ambitieux projet de Van Gogh et de son grand atelier du Midi… Celle d’une recherche plastique, où l’imbrication harmonieuse et épaisse des formes unit figure et paysage. Dans l’élan de la découverte, sa quête le met à distance de son époque et de la course effrénée d’un progrès corrosif, voire illusoire. En visionnaire de l’essentiel, Gauguin capte le rythme de gens simples, leur immédiateté, leurs attitudes ordinaires, leur grâce discrète. Du même oeil, il immortalise Bretonnes et Polynésiennes, s’en faisant l’humble chroniqueur et l’éloquent avocat. Avec passion, et une douceur empreinte de mysticisme, il tente de réconcilier l’être et la nature. Les îles lointaines furent sa terre promise. Là, Sur la plage [Femmes de Tahiti], où le temps se traîne sans exotisme, où une mer d’huile épouse une indolence maorie dans des aplats colorés et massifs, ses Tahitiennes deviennent des déesses terriennes et maternelles. Pourtant leur silence parle à chacun et Gauguin y clame sa foi de peintre et d’homme. Semblant lancer une gifle à une modernité convenue, il revient aux sources, à l’originel : à l’autre. Comme Van Gogh ou Cézanne, il emprunte cette voie où l’épure, la sensation simple et vraie, la justesse appartiennent soudain à une vision philosophique du monde.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/musee-du-monde-15-gauguin.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse

    J'ai lu hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 497

    ° 497 - Janvier 2014 -

    ISSN : 0998-8041

    Sommaire

    L'objet surréaliste exposé au centre Pompidou. Les...

    Lire la suite...http://www.estampille-objetdart.com/

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, La presse

    J'ai lu hier:Les Merveilles du monde chrétien

    Dans ce numéro, les Cahiers de Science&Vie vous présentent une sélection des plus beaux chefs-d’œuvre de l’architecture et de l’art religieux.
    Un florilège d’édifices et d’œuvres d’art tous plus impressionnants les uns que les autres.
    « Pour l’Église, il était nécessaire de faire voir pour mieux faire croire » Daniel Russo, Page 104

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  • Catégories : J'ai lu, L'art

    J'ai lu ce soir:Piero della Francesca - Conversation sacrée

    Le Musée du Monde - vol. 13

    La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Treizième invitation à plonger dans l’histoire de la peinture, Piero della Francesca lève le voile sur les mystères de la première Renaissance italienne.

    Conversation sacrée
    A Florence, Arezzo ou à la cour d’Urbino, l’artiste témoigne des intentions, des connaissances et des croyances de son temps. En humaniste, il campe avec finesse et brio ses contemporains tout en brossant les traits d’une société sûre d’elle et de ses conquêtes. En érudit, au fait des derniers traités mathématiques, il cultive l’art de la perspective et ravive, avec modernité, une symbolique issue du Moyen âge. En précurseur, à l’instar de Fra Angelico, il instille au sein des églises un nouvel espace en prolongeant leur architecture de retables monumentaux, ouverts, épurés, équilibrés. En habile compositeur, il campera une nature idéale, en souvenir des paysages toscans de son enfance et des remparts de Borgo Sansepolcro auprès desquels il a grandi. Un air d’éternité emplit son œuvre dont le doute, la peur ou l’inquiétude semblent absents. Sa Conversation sacrée porte en elle tous les traits de son caractère précis et généreux, humble et majestueux, inventif et intérieur, vif et serein. Cette Vierge placée à l’exact centre de la composition en prière devant un Enfant Jésus nu, abandonné à son sommeil, possède la douceur d’une mère et la plastique altière d’une sainte. Son regard d’une insondable profondeur est l’unique point de convergence de l’ensemble du tableau. Avec une apparente simplicité, Piero della Francesca orchestra savamment une esthétique naissante paisible et lumineuse, nous livrant avec subtilité ses secrets qui aujourd’hui encore piquent la curiosité de regards neufs. Sa poésie d’un autre âge aura su traverser les siècles avec la force inventive et universelle des temps modernes.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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    J'ai fini hier:L'Oeil N°663

    L'OeilDécembre 2013

    Plurielles comme les « modernités » du nouvel accrochage réussi du Centre Pompidou. Courageusement, le Musée national d’art moderne réalise avec le quatrième accrochage thématique de ses collections permanentes une relecture critique de l’histoire de l’art de 1905 à 1970. Fini le récit progressiste et dominant de l’histoire de l’art occidental qui voit s’enchaîner seuls les mouvements européens d’avant-garde – le cubisme après le fauvisme, etc. –, place à une histoire globale de l’art qui prend en compte les « autres » modernités, celles d’Asie, d’Afrique, des Amériques latine et du Nord… « “Modernités plurielles” élargit ce principe à une relecture non plus thématique, mais générale et historique de l’histoire de l’art », écrit dans le catalogue Catherine Grenier, directrice adjointe du MNAM et grand ordonnateur de ce nouvel accrochage qui ajoute, par ...

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse, Voyage

    J'ai terminé cet après-midi: le Premier numéro du Le Journal des Expositions 06|12|13

    L’art et la manière

    Le Journal des Expositions est en kiosques ce samedi 7 décembre. Consacré aux plus belles expositions en France et à l’international, il est dirigé par René-Marc Chaffardon, fondateur de Beaux-Arts Magazine et de Muséart.

     

    le journal des expositions en kiosques

     

    À mi-chemin entre magazine et beau livre d’art, sa maquette privilégie les visuels et l’épure. Sur 172 pages, expos et musées sont à l’honneur à travers une sélection à la fois éclectique et curieuse qui fait la part belle aux capitales européennes mais aussi à la province française. Rendez-vous immanquables, lieux oubliés, carnets de voyage, chroniques portant sur un courant ou un artiste, temps forts et grands noms, entretien avec une personnalité, sélection de beau livres sont au programme. Chaque numéro comportera également un flash back sur un évènement marquant et pour ce premier opus, c’est l’exposition Toutankhamon de 1967 à Paris qui tient la vedette de cette séquence souvenir.

     

    La régie du titre a été confiée aux Inrocks.

     

     Calendrier de parutions - remise des éléments techniques 10 jours avant parution : 20 février, 17 avril, 19 juin, 11 septembre, 20 novembre.

     

    - Périodicité : bimestrielle

    - Format : 220 x 285, dos carré collé

    - Tirage : 45 000 exemplaires

    - Tarif brut PQ – publicité commerciale : 8 000 euros

    - Tarif brut PQ -  publicité culture : 7 000 euros

     

    Contact publicité : Benjamin Cachot – 01 42 44 18 12 – (Activez le JavaScript, pour voir l'adresse Email) benjamin.cachot@inrocks.com

     

    http://www.lesblogsmedias.fr/2013/12/06/111404-premier-numero-pour-le-journal-des-expositions/

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse

    J'ai terminé aujourd'hui:L'Oeil N°664

    L'OeilJanvier 2014

    Finalistes Les arts plastiques n’ont pour une fois rien à envier au spectacle vivant et à ses nominations polémiques. Le nouveau directeur du Musée national d’art moderne vient de prendre son poste à l’issue d’une procédure interminable entachée par une série de manœuvres éhontées qui ne grandit pas l’image de la France et de ses institutions à l’extérieur. C’est donc Bernard Blistène qui succède à Alfred Pacquement, alors que la candidature du premier, en dépit de sa qualité indéniable, n’avait pas été retenue dans le carré des finalistes. Ce dénouement, qui a surpris jusqu’aux observateurs les plus avisés, n’a été permis que parce que l’Allemande Marion Ackermann et l’Autrichien Max Hollein, deux directeurs d’institutions européennes respectées, ont retiré au dernier moment leur candidature après avoir été l’objet d’une virulente campagne de dénigrement. ...

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, La presse

    J'ai terminé hier soir:Le Tour du monde des chefs-d'œuvre en péril

    19 décembre 2013

    L’équipe de Beaux Arts fait ici le tour du monde des chefs-d’œuvre en péril : un état d’une situation inquiétante.
    Ce numéro soulève aussi bien le problème des fresques de Pompéi que ceux des temples d’Angkor qui se délitent, aux ruines romaines de Palmyre sous le feu des combattants syriens, qu’au chef-d’oeuvre de Léonard de Vinci La Cène, les spécialistes s’avérant incapables de se mettre d’accord sur une technique de restauration.
    Un tour du monde à la fois positif et décourageant. Car les causes de détérioration sont multiples : inconscience des peuples qui s’entretuent et détruisent ce qui a fait la grandeur de leur passé, fléaux climatiques de toute nature, manque cruel de moyens comme en Italie, tourisme de masse qui sera certainement la pire des plaies à venir, tous facteurs qui provoquent ou provoqueront un jour la transformation de sites grandioses en sanctuaires protégés et inaccessibles. Mais des moyens nouveaux existent pour les sauver, l’UNESCO joue dans ce domaine un rôle très positif, des mécènes viennent à la rescousse, les techniques de restauration s’améliorent.
    Un numéro destiné à ceux que les grandes civilisations et l’histoire de l’art passionnent.


    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-773-Le-Tour-du-monde-des-chefs-d-uvre-en-peril.html

  • J'ai lu hier:Delacroix - La Mort de Sardanapale- Le Musée du Monde - vol. 12

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Ce douzième opus plonge dans le romantisme avec Eugène Delacroix. Inspiré par l’Orient, le peintre s’oppose à la rigueur des Lumières en exaltant le sentiment et le rêve.

    La Mort de Sardanapale
    Charles Baudelaire aura pour le peintre des mots qui campent l’homme, l’artiste comme le territoire qu’il a choisi d’explorer : « Quel est donc ce je-ne-sais-quoi de mystérieux que Delacroix a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme. » Son Sardanapale (1827), aussi alangui qu’impassible, indifférent à son propre destin, est un emblème du héros mythique désabusé, qui préfère précipiter son peuple dans le chaos et le néant plutôt qu’accepter la défaite en renonçant au pouvoir. Il périra par le feu, et sa cour par les armes. Dans cet Orient romantique et imaginaire – que Delacroix ira étudier sur place – s’affirme le privilège du sentiment sur la raison, du rêve et de la fantaisie sur une vision lucide ou maîtrisée du monde. Les romantiques s’opposent à la rigueur rationnelle des Lumières et au néoclassicisme de leurs prédécesseurs. Le drame et la passion entrent dans l’histoire, et avec eux la délicatesse de Corot ou la sensualité de Géricault. Avaient-ils raison ? La violence d’un tigre au combat, le regard détourné d’une esclave dans un harem en disent peut-être davantage sur les moeurs et les idées d’un temps que bien des discours. Le regard de Delacroix possède ce pouvoir flamboyant de vie, nous répétant sans cesse que la modernité est en marche. Signac ou Van Gogh s’en saisiront, rappelant eux aussi que le romantisme n’a pas seulement traversé le xixe siècle mais les passions de tout temps.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-12-delacroix.html

  • J'ai lu cette nuit d'insomnie:La beauté du monde, Ennedi

    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    L'histoire...
    Construit sous la forme d’un journal, Ennedi, la beauté du monde raconte douze jours de périple à travers cette région désertique du nord est du Tchad, mettant en exergue ses paysages - parmi les plus beaux de l’Afrique Saharienne - et la diversité de ses populations. Ce carnet de voyage dessiné nous emmène de Fada aux lacs Ounianga Kébir et Ounianga Sérir en passant par la Guelta d’Arché, dévoilant au passage les splendides peintures rupestres de cette région.

    La nature et les hommes sont décrits avec la sobriété qui convient lorsque l’on est plongé dans un monde désertique caractérisé par ses intemporalité, virginité et immuabilité…

    Les auteurs croisent leur ressenti avec ceux des premiers aventuriers qui ont parcouru et décrit ces espaces : les géographes allemands du 19e siècle (Heinrich Barth, Gustav Nathingal…) mais aussi les méharistes français du début du 20e siècle.

    Un carnet qui constitue une invitation au voyage et présente pour cela, en fin d’ouvrage, quelques informations pratiques.
     
    > En savoir plus sur P. Villecroix et J. Alessandra
    cliquez ici pour voir en grand

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai terminé hier:Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham

     

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    Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham


    Le Musée du Monde - vol. 11

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    Description

    L'Honorable Mme Thomas Graham
    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le onzième volet de cette série met à l’honneur le maître anglais du xviiie siècle, qui a changé les portraits officiels en oeuvres spontanées et expressives.

    Peintre d’un univers idéal où l’homme vivrait en harmonie avec la nature, chantre d’une élégance oublieuse des bouleversements profonds de son temps, Gainsborough (1727-1788) réinvente le monde, pour en livrer sa vision intérieure, sensible et délicate. Aristocrates et personnalités du royaume seront ses commanditaires mais aussi ses sujets d’étude. Ses portraits en pied reflètent autant la psychologie de leur modèle que l’esthétique, les goûts et les aspirations d’une époque. Aussi, lorsqu’il immortalise Mary Graham, noble épouse de Thomas Graham, il campe un art de vivre, une douceur espérée. De la blancheur distinguée de son teint aux détails de sa soyeuse toilette, d’un fragment de colonne classique à une foisonnante et verdoyante campagne anglaise, l’artiste scelle son désir. Car à la ville urbanisée il préfère les paysages champêtres, hérités de la peinture hollandaise de ce xviie siècle qu’il admire. A la rigidité figée des peintures officielles, il oppose des figures aux gestes spontanés, naturels et expressifs. « La principale beauté est l’intention d’un portrait », prônait le peintre, insufflant à ses oeuvres fantaisie, poésie et rêverie – que son rival, Joshua Reynolds, n’hésitera pas à déprécier. Ainsi, au-delà des apparences, Gainsborough est peut-être un peintre frondeur, qui rompra d’ailleurs avec l’Académie et ne cessera d’affirmer sa vision idéale et classique, à l’instar d’architectes nommés Christopher Wren ou Robert Adam. Tel un précurseur du romantisme, le peintre aura offert au monde et à l’histoire une respiration, une échappée belle, une évasion, ce sentiment de flottement et d’inachevé qui ressemble à une idée du bonheur…

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • J'ai terminé cette nuit d'insomnie:L'écorchée

    Traduit de l’italien par Anaïs Bokobza

    Sept ans après s’être mesurée au Chuchoteur, Mila Vasquez travaille aux Limbes, le département des personnes disparues. L’enquêtrice excelle dans son domaine. Peut-être parce qu’elle est incapable d’éprouver la moindre émotion. Ou peut-être parce qu’elle-même porte dans sa chair la marque des ténèbres.
    On a tous ressenti l’envie de s’évanouir dans la nature. De fuir le plus loin possible. De tout laisser derrière soi.
    Or chez certains, cette sensation ne passe pas. Elle leur colle à la peau, les obsède, les dévore et finit par les engloutir. Un jour, ils se volatilisent corps et bien. Nul ne sait pourquoi.
    Bientôt, tout le monde les oublie. Sauf Mila.

    ET PUIS, SOUDAIN, CES DISPARUS RÉAPPARAISSENT POUR TUER.

    Face à eux, Mila devra échafauder une hypothèse convaincante, solide, rationnelle. Une hypothèse du mal. Mais pour les arrêter, il lui faudra à son tour basculer dans l’ombre.

    http://www.donato-carrisi.fr/ses-livres/lecorchee/