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J'ai lu - Page 108

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, LEON Donna, Venise

    J'ai terminé cette nuit d'insomnie:Venise, sur les traces de Brunetti : 12 promenades au fil des romans de Donna Leon

    On ne peut vraiment voir Venise qu'à travers les yeux du commissaire Brunetti. Le héros des romans de Donna Leon, natif de la Sérénissime, a mené des dizaines d'enquêtes dans une ville aux décors minutieusement décrits, parfaitement authentiques. Les douze itinéraires que compte ce livre suivent ses pas dans les méandres d'une cité au passé royal, à la recherche de sa grandeur perdue...
     
     
    Précédente publication:
     
    09/03/2013 11:57
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire:Beaux Arts magazine n° 346 (Avril 2013)

    Dossier spécial Paris > reportage : l'art en plein air dans les rues de Paris
    Et aussi : Keith Haring, l'art hyptonique de 150 artistes du XXe siècle

    Au sommaire de ce numéro :

    1/ Le journal
    Les actus culture > voir le sommaire complet

    2/ Le magazine
    L'art en grand format > voir le sommaire complet

    3/ Le guide
    musées/expositions/galeries/marché> voir le sommaire complet

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-643-Beaux-Arts-magazine-n346

  • Catégories : A voir, J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai pris plaisir à lire:Monet, Renoir... Chagall : Voyages en Méditerranée

    Carrières de lumières

     

     
    mars 2013

    Les Carrières de Lumières illuminent à nouveau les Baux-de-Provence à travers un spectacle multimédia exceptionnel. Source d’inspiration infinie, la Méditerranée et ses couleurs lumineuses ont fasciné des générations entières de peintres. Ce hors-série s’attache à rendre compte des liens qui unissent les maîtres du XXe siècle à la Méditerranée
     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai animé hier après-midi le café littéraire avec Virgile Charlot,"Tropique du Bayanda,une épopée africaine"

    que j'ai aimé lire

    Virgile Charlot entre Nathalie Courtet et moi

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    Collection : L'esprit voyageur
    Parution le 09.05.2012

    Changer de vie ! À 25 ans, Virgile Charlot, jeune diplômé d'une école de commerce, a dit non. Non aux vrombissements lumineux de la société post moderne, non à une vie bâtie à crédit, avec voiture et appartement dignes des photos de magazines. En 2010, il décide de couper les ponts et de vivre ses rêves nomades. Son défi ? Traverser l'Afrique du nord au sud, en solitaire et à vélo, soit plus de 22 000 kilomètres sur des pistes défoncées, entre déserts et forêts tropicales. Cette aventure de calibre olympique nous entraîne dans la quête vertigineuse d'un retour aux sources, loin des écrans plasma, du carbon free, de la 3G et d'Internet. Pour Virgile, le salut passe par l'exil, la course au vent, les repas de larves, de singe et de porc-épic. On le retrouve sous la neige en Espagne, accueilli en plein désert par des militaires mauritaniens, englué dans la boue de la forêt tropicale congolaise, piégé par les sables au Tchad... Son récit rabote notre vernis d'homo-cyber du XXIe siècle et résonne comme l'appel à une liberté perdue sous le poids de l'enracinement et de la raison.

    http://www.arthaud.fr/

     

    Je suis jurée de ce Prix littéraire

    Envie d’évasion ?

    Découvrez notre sélection de récits de voyages :
    couverture livre Tropique du Bayanda       couverture livre "un an de cabane"       couverture livre 'espiritu pampa"       couverture livre "aux portes de l'orient - l'asie à vélo couché"

    Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013

    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)

    PRECEDENTE PUBLICATION

    22/12/2012 22:05

    Je m'installe pour le café littéraire

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    L'auteur et moi

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    Une assistance intéressée:

     

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  • J'ai aimé lire:Nathalie Courtet,"Aux portes de l’Orient,L'Asie à vélo couché T1" et c'est elle qui a gagné avec 41% des voix le prix

    Aux portes de l’Orient -

    Ils sont partis un petit matin d’avril 2008 d’un village du Haut-Doubs, à vélo couché, pour rejoindre Téhéran sept mois plus tard. En tout, près de 13 000 kilomètres, des cols et des plaines, et huit pays traversés dont le Monténégro, l’Albanie, la Turquie et la Cappadoce… Des paysages grandioses et des routes inconnues, autant de rencontres exceptionnelles et de mésaventures pour Nathalie et Michel Courtet qui réalisent là un rêve de gosse : voyager avec le moins de contraintes possibles, sans sponsors, et pour le seul besoin de l’ailleurs. Aux portes de l’Orient est le premier tome d’un récit de voyage relatant cette traversée de l’Europe et de l’Orient à vélo couché.

    http://www.editionsphebus.fr/aux-portes-de-l-orient-nathalie-courtet-9782752907271

    Ce livre fait partie des livres à lire par le jury dont je fais partie:

    Prix littéraire

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    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)

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    22/12/2012 21:46

     

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai pris plaisir à lire:Nicolas Remin, "Gondoles de verre"

    couverture

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    GONDOLES DE VERRE


    En 1864, dans le palais de la famille Tron à Venise, les murs autrefois ornés de tableaux du Tintoret continuent de s'effriter et les repas demeurent frugaux. Occupé par le prochain numéro de sa revue L'Emporio della Poesia, le commissaire Alvise Tron prépare aussi ses noces avec la riche princesse de Montalcino. Mais les réjouissances tournent court lorsqu'il apprend la mort mystérieuse du marchand d'art Kostolany. Il n'a qu'un seul indice : la disparition de la Sainte Madeleine du Titien, que Marie-Sophie de Bourbon, soeur de l'impératrice Sissi, avait confiée à Kostonaly pour une expertise. Les suspects sont nombreux : le consul général de Russie, le restaurateur de tableaux Terenzio ou encore le colonel Orlov. Tous semblent taire un secret, tous semblent liés au meurtre...

    Traduit de l'allemand
    par Frédéric Weinmann

    INEDIT

    "Grands détectives" dirigé
    par Jean-Claude Zylberstein

    http://www.10-18.fr/site/gondoles_de_verre_&100&9782264049827.html

     
  • "Le Chat du kimono T.1 " de Nancy Pena

    cliquez ici pour voir en grandLe Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d’histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l’île de Kyusku où la fille du propriétaire d’une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l’aimait en secret.

    Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n’y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l’un aux motifs de rats et de mulots, l’autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu’un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s’enfuit à la poursuite d’une grue…

    Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l’amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…

    http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=47

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire: Grande galerie-Le journal du Louvre

    Consacré à la vie culturelle et artistique du musée du Louvre, Grande Galerie, le Journal du Louvre a pour vocation de refléter la richesse de ses collections et de sa programmation, et pour ambition d’être à la fois un support de visite original, accessible et pédagogique et une revue d’art de référence que l’on conservera. Ce magazine aborde toutes les expositions et les évènements du musée du Louvre, mais évoque aussi les trésors célèbres ou méconnus de ses différents départements grâce à des itinéraires originaux et des dossiers spéciaux. Sont aussi présentées les acquisitions et les restaurations d’œuvres qui enrichissent sans cesse les collections ainsi que les mécènes et donateurs qui les font vivre. Le Journal du Louvre est rédigé par des auteurs de renom – conservateurs, historiens de l’art éminents, écrivains, artistes et invités de marque.

    http://editions.louvre.fr/fr/grande-galerie.html

  • J'ai pris plaisir à lire:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488 - Mars 2013

    Ce mois-ci, la Kunstkammer du Kunsthistorisches Museum de Vienne rouvre ses portes et révèle les trésors de la famille des Habsbourg, et notamment l'inestimable salière de Cellini offerte à François Ier. Alors que le musée Frans Hals de Haarlem propose une confrontation entre l'art très personnel de Hals et celui de ses plus fameux prédécesseurs et contemporains, à Londres, la National Gallery rend hommage quant à elle à Federico Barocci, maître précurseur du baroque. Au cœur de Paris, la maison-atelier de Zadkine fait peau neuve et propose une lecture renouvelée des œuvres du sculpteur russe. Enfin, Sam Szafran nous accueille dans son atelier à Malakoff, alors même que débute bientôt une vaste rétrospective de son œuvre à la fondation Pierre Gianadda de Martigny.

     

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé terminer cette nuit d'insomnie:"Une année à Venise" de Lauren Elkin

    Laissant derrière elle son fiancé new-yorkais, Catherine Parrish s'installe à Venise pour se consacrer à sa thèse en histoire de l'art. Au gré des venelles et des vaporetti, de flâneries sur les Zattere en prosecco aux abords du Rialto, la brillante étudiante cède au charme ensorcelant de la cité des Doges. Marco, jeune gondolier, et Neva, mystérieuse Croate à la recherche d'une synagogue cachée, l'initient aux arcanes de la ville jaillie de la mer, hors des sentiers touristiques. Ces rencontres inattendues vont dévier le cours de l'existence rangée de Catherine.

    Amours clandestines et énigmes cabalistiques, Une année à Venise est une magnifique déclaration d'amour à la Sérénissime et la preuve que les relations humaines sont, comme cette cité flottante, sinueuses et imprévisibles.

    Née en 1978, Lauren Elkin est diplômée de Columbia University. Journaliste littéraire, elle écrit pour The Guardian, Bookforum et The Daily Beast. Elle vit à Paris
     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé terminer cette nuit d'insomnie :"Mille jours à Venise" de Marlena de Blasi

    Mille Jours à VeniseEncore un coup de foudre entre "vaporetti" et "capuccini". Et c'est bon.

    On aime passionnément

    Si l'Italie vous laisse indifférent, si la langue à la fois chantante et râpeuse des Vénitiens ne vous provoque aucun frisson, si la ville la plus romantique et surpeuplée du monde vous donne de l'urticaire, ne lisez pas ce livre. Il est réservé aux amateurs de ruelles obs­cures, aux obsédés du soleil couchant sur le pont de l'Accademia, aux siroteurs de prosecco au bord de la Giudecca. Imaginez la rencontre d'une Américaine bon teint, cuisinière et critique gastronomique, avec un Vénitien aux yeux bleus. Coup de foudre. Elle décide de quitter sa confortable existence outre-Atlantique pour vivre avec lui. Il ne doit pas exister de récit plus fleur bleue que ces Mille Jours à Venise, mais il s'en dégage un charme gourmand, une élégante nostalgie qui ouvrent les portes du rêve. Des plages du Lido au marché du Rialto, la vie est peinte aux couleurs de la volupté. Alors, qu'importent les naïvetés de la narratrice, puisqu'elle restitue la ville sans la dénaturer : ses parfums de pêche mûre et d'eau croupie, ses vaporetti et ses capuccini au café Florian, auxquels elle ajoute des recettes de beignets aux fleurs de courgettes et de cèpes braisés.

     

    Le 25/07/2009 - Mise à jour le 20/07/2009 à 16h14
    Christine Ferniot - Telerama n° 3106

    http://www.telerama.fr/livres/mille-jours-a-venise,45336.php

  • Catégories : Blog, J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire "L'éléphant"

    COUV eleph n1Voici l’éléphant, la nouvelle revue de culture générale qui paraît tous les trimestres. Une revue pour vous aider à vous approprier la culture générale, pour leplaisir d’apprendre et de retenir. L’éléphant vous offre des formats d’articles de taille variée, des approches allant de la pédagogie à l’expertise, des…

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise, Voyage

    J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Seule Venise" de Claudie Gallay

    Seule Venise 

    A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux.

    http://www.evene.fr/livres/livre/claudie-gallay-seule-venise-18093.php

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'aiterminé avec plaisir cette nuit d'insomnie:Nicolas REMIN, "Les fiancés de Venise"

    couverture
    Agrandir l'image
    Titre Original
    LES FIANCÉS DE VENISE
    Date de parution
    5 Juin 2008
    Collection
    Grands Détectives
    Nombre de pages Format
    384 p. 108 x 177 mm
    EAN
    9782264044884
    Nicolas REMIN

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    LES FIANCÉS DE VENISE

    En 1863, en plein centre de Venise, une jeune femme est retrouvée sauvagement assassinée dans son appartement. Le commissaire Alvise Tron, responsable du secteur de Saint-Marc, est chargé de l'enquête qui le conduit jusqu'au coeur du pouvoir autrichien. La victime, Anna Slataper, n'est autre que la maîtresse de l'archiduc Maximilien, jeune frère de l'empereur François-Joseph... Crime passionnel ou politique ? Dans le brouillard de la lagune et les méandres des rios vénitiens, Alvise Tron se perd dans les vraies fausses pistes : le meurtrier est-il un des résidents du majestueux hôtel Danieli, un des passants anonymes de la riva degli Schiavoni, un des invités des fastueux bals masqués de l'aristocratie vénitienne, ou un proche de l'archiduc ? L'assassin semble lui échapper. Pourtant une jeune fille a vu son visage...

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire "L'oeil" de mars 2013

    L'Oeil

    L'Oeil
    Sommaire
    Mars 2013

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    Détail
    L'Oeil

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Véronèse, le triomphe de la couleur" d'Anne-Sophie Molinié

    VÉRONÈSE, le triomphe de la couleur

    Dès l'âge de 25 ans, Paolo Caliari, dit Véronèse, prend place parmi les grands peintres de Venise, aux côtés de Titien et de Tintoret. Le jeune homme propose une autre peinture, haute en couleurs, particulièrement séduisante pour la République de Venise du milieu du XVIe siècle.

    Car pour Véronèse, tout est prétexte à la couleur, et sous son pinceau, scènes profanes et religieuses se confondent presque. Peintes au sein d'architectures théâtrales, elles lui donnent l'occasion de célébrer le faste de la noblesse vénitienne, parée de riches étoffes aux couleurs vibrantes, d'une intense luminosité. De sa palette claire se dégage une grande sérénité, une grande légèreté.

    Dans Véronèse, le triomphe de la couleur, Anne-Sophie Molinié analyse l'œuvre du peintre et resitue le contexte historique et artistique dans lequel il a élaboré sa belle manière.

    Agrégée d'histoire et docteur en histoire, Anne-Sophie MOLINIÉ enseigne l'histoire de l'art à l'université Paris Sorbonne (Paris IV). Spécialiste de la peinture du XVe au XVIIe siècle, elle est l'auteur d'articles sur l'art italien, l'art espagnol et l'art flamand de cette période et d'une thèse consacrée à l'iconographie de la résurrection des morts dans l'Italie de la Renaissance (Honoré Champion, 2007).
    Ses recherches portent actuellement sur le genre du portrait dans la théorie de l'art et dans la pratique picturale en Italie et en Espagne au XVIe siècle.


    Elle a également publié Rembrandt, d'ombre et de lumière, Mantegna, peintre des princes, et Filippo Lippi, la peinture pour vocation dans cette même collection

    http://www.editions-a-propos.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=10

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai aimé lire:Nicolas Remin, "L'impératrice lève le masque"

    couverture

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    L’IMPÉRATRICE LÈVE LE MASQUE

    Durant l'hiver 1862, la Venise, indépendante et souveraine, n'est plus qu'un lointain souvenir. La ville est sous domination autrichienne, petite parcelle de l'Empire sur lequel règne l'empereur François-Joseph et une femme entrée dans la légende, dite
    « Sissi ». Et lorsqu'un de ses conseillers est retrouvé mort en compagnie d'une prostituée, à bord d'un bateau reliant Trieste à Venise, une tempête s'annonce sur la lagune... Le commissaire Alvise Tron, héritier désargenté d'une des plus anciennes familles de l'aristocratie vénitienne, se voit retirer l'enquête qu'il vient de commencer par les autorités militaires et reçoit l'ordre d'oublier jusqu'à l'existence de ce double meurtre. C'est mal connaître cet incorrigible rêveur qui a sa propre conception du devoir, surtout lorsque l'impératrice en personne lui demande de retrouver le coupable, coûte que coûte.

    « L'auteur a le chic pour mêler une dose raisonnable de suspense à pas mal de finesse dans la description des situations et des personnages. Vivement le suivant ! »
    Raphaëlle Rérolle, Le Monde


    http://www.10-18.fr/site/l_imperatrice_leve_le_masque_&100&9782264044877.html

    Précédente publication:

    27/01/2013 11:21

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, L'art, Venise

    J'ai aimé lire:"Les Mémoires de Giorgione" de Claude Chevreuil

    Les Mémoires de Giorgione

    En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.

    http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848

    Précédente publication:

    30/01/2013 00:17

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai rencontré hier après-midi:OLAF LANDAU,Un an de cabane

    Un an de cabaneEn 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.

    Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.

    Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.

    http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html

    jE  suis jurée de ce prix littéraire:


     

    Prix littéraire

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    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

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    Précédentes publications:

    22/12/2012 22:19

    22/01/2013 08:52

    25/01/2013 09:44

  • Catégories : J'ai lu, Littérature jeunesse, MON TRAVAIL

    "Pas demain la veille" de Christophe Léon

    Pas demain la veilleLoulou-Antoine c’est un cocktail détonnant : de l’énergie à revendre, une lucidité à toute épreuve, une mauvaise humeur permanente et, pour clore le tout, une verve à la Zazie (celle du métro).
    Loulou-Antoine brandit son incapacité à la tendresse comme un étendard. Les bisous, la compassion, les pleurnichages, c’est pour les autres. Elle avance droit dans la vie, s’agace de la mièvrerie de sa mère et de l’incapacité de son père à faire les choses simplement, surtout depuis que ses parents sont séparés.
    Son seul vrai copain (mais le sait-il ?), c’est ce clochard qu’elle retrouve sur son banc le mercredi. Il pue, et Loulou-Antoine s’obstine à lui poser la question qui dérange, celle à laquelle il ne répond jamais : « Tu faisais quoi, avant d’être clochard ? »
    Avec ce caractère-là, elle ne va pas se laisser vaincre par une petite maladie de rien du tout, qui la fait tomber dans la rue, l’envoie à l’hôpital, lui fait perdre ses cheveux… Elle ne perd rien non plus de sa lucidité pour décrypter les embarras et circonvolutions des adultes face au cancer des enfants…

    http://www.editions-thierry-magnier.com/9782844205711-l-christophe-leon-pas-demain-la-veille.htm