Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai pris plaisir à lire:Nicolas Remin, "Gondoles de verre"
Traduit par Frédéric WEINMANN |
GONDOLES DE VERRE |
http://www.10-18.fr/site/gondoles_de_verre_&100&9782264049827.html |
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Traduit par Frédéric WEINMANN |
GONDOLES DE VERRE |
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Le Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d’histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l’île de Kyusku où la fille du propriétaire d’une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l’aimait en secret.
Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n’y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l’un aux motifs de rats et de mulots, l’autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu’un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s’enfuit à la poursuite d’une grue…
Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l’amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…
http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=47
Consacré à la vie culturelle et artistique du musée du Louvre, Grande Galerie, le Journal du Louvre a pour vocation de refléter la richesse de ses collections et de sa programmation, et pour ambition d’être à la fois un support de visite original, accessible et pédagogique et une revue d’art de référence que l’on conservera. Ce magazine aborde toutes les expositions et les évènements du musée du Louvre, mais évoque aussi les trésors célèbres ou méconnus de ses différents départements grâce à des itinéraires originaux et des dossiers spéciaux. Sont aussi présentées les acquisitions et les restaurations d’œuvres qui enrichissent sans cesse les collections ainsi que les mécènes et donateurs qui les font vivre. Le Journal du Louvre est rédigé par des auteurs de renom – conservateurs, historiens de l’art éminents, écrivains, artistes et invités de marque.
Ce mois-ci, la Kunstkammer du Kunsthistorisches Museum de Vienne rouvre ses portes et révèle les trésors de la famille des Habsbourg, et notamment l'inestimable salière de Cellini offerte à François Ier. Alors que le musée Frans Hals de Haarlem propose une confrontation entre l'art très personnel de Hals et celui de ses plus fameux prédécesseurs et contemporains, à Londres, la National Gallery rend hommage quant à elle à Federico Barocci, maître précurseur du baroque. Au cœur de Paris, la maison-atelier de Zadkine fait peau neuve et propose une lecture renouvelée des œuvres du sculpteur russe. Enfin, Sam Szafran nous accueille dans son atelier à Malakoff, alors même que débute bientôt une vaste rétrospective de son œuvre à la fondation Pierre Gianadda de Martigny.
Encore un coup de foudre entre "vaporetti" et "capuccini". Et c'est bon.
Si l'Italie vous laisse indifférent, si la langue à la fois chantante et râpeuse des Vénitiens ne vous provoque aucun frisson, si la ville la plus romantique et surpeuplée du monde vous donne de l'urticaire, ne lisez pas ce livre. Il est réservé aux amateurs de ruelles obscures, aux obsédés du soleil couchant sur le pont de l'Accademia, aux siroteurs de prosecco au bord de la Giudecca. Imaginez la rencontre d'une Américaine bon teint, cuisinière et critique gastronomique, avec un Vénitien aux yeux bleus. Coup de foudre. Elle décide de quitter sa confortable existence outre-Atlantique pour vivre avec lui. Il ne doit pas exister de récit plus fleur bleue que ces Mille Jours à Venise, mais il s'en dégage un charme gourmand, une élégante nostalgie qui ouvrent les portes du rêve. Des plages du Lido au marché du Rialto, la vie est peinte aux couleurs de la volupté. Alors, qu'importent les naïvetés de la narratrice, puisqu'elle restitue la ville sans la dénaturer : ses parfums de pêche mûre et d'eau croupie, ses vaporetti et ses capuccini au café Florian, auxquels elle ajoute des recettes de beignets aux fleurs de courgettes et de cèpes braisés.
Beaux Arts magazine n° 345 (mars 2013)
Prochain numéro le 21 mars 2013
Voici l’éléphant, la nouvelle revue de culture générale qui paraît tous les trimestres. Une revue pour vous aider à vous approprier la culture générale, pour leplaisir d’apprendre et de retenir. L’éléphant vous offre des formats d’articles de taille variée, des approches allant de la pédagogie à l’expertise, des…
A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux.
http://www.evene.fr/livres/livre/claudie-gallay-seule-venise-18093.php
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L'Oeil
Sommaire
Mars 2013
Détail
L'Oeil
Dès l'âge de 25 ans, Paolo Caliari, dit Véronèse, prend place parmi les grands peintres de Venise, aux côtés de Titien et de Tintoret. Le jeune homme propose une autre peinture, haute en couleurs, particulièrement séduisante pour la République de Venise du milieu du XVIe siècle.
Car pour Véronèse, tout est prétexte à la couleur, et sous son pinceau, scènes profanes et religieuses se confondent presque. Peintes au sein d'architectures théâtrales, elles lui donnent l'occasion de célébrer le faste de la noblesse vénitienne, parée de riches étoffes aux couleurs vibrantes, d'une intense luminosité. De sa palette claire se dégage une grande sérénité, une grande légèreté.
Dans Véronèse, le triomphe de la couleur, Anne-Sophie Molinié analyse l'œuvre du peintre et resitue le contexte historique et artistique dans lequel il a élaboré sa belle manière.
Agrégée d'histoire et docteur en histoire, Anne-Sophie MOLINIÉ enseigne l'histoire de l'art à l'université Paris Sorbonne (Paris IV). Spécialiste de la peinture du XVe au XVIIe siècle, elle est l'auteur d'articles sur l'art italien, l'art espagnol et l'art flamand de cette période et d'une thèse consacrée à l'iconographie de la résurrection des morts dans l'Italie de la Renaissance (Honoré Champion, 2007).
Ses recherches portent actuellement sur le genre du portrait dans la théorie de l'art et dans la pratique picturale en Italie et en Espagne au XVIe siècle.
Elle a également publié Rembrandt, d'ombre et de lumière, Mantegna, peintre des princes, et Filippo Lippi, la peinture pour vocation dans cette même collection
http://www.editions-a-propos.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=10
Traduit par Frédéric WEINMANN |
L’IMPÉRATRICE LÈVE LE MASQUE |
Durant l'hiver 1862, la Venise, indépendante et souveraine, n'est plus qu'un lointain souvenir. La ville est sous domination autrichienne, petite parcelle de l'Empire sur lequel règne l'empereur François-Joseph et une femme entrée dans la légende, dite « Sissi ». Et lorsqu'un de ses conseillers est retrouvé mort en compagnie d'une prostituée, à bord d'un bateau reliant Trieste à Venise, une tempête s'annonce sur la lagune... Le commissaire Alvise Tron, héritier désargenté d'une des plus anciennes familles de l'aristocratie vénitienne, se voit retirer l'enquête qu'il vient de commencer par les autorités militaires et reçoit l'ordre d'oublier jusqu'à l'existence de ce double meurtre. C'est mal connaître cet incorrigible rêveur qui a sa propre conception du devoir, surtout lorsque l'impératrice en personne lui demande de retrouver le coupable, coûte que coûte. « L'auteur a le chic pour mêler une dose raisonnable de suspense à pas mal de finesse dans la description des situations et des personnages. Vivement le suivant ! » Raphaëlle Rérolle, Le Monde |
http://www.10-18.fr/site/l_imperatrice_leve_le_masque_&100&9782264044877.html Précédente publication: 27/01/2013 11:21 |
En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.
http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848
Précédente publication:
30/01/2013 00:17
En 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.
Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.
Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.
http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html
jE suis jurée de ce prix littéraire:
Découvrez notre sélection de récits de voyages :
Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.
Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.
Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)
Précédentes publications:
22/12/2012 22:19
22/01/2013 08:52
25/01/2013 09:44
Loulou-Antoine c’est un cocktail détonnant : de l’énergie à revendre, une lucidité à toute épreuve, une mauvaise humeur permanente et, pour clore le tout, une verve à la Zazie (celle du métro).
Loulou-Antoine brandit son incapacité à la tendresse comme un étendard. Les bisous, la compassion, les pleurnichages, c’est pour les autres. Elle avance droit dans la vie, s’agace de la mièvrerie de sa mère et de l’incapacité de son père à faire les choses simplement, surtout depuis que ses parents sont séparés.
Son seul vrai copain (mais le sait-il ?), c’est ce clochard qu’elle retrouve sur son banc le mercredi. Il pue, et Loulou-Antoine s’obstine à lui poser la question qui dérange, celle à laquelle il ne répond jamais : « Tu faisais quoi, avant d’être clochard ? »
Avec ce caractère-là, elle ne va pas se laisser vaincre par une petite maladie de rien du tout, qui la fait tomber dans la rue, l’envoie à l’hôpital, lui fait perdre ses cheveux… Elle ne perd rien non plus de sa lucidité pour décrypter les embarras et circonvolutions des adultes face au cancer des enfants…
http://www.editions-thierry-magnier.com/9782844205711-l-christophe-leon-pas-demain-la-veille.htm
http://www.journaux.fr/globe-trotter_voyage-tourisme-nature_art-et-culture_157683.html
Panique au Palais des Doges ! Un homme a été poignardé en pleine séance du Grand Conseil, sous l'immense fresque du paradis peinte par Tintoret. Mille cinq cents nobles étaient présents mais personne n'a rien vu. Soucieux d'étouffer le scandale, l'inquisiteur Saverio Barbaran charge Leonora d'élucider cette affaire en toute discrétion. Une nouvelle fois, la jeune héritière des dalla Frascada mène l'enquête entre le Grand Canal, la Douane de mer et le café Florian.
Loredan poursuit son exploration de la Sérénissime République au temps de Goldoni et de Casanova. Eternellement romanesque, Venise y apparaît dans sa subtile ambivalence, à l'image de ses reflets marins, de son décor théâtral et de ses masques moqueurs
http://www.amazon.fr/Les-myst%C3%A8res-Venise-Tome-Marco/dp/221364344X
Précédente publication:
29/01/2013 19:17
http://suite101.fr/article/venise-dans-la-litterature-policiere--un-voyage-dans-le-temps-a19158
Précédentes publications:
18/07/2012 09:47
23/01/2013 19:32
26/01/2013 11:22
Par Alain et Christine Londner,
Depuis 2006, Sébastien Jallade s’interroge sans relâche sur le rapport à la mémoire, à l’identité, aux croyances qui ont façonné le Nouveau Monde. Pendant quatre années de marche dans la cordillère des Andes, de Quito à La Paz, il a recueilli la voix des paysans, des mineurs et des artisans, rencontré des victimes du conflit armé avec le Sentier lumineux, filmé les fondateurs d’une radio communautaire dans la vallée de l’Urubamba, étudié l’usage contemporain des chemins préhispaniques.
Plongé dans une grève paysanne ou perdu dans la cordillère de Huayhuash, il a songé à renoncer… Autant de rencontres et de lieux où les croyances se mêlent, où les époques se croisent ou s’ignorent, autant de territoires qui esquissent une réalité originale des Andes, celle de régions écartelées par la géographie et l’histoire. Se dessine au fil des pages un regard sans concession sur nos illusions d’exotisme.
Né à Washington (DC), aux États-Unis, en 1973, avec trois nationalités en poche, Sébastien Jallade est de père français et de mère argentine. De ces années d’enfance hors de France – avec une incursion en Terre de Feu dès l’âge de 17 ans –, il retient l’adage qu’on ne voyage véritablement qu’en multipliant les sédentarités… à l’étranger.
En 1997, devenu journaliste pour des revues spécialisées et des magazines Internet, il multiplie les expériences professionnelles hors d’Europe, notamment en Bolivie, en Argentine et en Égypte. En 2002, il travaille quinze mois au Centre culturel français du Caire. Rentré en France en 2005, il fonde Voix nomades, un des tout premiers sites communautaires de voyageurs.
En 2007, Sébastien Jallade part une première fois sur le Qhapaq Ñan. Pendant six mois, il parcourt 1 200 kilomètres sur la grande route inca et réalise plus de trente heures d’enregistrements de sons et de témoignages au cœur des Andes : prêtres, mineurs, paysans, couturières, peintres… De cette expérience naît un film, Qhapaq Ñan, la voix des Andes, dont il est le coauteur avec Stéphane Pachot.
En 2008 et 2009, Sébastien Jallade poursuit son exploration du Qhapaq Ñan. Seul, il effectue à pied une traversée ouest-est des Andes, reliant le Pacifique aux contreforts de l’Amazonie, jusqu’à la forteresse de Kuelap. Il poursuit ensuite sa marche de Cajamarca à Paria via Cusco et le lac Titicaca, dans un axe nord-sud. À cette occasion, il réalise un inventaire géophotographique du Qhapaq Ñan au Pérou et en Bolivie, en partenariat avec un département de recherche de l’université Paris-VIII.
Au printemps 2009, il publie son premier livre, L’Appel de la route(Transboreal), et, à l’occasion d’un troisième séjour au Pérou, se lance dans la réalisation d’un documentaire sur une radio communautaire andine devenue le porte-drapeau des masses paysannes de la cordillère de Vilcabamba et des communautés indigènes de la vallée du rio Urubamba, en Amazonie.
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22/12/2012 22:13
16/01/2013