Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai terminé hier soir:Les douze amours de Laurent Fabius
Laurent Fabius devant "La cathédrale de Rouen. Le portail et la tour d'albane, temps gris", Claude Monet, 1894. ©C.Helie Gallimard
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Laurent Fabius devant "La cathédrale de Rouen. Le portail et la tour d'albane, temps gris", Claude Monet, 1894. ©C.Helie Gallimard
Référence bibliographique : Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique, Buchet-Chastel, collection "Essais et Documents", 2012. EAN13 : 9782283025833.
Depuis 2010, le livre imprimé, relié, vertical tend à se diluer dans le virtuel de nos écrans. Certains déplorent l’avènement de ce nouveau livre-fantôme, d’autres y voient une avancée extraordinaire. Tous se demandent si le numérique ne tuera pas le totem mis sur pied par Gutenberg.
Dépassant les prophéties et les clivages qui enflamment les débats actuels, Olivier Larizza s’interroge sur ce qui fragilise ou au contraire consolide notre désir de livre tel qu’il se manifeste depuis plus de cinq siècles. En quoi sommes-nous si attachés à l’objet papier ? Que gagnerions-nous, ou que perdrions-nous, à l’abandonner ? L’e-book le remplacera-t-il ? Et avec quelles conséquences sur la lecture, la littérature, nos sociétés ?
« Le livre a ses raisons que la raison ne livre pas » : il sécrète des affects et des fantasmes particuliers. Il fallait donc cet essai original et plein d’acuité pour nourrir une réflexion essentielle.
Olivier Larizza est professeur de littérature anglaise à l’université des Antilles-Guyane (campus de Schoelcher) et chercheur à l’université de Haute-Alsace (Institut de recherches en langues et littératures européennes). Il a aussi enseigné à la faculté de Strasbourg. Il est par ailleurs romancier et l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages.
La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique de Olivier Larizza, Paris, Buchet-Chastel, 2012.
128 pages
13 euros
Il
Il était doux il devint noir. Dans les ors sans lustre d’une monarchie déroutée par l’Histoire le maître du silence moral peint ce qu’il voit s’excluant peu à peu du monde. Ses toiles parlent, hurlent et vivent pour lui.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11479/?nouveaute=1
La production de la soie est intimement liée à l’image de la ville de Lyon. Mais c’est l’ensemble du territoire rhônalpin qui a vécu et vit encore au rythme de l’industrie textile. Sériciculteurs, tisseurs, cardeurs, passementiers, tricoteurs, imprimeurs sur étoffe ou teinturiers : ils travaillent la soie, mais aussi le chanvre, le coton, la laine, l’or et désormais la viscose ou le polyester.
Cet ouvrage évoque la grande saga des ouvriers, artisans et industriels du textile, la qualité et la diversité de leurs savoir-faire, et aujourd’hui leur ouverture vers les technologies les plus innovantes…
« Est beau, en définitive, ce qui est digne d’attention ». A partir de cette définition, ce livre nous montre en quelques mots, en s’appuyant sur les jugements des plus grands historiens de l’art, en quoi chacune des deux cents œuvres choisies est plus particulièrement digne d’attention.
Étant bien entendu que la beauté d’une œuvre « s’éprouve et ne se prouve pas », le livre offre au lecteur l’expérience d’un parcours au sein des plus grands musées du monde, mêlant les plaisirs esthétiques complémentaires de la tradition et ceux de la rupture, depuis 1400 (moment de l’histoire où le « tableau » se détache en tant qu’objet de contemplation) jusqu’à nos jours.
02 octobre 2013
À l’occasion de l’exposition du Louvre, Beaux Arts enquête : comment s’est produit à Florence ce mouvement qui a gagné toute l’Europe ? Pourquoi cette ville est-elle devenue la nouvelle Rome et aussi la nouvelle Athènes ? Un récit bien entendu illustrée par les oeuvres de Donatello, Masaccio, Brunelleschi, Ucello… rassemblées au musée
du Louvre et provenant du palais Strozzi.
Exposition au musée du Louvre
du 26 septembre 2013 au 6 janvier 2014
Nel descrivere Manet come il rampollo di Velázquez o il figlio spirituale di Goya, gli studiosi hanno per lungo tempo dato prova di pigrizia. Secondo questa tesi, l’ispanismo sarebbe l’unica fonte della “modernità” dell’artista francese, che grazie al modello spagnolo sarebbe riuscito a evitare l’enfasi e a precorrere il ventesimo secolo, sfuggendo alle trappole della tradizione accademica. Tuttavia tale approccio, piuttosto semplicistico, si fonda su un’omissione significativa: la passione precoce e duratura di Manet per l’arte italiana. Le Déjeuner sur l’herbe e Olympia, due variazioni liberamente ispirate a Tiziano, dimostrano il legame di Manet con l’Italia, ma non sono le uniche testimonianze della fedeltà dell’artista a Venezia, Firenze e Roma.
Manet. Ritorno a Venezia, frutto della collaborazione tra la Fondazione Musei Civici di Venezia e il Musée d’Orsay, analizza per la prima volta le influenze nella pittura di Manet dell’arte italiana, che l’artista ebbe modo di conoscere direttamente nel corso di tre viaggi al di là delle Alpi. Alla fine del 1874, il pittore di Le Fifre e Le Balcon “fece ritorno a Venezia” per ritrovarsi a contatto con Carpaccio, Tintoretto, Guardi e Longhi e ridestare così il suo entusiasmo. Le vedute del Canal Grande, ricche di blu profondi e di romantici neri, furono la sua risposta all’impressionismo nascente.
Pubblicato in occasione dell’esposizione curata da Stéphane Guégan, con la direzione scientifica di Gabriella Belli e Guy Cogeval, il volume presenta un’ottantina circa tra dipinti, disegni e incisioni di Manet provenienti dal Musée d’Orsay di Parigi, l’istituzione che conserva il maggior numero di capolavori di questo straordinario pittore, e da altri importanti musei internazionali.
Mostra a
Venezia, Palazzo Ducale
24 aprile – 18 agosto 2013
Una mostra ideata e progettata da Gabriella Belli e Guy Cogeval
Quels projets pour le Louvre ? Entretien avec Jean-Muc Martinez, président-directeur du Louvre. Le goût de Diderot, exposition au musée Fabre de Montpellier. Le nouvel écrin du palais Galliera. Michiel Coxcie, le Rapahël flamand ? Le service Orloff, cadeau d'adieu à Catherine II. Daniel-Henry Kahnweiler, le marchand des cubistes. Paris Tableau, la valse des attributions.
L'Estampille/L'Objet d'Art n° 494 - Vallotton, le feu sous la glace
Celui qui fut un maître de la couleur préférait pourtant la sculpture et l’architecture. Etre et artiste complexe, protégé des princes et des papes, il aimera l’équilibre comme la démesure, les lignes douces et fluides comme la sauvage véhémence de la nature.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
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Il avait connus tous les honneurs, séjourné dans les plus grandes cours d’Europe, traversé la vie et ses tourments. Peintre vieillissant que pourtant rien ne blase, Rubens a trouvé dans l’amour de sa jeune épouse l’expression aboutie de son génie.
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Hors série - Au coeur des enchères |
Un guide de 196 pages pour décrypter l'économie des enchères. |
EN KIOSQUE LE 25 OCTOBRE 2013 http://www.gazette-drouot.com/static/annonce_encheres/publication_gazette_drouot.html |
Pour la pochette de son album, “Les Chansons de l’innocence retrouvée”, Etienne Daho pose accompagné d’une créature aux seins nus.
Le renouveau de l'Equipe de France incarné par Olivier Giroud Crédits photo : Panoramic
FOOTBALL - Après son succès en amical contre l'Australie, l'équipe de France veut confirmer face à la Finlande mardi soir, avant les barrages de la Coupe du monde 2014
PRIMA MATERIA, Punta della Dogana, Venise / Exposition réalisée parallèlement à la 55e Biennale de Venise / Du 30 mai 2013 au 31 décembre 2014.
A partir du 30 mai 2013, Punta della Dogana présentera l’exposition "Prima Materia", dont François Pinault a confié le commissariat à Caroline Bourgeois et Michael Govan. Elle rassemblera près de 80 œuvres d’une trentaine d’artistes de la collection Pinault, des années 1960 à nos jours.
Ce hors-série parcourt sept siècles d'histoire de Murano, l'île vénitienne qui a fait du verre sa spécialité depuis la Renaissance. Verres anciens et verres contemporains se côtoient ici pour révéler l'inventivité constante dont ont fait preuve des dynasties de maîtres verriers.
http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2564
Précédente publication:
12/05/2013 16:16
Une méditation romanesque sur la peinture, le regard, l'invisible, l'amour ? Tout cela à la fois, à travers le très étonnant parcours de la distinguée et troublante Florentine, jeune orpheline médium recueillie dans un sévère presbytère breton à l'orée du xixe siècle. C'est là qu'elle découvrira, et ne cessera de compulser en secret, un somptueux livre d'heures médiéval, qui lui apportera la révélation soudaine et absolue de l'art. Et la faculté de s'immerger soudainement et absolument dans l'art, telle une mystique de l'image peinte. Comment Florentine se retrouvera ensuite dans les labyrinthes du Paris romantique de 1830, tout ensemble servante du jeune Eugène Delacroix, dont elle vénère les tableaux, et prêtresse d'une des boutiques de mode les plus enivrantes de l'époque, c'est ce qu'on ne vous dira pas. Tant le récit chemine de mystère en mystère, procurant un plaisir de lecture digne des grands feuilletonistes de ces temps-là, de George Sand à Eugène Sue. Michelle Tourneur écrit avec classicisme, dans une langue belle et simple. Mais elle aborde les vertiges esthétiques avec des intuitions de voyante. Comment on se brûle, se noie, se perd et se retrouve dans une toile ; comment on s'enivre d'un trait, d'une couleur, comment on y découvre ce qu'on ne voyait pas, ce qu'on ne verra plus. Comment on en vit et comment on en meurt. Par-delà l'intrigue mouvementée, le tableau finement ciselé de l'époque romantique, Michelle Tourneur tout bizarrement fait toucher à l'indicible.
Plus que jamais, sous le soleil de la Sicile, les apparences sont trompeuses... Une jeune ingénue peut se révéler une redoutable manipulatrice qui va mener Montalbano sur les traces d'un trafic maritime international. Dans cette enquête, ou l'on retrouve avec bonheur le petit monde du commissariat de Vigàta, le commissaire amateur de rougets de roche va de nouveau se confronter à son principal ennemi, l'âge qui avance. Et ses hésitations à céder au charme de la séduisante Belladonna, lieutenant de la Capitainerie, vont déclencher un engrenage meurtrier.
Pour la première fois, Camilleri entraîne son débonnaire enquêteur sur le terrain de la tragédie pure, avec un résultat d'une surprenante beauté.
http://www.fleuvenoir.fr/site/l_age_du_doute_&100&9782265093966.html