Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Dans ma lecture de "Métronome", p.83
Eglise Saint-Laurent
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Eglise Saint-Laurent
V'la la petite marchande de plaisir
à M. Le Vicomte de Chateaubriand
I
Malheur à l’enfant de la terre,
Qui, dans ce monde injuste et vain,
Porte en son âme solitaire
Un rayon de l’esprit divin !
Malheur à lui ! l’impure envie
S’acharne sur sa noble vie,
Semblable au Vautour éternel,
Et, de son triomphe irritée,
Punit ce nouveau Prométhée
D’avoir ravi le feu du ciel !
La Gloire, fantôme céleste,
Apparaît de loin à ses yeux ;
Il subit le pouvoir funeste
De son sourire impérieux !
Ainsi l’oiseau, faible et timide,
Veut en vain fuir l’hydre perfide
Dont l’œil le charme et le poursuit,
Il voltige de cime en cime,
Puis il accourt, et meurt victime
Du doux regard qui l’a séduit.
Ou, s’il voit luire enfin l’aurore
Du jour, promis à ses efforts ;
Vivant, si son front se décore
Du laurier, qui croît pour les morts ;
L’erreur, l’ignorance hautaine,
L’injure impunie et la haine
Usent les jours de l’immortel.
Du malheur imposant exemple,
La Gloire l’admet dans son temple,
Pour l’immoler sur son autel !
II
Pourtant, fallût-il être en proie
À l’injustice, à la douleur,
Qui n’accepterait avec joie
Le génie, au prix du malheur ?
Quel mortel, sentant dans son âme
S’éveiller la céleste flamme
Que le temps ne saurait ternir,
Voudrait, redoutant sa victoire,
Au sein d’un bonheur sans mémoire,
Fuir son triste et noble avenir ?
Nos expressions ont une histoire (1/5)
Chaque jour, « La Croix » remonte aux sources d’une expression célèbre. Aujourd’hui, le diable Vauvert, ce lieu du bout du monde, devenu un jardin célèbre.
Hier : Ruines du château de Vauvert, gravure du XIXe siècle. « On y entendait des hurlements affreux. On y voyait des spectres traînant des chaînes», affirme l’écrivain Germain-François Poullain de Saint-Foix en 1753.
En expirant, le cygne chante encor,
Ah laissez-moi chanter mon chant de mort !...
Ah laissez-moi chanter, moi qui sans agonie
Vais vous quitter dans peu d'instants,
Qui ne regrette de la vie
Que quelques jours de mon printemps
Et quelques baisers d'une amie
Qui m'ont charmé jusqu'à vingt ans !...
« Ce sont les cadets de Gascogne de Carbon de Castel-Jaloux ; Bretteurs et menteurs sans vergogne, ce sont
les cadets de Gascogne ! »
Commissaires
Robert Kopp, professeur à l’université de Bâle,Suisse, correspondant à l'Institut
Charlotte Manzini, docteur en littérature
Jérôme Farigoule, directeur du musée de la Vie romantique
Sophie Eloy, directrice adjointe, musée de la Vie romantique
> Communiqué de presse de l'exposition "L'oeil de Baudelaire" 20 septembre 2016 - 29 janvier 2017
> Press Release 'Baudelaire's Vision of Art' 20 September 2016 - 29 January 2017
> Dossier de presse "L'oeil de Baudelaire"20 septembre 2016 - 29 janvier 2017
Les eaux de la religion s’écoulent etlaissent derrière elles des marécages ou des étangs
Le CDI décoré par les élèves et la rencontre elle-même avec un journaliste de la presse écrite locale, de la radio