Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Beaux Arts magazine n° 362 (Août 2014)
Prochain numéro le 21 août 2014
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Prochain numéro le 21 août 2014
Nicolas de Staël, Les Mâts, 1954, huile sur toile, 100 x 73 cm (Collection privée. ©J. Hyde).
avec l'autorisation de Le Pérégrinateur éditeur |
Actes de la conférence de Pierre Soulages et Jacques Le Goff organisée par le Centre Européen d'Art et de Civilisation Médiévale de Conques le 25 septembre 1995. Xavier Kawa-Topor, directeur du Centre de 1992 à 1997 a organisé et animé cette rencontre. |
N° 503 - juillet/août 2014 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041
Timbré Les philatélistes en rêvaient, La Poste ne l’aura finalement pas fait. Même au XXIe siècle, imprimer des timbres à l’image de L’Origine du monde reste délicat. Certes, il s’agit d’un tableau, le plus célèbre peint par Gustave Courbet. Certes, sa présentation dans le Doubs, l’œuvre étant prêtée par le Musée d’Orsay à celui d’Ornans, constitue un événement. Mais un sexe de femme reste un sexe de femme, et s’affranchir des convenances pour le coller sur une enveloppe serait indécent. Rappelons-nous que le tableau est passé, entre 1866 (date supposée de sa réalisation) et 1995 (date de sa découverte par le public) de mains privées en mains privées discrètement, parfois dissimulé derrière un autre tableau, disparaissant souvent des radars. Ce dont ne se souvenait sans doute plus l’artiste luxembourgeoise qui, le jeudi de l’Ascension, s’est assise devant le tableau encore à ...
N° 76 - mars 2014 - 9,00 €
ISSN : 0998-8041
N° 78 - mai 2014 - 9,50 €
ISSN : 0998-8041
En deux siècles, notre vision de la guerre et les représentations qu’en donnent les artistes et les médias ont radicalement changé, qui montrent avec toujours plus de franchise, voire de crudité, les horreurs des conflits, leurs conséquences désastreuses sur les soldats comme sur les civils, leurs excès confinant parfois à la barbarie.
Le Louvre-Lens aborde ce sujet majeur dans une importante exposition rassemblant quelque 400 œuvres, peintures, sculptures, photographies ou films qui sont à la fois les témoins d’un changement de mentalités collectif et autant de visions personnelles.
Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)
« Connu pour ses romans et ses relations de voyages, Pierre Loti l'est moins pour ses textes courts, évocations et nouvelles. L'intérêt de ces quatre textes autour de Constantinople réside dans leur forme autant que dans leur fond. Écrits plusieurs années après Azyadé, ils ne montrent pas seulement la Turquie pittoresque mais un pays à l'identité menacée. À travers ce constat, confronté au cosmopolitisme qui désagrège les traditions ottomanes, Loti dresse le bilan de sa propre vie, en s'identifiant à la ville qu'il a le plus aimée. Constantinople est le fidèle reflet de la déchirure de l'écrivain partagé entre l'invention de sa vie et sa vie réelle. » (présentation de l'éditeur)
Préface de Sophie Basch.
Dans BiblioMonde
Istanbul. Le regard de Pierre Loti : Une soixantaine de photographies de Pierre Loti et des extraits inédits de son journal
Les Désenchantées
Aziyadé - Fantôme d'Orient
http://www.bibliomonde.com/livre/constantinople-fin-siecle-416.html