Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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"Un héros" : le portrait féroce de Maurice Herzog par sa fille
LE | 14.12.2012 à 13h06 • Mis à jour le 14.12.2012 à 13h08 | Par Josyane Savigneau
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LE | 14.12.2012 à 13h06 • Mis à jour le 14.12.2012 à 13h08 | Par Josyane Savigneau
car il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter
Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.
Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.
), d'art moderne et contemporain, des arts décoratifs, des beaux-arts et d'ethnologie (costume, métiers et outils, etc.).
Vous pouvez y découvrir les œuvres de Félix Ziem, Auguste Rodin, André Derain, Claude Viallat ou encore Jean-Paul Marcheschi.
http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694
Précédente publication:*
18/05/2013 00:21
Au mois de septembre 1845, un jeune homme de vingt-six ans arrivait à Venise, portant un carton à dessins sous le bras. Il disparaissait dans l'ombre de Saint-Marc pendant de longues heures. Sa silhouette d'extasié batailleur s'attachait à tous les piliers du Palais ducal, comme un pic-vert à un tronc d'arbre. C'était Ruskin, Pour cet anglican austère et moraliste, Venise fut une révélation. Dans les pierres de Venise, son texte le plus célèbre, qui a enchanté Proust, il décrit les principaux monuments de Venise. Promenade splendide dans la Cité des Doges, Les Pierres de Venise n'est pas seulement un traité d'esthétique passionné, il est plus encore : le merveilleux guide d'une ville.
Traduit par Frédéric WEINMANN |
A Venise, le carnaval enflamme ce début d'année 1865. Mais derrière les masques colorés et rieurs se cache un homme dangereux. Lorsque sont retrouvées, à quelques jours d'intervalle, deux femmes éventrées selon un rituel morbide, le commissaire Tron craint le pire. Sous les lumières festives du Rialto, l'eau du Grand Canal prend un air grimaçant... « Nicolas Remin joue à la perfection des atouts d'un décor digne de La Fenice. La ville aux mille impasses est le théâtre rêvé pour éprouver le talent des plus fins limiers. Alvise Tron est de ceux-là. » Elodie Marillier, Le Point Traduit de l'allemand par Frédéric Weinmann Inédit |
http://www.10-18.fr/site/requiem_sous_le_rialto_&100&9782264053381.html |
Pénélope, la désormais fameuse conservatrice de Versailles, qui a déjà révélé les inquiétants mystères de la tapisserie de Bayeux (Intrigue à l'anglaise) et du château de Versailles (Intrigue à Versailles), passe une semaine à Venise pour un savant colloque. Un illustre écrivain français, qui ne publie que sur cette ville, meurt tragiquement. Bientôt, ce sont tous les "écrivains français de Venise", club d'habitude paisible, qui sont menacés. Pénélope se retrouve au cœur d'une énigme dont l'origine remonterait au fameux Bal du Siècle, donné par Carlos de Beistegui dans son palais de la Sérénissime en 1951. Aidée par son fiancé le journaliste Wandrille, elle se lance sur la piste d'un tableau de Rembrandt que personne n'a jamais vu et qui dormirait quelque part sur une des îles de la lagune. Les plus grands hommes de lettres français commencent à craindre pour leur vie...
http://www.amazon.fr/Intrigue-%C3%A0-Venise-Adrien-Goetz/dp/2246779715
première publication:
07/04/2013 18:35
Une conversation et une promenade à travers Venise et ses îles, au cours de laquelle M. Brion et R. Huyghe racontent et expliquent l'histoire de la cité et les chefs-d'oeuvre qu'ils y croisent.
Au cours de conversations tenues à Venise, ville qu'ils aimaient passionnément et où ils firent de longs séjours, deux grands écrivains historiens évoquent le passé de la Cité des Doges, et les particularités de l'art qui s'y est développé au cours des siècles. Ce dialogue érudit mais toujours accessible donne au lecteur la sensation chaleureuse de partager, sous les lustres de cristal d'un palais vénitien, ou à une banquette du Café Florian, l'intimité intellectuelle de deux vieux amis nous offrant avec générosité le fruit de leurs travaux et réflexions. La réédition très attendue de ce que l'on peut considérer comme un éblouissant guide de Venise pour visiteurs exigeants et curieux.
http://www.laprocure.com/perdre-venise-rene-huyghe/9782917819159.html
Et si les volcans chauffaient l'Auvergne ? Dans ce nouveau numéro, Massif central a rencontré ces industriels qui veulent aller chercher la chaleur trois mille mètres sous nos pieds. Eolien, solaire, bois énergie...
Le débat autour de la restauration de "La Vierge et l’enfant avec Sainte Anne " de Léonard de Vinci a redémarré avec les déclarations d’experts français affirmant que le Louvre est allé trop loin dans le nettoyage de ce chef-d’œuvre, actuellement exposé au Louvre.
Jusqu’à présent, les tenants d’une restauration plus modérée ne s’étaient pas exprimés sur le résultat final. Mais une spécialiste de la restauration des œuvres d’art, Ségolène Bergeon Langle, a estimé dans Le Journal des Arts du vendredi 27 avril 2012 que « le principe de précaution » n’avait pas été respecté et que le « nettoyage aurait dû aller moins loin » , arguant qu’« il y a moins de modelé dans le visage de la Vierge ». Contrairement à elle, Jacques Franck, n’a pas démissionné du comité scientifique international constitué par le Louvre autour de la « Sainte Anne » , mais il regrette l’allègement des vernis « plus prononcé que prévu ».
Cette restauration a été menée par une restauratrice d’origine italienne, Cinzia Pasquali, assistée du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Vincent Pomarède, directeur du département des peintures du Louvre, assure avoir mené une restauration « prudente » et mis « le pied sur le frein » pour tempérer les ardeurs de membres anglais ou italiens de la commission. De son côté, l’association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (Aripa) estime que les micro-soulèvements de la couche picturale n’étaient pas liés à la dégradation des vernis, comme l’avançait le C2EMF, mais à des « mouvements du bois ».
http://www.decitre.fr/livres/lettres-a-son-frere-theo-9782070714483.html
Historien et théoricien de l’art d’origine allemande (1852-1968), Panofsky a fait école par sa méthode consistant à dégager les modalités créatrices de chaque période par une confrontation des formes artistiques avec leur contexte culturel. Son approche sophistiquée et raisonnée de l’iconographie a abouti, dans ses Essais d’iconologie (1934), à une théorie de la représentation en art.
Depuis longtemps, j’éprouve des difficultés - je le confesse - à maintenir le bon vouloir, l’énergie de mes élèves sur l’effort de description, lorsque j’aborde avec eux ce qu’on nomme d’un mot si simple et si suave : l’image. L’analyse de l’image. La sémiologie. (Je pense du reste ne pas être le seul.)