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L'actualité - Page 28

  • Catégories : L'actualité

    La justice finlandaise réhabilite le balcon fumeur

    7fa30fe1268b3f2dbba1a2f57e3b50e4.jpgAFP - Lundi 21 janvier, 15h39

    HELSINKI (AFP) - Les fumeurs ont remporté une victoire symbolique lundi en Finlande, où la justice a invalidé l'interdiction faite par un syndic aux habitants de fumer sur leurs balcons.

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    Deux ans après le dépôt de sa plainte, la Cour suprême a définitivement donné raison au requérant fumeur en jugeant cette interdiction "abusive", même si celle-ci avait été adoptée à l'issue d'un vote en assemblée de copropriétaires.

    "L'interdiction étendue aux balcons où les nuisances causées par la fumée aux voisins ne seraient pas excessives constitue une entrave infondée au droit de copropriété", a estimé la cour.

    Les sages de la plus haute juridiction du pays nordique ont néanmoins rappelé qu'une interdiction partielle était prévue par la loi sur le voisinage en cas de gêne immédiate et significative de la fumée de tabac pour un copropriétaire ou un locataire.

    Un Finlandais sur cinq est fumeur, un taux parmi les plus faibles d'Europe.

    Depuis le 1er juin 2007, il est totalement interdit de fumer dans les lieux publics en Finlande.

    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080121/tod-finlande-tabac-sante-insolite-7f81b96_2.html

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    Louis de Cazenave, l'un des deux derniers poilus, disparaît

    e16bed604e2b817afcae3d562c9dc677.jpgD. Ch.
    21/01/2008 | Mise à jour : 07:51

    Mobilisé en 1916, Louis de Cazenave servit dans l'infanterie coloniale avant de rejoindre, en janvier 1918, des unités d'artillerie. Crédits photo : AFP

    Décédé dimanche matin à l'âge de 110 ans, il avait participé aux batailles de la Somme et du Chemin des Dames.

    L'avant-dernier «poilu» s'est éteint dimanche au petit matin à son domicile de Brioude, en Haute-Loire. Louis de Cazenave, 110 ans, «est mort comme il le désirait, chez lui, dans son sommeil, sans souffrir», a témoigné son fils, également prénommé Louis.

    Le secrétaire d'État aux Anciens Combattants, Alain Marleix, a salué la mémoire du soldat : «Il a été de ceux, parmi les plus braves, qui ont tenu, dans les tranchées et les casemates de la Grande Guerre, la France “à mains nues” jusqu'à l'armistice du 11 novembre».

    Né le 16 octobre 1897 à Saint-Georges-d'Aurac, en Haute-Loire, Louis de Cazenave était le doyen des poilus survivants. Mobilisé en 1916, à l'âge de 18 ans, il ser­­­vit dans différents régiments d'in­fanterie coloniale  dont le 5e bataillon de tirailleurs sénégalais et rejoignit, à partir de janvier 1918, des unités d'artillerie. Il participera notamment à la bataille de la Somme, à l'offensive du Chemin des Dames et à la libération du territoire national, avant d'être dé­mobilisé en 1919. Devenu cheminot, marié et père de trois fils, il prit une retraite partielle à 41 ans.

    Lazare Ponticelli, le dernier

     

    Dimanche, le président Nicolas Sarkozy a adressé «à sa famille les condoléances attristées de la nation». En 1995, l'ancien combattant avait reçu la Légion d'honneur. Il sera enterré mardi. «Sa disparition est l'occasion pour chacun d'entre nous d'avoir une pensée particulière pour les 1,4 million de combattants français qui ont fait le sacrifice de leur vie durant ce conflit» , a ajouté le chef de l'État.

    Lazare Ponticelli, lui aussi âgé de 110 ans, est désormais le dernier survivant de la Première Guerre mondiale. Cet ancien chasseur alpin d'origine italienne, engagé à 16 ans, a déjà indiqué qu'il refusait les funérailles nationales promises en 2005 par Jacques Chirac, estimant que «ce serait un affront pour les gens qui sont morts avant moi».

    http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/21/01001-20080121ARTFIG00313-louis-de-cazenave-l-un-des-deux-derniers-poilus-disparait.php

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    Mort du chanteur Carlos

    8ee76f52576a8ebece314ef28052ed4e.jpgAFP - Jeudi 17 janvier, 17h26

    PARIS (AFP) - Le chanteur Carlos, figure de la chanson d'humour française et fils de la pédopsychiatre Françoise Dolto, est mort jeudi matin à Paris à l'âge de 64 ans des suites d'un cancer, a-t-on appris auprès de sa soeur Catherine Dolto-Tolitch.

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    "Carlos est décédé ce matin à 09h45 à l'hôpital Beaujon", à Clichy (Hauts-de-Seine), a-t-elle précisé à l'AFP.

    "Il a été très courageux", a souligné sa soeur.

    Mme Dolto-Tolitch a indiqué que les obsèques de Carlos auraient lieu "sans doute mardi", sans autre précision.

    "Carlos n'était pas seulement un ami, c'était mon grand frère. C'était un ami merveilleux, toujours gai, joyeux", a dit Sylivie Vartan à l'AFP.

    Johnny Hallyday a confié sur RTL qu'il perdait son "frère", son "confident" et son "meilleur ami". "C'était mon frère. C'est une catastrophe (...). La vie est trop con", a déclaré Johnny Hallyday d'une voix émue.

    "Carlos, on se connaît depuis qu'on a l'âge de 14 ans, on a à peu près le même âge tous les deux (64 ans, ndlr). C'est vrai qu'il était malade, il avait ce cancer du foie depuis quelques années maintenant. Mais il se soignait, je pensais vraiment qu'il allait s'en sortir", a ajouté le chanteur.

    Carlos était une figure de la chanson française, qu'il a égayée avec son style rigolo et son apparence débonnaire.

    Barbe fleurie, silhouette de bon vivant enveloppée dans des chemises à fleurs et des salopettes amples, il a enchaîné les tubes populaires et rigolos dans les années 70/80, parmi lesquels "Tout nu, tout bronzé" (1973), "Rosalie" (1978), "Papayou" (1983), "T'as l'bonjour d'Albert" (1985) ou "Le tirelipimpon" (1989).

    Né Jean-Chrysostome Dolto le 20 février 1943, de Françoise Dolto, la célèbre pédiatre et psychanalyste, et d'un père russe, Boris Dolto, il anime à l'adolescence les soirées de l'Ambiance dans le quartier de Notre-Dame où il rencontre les frères Drucker, Michel et Jean, en 1957.

    Deux ans plus tard, sa route croise au Caveau de la Montagne celle du couple Hallyday et Vartan qu'il accompagnera partout entre 1962 et 1972. Diplômé de l'école de kinésithérapie fondée par son père, il opte définitivement pour le show-biz en 1962, en remplaçant au pied levé Lucien Morisse à Europe 1.

    Au début de la décennie 70, il troque les chemises et polos stricts des années "mods" pour des liquettes bariolées d'éternel campeur.

    Infatigable chanteur, il multiplie les galas-camping --pour ses débuts, pas moins de 95 avec la caravane du tour de France en 1972-- et pendant 18 étés, de 1988 à 2005, 580 podiums pour la radio de ses débuts, Europe 1.

    Il enchaîne aussi les disques d'or: "Y a des Indiens partout" en 1970, "La cantine" en 1972 et "Senor Météo" en 1975.

    Après le succès du "Big Bisou" (composé par son ami Joe Dassin) en 1977, sa carrière de chanteur s'essouffle. Deux ans plus tard, longue parenthèse alimentaire --11 ans-- avec les tournages d'une série de spots publicitaires pour une boisson.

    Il se marie en 1978 mais il n'aura pas d'enfant.

    En 1988, la psychanalyse est en deuil: Carlos dit adieu à sa mère. Il parraine par ailleurs un parc d'attraction, Mirapolis, où il se produit pendant quatre mois.

    Sous toutes les latitudes, il se met aussi à la pêche au gros et au documentaire. A la fin des années 80, il profite de l'explosion du paysage audiovisuel français pour y imposer sur les chaines câblées Odyssée et Voyage ses films tournés à Madagascar, Tahiti ou Saint-Martin.

    "Plus de la moitié est consacrée à la pêche proprement dite, le reste à la fête et au plaisir, qu'il s'agisse de la bouffe, de la musique ou de la danse", expliquait-il à l'AFP en 1999.

    Ce gros garçon jovial et bon vivant a publié une autobiographie, "Je m'appelle Carlos" (1996), et deux recueils d'histoires drôles (1997).

    Carlos faisait partie des artistes qui avaient soutenu Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle.

    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080117/ten-musique-chanson-deces-lead-1dc2b55_4.html

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    A 89 : Bordeaux-Clermont en 4 heures

    Grâce à la mise en service du tronçon Thenon-Terrasson de l’autoroute A89, les villes de Clermont-Ferrand et de Bordeaux ne sont plus qu’à 4 heures l’une de l’autre.

    Il est désormais possible de relier Clermont Ferrand à Bordeaux en 4 heures par l’autoroute A89. La section Thenon/Terrasson, entre la Dordogne et la Corrèze, a été mise en service mercredi.

    5c237a778208a8dc28994b1e776b2114.jpgLong de 18 km, le tronçon achève l'autoroute A89 Bordeaux/Clermont-Ferrand (324 km) et relie les régions Aquitaine et Limousin. Cette nouvelle section a pour objectif de diminuer les bouchons estivaux. Environ 10.000 véhicules par jour, dont 24 % de poids lourds sont attendus sur cette portion d’autoroute d’ici 2010.

    A noter que le chantier a duré trois ans et a rassemblé jusqu'à 400 personnes simultanément.

    http://www.batiactu.com/data/16012008/16012008-173728.html

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    Apple lance son ordinateur ultrafin Macbook Air

    Marc Cherki
    16/01/2008 | Mise à jour : 08:36 |

    Steve Jobs a présenté le MacBook Air, un portable dont l'épaisseur ne dépasse pas 2 centimètres pour un poids de 1,36 kg. Crédits photo : AP

    La firme à la pomme se lance également dans la location de films en ligne.

    « IL Y A décidément quelque chose dans l'air aujourd'hui », a commencé Steve Jobs en présentant hier sa stratégie pour 2008, à San Francisco. Habillé comme à son habitude d'un polo noir et d'un jean, il a dévoilé le MacBook Air, une nouvelle gamme d'ordinateurs portables qui va compléter sa gamme professionnelle et grand public. « Nous allons lancer le plus mince ordinateur au monde dans deux semaines », a lâché Steve Jobs. Il s'agit d'un MacBook portable dont l'épaisseur ne dépasse pas 2 centimètres pour un poids de 1,36 kg. Cette machine tient dans une grande enveloppe.

    Elle sera commercialisée aux États-Unis, à 1 799 dollars, et en France à 1 699 euros. Des performances rendues possibles par un disque dur minuscule. Apple a été aidé par la miniaturisation du microprocesseur, une puce Core 2 Duo, qu'a livrée en personne Paul Otellini, le président d'Intel, à Steve Jobs, hier au Moscone Center. L'autonomie de ce micro-ordinateur, sans recharge, est de cinq heures. La grande innovation de cette machine est d'avoir un pavé tactile multipoint, en guise de souris, comme l'iPhone.

    Dans l'informatique, Apple revient en force. Son taux de croissance (+ 30 %) l'an dernier est le double de celui du secteur. De ce fait, la firme de Cupertino s'est hissée au troisième rang aux États-Unis l'an dernier, avec 8 % des ventes, derrière HP et Dell. En Europe, sa part de marché est aux alentours de 4 %.

    4 milliards de morceaux

     

    Mais Steve Jobs a consacré l'essentiel de son temps à présenter son nouveau service de location de vidéo en ligne. Il a présenté iTunes Movie Rentals , ce site « sera lancé cette année à l'international » . Tous les grands studios de Hollywood ont accepté de participer à ce nouveau service : Fox, MGM, Warner, Walt Disney, Sony Pictures et Universal. Un film de catalogue sera loué trois dollars et une production récente quatre dollars. Et les films au format en haute définition coûteront un dollar de plus.

    Steve Jobs ajoute du contenu pour tenter de vendre davantage d'iPod vidéo. Le site de vente de commerce en ligne, iTunes Store, a vendu, en cumul 4 milliards de morceaux, dont « un record de 20 millions de morceaux à Noël », dans une discothèque de 6 millions de morceaux.

    Les films pourront être regardés sur un PC, les iPod de dernières générations ainsi que sur l'iPhone. Car une vidéo louée pour 24 heures peut être transférée d'un Mac ou d'un PC vers n'importe lequel des récents iPod adaptés à la vidéo, et l'iPhone.

    D'autre part, Steve Jobs est revenu sur le succès de l'iPhone. En « 200 jours, l'iPhone a été lancé. Nous en avons vendu 4 millions, soit 20 000 par jour » , a ajouté Steve Jobs qui n'a pas présenté la version 3G. Toutes ces activités font d'Apple un groupe plus productif que Microsoft. Malgré la forte expansion de ses effectifs pour ses deux cents boutiques AppleStore, qui emploient environ 8 000 employés, la firme à la pomme compte 21 600 salariés dans le monde. De son côté, Microsoft emploie 79 000 personnes. Et un salarié d'Apple génère près de deux fois plus de chiffre d'affaires (1,1 million de dollars par an) qu'un employé de Microsoft (0,64 million).

    La vidéo du Keynote (en anglais)

    Une retranscription en français

    http://www.lefigaro.fr/societes-francaises/2008/01/16/04010-20080116ARTFIG00270-apple-lance-son-pc-ultrafin-macbook-air.phpda7cf51c4fc1011d74646966d4546c7c.jpg

     

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    L'héritage qui embarrasse

    Jean-Marc Philibert, envoyé spécial à Pellevoisin
    16/01/2008 | Mise à jour : 08:22

    70d8beccc5beeac0567ae81956558892.jpgLe maire de Pellevoisin devant la maison d'Hélène Louart. Parmi les conditions au legs de sa fortune à la commune, la centenaire avait requis la construction de logements sociaux.

    Dans son testament, une vieille dame a laissé plus d'un million d'euros à la petite commune de Pellevoisin. Mais en posant ses conditions.

    Le petit village berrichon, en plein cœur des collines du pays Boischaut, n'avait encore jamais vu cela. Claude Roux, le maire de Pellevoisin, dans l'Indre, est d'ail­leurs bien embarrassé par toute cette histoire.

    Depuis le mois de novembre et l'ouverture du testament d'Hé­lène Louart, morte en juin dernier à l'âge de 100 ans, voilà sa commune désignée légataire universelle de la vieille dame et virtuellement à la tête d'une for­tune d'au moins 1,15 million d'euros.

    «Cela représente l'équivalent de notre budget annuel de fonctionnement», confirme l'élu.Un véritable pactole pour les885 habitants de ce petit coin du Berry.

    Oui, mais voilà : les Pellevoisinois ne toucheront le jackpot qu'à plusieurs conditions. «L'argent doit servir à construire des logements sociaux, souffle M. le maire. Le problème, c'est que Pellevoisin en a déjà plus d'une cinquantaine sur son territoire. Nous n'en avons pas vraiment besoin. Mais enfin, s'il faut en passer par là… »

    Et ce n'est pas tout. Caprice ou malice, la vieille dame qui au passage avait déshérité la seule famille qui lui restait, une nièce a imposé d'autres conditions à sa commune. Et certaines laissent pantois. Ainsi, si sa tombe «devra être entretenue et fleurie», comme le rappelle son testament déposé chez le notaire du village, Me Sylvie Pouchol, une plaque commémorative portant son nom, ainsi que celui de son compagnon, devra également être apposée à la mairie. Les deux tableaux qui trônaient dans son salon devront, eux, être «installés dans le bureau du maire». Sans parler du fait qu'une rue du village devra être baptisée de son nom et que sa maison devra être cédée «à des Parisiens»… «  Elle voulait que sa maison soit vendue uniquement à des gens résidant dans la capitale, excluant même les banlieusards, explique Claude Roux. Pourquoi ? C'est un mystère.» À Pellevoisin, les rumeurs vont bon train.

    «Elle savait ce qu'elle voulait»

     

    Accoudé au comptoir de Chez Babette, l'unique café-restaurant du village, Joseph semble résumer l'opinion des Pellevoisinois, des gens un peu rugueux, à l'accent roulant et au tempérament de taiseux. «Si elle avait mis un peu moins la godille, cela aurait été mieux», lâche l'artisan à la retraite, casquette vissée sur la tête au-dessus d'une fine moustache blanche qui lui barre le visage.

    «Il veut dire qu'on aurait préféré qu'elle fasse preuve de moins d'astuce, intervient Babette, la patronne, un petit bout de femme énergique, débarquée de Châteauroux il y a vingt-cinq ans. Quand on a appris l'histoire, on s'est dit : Chouette, on va pouvoir avoir un nouveau camion de pompiers. On n'a pas été déçus…»

    Le camion de pompiers devra pourtant attendre. Comme la réfection des trottoirs du petit village construit en pente ou le ravalement de la salle des fêtes municipale, située juste en face de la mairie. Visiblement, Hélène Louart n'avait pas les mêmes priorités que les élus de la commune. «C'était une vieille dame sympa, assez fluette, qui rentrait tranquillement chez elle. Une chose est sûre : elle savait ce qu'elle voulait, commente Denis, le jardinier, voisin de la centenaire avant qu'elle ne parte finir ses jours à la maison de retraite d'Écueillé, à une quinzaine de kilomètres de Pellevoisin. Pour le reste, elle ne montrait pas la fortune qu'elle avait.»

    Outre sa maison de la rue de la République, plutôt modeste, la vieille dame disposait surtout de deux comptes bancaires bien garnis, dont un en Suisse pour lequel un inventaire définitif reste à faire. À Paris, le notaire a aussi fait procéder à l'ouverture d'un coffre dont la vieille dame était titulaire. À l'intérieur : des bijoux mais aussi des napoléons et, plus surprenant, des pièces d'or américaines, anglaises, australiennes et même mexicaines… Une fortune nimbée de mystère que personne, à Pellevoisin, n'est capable d'expliquer.

    «On sait seulement que cette dame, qui était née au village au début du siècle dernier, était partie très jeune avant de revenir il y a vingt-cinq ans», explique le maire. Entre-temps, employée de commerce à Paris, elle avait rencontré un tailleur italien du quartier de la Madeleine. Est-il à l'origine de son trésor ? Hélène Louart a choisi de ne pas répondre à cette question. Ni à toutes les autres, d'ailleurs…

    http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/16/01001-20080116ARTFIG00293-l-heritage-qui-embarrassetout-un-village-du-berry-.php

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    Les voeux des Equipières

    Chose promise... chose due ! A partir d'une image de Pixel bleu et en prenant toutes vos participations (25 photos en tout), voici notre carte de voeux pour 2008 :f3207ba6e66e24b598e835d387f7d60b.jpgPour que vous compreniez mieux le principe, voici un petit détail du montage :



    Merci à : Irène, Enriqueta, Captaine Lili, Cassandrali, Cindy, Pixel Bleu, ABC, Azalaïs, Le chemin du bonheur, Petite chouette... et à tous les lecteurs de ce blog et de la gazette des blogs !

    C'est la vie qui foisonne
    Sous nos yeux réjouis
    Pour réchauffer nos coeurs
    Pour combler nos esprits
    Pour alléger nos âmes
    Pour saluer nos écrits
    Un kaléidoscope pour dire à qui nous lit
    Que l'année 2008 soit la plus belle de toutes!
    Que la nouvelle année vous apporte la joie, le repos, la santé
    Que la nouvelle année vous offre l'amitié, l'amour à qui le souhaite
    Et pour tous les stessés, une pause , un répis, le temps d'en profiter...

    2008 douceurs pour les coeurs des blogueurs et les leurs !

    http://lequipedechoc.over-blog.com/article-15058153-6.html#anchorComment

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    Le casse-tête du processus électoral américain

    Valérie Samson
    01/01/2008 | Mise à jour : 20:16 |

    Crédits photo : AFP

    C'est parti. Demain, commence en Iowa la course des primaires, première étape d'un processus électoral qui s'étale sur près d'un an.

    Le 3 janvier, les États-Unis entreront de plain-pied dans un complexe processus électoral de près d'un an, au terme duquel le 44e président américain prendra ses fonctions. Ce système peut paraître par bien des aspects archaïque, exotique, voire tout à fait déroutant. Surtout lorsque cette machine électorale se grippe, comme ce fut le cas en 2000.

    Demain débute la saison des primaires, qui ne prendra fin que dans six mois. Le 3 juin 2008 (ou au plus tard à la fin de l'été), il ne devra en rester qu'un, qui défendra les couleurs de chacun des deux grands partis, démocrate et républicain, pour la Maison-Blanche. En réalité, pour les 15 candidats en lice, la campagne a déjà débuté depuis au moins une année, au cours de laquelle ils ont mis sur pied des comités exploratoires pour juger de l'opportunité d'une candidature, se sont finalement lancés, ont commencé à rechercher des soutiens dans les premiers États à voter et ont collecté des fonds. Alors que le mandat présidentiel n'est que de quatre ans, la durée d'une campagne est en réalité de deux ans.

    Lors des primaires, les Américains votent pour élire non pas un candidat, mais le plus souvent une liste de délégués, qui, dans leur majorité, se sont engagés à voter lors de la convention nationale du parti pour un candidat donné. Il s'agit donc en théorie d'un scrutin indirect. En réalité, le nom du vainqueur est généralement connu bien avant la fin des primaires, dès que l'un d'eux remporte une majorité de délégués.

    Cette année, en raison du nombre important d'États qui voteront le mardi 5 février, le résultat pourrait être acquis ce jour-là, le «Super Tuesday». Dans les faits, le mode de sélection des délégués varie d'un État à l'autre. Dans les uns, seules les personnes affiliées à un parti votent. Dans d'autres, comme dans le New Hampshire, cette restriction ne vaut pas. Un certain nombre d'États, comme l'Iowa, ont opté pour les caucus, réunions théoriquement réservées aux militants du parti, même si l'on peut s'enregistrer au moment du vote. Dans des bibliothèques municipales, des salles ou des gymnases, les participants débattent et négocient avant de rallier un groupe soutenant un candidat. Contrairement aux primaires, le vote n'est pas à bulletin secret. Des candidats indépendants, généralement peu représentatifs, peuvent se présenter sans passer par les primaires. Mais ils ont rarement les moyens de figurer sur les bulletins dans les cinquante États.

    Dans les deux grands partis, le candidat désigné choisit un vice-président, qui peut être un de ses anciens adversaires. L'heure n'est plus aux divisions mais au rassemblement. À la fin de l'été, les délégués de tous les États élus lors des primaires se retrouvent à la convention nationale de leur parti, où ils vont confirmer lors d'un vote le choix des électeurs. Depuis les années 1970, les conventions, qui durent trois ou quatre jours, avec leurs temps forts soigneusement orchestrés, sont devenues de véritables shows télévisés et constituent une tribune de choix pour le candidat, qui livre un discours détaillant son programme. Des milliers de journalistes vont relayer cet événement dans tout le pays et dans le reste du monde. La convention est aussi une foire aux donateurs et aux lobbies, qui sponsorisent des événements en l'honneur des caciques du parti (concerts, tournois de golf et de pêche, excursions et croisières) dont ils attendent un retour sur investissement…

    Deux mois plus tard, le 4 novembre, les Américains font face au véritable enjeu avec l'élection générale. Ils choisissent leur président. Ou plutôt une liste de grands électeurs qui ont indiqué leur intention de vote pour un candidat. Techniquement, il s'agit d'un scrutin au suffrage universel indirect majoritaire État par État. Comme pour les délégués élus lors des primaires, le nombre de grands électeurs varie en fonction du poids démographique de chaque État (il représente la somme de leurs représentants et sénateurs au Congrès de Washington). La différence est que le candidat qui obtient la majorité dans un État rafle la totalité des grands électeurs (*): c'est le système dit du «winner takes all» («le vainqueur rafle tout»).

    Sauf contestation, le nom du président élu est en principe connu au soir du 4 novembre, dès lors qu'il a rassemblé 270 grands électeurs sur 538 (la moitié plus un). Ce qui n'empêchera pas le collège des grands électeurs de se réunir un mois plus tard pour confirmer officiellement le vote populaire. Une simple formalité, même si l'histoire a montré que des grands électeurs ont déjà retourné leur veste. Si ces exceptions relèvent du cas d'école, on a déjà vu des présidents élus par le collège électoral sans avoir la majorité du vote populaire (voir encadré). Si toutefois aucun candidat n'atteint les 270 grands électeurs, la Constitution donne au Congrès le pouvoir de trancher. Cela s'est déjà produit. Comme il revient alors à la Chambre des représentants d'élire le président et au Sénat de choisir le vice-président, les deux hommes pourraient ne pas appartenir au même parti… Une situation de cohabitation à la française inédite aux États-Unis…

         

    e51bfdc68b8f00c61c48ac3ed561814e.jpghttp://www.lefigaro.fr/international/2008/01/02/01003-20080102ARTFIG00003-le-casse-tete-du-processus-electoral-americain-.php

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    547 romans pour le début 2008 !

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    Ce second moment fort de la vie littéraire -après le rendez-vous de septembre- se révèle désormais plein d'excellentes surprises, qui  s'exemptent de la course aux prix.


    Après le joli succès de "J'étais derrière toi", la nouvelle oeuvre de Nicolas Fargues, " Beau rôle" (chez POL), paraît ce jeudi 3 janvier. Malgré l'alléchante quatrième de couverture ("Jeune premier plus si jeune ayant connu succès public au cinéma cherche rôle aux côtés jeune actrice célèbre. Présente signe particulier mais demande à être jugé sur place. Metteurs en scène franco-français s'abstenir"), ce roman enjôleur ne tient pas toutes ses promesses.

    Le ton est séduisant, comme le héros, un métis de 35 ans qui s'interroge sur son identité (noir chez les blancs, blanc chez les noirs), son avenir (un premier rôle flatteur au cinéma lui assurera-t-il une carrière ?) et son existence (celle d'un trentenaire qui commence à mesurer le temps qui passe). Mais la construction fait défaut, ainsi que l'élan ravageur qui expliquèrent le succès de "J'étais derrière toi"). 

    Des fictions prometteuses aussi chez Stock, notamment le fulgurant dernier roman de Daniel Arsand, "Des amants". Une histoire d'amour, sous Louis XV, entre un noble (Balthazar de Cléon) et un fils de paysan (Sébastien Faure). Le roi fera payer très cher au plus titré des deux Laurence Tardieu © Francesca Mantovanison refus des hypocrisies et de la servilité versaillaises.

    Toujours chez Stock, le nouveau livre de Laurence Tardieu, "Rêve d'amour". L'auteur de "Puisque rien ne dure" s'attache à rendre une figure de mère trop tôt disparue pour sa fille.

    Chez Grasset, Patrick Rambaud laisse tomber Napoléon pour une "Chronique du règne de Nicolas 1er", Yann Moix revient sur "Mort et vie d'Edith Stein" (née en Allemagne en 1891, philosophe, juive convertie au catholicisme, elle fut déportée à Auschwitz et assassinée en août 1942.  Jean-Paul II la béatifia en 1987). Sorj Chalandon publie "Mon traître", autour de la question irlandaise qu'il couvrit si longtemps pour "Libération".

    Chez Actes Sud (maison qu'il a fondée et désormais confiée à sa fille), l'éditeur Hubert Nyssen signe "Les déchirements", enquête du héros sur son frère aîné disparu dans un accident de voiture.

    Enfin, Jean-Christophe Ruffin livrera en février chez Gallimard un récit autobiographique où il retrace son trajet, de la médecine au combat humanitaire et de l'humanitaire à la littérature.

    Du côté des étrangers
    Toujours selon Livres-Hebdo, 189 romans étrangers seront publiés début 2008, dont 101 Anglo-Saxons. Mais le plus imposant, "Le seigneur de Bombay", roman-fleuve de plus d'un millier de pages sur les bas-fonds de la mégalopole indienne (20 millions d'habitants), nous vient de l'Indien Vikram Chandra. Si la littérature indienne fut l'invitée du Salon du Livre l'an dernier, ce sera au tour de la littérature israélienne d'être à l'honneur à Paris, du 14 au 19 mars, avec quarante écrivains israéliens, dont Amos Oz, David Grossman et Aharon Appelfeld.

    Anne BRIGAUDEAU
    Publié le 02/01 à 14:14
    http://cultureetloisirs.france2.fr/livres/actu/37515214-fr.php
  • Catégories : L'actualité

    Voeux de NJART

    Tous mes voeux poétiques en ce début d'année,
    que le thème du Printemps des Poètes 2008, "Eloge de l'autre" apporte paix et humanisme dans le Monde.

     

    Le 3ème SALON DE LA POESIE NJART ®
    se déroule à PEILLON

    les 8 et 9 mars 2008

    Dans le cadre du 10ème Printemps des Poètes

    Les inscriptions sont ouvertes
    Le programme et le bulletin d'inscription sont
    disponibles sur le site internet

    SALON de la POESIE
    http://salonpoesie.free.fr/

    Le salon de la poésie organisé par NJART et son équipe ouvre ses portes cette année dans le cadre idyllique de la commune de Peillon.
    Vous serez accueillis dès 9 heures dans les spacieux locaux de la salle des fêtes.
    Afin de garder l'esprit convivial des SALONS NJART, le nombre de poètes exposants est limité à 12.
    Les premiers inscrits dont le dossier sera complet seront retenus. Clôture des inscriptions 15 février 2008.
    N'hésitez pas à me contacter pour tout complément d'information, je me ferai un plaisir de vous répondre.

    Poétiquement vôtre

    Nelly Johnson

    NJART
    http://www.njart.fr

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  • Catégories : L'actualité

    Promenades en raquettes sur la Tour Eiffel pour les fêtes

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    Les visiteurs de la Tour Eiffel pourront faire un parcours en raquettes au 1er étage sur de la neige artificielle, à l'occasion de l'exposition "Rendez-vous aux pôles" qui se tiendra du 19 décembre au 31 janvier, a annoncé mardi la société d'exploitation de la Tour Eiffel.

    Source: Yahoo actualités