Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Lu dans la presse:Le Louvre a lancé un appel aux dons individuels
13/11/2010 | Mise à jour : 12:36
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Artiste L’art est une fête. Foraine parfois. Bienvenue à « Dismaland », le « parc d’attractions lugubre » ouvert à la fin du mois d’août par Banksy, le plus secret des artistes internationaux dont nous publions ce mois-ci le portrait forcément « robot ». Dans ce « Bemusement Park »… Pardon, dans ce « parc de la perplexité », on s’amuse, on pleure, on rit au milieu d’agents coiffés d’oreilles de Mickey qui peinent à dissimuler leur état dépressif : « Liberté d’expression, liberté d’expression dans l’ennui », déclame tristement l’un d’eux au journaliste du Journal des Arts. Pour le street artist britannique, il s’agit de faire un état des lieux du monde ; détourner les traditionnelles attractions foraines (pêche aux canards, tir à la carabine, manège) afin de dénoncer les catastrophes écologiques et humanitaires qui font la une des journaux, y compris celle, actuelle, des migrants. Ce n’est pas la première fois qu’un ...
Mars 2016
L’Œil du cyclone Ai Weiwei, encore lui ! À peine le plasticien a-t-il récupéré son passeport confisqué en 2011 par les autorités chinoises que cet artiste mégalomane, né à Pékin en 1957, fait de nouveau parler de lui. Publiée en février, la photographie en noir et blanc le montrant gisant sur une plage de l’île de Lesbos, en Grèce, suscite une vague d’indignation. Ai Weiwei y reprend la position du petit Alan Kurdi, cet enfant syrien mort noyé en septembre 2015, et dont l’image a ému le monde entier jusqu’à devenir le symbole du drame des réfugiés en Méditerranée. Michel Onfray en avait déjà fait les frais, qui rappelait pourtant une vérité simple : une photographie n’est pas la réalité, mais une intention légendée qui est, à ce titre, manipulable et manipulatrice. Mais toute vérité n’est pas bonne à dire… À Ai Weiwei, on reproche, comme à Onfray, de manquer d’empathie et de récupérer un drame humain pour ...
N° 520 - février 2016 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041
Le documentaire raconte l'histoires de baisers emblématiques, transgressifs, romantiques, inattendus, mythiques présents dans l'art au fil des siècles.
Valérie Duponchelle et Béatrice de Rochebouët
22/10/2009 | Mise à jour : 10:16
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Danemark. 16ème siècle.
Hendrik Goltzius est un célèbre peintre et graveur d’œuvres érotiques. Il aimerait ouvrir une imprimerie pour éditer des livres illustrés.
Il sollicite alors le Margrave (Marquis) d’Alsace et lui promet un livre extraordinaire avec des images et des histoires de l’Ancien Testament regroupant les contes érotiques de Loth et ses filles, David et Bethsabée, Samson et Dalila, Saint Jean-Baptiste et Salomé.
Pour le séduire davantage, il lui offre alors de mettre en scène ces histoires érotiques pour sa cour.
Éric Biétry-Rivierre
18/02/2010 | Mise à jour : 18:39
Février 2016
Du beau, du bon Ceux qui regrettent que la culture ne soit jamais conviée lors des grands rendez-vous électoraux en auront été pour leurs frais. Celle-ci s’est invitée dans les débats des élections régionales. De manière inédite, elle a même constitué dans certaines régions un enjeu électoral. Tant mieux. Sauf que la culture n’est pas arrivée exactement là où les milieux culturels l’attendaient : au Front national. À moins de quinze jours des élections, Marine Le Pen s’est en effet adressée aux artistes dans une lettre ouverte pour leur signifier combien « [ils comptaient] à [ses] yeux pour la région, l’animation de sa vie culturelle et l’effervescence créative qu’elle doit impulser ». Pour la candidate à la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, « aucune forme d’art ne doit […] être négligée. Chaque artiste doit être respecté et la création […] accompagnée autant que cela est possible », allant même jusqu’à ...
Tous les pays sont touchés par les vols de tableaux et de statues, ce qui rend le travail de la police de plus en plus compliqué. Des spécialistes étaient réunis vendredi à Paris.
Article internet reproduisant partiellement celui que j'ai lu sur papier
De notre envoyée spéciale
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Bleu blanc rouge L’Œil « pavoise » et met à sa « fenêtre » La Rue Saint-Denis, fête du 30 juin 1878 de Claude Monet, avec ses drapeaux brandis pour fêter la paix et le travail. Par le choix de ce tableau, nous nous associons aux hommages rendus par la Nation aux victimes des attentats, « tombés », comme on dit des soldats, puisque nous sommes en « guerre », pour avoir « défendu » leur culture, celle des verres en terrasse et des concerts. Ces attentats ont eu lieu dans une salle de concert, comme ils auraient pu se passer dans un théâtre, un cinéma ou dans un musée, institution devenue le gardien de l’histoire des cultures que ces barbares décervelés abhorrent. Doit-on rappeler ici la tuerie perpétrée en mars 2015 au Musée du Bardo (Tunisie), revendiquée par la même organisation criminelle que celle qui a commandité du 13 novembre à Paris ? C’est pourquoi les responsables des musées nationaux ont été convoqués par la ministre de la ...