Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Happy end pour la tapisserie de Bayeux
Happy end pour la tapisserie de Bayeux
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Happy end pour la tapisserie de Bayeux
Eh oui, les artistes aussi partent en vacances : quête artistique, recherche d’un ailleurs, traditionnel voyage en Italie, fascination pour l’Orient… Le lien entre les artistes et le voyage est très fort et commun à toute époque. Glissez-vous une fleur de tiaré dans les cheveux et préparez monoï et bikini car cette nouvelle escale vous emmène au cœur de l’Océanie. L’artiste le mieux placé pour raconter cet éden lointain, c'est bien sûr Paul Gauguin.
Le repas ou Les bananes par Paul Gauguin © RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski
- See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/article/carnet-de-voyage-quatrieme-escale-la-polynesie#sthash.3BwEhQGf.dpuf
Eh oui, les artistes aussi partent en vacances : quête artistique, recherche d’un ailleurs, traditionnel voyage en Italie, fascination pour l’Orient… Le lien entre les artistes et le voyage est très fort et commun à toute époque. Nouvelle semaine, nouvelles destinations ! Cap sur l’Orient, avec cette escale, le Grand Palais vous ouvre les portes des mille et une nuits. Terres de mystère, les pays orientaux sont depuis très longtemps une source d’inspiration majeure pour les artistes.
Intérieur de harem par Jean Joseph Benjamin Constant © RMN-Grand Palais / Philipp BernardDepuis ses tout premiers échanges avec l'Occident, l'Orient est aux yeux des artistes un territoire de fascination. Nombreux sont les peintres qui ont porté leur regard au-delà de l’Europe pour capturer l’âme de cet Orient lointain. Les œuvres qui donnent à voir cet ailleurs exotique sont réunies sous la bannière de l’Orientalisme. On ne parle pas de « mouvement » car il ne caractérise pas une manière de peindre mais plutôt des thèmes qui rassemblent des artistes aux œuvres et aux personnalités très différentes. Chacun à leur manière, ils ont tenté d’exprimer le parfum, les paysages, la chaleur et le mystère qui émanent de ces pays envoutants.
- See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/article/carnet-de-voyage-troisieme-escale-lorient#sthash.evIXFtqs.dpuf
Eh oui, les artistes aussi partent en vacances : quête artistique, recherche d’un ailleurs, traditionnel voyage en Italie, fascination pour l’Orient… Le lien entre les artistes et le voyage est très fort et commun à toute époque. Le Carnet de Voyage du Grand Palais touche à sa fin, pour terminer en beauté, cap sur l’Amérique ! Terre de liberté et de nouveauté l’Amérique est un continent qui a accueilli et inspiré de nombreux artistes.
Le bosquet par Gari Julius Melchers © RMN-Grand Palais (Château de Blérancourt) / Gérard Blot
- See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/article/carnet-de-voyage-cinquieme-escale-lamerique-22-0#sthash.YRxjo54e.dpuf
BORDEAUX [30.07.14] - Le groupe Villemain, spécialiste dans la restauration des monuments historiques, a licencié 48 de ses employés. Son bilan négatif est causé par un différend judiciaire avec Bouygues, concernant la restauration de l’hôpital Laënnec à Paris. L’Etat, appelé à l’aide par le groupe Villemain, n’a rien fait. PAR Chiara Longo
Donna Tartt - BEOWULF SHEEHAN/PLON
Donna Tartt était d'autant plus réticente à céder les droits de son dernier best-seller que Warner Bros avait acquis ceux du Maître des Illusions il y a 22 ans, sans jamais voir le jour à l'écran.
L'art contemporain au nom des pères
Le 2 Août, la maison Monte Carlo Fine Arts organisera une vente consacrée à l’Art Russe ainsi qu’aux bijoux et montres. Du coté des bijoux, nous retiendrons un collier datant du milieu du 19ème siècle en or et argent serti de rubis et diamants, estimé entre 300 000 et 350 000 € (Lot 128). Du coté de l’Art Russe, vous retrouverez notamment une huile sur toile d’Alexander Kiselev estimée entre 80 000 et 120 000 € (Lot 239, photo ci-contre). Le 3 Août, la maison Cote Basque Enchères dispersera à St Jean de Luz la collection d’un grand amateur d’art basque. Vous pourrez acquérir des œuvres de l’artiste basque espagnol Ramiro Arrue dont une huile sur toile représentant des pêcheurs au port et estimée entre 120 000 et 150 000 € (Lot 68).
Habituellement, quand on parle de maniéristes flamands, on pense aux peintres dits « romanistes », à Frans Floris, bref aux principaux représentants de l'italianisme en Flandre. Votre vision semble être beaucoup plus large...
Sandrine Vézilier-Dussart : Oui, jusqu'à présent, on avait surtout eu des expositions consacrées à des cercles ou à des courants ponctuels, comme les « maniéristes anversois », pour reprendre le terme consacré par l'historien d'art Max Friedländer, ou les romanistes. Il m'a semblé plus intéressant et audacieux d'essayer de saisir le maniérisme comme phénomène plus global, traversant la peinture flamande sur presque tout le XVIe siècle.
Quelles sont les caractéristiques de ce maniérisme « à la flamande »?
La Flandre jouissait d'une tradition picturale très forte, celle des Primitifs. Contrairement à ce qui se passe en Italie, où le maniérisme rompt avec les règles de la Renaissance classique, en Flandre il n'y a pas rupture mais continuité entre les Primitifs et les peintres du XVIe siècle. Les rapports avec l'Italie ont une importance certaine, mais il ne s'agit pas d'influence pure et dure. Les Flamands prélèvent dans l'art italien des éléments qu'ils assimilent, qu'ils incorporent à leur propre tradition. Même chez les plus italianisants, comme Jan Gossaert, Jan Van Hemessen, Frans Floris, la veine flamande éclate, par exemple, dans la robustesse et la rondeur des corps, mais aussi par la couleur et par ce mélange si typiquement flamand de réalisme méticuleux et d'irréalité, voire de fantastique. Du reste, les sources ne sont pas seulement italiennes, il y a aussi des interférences avec l'École de Leyde, avec la sphère germanique, ou même avec Fontainebleau. On retrouve en Flandre l'artificialité, les poses antinaturelles, contrariées, les attitudes exagérément contorsionnées, qu'il s'agisse des maniéristes anversois, qui affectionnent l'étirement des cous, l'élongation des silhouettes, les postures précieuses, ou des romanistes, amateurs de fortes corpulences, de puissantes musculatures.
Bibliographie de Michael Fried.
Michael Fried, historien d'art, s'interroge sur l'émergence de la modernité et sur l'évolution du "modernisme" tel que défini par Clement Greenberg, dont il a été proche. C'est aussi un ami de Stanley Cavell.
A l'âge de 28 ans, il écrit un texte qui a fait date, Art et objectité. Dans cet article largement commenté, attaqué et discuté, il soutient qu'une sensibilité théatrale apparue dans les années 1960 menace la possibilité même de l'oeuvre d'art. A partir du moment où le spectateur et l'oeuvre partagent le même espace, leur rapport change de nature. La volonté d'emporter la conviction par un travail sur le support, la substance, la couleur ou la forme, encore dominant dans la peinture moderniste, est remplacée par une relation de type anthropomorphique, où l'objet occupe la place d'une autre personne avec laquelle le spectateur entre en relation (objectité).
Avec des nuances et beaucoup de prudence, Michael Fried n'a jamais renoncé à cette analyse. Selon lui l'art suppose un certain éloignement, une mise à distance du spectateur, du genre de celle que Diderot a décrite au 18ème siècle. Les peintres qu'il admire comme Morris Louis ou Kenneth Noland prolongent cette tradition, tandis que les minimalistes comme Donald Judd ou Tony Smith lui apparaissent comme des fossoyeurs de l'art.
Cette tension trouve sa source en France, dans la mutation qui conduit à la peinture moderne. Vers 1750, avec Chardin puis d'autres peintres comme Greuze, émerge un nouveau concept de tableau : celui où les personnages, absorbés dans leur activité, s'isolent du regard du spectateur. Michael Fried appelle cet état absorbement. Il est théorisé par Diderot, qui valorise le silence, la solitude, l'oubli de soi, la méditation.
La réaction contre cet absorbement ou anti-théatralité prendra des formes diverses. Au 18ème siècle, on recherche l'expression vraie et dramatique. Au 19ème siècle, Gustave Courbet trouvera une solution originale. Dans ses autoportraits, la peinture semble entrer en congruence avec son corps, dans un auto-absorbement qui conduit à la fusion entre le peintre, le modèle et le spectateur - comme si l'effort mental et physique de peindre était l'essentiel de ce qu'il qualifie de réalisme.
Manet et certains peintres de sa génération trouveront une autre solution. En s'adressant directement au spectateur, en bâtissant le tableau autour de sa présence, Manet privilégie une instantanéité de perception qui menace l'unité et l'intelligibilité du tableau. Si ses oeuvres font scandale, c'est parce qu'elles laissent apparaître des traces ou des restes difficilement compréhensibles dans la logique académique. Il y a en elles une tension fondamentale, une discordance, une disparité interne qui reste sensible au spectateur d'aujourd'hui.
Depuis 2011, artistes et galeristes du Moyen-Orient pallient les carences des pouvoirs publics pour diffuser un art qui veut transcender les frontières.
|
![]() |
Chacun le sait, la Belgique est un pays de collectionneurs. Parmi les premiers d’entre eux, les Urvater qui réunirent
l’une des plus importantes collections d’art moderne de l’après-guerre, principalement orientée vers le surréalisme
et l’abstraction. Pour abriter leurs trésors, ils firent construire par l’architecte André Jacqmain, à la fin des années 1950,
une maison-musée qui fut considérée comme l’une des 100 plus belles maisons du monde.
http://urvater.eu/new/
Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:
http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html