Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'art - Page 79
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Richard Geoffroy, bulle d’art
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Agnes Thurnauer
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Un livre de Nathalie Heinich
Le premier plan du Citizen Kane d’Orson Welles s’ouvre sur un préambule en forme de signe paradoxal (à la fois menace et curiosité de l’interdit) : « No Trepassing » (défense d’entrer) qui va enserrer toute la problématique de l’œuvre : où se trouve la vérité dans l’espace de la vie et du palace de Kane ?
Nathalie Heinich, dans son livre L’Élite artiste, à la manière de Welles, met en garde les visiteurs égarés en sanctuarisant d’emblée le terrain de la sociologie et précisant ce qu’elle n’est pas : « [...] Ce livre a trait à l’art (peinture et sculpture, littérature, musique), mais on n’y trouvera rien sur la création artistique et les œuvres : seul nous intéressera le statut des créateurs. Il s’agit d’une question sociologique à part entière qui n’a pas à être subordonnée, ni même articulée, à des problématiques esthétiques » (p. 11). Et elle définit ce que le livre sera : « Par "statut" des créateurs, il faut entendre non seulement leur situation réelle, mais aussi leur rôle imaginaire et leur place symbolique » (p. 11). Nathalie Heinich élabore son approche sociologique « à partir de » l’art. La sociologie de l’art qu’elle avance est à prendre donc dans son sens ablatif et non pas dans son sens génitif (l’art comme objet de la sociologie). Elle clarifie cette pensée : « [...] ce ne sont pas les théories du statut d’artiste ou de la création qui retiendront principalement notre attention, dans la tradition de l’histoire des idées, mais l’expérience ordinaire et les valeurs de sens commun. C’est pourquoi seront mis avant tout à contribution les fictions (romans, nouvelles, pièces de théâtre) et les témoignages d’époque (Mémoires, journaux, correspondances, pamphlets), complétés par les données scientifiques existantes (statistiques, études morphologiques, histoire des institutions). » (p. 12) -
J'ai aimé jeudi à Lyon
Elmgreen & Dragset
Biographie
Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne). -
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Dictionnaire de la peinture par les peintres
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Carole Benzaken
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Le Radeau de la Méduse
Le musée a récemment expertisé un tableau inventorié dans ses collections, anciennement attribué à Théodore Géricault, peintre illustre du XIXe siècle.D’après Bruno Chenique, spécialiste internationalement reconnu de l’artiste, cette oeuvre, qui représente une tête d’homme, est indéniablement de la main de Géricault - ce que confirme l’analyse scientifique -, et se rattache à l’élaboration du chef-d’oeuvreLe Radeau de la Méduse.Fort de sa riche collection d’oeuvres du XIXe siècle, le musée a souhaité mettre en avant, à partir de cette redécouverte, une exposition consacrée à un aspect encore inédit de l’oeuvre de Géricault : le processus de création chez l’artiste. Il est abordé avec le tableauLe Radeau de la Méduse, véritable résumé de l’univers géricaldien, pour lequel l’artiste multiplia les études préparatoires d’ensemble et de détails.L’exposition interroge tous les ressorts de la démarche créative de l’artiste, en mettant en lumière les points clés et les enjeux de son processus démiurgique : la problématique des têtes d’études, le rapport à l’altérité et l’envers de la création.Menée sous le commissariat de Bruno Chenique et d’Anne-Charlotte Cathelineau, l’exposition bénéficie de prêts d’oeuvres d’importants musées français et américains, de prestigieuses collections particulières européennes avec plusieurs oeuvres inédites présentées pour la première fois au public. Pour accompagner l’intérêt du visiteur, l’édition d’un catalogue de référence l’emmène au coeur de l’univers de Géricault. -
Nous avons aimé Eclectiques XIXe le 1 er mars 2014 au Musée des Beaux arts de DOLE
Éclectique XIXe
Les Beaux-Arts à Dole 1820-1880Télécharger le dossier complet de l'exposition (PDF, 1,1 Mo) Pierre-Auguste BELIN, La reine des abeilles Musée des Beaux-Arts de Dole
du 15 février au 18 mai 2014
Le musée des Beaux-Arts de Dole a été fondé en 1821 par Séraphin-Désiré Besson (1795-1864), peintre et sculpteur dolois, qui fut aussi le rénovateur de l’école municipale des Beaux-Arts de la ville en 1822.
L’exposition Éclectique XIXe vise ainsi à mettre en relation ces deux fondations concomitantes qui furent le ferment d’une séquence particulièrement cohérente des arts à Dole. La présentation collective des œuvres des élèves de Besson et d’individualités proches de son cercle, rappelle que Dole fut un foyer propice pour les peintres et sculpteurs au XIXe siècle, soutenus et encouragés par une société mécène, de même que par le contexte favorable du renouveau religieux du milieu du XIXe siècle, qui suscita de nombreux chantiers décoratifs.
L’exposition propose un parcours thématique selon les genres traités, du portrait au paysage, en passant par les thèmes sacrés, décoratifs, en rapport avec le champ social, un espace étant aussi dédié à un cabinet de dessins.Pierre-Auguste Belin, La reine des abeilles, 1881
© Musée des Beaux-Arts de Dole (cl. Henri Bertand) -
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Le Musée de l’art
Présente, classés par ordre alphabétique, 500 grands peintres et sculpteurs du Moyen Âge à nos jours
Conçu et réalisé par les éditeurs de Phaidon
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14 Fevrier - 15 mars Herta Müller
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Olivier Debré, 50 ans d'estampes - du 24 janvier au 23 mars 2014
Pour débuter 2014, la Maison des Arts de Châtillon vous invites à venir découvrir l'exposition "50 ans d'estampes" qui présente à partir d'une sélection d'œuvres une pratique qui a toujours accompagné le travail pictural d'Olivier Debré.
Olivier Debré, 50 ans d'estampes
Du 24 janvier au 13 mars 2014
A la Maison des Arts, du mardi au dimanche de 14h à 18h
Entrée libre
Renseignements 01 40 84 97 11 -
L'artiste JR entre au Panthéon
L'artiste JR sur un échafaudage, à Paris. Une bâche protégera la coupole du Panthéon. Elle sera constellée de milliers de portraits d'anonymes, pris par JR dans un camion Photomaton. Crédits photo : Cécile Dessertine
Le photographe va créer une installation sur la coupole et à l'intérieur du monument qui restera le temps des travaux.
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J'ai lu ce matin:Vinci - La Joconde
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J'ai lu hier:Magazine Connaissance des Arts mars 2014
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Ousmane Sow, premier Noir à l'Académie française des beaux-arts
Ousmane Sow passe le pont des Arts, l'épée à la main
Le Monde | 10.12.2013 à 22h02 • Mis à jour le 16.12.2013 à 12h11 | Par Véronique Lorelle
Le sculpteur Ousmane Sow, 78 ans, va entrer à l'Académie des beaux-arts à Paris, en tant que membre associé étranger, le premier Africain à entrer sous cette coupole-là. Ce mercredi 11 décembre, à 15 heures, l'artiste sénégalais sera installé par le sculpteur Jean Cardot, dans un fauteuil précédemment occupé par le peintre américain Andrew Wyeth (1906-2001), alors que le monde célèbre la mémoire de Neslon Mandela, que Sow a statufié.
Mandela occupera une place extraordinaire dans l'histoire de l'humanité, comme Gandhi ou Jésus : il est arrivé à réconcilier un peuple ; je ne dis pas qu'il n'y a plus de racisme en Afrique du Sud mais il en a fait une société apaisée », explique Ousmane Sow dont la statue du dirigeant sud-africain, sculptée en 2009, se trouve au siège de la Compagnie française d'Afrique occidentale à Sèvres (Hauts-de-Seine).L'entrée d'Ousmane Sow à l'Académie des beaux-arts va réunir une foule plus bigarrée qu'à l'ordinaire, des chanteurs France Gall ou Youssou N'Dour à l'écrivain Jean Christophe Rufin jusqu'au couturier d'origine tunisienne Azzedine Alaïa, qui lui a offert son habit de cérémonie. C'est l'ancien président du Sénégal Abdou Diouf, secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie, qui remettra l'épée au nouvel académicien. Ousmane Sow en a dessiné lui-même le pommeau, avec un homme Nouba en plein vol plané. « Je l'appelle le saut dans l'inconnu », explique le géant à la barbiche blanche, « car je ne regrette pas de m'être lancé dans l'art à 50 ans passés », avec de premières grandes sculptures représentant des lutteurs Nouba du Sud-Soudan, inspirées par le travail photographique de la cinéaste Leni Riefensthal.
Né à Dakar en 1935, Ousmane Sow débarque à Paris à l'âge de 22 ans, où il vit de petits boulots avant d'entrer à l'école de kinésithérapie de Boris Dolto, un personnage qui le marquera fortement. A l'indépendance du Sénégal, en 1960, il opte pour la nationalité de son pays natal où il s'installe. Après plusieurs décennies à soigner les corps, il choisit de les modeler dans une mixture dont il a le secret, à base de sable, de paille et de jute, soit une vingtaine de produits longuement macérés ensemble. La carrière d'Ousmane Sow a pris un tour décisif à partir de 1999 quand, en face de ce même Institut de France, il expose ses sculptures sur le pont des Arts, au-dessus de la Seine.
3 MILLIONS D'ADMIRATEURS POUR « LE GRIOT DE LA GLAISE »
Trois millions de personnes ont admiré ses œuvres gigantesques, grandiloquentes et sensuelles, pétries de terre africaine. Les critiques d'art contemporain avaient beau s'étonner de cet engouement pour une œuvre figurative, décrier le « tapage » médiatique, les curieux ont continué d'affluer sur le pont, au point que certains se sont inquiétés de sa solidité. « Le pont des Arts est un événement qui est resté dans les mémoires, dans tous les pays : les gens m'en parlent comme si c'était hier, en se trompant de dates ou de pont de Paris, mais ils ont encore les yeux qui brillent », se félicite Ousmane Sow, surnommé « le griot de la glaise » par l'écrivain John Marcus.
Ethnies d'Afrique puis Indiens d'Amérique représentant, en 1999, « la bataille de Little Big Horn », éclatante victoire sur le général Custer : Ousmane Sow fait l'apogée des fragiles contre les puissants, de David contre Goliath. « Ceux qui se soumettent sans rien tenter ne m'intéressent pas : j'aime souligner que les petits ont une chance contre l'asservissement », confirme-t-il. Après ces grandes séries, l'artiste a représenté des personnalités qu'il estime, de celles qui empêchent « de désespérer du genre humain ».
TRENTE ANS APRÈS LÉOPOLD SENGHOR
Dans la série intitulée « Merci », on trouve pêle-mêle : son propre père (un poilu de 14-18), Victor Hugo, le Général de Gaulle, Martin Luther King, Nelson Mandela... Il doit prochainement livrer une statue de Toussaint Louverture – libérateur de Haïti mort dans une prison française – commandée par la ville de La Rochelle, qui a décidé d'assumer son passé négrier.
Trente ans après un autre Sénégalais, Léopold Senghor, reçu le 2 juin 1983 à l'Académie française, Ousmane Sow considère comme « un véritable honneur que de représenter aujourd'hui le peuple noir au sein de l'Institut ».
- Véronique Lorelle
Journaliste au Monde
- Véronique Lorelle
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Wassily Kandinsky,Bunt im Dreieck
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Salvador Dali,Rêve causé par le vol d'une abeille autour d'une pomme-grenade
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A lire
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Yves Antoine Ortega
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Picasso, Léger, Masson : Daniel-Henry Kahnweiler et ses peintres
Jusqu'au 12 janvier 2014
Depuis sa réouverture, le LaM rend régulièrement hommage aux collectionneurs, galeristes et amateurs d’art qui, en alliant passion et patience, discrétion et générosité, on fait toute la richesse des collections des musées de France. Grâce aux prêts généreux du Centre Georges Pompidou, le musée retrace dans un parcours exceptionnel l’histoire de la Galerie Louise Leiris. Riche en rebondissements, elle est étroitement liée à la collection d’art moderne du LaM : Roger Dutilleul et Jean Masurel lui ont été fidèles pendant plusieurs décennies, constituant un ensemble d’oeuvres à la fois personnel et fortement imprégné des principes esthétiques du maître des lieux, Daniel-Henry Kahnweiler.
Celui qui va devenir le marchand des cubistes « héroïques », Georges Braque et Pablo Picasso, ouvre sa première galerie en 1907. Fernand Léger, Juan Gris et plus tard Henri Laurens rejoignent son « écurie ». La Première Guerre mondiale contraint Kahnweiler à ouvrir une seconde galerie en 1920, la Galerie Simon, qui accueille une nouvelle génération d’artistes : André Beaudin, Eugène de Kermadec et surtout André Masson, point de contact avec le surréalisme. À cette époque apparaît la figure de Louise Godon, sa belle-fille, qui assiste Kahnweiler dans la gestion de son établissement. Devenue l’épouse de Michel Leiris en 1926, elle rachète le fonds et donne son nom à la galerie lorsque le marchand est à nouveau contraint de quitter Paris, pendant la Seconde Guerre mondiale. Toujours maître à bord et fidèle à ses artistes, Kahnweiler organise à partir des années 1950 d’innombrables expositions Picasso, dont il a désormais l’exclusivité.
Déployée dans les salles de présentation permanente, l’exposition présente côte à côte des oeuvres du LaM issues de la Donation Geneviève et Jean Masurel, et celles que Louise et Michel Leiris ont offertes au Musée national d’art moderne - Centre Georges Pompidou. Assortie de prêts complémentaires provenant de collections privées et publiques, elle retrace l’histoire d’une galerie plus que centenaire. La figure de Michel Leiris, discrète mais présente pendant plusieurs décennies, permet, en contrepoint, de poser un regard original sur les « terrains » partagés du poète, des marchands et de leurs artistes : primitivisme, autobiographie et écriture.
Cette exposition, célébrant les 30 ans du musée, bénéficie des prêts exceptionnels du Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Paris. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.
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Andy Warhol : The American Dream
Galerie Ribolzi
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Exposition Chaissac - Dubuffet
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Guy Tillim
Second Nature
15 sept.-22 déc. 2013
Vernissage le 14 sept. 2013
Pontault Combault. Centre photo d´Ile-de-FranceGuy Tillim présente le projet Second Nature, qui rassemble deux séries réalisées en Polynésie Française et à São Paulo entre 2010 et 2011. Cet ensemble explore la capacité de la photographie à restituer le paysage, naturel ou urbain, en convoquant une problématique inhérente à la représentation du paysage. 1/1 http://www.paris-art.com/photo-art/second-nature/guy-tillim/15053.html