Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'art - Page 82
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J'ai lu hier soir:Renoir - Bal du Moulin de la Galette
Renoir - Bal du Moulin de la Galette
Le Musée du Monde - vol. 9
Description
Le « Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Neuvième maître à révéler ses secrets, Pierre-Auguste Renoir raconte à sa manière l’aventure des impressionnistes.
Bal du Moulin de la Galette
Tout commence à Paris, dans les années 1860, à l’Ecole des beaux-arts, dans l’atelier du peintre Charles Gleyre (1806-1874), orientaliste, enclin au symbolisme, où Renoir, Monet, Sysley et Bazille font leurs armes. « Rappelez-vous, jeune homme, que quand on exécute une figure, on doit toujours penser à l'antique... » scande le peintre académique à Claude Monet. Chacun en retiendra sa leçon. Mais plus que tout autre, Renoir (1841-1919) ne cessera d’observer, d’explorer et d’interpréter cette figure humaine qu’il dépeint dans près de six mille œuvres. A Montmartre, le Bal du Moulin de la Galette est un prétexte pour éterniser avec brio une fête éphémère, camper ses amis dans le mouvement de leur danse, comme l’expression d’une liberté de peindre sur l’instant, le vif et le motif. Pourtant, dans la légèreté et l’enthousiasme de son chef-d’œuvre se concentrent les aspirations, les ruptures et les combats de toute une bande d’artistes déterminés à en découdre avec la rigidité et les canons de l’académie alors toute puissante. Au diable le dessin descriptif et figé des aînés. Les fluctuations de la lumière, la souplesse de formes en mouvement, la carnation de visages réjouis éveillent et chantent une peinture nouvelle qui se distingue du naturalisme de l’Ecole de Barbizon ou du réalisme de Courbet. Une force s’anime. Elle entraînera dans son sillage l’Europe entière. Mais Renoir lui offre un destin plus personnel, fondé sur un idéal féminin puisé chez Ingres, Rubens et le Titien. Alors, brossée avec vivacité, sa représentation de la femme, à la fois généreuse, allusive et candide, devient l’icône d’une époque, comme on invente un mythe, comme on fixe l’imaginaire en le faisant entrer dans l’histoire… à la lumière du jour.Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
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Masurovsky : «L'affaire Gurlitt prouve l'opacité du monde de l'art»
Chercheur associé au Musée de l'Holocauste à Washington, l'Américain Marc Masurovsky travaille sur les œuvres d'art spoliées aux Juifs et a cofondé le Holocaust Art Restitution Project. Il replonge dans les méandres de l'affaire Gurlitt, cette collection de près de 1500 tableaux disparus depuis la guerre et qui a refait surface dans un appartement munichois où vivait, reclus, Cornelius Gurlitt, le fils d'un marchand d'art ayant prospéré sous les nazis.
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Un nouveau record pour Francis Bacon ?
Mots clés : Francis Bacon
de Rochebouët, Béatrice
10/10/2013 | Mise à jour : 19:45Christie's vient d'annoncer la vente à New York de cette pièce majeure de Bacon qui sera présentée dès le 13 octobre, à Londres, pendant la Frieze Art Fair.
Voici un nouveau coup de tonnerre qui va faire beaucoup de bruit pendant la semaine des ventes d'art contemporain, à New York, à la mi-novembre. Avant de vivre ce moment exaltant des enchères, Christi... -
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Lettonie: Un musée Mark Rothko ouvre dans sa ville natale
L'accueil du site internet du musée Rothko est un hommage de la ville natale Daugavpil au célèbre artiste.rothkocenter.com -
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Dosso Dossi(1486?-1542),Apollon et Daphné(vers 1522). Galerie Borghèse à Rome.
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dossi,_Dosso_-_Apollo_-_1524.jpg
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Pauline Borghèse Bonaparte en Vénus(1805-1808) d'Antonio Canova (1757-1822)
Qui est cette femme dénudée sur une banquette ? Quel sens a-t-elle ?Une jeune femme à demi allongée se repose sur une banquette à l’antique, appuyée du bras droit sur des coussins [ image principale ]. Sa semi-nudité et la pomme qu’elle tient dans la main gauche permettent d’identifier Vénus. À l’issue d’un concours de beauté arbitré par Pâris, Vénus avait en effet reçu la pomme d’or qui devait revenir à la plus belle déesse. Mais cette sculpture est aussi le portrait de Pauline Bonaparte, commandé vers 1804 par le prince Camillo Borghèse, son mari, à Antonio Canova.
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Roy Lichtenstein, le dynamiteur de clichés
Le Centre Pompidou consacre une rétrospective à l’artiste pop américain. Un grand recycleur d’images de la modernité, armé d’un regard critique.
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J'ai terminé hier:Beaux Arts magazine n° 354 (Décembre 2013)
Prochain numéro le 19 décembre 2013
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"Au temps d'harmonie"de Paul Signac
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Georges SEURAT, "Un dimanche après-midi à la Grande Jatte"
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Martial Raysse "Soudain, l’été dernier",1963
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"QUAI DES ORMES ET PONT MARIE" De Jean- Baptiste Raguenet,1757
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J'ai fini hier:Les 200 plus beaux tableaux du monde
« Est beau, en définitive, ce qui est digne d’attention ». A partir de cette définition, ce livre nous montre en quelques mots, en s’appuyant sur les jugements des plus grands historiens de l’art, en quoi chacune des deux cents œuvres choisies est plus particulièrement digne d’attention.
Étant bien entendu que la beauté d’une œuvre « s’éprouve et ne se prouve pas », le livre offre au lecteur l’expérience d’un parcours au sein des plus grands musées du monde, mêlant les plaisirs esthétiques complémentaires de la tradition et ceux de la rupture, depuis 1400 (moment de l’histoire où le « tableau » se détache en tant qu’objet de contemplation) jusqu’à nos jours.
Collection : Les 200 plus beauxParution : 05 Mai 2010EAN : 9782812301889Nuart : 3423506Format : 210x276 mmPages : 416 -
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Tony CRAGG
"Frame" (Cadre), 2012. Courtesy Collection Anthony Cragg Studio. © ADAGP, Paris 2013. Crédit photo : Michael Richter.
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J'ai lu hier:L'art déco
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Vincent Cunillère photographie Soulages
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J'ai fini hier:Grands peintres. les impressionnistes 1: van gogh. manet, renoir, sisley
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J'ai lu hier:Michel-Ange - La Sainte Famille
Celui qui fut un maître de la couleur préférait pourtant la sculpture et l’architecture. Etre et artiste complexe, protégé des princes et des papes, il aimera l’équilibre comme la démesure, les lignes douces et fluides comme la sauvage véhémence de la nature.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11439/?nouveaute=1
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Andrea Del Castagno, La Sibylle de CUMES (vu au Louvre dans l'expo "Renaissance jeudi)
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L'incroyable trésor de guerre de Hildebrand Gurlitt réapparaît
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- Par Eric Bietry-Rivierre, Nicolas Barotte
- Mis à jourle 04/11/2013 à 21:32
- Publiéle 04/11/2013 à 20:05
Le trésor maudit dormait dans un appartement de standing, à Munich. Près de 1500 tableaux, dessins, esquisses, gravures et affiches de maître. Des Renoir, Picasso, Matisse, Chagall, Klee, Kokoschka, des expressionnistes allemands, Emil Nolde, Max Beckmann, Max Liebermann… Un milliard d'euros, au bas mot. Dans son édition de dimanche, l'hebdomadaire allemand Focus raconte cette histoire sensationnelle, digne d'un roman de John Le Carré mais qui a échappé aux «Monument Men», ces chasseurs de butins nazis, actifs après guerre et évoqués dans le dernier film de George Clooney. En couverture de Focus, Adolf Hitler pose en uniforme devant un chef-d'œuvre de Franz Marc aujourd'hui retrouvé. C'est un photomontage. Mais les onze pages qui suivent fourmillent de détails, bien réels ceux-là. On y fait la connaissance des Gurlitt père et fils.
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Raymond Loewy, le poète de l'industrie
Google honore le Franco-Américain, père du design industriel qui aurait eu 120 ans ce mardi. Du logo Lucky Strike à la voiture Studebaker, ses créations éclectiques sont passées à la postérité.
Automne 1940, Park Avenue, New York. Comme à leur habitude, les locaux de la Raymond Loewy Company sont en pleine ébullition. Soudain, un homme rougeaud surgit dans le bureau directorial et apostrophe le patron: «C'est vous Loewy?» L'homme retire sa veste de tweed, garde sa casquette de pêcheur, garnie d'hameçons, vissée sur la tête et jette un paquet de Lucky Strike sur la table. «Je suis de l'American Tobacco. On me dit que vous pouvez faire mieux. Je n'en crois rien.»
Raymond Loewy est resté calme. La moustache plus frondeuse que jamais, il a juste répliqué: «Alors, pourquoi êtes-vous venu me voir? Vous voulez parier?» Face à lui, George Washington Hill, le patron de l'American Tobacco, a lancé un chiffre astronomique pour l'époque: 50 000 dollars. Six mois plus tard, Loewy gagnait son pari. Le coup de génie de ce pape du design industriel? Il aura su imposer un paquet d'un blanc intense et non plus vert. Autre «pêche miraculeuse
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Donatello,Tête de cheval(vu dans dans l'expo "Renaissance" du Louvre jeudi)
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Donatello,Buste reliquaire