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L'art - Page 84

  • Exposition Sam Francis / JonOne à Paris 8ème - 15 mai au 15 juin 2013

    Exposition Sam Francis / JonOne à Paris 8ème - 15 mai au 15 juin 2013

    L'artiste Sam Francis vous présente Sam Francis/JonOne, une exposition visible du mercredi 15 mai 2013 au samedi 15 juin 2013 à Paris 8ème - Galerie Le Feuvre.


    Read more at http://75.agendaculturel.fr/exposition/8eme-arrondissement-paris/galerie-le-feuvre/sam-francis-jonone.html#y75mOqKEizo6vRR2.99
  • Sophie Pujas

    Z. M.

    Postface de Jean Clair

    Collection L'un et l'autre, Gallimard
    Parution : 12-04-2013
  • Fin de:David d'Angers(expo vue à Paris au Louvre le 15 mai 2013)

    Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers (Angers, 1788 - Paris, 1856) a laissé un ensemble d’oeuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps.

    Ses premiers dessins traduisent son éducation classique et académique – il fut Grand prix de sculpture en 1811 –, mais rapidement sa fascination pour l’histoire moderne prédomine. Fervent républicain, il se  consacre, dans une entreprise qu’il veut pédagogique, à la mémoire des grands hommes, aux héros des  guerres révolutionnaires qui ont marqué son enfance, à ceux qui ont servi le général Bonaparte.

    Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire  d’une vie dans un bas-relief, pour fixer dans une statue l’intensité dramatique du geste significatif d’un héros ou de sa mort. Son activité de portraitiste fut profondément influencée par la phrénologie.  David d’Angers fut aussi collectionneur de dessins. Sa collection, dont quelques oeuvres seront exposées, comportait notamment des aquarelles de Caspar David Friedrich, qui signalent l’intérêt pour l’art allemand de l’auteur du magistral buste de Goethe.

    Cette exposition s’inscrit dans l’entreprise de présentation des grands fonds de dessins des musées  français poursuivie par le département des Arts graphiques du Louvre depuis de nombreuses années.

    Commissaire(s) :

    Isabelle Leroy-Jay Lemaistre et Marie-Pierre Salé, musée du Louvre.
    Véronique Boidard, musées d'Angers
     David d'Angers - Catalogue de l'expositionhttp://www.louvre.fr/expositions/david-d-angers-dessins-des-musees-d-angers

  • Catégories : A lire, L'art

    L'OEuvre d'art et ses significations: Essais sur les «arts visuels»

    Ce recueil est largement inspiré, dans sa composition, de Meaning in The Visual Arts (1957) dont l'auteur avait souhaité une adaptation au public français. "L'histoire de l'art est une discipline humaniste" définit les trois niveaux de signification d'une oeuvre et leur donne pour principe de contrôle une histoire des styles, des types et des symboles; "L'histoire de la théorie des proportions humaines", conçue comme un miroir de l'histoire des styles, applique la méthode à l'analyse d'un schème structural particulier. "Artiste, savant, génie" (1962) peut apparaître comme la dernière synthèse de la pensée de l'auteur sur la Renaissance. Tandis que des deux articles qui le suivent, l'un, "Le premier feuillet du Libro de Vasari", montre la façon dont cette époque, la Renaissance, a pris conscience d'un style, le gothique, qu'elle tenait pour extérieur à elle-même, l'autre, "Deux projets de façade par Beccafumi", est, sur le maniérisme dans l'architecture du XVIe siècle, une discussion sur les principes qui, aujourd'hui, permettent de caractériser un style. Les trois derniers essais, " Dürer et l'Antiquité L'Allégorie de la Prudence chez Titien" et la merveilleuse étude sur Poussin et la tradition élégiaque, "Et in Arcadia Ego", offrent, parvenus à leur point de perfection, les chefs-d'œuvre de l'interprétation iconographique.

    http://www.amazon.fr/Loeuvre-dart-significations-Erwin-Panofsky/dp/2070272613/ref=pd_sim_b_4

  • Catégories : L'art, La presse

    Beaux Arts magazine n° 347 (Mai 2013)

    En couverture :
    Dossier : de Degas à Damien Hirst, que collectionnent les artistes. Les œuvres qu'ils achètent, celles qu'ils échangent, leurs motivations...
    Et aussi : marché de l'art, toutes les tendances 2013 + enquête, pourquoi l'impressionnisme fascine-t-il autant ?

    Au sommaire de ce numéro :

    1/ Le journal
    Les actus culture > voir le sommaire complet

    2/ Le magazine
    L'art en grand format > voir le sommaire complet

    3/ Le guide
    musées/expositions/galeries/marché> voir le sommaire complet

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-655-Beaux-Arts-magazine-n347

  • Catégories : A voir, Des expositions, L'art, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Exposition à Paris Galerie G. Sarti

    Peintres caravagesques italiens, peintres de la réalité, exposition

    Du jeudi 11 avril 2013 au vendredi 12 juillet 2013

    Pour l'amour de Caravage.

    La galerie G. Sarti crée l’événement en organisant une exposition de qualité muséale, qui réunit vingt-deux tableaux exceptionnels d’artistes italiens ayant travaillé dans la lignée du Caravage. Du "premier cercle" avec Bartolomeo Manfredi, Giovanni Battista Caracciolo, Cavarozzi, aux différentes écoles (Giuseppe Ribera, Daniele Crespi, Guido Reni), l’accrochage offre au public le plus bel ensemble d’œuvres caravagesques jamais réuni en galerie.

    Peu d’artistes peuvent s’enorgueillir d’avoir eu la postérité du Caravage. Dès sa mort à Rome en 1610, et au cours des années qui suivent, son style bouleverse totalement le paysage artistique. Les peintres réinterprètent les principes qui ont fait la force et l’originalité du maître, le clair-obscur, les personnages empruntés à la vie réelle...Signés de grands artistes des écoles romaine, napolitaine, toscane, génoise, lombarde et bolonaise, tous les tableaux présentés dans cette exposition ont été réunis par Giovanni Sarti au cours des dix dernières années.

    http://visitparis-cultureguide.parisinfo.com/fr/exposition/peintres-caravagesques-italiens-peintres-de-la-realite-exposition-e-894670

  • Catégories : Des évènements, L'art

    Trois salons Traits à l’aise à Paris

    10 avril 2013 à 22:06 (Mis à jour: 11 avril 2013 à 10:09)

    Par DOMINIQUE POIRET

     

     

    «Redressement, tondo», 2009, de Marc Couturier. - Photo courtesy Marc Couturier
     

    Le dessin est à l’honneur en cette fin de semaine à Paris avec trois salons. Le vétéran - créé en 1991 - et consacré au dessin ancien est installé au palais Brongniart (1), pour le plus grand bonheur des amateurs de belles feuilles, à l’encre, au crayon ou au fusain

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  • Zao Wou-ki, un peintre en liberté

    Valérie Sasportas

    • Mis à jourle 10/04/2013 à 11:09

    Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

    C'est un grand peintre, un maî­­tre de l'abstraction du paysage. Un voyageur d'Orient. L'ami de Hans Hartung, Pierre Soulages, Jean Pollak, Ieoh Ming Pei, Henri ­Michaux et tant d'autres, croisés au cours de ses pérégrinations. Une valeur sûre du marché de l'art dont les toiles se vendent des millions. Un diptyque, intitulé 10.03.83, a été adjugé plus de 37 millions de dollars hongkongais (3,7 millions d'euros) le 6 avril chez Sotheby's à Hong­kong.

    En France, une autre de ses toiles, 28.8.67, s'est envolée pour plus de 1,5 million d'euros chez Ivoire Nantes. Zao Wou-ki s'est éteint en Suisse, mardi, à l'âge de 93 ans. Atteint de la maladie d'Alzheimer, le peintre avait été hospitalisé à deux reprises depuis la fin mars. Il aura vécu pour «le bonheur de peindre». Jusqu'à ce que la maladie l'en empêche définitivement. C'était il y a trois ans, âgé de 90 ans, il venait de réaliser une œuvre ultime, en même temps qu'une expérience artistique nouvelle: des vitraux. En Touraine, par l'intermédiaire de son ami poète François Cheng, il avait été convaincu d'orner à l'encre de Chine noire, parfois rehaussée de rouge, les vitraux du prieuré de Saint-Cosme, où avait vécu Pierre de Ronsard.

    Ces encres de Chine, Zao Wou-ki les avaient déjà réalisées, pour les besoins d'un ouvrage inédit: une monographie que lui avait consacrée l'ancien ministre Dominique de Villepin, commençant à ses œuvres de jeunesse, en 1935, et s'achevant sur cette série donc, d'encres de Chine. Dans cet ouvrage, jamais paru, l'ancien premier ministre signe une préface très justement intitulée «Dans le labyrinthe des lu­mières» pour étayer le parcours de la peinture de Zao Wou-ki. ­Ses bonnes feuilles étaient ­exposées au prieuré de Saint-Cosme, le jour de l'inauguration, en juillet 2010, à côté d'œuvres ­d'art décoratif méconnues de l'artiste, à la lumière presque insolente de ses vitraux laissant voir le pay­sage.

    Zao Wou-ki, le bonheur de peindre

    Le jour de l'inauguration des vitraux de Saint-Cosme, la maladie empêcha Zao Wou-ki de parler. Il ne put que sourire et l'on comprit qu'il ne peindrait sans doute plus. Revinrent alors en mémoire ces mots de son autobiographie, écrite en 1988 avec Françoise Marquet, sa troisième épouse et ancienne conservatrice du Musée d'art moderne de la Ville de Paris: «Je ne crains pas de vieillir ni de mourir car, tant que je saurai me servir d'un pinceau ou d'un tube de couleur, il ne pourra rien m'arriver. Je voudrais seulement qu'il me restât assez de temps pour faire ce dernier tableau auquel je travaille, encore plus osé, plus libre, que celui que je viens de terminer.» Le parcours de sa peinture est «l'itinéraire d'un peintre, d'Orient en Occident», comme l'écrit Dominique de Villepin.

    Zao Wou-ki naît T'chao Wou-ki -Wou ki étant le prénom- à Pékin le 1er février 1920, dans une famille de grands lettrés chinois. Il passe son enfance à étudier la calligraphie. Puis à 15 ans, il réussit l'examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Hangzhou où il étudie, durant six ans, les techniques occidentales: dessin, peinture à l'huile, pour la première fois, perspective. Les techniques chinoises aussi: peinture traditionnelle, calligraphie.

    «La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture»

    Ses professeurs sont chinois et européens. Mais leur académisme l'ennuie. Il leur préfère l'impressionnisme, le fauvisme qui éclatent en Europe. Ce qu'il veut, c'est «juxtaposer des formes, les assembler pour qu'on y retrouve le souffle de l'air sur le calme de l'eau», affirme l'artiste. La peinture à l'encre l'étouffe. «L'art chinois est devenu un ensemble de recettes de fabrication, le beau étant confondu avec le savoir-faire, affirme le peintre. La nécessité de quitter la Chine pour venir m'installer en France a été le premier geste chirurgical pratiqué sur ma propre culture pour commencer à régler définitivement le problème. C'était ça ou mourir.» En 1948, il débarque à Marseille «après trente-six jours de bateau». Venu chercher Matisse et Picasso, Zao Wou-ki mettra dix ans avant de parvenir à se libérer de l'imitation (de ces deux-là mais aussi de Chagall et de Modigliani), trouver le style qu'on lui connaît.

    Folle échappée

    Dès son arrivée à Paris, il prend le pseudonyme de Zao Wou-ki et file le jour même au Musée du Louvre. Puis à Montparnasse. «Je connaissais le mot Montparnasse et je voulais y habiter parce qu'on m'avait dit qu'il était le quartier des artistes», raconte-t-il dans son autobiographie. Autre lieu découvert dans les revues d'art françaises en Chine: l'académie de la Grande Chaumière. Zao Wou-ki s'y précipite et s'y entoure de nouveaux amis: Sam Francis, Jean-Paul Riopelle, Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Maria Helena Viera da Silva. Chez l'imprimeur Desjobert, il découvre en 1949 la technique de la lithographie, qui l'émerveille. L'année suivante, sans même le connaître, Henri Michaux écrit spontanément huit poèmes pour orner huit de ses lithographies. Une amitié est née entre le peintre et le poète, qui lui présentera le marchand d'art Pierre Loeb, avec qui il travaillera jusqu'en 1957. Mais en 1951, c'est la rencontre avec un autre peintre qui ouvre son horizon: Paul Klee, ce passeur des mondes, l'incite à déconstruire le sien, à s'engager dans l'abstraction. Sa folle échappée occidentale l'a ramené, à l'hiver de sa vie, à l'Orient, avec les encres de Chine.

    En juillet 2012, son épouse Françoise Marquet a décidé de quitter le quartier de sa vie, Montparnasse, et la France où il a été élevé grand officier de la Légion d'honneur, pour la Suisse. Cette décision a provoqué un séisme familial et une bataille judiciaire évoquant l'affaire Bettencourt. Le fils du peintre, né d'un premier mariage, accusait sa belle-mère d'avoir fait déménager l'artiste pour mettre la main sur son œuvre. Françoise Marquet s'en défendait, arguant des conditions idéales pour la santé de l'artiste et pour gérer au mieux sa fortune et son œuvre. Avec la Fondation Zao Wou-ki établie à Genève, elle travaille à l'élaboration d'un attendu catalogue raisonné.

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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      Zao Wou-ki, un peintre en liberté

      Ce maître de l'abstraction lyrique était arrivé en France en 1948. Atteint d'Alzheimer, il s'est éteint en Suisse à l'âge de 93 ans. 

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  • Catégories : L'art

    7 tableaux spoliés rendus à leurs propriétaires

     

    Par Europe1.fr avec AFP

    Publié le 14 février 2013 à 11h35 Mis à jour le 14 février 2013 à 11h35

    La France s'apprête à rendre à deux familles juives sept tableaux spoliés lors de la Seconde guerre mondiale et conservés dans des musées, a indiqué le ministère de la Culture. Ces tableaux font partie de quelque 2.000 œuvres sans propriétaire identifié, dotées du statut de MNR (Musées Nationaux Récupération) depuis 1949. Sous la garde de l'Etat, elles sont conservées dans les musées français, qui se doivent de les signaler et de les montrer au public, en attendant leur réclamation.

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  • Catégories : L'art

    Vente aux enchères du Mercredi 10 avril 2013

    Lot 1 : Giovanni Battista Piranesi et Francesco Piranesi - Vedute...


    • Giovanni Battista Piranesi et Francesco Piranesi - Vedute... - Auction
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    • Giovanni Battista Piranesi et Francesco Piranesi - Vedute... - Auction
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    Giovanni Battista Piranesi (Mogliano Veneto, 1720 - Rome, 1778) et Francesco Piranesi (Rome, vers 1758 - Paris, 1810)
    Vedute di Roma, album de 23 planches
    Eaux-fortes, environ 48 x 68 cm (18,90 x 26,80 in.), petites marges ou bonnes marges
    Belles épreuves d'un tirage romain posthume, de la fin du XVIIIe siècle
    Filigrane : Fleur de lys et Bracciano
    (Quelques petites taches et petites déchirures au niveau du pli central)
    Reliure demi-maroquin, le dos titré 'Piranesi / Vedute / di / Roma', état moyen.


    'VEDUTE DI ROMA', ALBUM OF 23 ENGRAVINGS, BY G. B. AND F. PIRANESI

    Provenance : Ancienne collection James Forbes, Esq. (1749-1819) (ex-libris) ;
    Ancienne collection Charles, comte de Montalembert (1810-1870) (ex-libris) ;
    Puis par descendance

    Commentaire : Vingt sujets sont gravés par Giovanni Battista Piranesi et une planche par son fils, Francesco Piranesi. A la fin du volume, sont ajoutés deux planches gravées par Francesco d'après Louis-Jean Desprez.

    Liste des planches :
    - 'Veduta dell'Anfiteatro Flavio, detto il Colosseo' (Hind 57 ii/iv), belle épreuve avec l'adresse mais sans le prix
    - 'Veduta dell'Anfiteatro Falvio detto il Colosseo' (vu du ciel) (H. 126 i/iv), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta dell'Arco di Costantino e dell'Anfiteatro Flavio detto il Colosseo' (H. 56 iv/vi), belle épreuve avec l'adresse mais sans le prix
    - 'Veduta del Pantheon d'Agrippa' (H. 60 iii/v), belle épreuve avec l'adresse et le numéro 14I mais sans le prix
    - Francesco Piranesi, 'Veduta interna del Pantheon volgarmente detto la Rotonda' (H. 136 i/iii), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta del tempio della Sibilla in Tivoli' (H. 61 iii/v), belle épreuve avec l'adresse et le numéro 30I mais sans le prix
    - 'Avanzi del'Aquadotti Neroniani…' (H. 118 ii/iv), belle épreuve avec le numéro 48 dans le cartouche en bas
    - 'Veduta del Monumento eretto dall'Imperator Tito Vespasiano…' (Porta Maggiore) (H. 119 i/iii), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta dell'Arco di Tito' (H. 55 ii/v), belle épreuve avec l'adresse et le prix mais avec les retouches
    - 'Veduta di Campo Vaccino' (H. 40 iv/vi), belle épreuve avec l'adresse mais sans le prix
    - 'Veduta degli Avanzi del Foro di Nerva'(H. 95 ii/iv), belle épreuve avec le numéro 21II dans le cartouche en bas
    - 'Veduta del Tempio delle Camene…' (H. 106 ii/iv), belle épreuve avec le numéro 11 dans le cartouche en bas
    - 'Veduta della fonte e delle Spelonche d'Egeria…' (H. 80 iii/v), belle épreuve avec le numéro 11 dans le cartouche en bas
    - 'Veduta della gran Curia Innocenziana…' (Palazzo Montecitorio) (H. 23 ii/iv), belle épreuve avec l'adresse et le prix
    - 'Veduta del Palazzo Stopani' (H. 128 i/iii), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta del Ponte Molle sul Tevere…' (H. 64 i/iv), belle épreuve avec l'adresse et le prix
    - 'Veduta interna della Villa di Mecenate…' (H. 73 ii/iv), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta della Cascata di Tivoli' (H. 75 iii/v), belle épreuve avec le numéro 125 XXX en bas
    - 'Spaccato interno della Basilica di S. Paolo fuori delle mura…' (H. 7 v/vii), belle épreuve avec les numéros en bas
    - 'Veduta della gran Piazza e Basilica di S. Pietro…' (H. 101 i/iii), belle épreuve avant les numéros en haut
    - 'Veduta interna della Basilica di S. Pietro in Vaticano' (H. 4 iv/vi), belle épreuve avec l'adresse mais sans le prix
    - Francesco Piranesi d'après Louis-Jean Desprez, 'Il Santo Padre in atto d'adorazione innanzi al Sacramento esposto solennemente da Lui nella Cappella Paolina' (Wollin 2)
    - Francesco Piranesi d'après Louis-Jean Desprez, 'Prospetto interiore del Tempio Vaticano veduto nelle sere di Giovedi et del Venerdi Santi…' (W. 1)

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, L'art, Venise

    J'ai aimé lire:"Les Mémoires de Giorgione" de Claude Chevreuil

    Les Mémoires de Giorgione

    En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.

    http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848

    Précédente publication:

    30/01/2013 00:17

  • Catégories : L'art

    Hodler, sommet de l'art suisse

     

    Les Echos n° 20048 du 16 Novembre 2007 • page 102

    « Ferdinand Hodler ». Jusqu'au 3 février 2008. A Paris, musée d'Orsay (tél. : 01.40.49.48.14).

     

    Il y a encore beaucoup de choses à découvrir dans l'art moderne en dehors des Picasso, Matisse, Klimt... Ceux qui ne sont pas familiers des collections permanentes des musées suisses auront sans doute laissé échapper le plus grand artiste de la Confédération, au tournant du XIXe et du XXe siècle, Ferdinand Hodler (1853-1918). Le président du musée d'Orsay, Serge Lemoine, qui est aussi cocommissaire de l'exposition, en parle pourtant comme « un pur génie, un des plus grands peintres de tous les temps ». Sans aller aussi loin dans l'enthousiasme, disons que ce peintre a développé, comme tous les artistes qui comptent, un vocabulaire et un monde singuliers, qui auront une influence clef sur la suite de la création

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