Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai pris plaisir à lire :"Beaux-arts magazine"
Beaux Arts magazine n° 345 (mars 2013)
Prochain numéro le 21 mars 2013
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Beaux Arts magazine n° 345 (mars 2013)
Prochain numéro le 21 mars 2013
En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.
http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848
Précédente publication:
30/01/2013 00:17
Les Echos n° 20048 du 16 Novembre 2007 • page 102
Il y a encore beaucoup de choses à découvrir dans l'art moderne en dehors des Picasso, Matisse, Klimt... Ceux qui ne sont pas familiers des collections permanentes des musées suisses auront sans doute laissé échapper le plus grand artiste de la Confédération, au tournant du XIXe et du XXe siècle, Ferdinand Hodler (1853-1918). Le président du musée d'Orsay, Serge Lemoine, qui est aussi cocommissaire de l'exposition, en parle pourtant comme « un pur génie, un des plus grands peintres de tous les temps ». Sans aller aussi loin dans l'enthousiasme, disons que ce peintre a développé, comme tous les artistes qui comptent, un vocabulaire et un monde singuliers, qui auront une influence clef sur la suite de la création
L’exposition de Sorèze propose une série d’œuvres réalisées par l’artiste entre 1979 et 2011. Elles sont accompagnées de photographies d’Hervé Desvaux, visibles dans la galerie de la chapelle, prises en Russie en 2010 et en 2011 à l’occasion notamment de la rétrospective de l’œuvre de Rossine au musée d’Art russe de Saint-Pétersbourg.
Exposition du 11 octobre au 17 novembre 2012
Les œuvres présentées à la galerie 53 représentent les plus récents développements
de la série « La Montée des Extrêmes ». Tous les cycles antérieurs se sont terminés
par un passage à un autre état et ont été des degrés qui ont amené Martin Bissière
à ce paroxysme d’énergie et de couleur intense. La Montée des Extrêmes est en résonance
avec la topographie mentale de nos sociétés, une réponse aux sollicitations mimétiques
du flux constant des images, le sentiment de l’imminence d’un chaos extraordinaire.
Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Précédentes publications:
15/11/2012 00:40
30/11/2012 08:41
Le musée du Prado à Madrid expose pour la première fois une œuvre découverte récemment du maître flamand Pieter Bruegel l’Ancien, Le Vin à la fête de Saint-Martin .
Après huit mois de restauration, le musée avait pu authentifier la toile en 2010, grâce à une radiographie qui a révélé des fragments de la signature du peintre au bas du tableau. L’identification de cette toile, l’un des plus grands tableaux du peintre connus à ce jour (148×270,5cm), avait été accueillie comme une découverte majeure concernant son œuvre.
Peint sur toile entre 1566 et 1567, selon la technique de la tempera, qui utilise l’émulsion de colle à la place de l’huile pour lier les pigments, le tableau représente une scène de la fête de la Saint-Martin, où des villageois dégustent le premier vin de la saison. Il sera présenté jusqu’au 25 mars 2012 accompagné d’une radiographie de l’œuvre et d’une vidéo expliquant le processus de restauration.
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Pour Francine et les autres, je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres, notamment mes "Paysages de bohémiens" qui a le même sujet que cette expo
sur laquelle je me documente
cf. catégorie et sous-partie à ce nom
et que j'espère voir
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Un tableau peut-il rendre fou et pousser au meurtre ? Amsterdam, 1669 : un teinturier spécialisé dans la couleur bleue assassine sauvagement sa famille. Le lendemain, le gardien de sa prison est lui-même pris d'un accès de folie et massacre sa compagne. Quel secret se dissimule derrière ces meurtres ? Pourquoi un mystérieux tableau est-il lié à chacun d'eux ? C'est ce que devra découvrir le jeune Cornélis, élève de Rembrandt et amoureux de la fille de celui-ci. Pour dénouer les fils de cette sanglante histoire, le voilà entraîné dans une course rocambolesque, où les haines religieuses se mêlent au commerce illicite de la Compagnie des Indes, et où les tableaux des grands maîtres servent d'appâts aux amours tarifées de luxe. Couleur rare et sacrée, le bleu serait il l'incarnation du mal et du crime ?
http://www.evene.fr/livres/livre/jorg-kastner-la-couleur-bleue-25644.php
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Après avoir longtemps temporisé, le Louvre s’est lancé dans une intervention controversée.
En 2008, des microsoulèvements tirant sur la couche picturale ont été constatés, causés par l’altération des vernis et la rétractation du support en panneaux de peuplier. Débattue en 2009 lors de journées d’études consacrées aux œuvres de Léonard de Vinci au Louvre, la décision d’engager une restauration approfondie de La Sainte Anne fut prise par Vincent Pomarède, directeur du département des peintures du Musée, et Vincent Delieuvin, conservateur. Jauni et taché par les vieux vernis et repeints, le tableau n’était plus très lisible. « Nous avons brisé un tabou, reconnaît Vincent Pomarède, car depuis les années 1950, aucune œuvre de Vinci n’avait fait l’objet d’une telle restauration. » En 1994, une première tentative sur La Sainte Anne avait été suspendue par le ministère de la culture après une polémique dans les médias.
François-René Martin, Sylvie Ramond
Collection : Monographie
Octobre 2012
Les déclarations étaient prévisibles, attendues même. La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a annoncé l’arrêt des « grands chantiers » lancés par le précédent locataire de la Rue de Valois, Frédéric Mitterrand. Toujours au stade embryonnaire, la Maison de l’histoire de France est ainsi enterrée et ne rejoindra donc pas les Archives nationales dont le personnel est visiblement soulagé. « Contestable idéologiquement », le projet était par ailleurs « coûteux », a affirmé la ministre sur France Inter. Tout juste restera-t-il donc un site Internet, puisque l’établissement public de la MHF, dirigé par Maryvonne de Saint-Pulgent, a bel et bien été créé en janvier. Fini aussi pour l’hôtel de Nevers qui devait, après l’annonce de M. Mitterrand en juillet 2011, exposer la photographie patrimoniale en remplacement de l’ancien hôtel de Sully à Paris revenu dans le giron du Centre des monuments nationaux. Le Centre ...
http://www.lejournaldesarts.fr/oeil/couvertures/numeros/parus_couverture/00593/oeil-octobre-2012.php
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Donner à voir une année de création, tel est l’ambitieux projet de l’exposition « 1917 », présentée au Centre Pompidou-Metz. Une année de création en temps de guerre, qui plus est. Alors que ce premier conflit mondial s’éternise et s’enlise, que des dizaines de milliers d’hommes meurent des deux côtés du front, qu’en est-il de l’art, de la littérature ou du cinéma ? Réponse en près de 800 œuvres et documents que réunit leur date commune : 1917.
http://www.dossier-art.com/numero-16/1917.3600.php
Expo au Centre Pompidou Metz jusqu'au 24 septembre
http://www.julian-charriere.net/some-pigeons-are-more-equal-others
Comment un tableau anonyme « allemand xixe siècle », racheté 19 000 $ il y a cinq ans par un collectionneur privé, peut-il s'avérer être aujourd'hui un Léonard de Vinci estimé à plus de 140 millions de dollars ?
Peter Silverman dévoile pour la première fois les indices qui l’ont mis sur la piste de La Belle Princesse. Il raconte les minutieuses investigations des meilleurs experts et scientifiques internationnaux, de New York à Varsovie, confirmant à présent qu’il s’agit bien du 13e portrait connu de Léonard, sans doute celui de Bianca Sforza, peint il y a plus 500 ans par le maître.
Si cette découverte fait polémique, c'est surtout parce qu'elle avait échappé à certains experts et sommités des musées mondiaux qui, de fait, ne veulent plus à aucun prix en entendre parler.
Le débat autour de la restauration de "La Vierge et l’enfant avec Sainte Anne " de Léonard de Vinci a redémarré avec les déclarations d’experts français affirmant que le Louvre est allé trop loin dans le nettoyage de ce chef-d’œuvre, actuellement exposé au Louvre.
Jusqu’à présent, les tenants d’une restauration plus modérée ne s’étaient pas exprimés sur le résultat final. Mais une spécialiste de la restauration des œuvres d’art, Ségolène Bergeon Langle, a estimé dans Le Journal des Arts du vendredi 27 avril 2012 que « le principe de précaution » n’avait pas été respecté et que le « nettoyage aurait dû aller moins loin » , arguant qu’« il y a moins de modelé dans le visage de la Vierge ». Contrairement à elle, Jacques Franck, n’a pas démissionné du comité scientifique international constitué par le Louvre autour de la « Sainte Anne » , mais il regrette l’allègement des vernis « plus prononcé que prévu ».
Cette restauration a été menée par une restauratrice d’origine italienne, Cinzia Pasquali, assistée du Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Vincent Pomarède, directeur du département des peintures du Louvre, assure avoir mené une restauration « prudente » et mis « le pied sur le frein » pour tempérer les ardeurs de membres anglais ou italiens de la commission. De son côté, l’association pour le respect de l’intégrité du patrimoine artistique (Aripa) estime que les micro-soulèvements de la couche picturale n’étaient pas liés à la dégradation des vernis, comme l’avançait le C2EMF, mais à des « mouvements du bois ».
Du 16 juin 2012 au 19 août 2012
Après le succès de l'exposition sur le peintre Foujita, la Grande Halle de Chamerolles, accueillera l'exposition « Femmes artistes : passions, muses et modèles ». De Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun à Niki de Saint Phalle, elle retrace à travers 150 oeuvres le destin d'une cinquantaine de femmes artistes nées ou ayant vécu dans l'entourage professionnel, intellectuel et familial d'autres génies de leur époque, du XVIIIème au XXème siècle.
http://www.tourismeloiret.com/fr/0/0/1/135/actualites/d/0/femmes-artistes-passions-muses-et-modeles
http://www.amazon.fr/Gustave-Moreau-lassembleur-Pierre-Louis-Mathieu/dp/2867701961/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1343845803&sr=1-2
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