Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Histoire des arts
http://media.eduscol.education.fr/file/HDA/83/3/College_Ressources_HDA_128833.pdf
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"Rédiger son appréciation esthétique d’un tableau après avoir pris en compte le goût des autres"
Avec des élèves de seconde, il fallait choisir parmi deux tableaux et dire lequel était préféré selon un cheminement argumentatif nécessairement partagé par les élèves d’un même groupe. L’apprentissage du délibératif étant justement la prise en considération dans l’avis collectif des dissensions individuelles, tout autant que la nécessité de concéder avant de prendre une position personnelle.
Alexis Lucas, Lycée Professionnel Jean Moulin, Roubaix
http://www4b.ac-lille.fr/~lettreslp/giseh/article.php3?id_article=662
René Magritte est un peintre majeur du XXème siècle.
Après des études artistiques classiques, il se livra dans la première moitié des années 20 à diverses recherches, d'abstraction ou de couleur.
Puis, par l'intermédiaire de son ami l'écrivain Louis Scutenaire, il rentra en contact avec les surréalistes et se rallia au mouvement.
Dès lors il creusera obstinément ce même sillon pendant une quarantaine d'année, jusqu'à sa mort d'un cancer en 1967.
Image:
http://seriesmagritte.blogspot.com/2008_05_01_archive.html
Sans être une rétrospective de plus, cette exposition entend situer le peintre Edouard Manet dans son temps, entre l'héritage réaffirmé du romantisme, l'impact de ses contemporains et le flux médiatique de son époque. Comment ? En parcourant successivement les liens qu'il a résolument noués ou dénoués avec la sphère publique et politique, l'enseignement de Thomas Couture, l'impulsion de Baudelaire, la réforme de l'art religieux, l'imaginaire érotique, l'art du fragment (é), le rapport à la peinture féminine, la tentation mondaine, son impressionnisme décalé, sa complicité avec le Mallarmé le plus noir.
http://www.evene.fr/culture/agenda/manet-inventeur-du-moderne-30872.php
"La peinture n’est pas un soulagement. La raison pour laquelle je peins est le désir de créer. Je dois le faire ! J’ai vu ça, je peux encore m’en souvenir, je dois le peindre." Otto Dix.
L'artiste peintre allemand Otto Dix (Wilhelm Heinrich Otto Dix), naît le 2 décembre 1891 à Untermhaus près de Gera. C’est le deuxième fils de Ernst Franz Dix, fondeur, et de Pauline Louise Dix, couturière. Il décède 25 juillet 1969 d’une congestion cérébrale à l’hôpital de Singen.
Au cours de son enfance, Otto Dix séjourne souvent à Naumburg, chez le peintre Fritz Amann.
De 1897 à 1906, il fréquente l’école primaire de Untermhaus, où il est encouragé par son professeur de dessin, Ernst Schunke. De 1906 à 1910, il suit un apprentissage de peintre-décorateur à Gera, chez Carl Senff et prend des leçons de dessin le soir, à l’école de Untermhaus.
http://www.muzeocollection.co.uk/uk/reproduction-tableau/o316433-sainte-marie-madeleine-nue-mi-corps-eve-tendant-pomme-correggio-correge-dit.html
Les peintures colorées sont au premier plan dans l’exposition. Des travaux sur papier, des céramiques et des sculptures viennent se joindre aux tableaux. Le commissariat de l’exposition a été confié à Jean-Louis Prat, lui qui déjà du vivant de Miró avait monté certaines de ses expositions, et avec lequel il était lié d’amitié. Jean-Louis Prat a dirigé pendant plus de 30 ans la célèbre Fondation Maeght à St. Paul de Vence, dans le sud de la France. Il est mondialement reconnu en tant qu’expert en sculpture. Jean-Louis Prat avait déjà assuré le commissariat de l’exposition "Les sculptures des peintres" en 2008 ainsi que celui de la grande exposition dédiée à Marc Chagall, qui avait attiré plus de 190 000 amateurs d’art au musée.
"Miró ne peignait ni de manière abstraite, ni de façon figurative, il employait un langage poétique dans ses peintures", déclare Jean-Louis Prat. Certains des contemporains de l’artiste avaient banni la couleur de leur peinture ; pour lui au contraire, la couleur a toujours revêtu une signification essentielle. Le rouge, le vert, le jaune et le bleu dominent de fait dans les tableaux visibles dans l’exposition, des tableaux qui rayonnent, baignés dans la lumière naturelle du bâtiment conçu par Richard Meier. Miró était admiratif face à la nature, aux objets du quotidien, et leur beauté le fascinait et l’inspirait. La liberté, l’humour, la légèreté mais aussi les ruptures esthétiques marquent l’oeuvre de l’artiste, né à Barcelone en 1893. Peintre, dessinateur et sculpteur, Miró s’est constamment efforcé de ne pas se figer dans l’immobilité ni de vivre dans l’ombre du passé.
L’exposition donne également à voir les rares petits formats des jeunes années de création de Miró. Ces oeuvres permettent de mesurer l’évolution de son art, partant d’une représentation figurative pour arriver à des motifs picturaux symboliques et à des signes récurrents bien spécifiques. Ces signes mystérieux et les taches posées sur le canevas, qui évoquent une partition musicale comme tirée d’un univers onirique, sont typiques des peintures de Miró. On les retrouve d’ailleurs dans ses céramiques et sur ses sculptures, qui sont montrées en regard de ses tableaux.
L’exposition du Musée Frieder Burda met en avant les moments charnières de la création de Miró. L’artiste affirmait à ce propos : "Les gens comprendront progressivement mieux que j’ai ouvert les portes menant à un autre futur, un futur dépourvu d’enseignements erronés et de fanatisme".
Enfin, des textes explicatifs et des photographies historiques permettent aux visiteurs de se représenter la vie et l’influence de Miró. L’exposition s’accompagnée d’un catalogue : Miró. Les couleurs de la poésie, edité par Jean-Louis Prat et la Fondation Frieder Burda, Hatje Cantz Verlag, Ostfildern 2010, 224 pages, 24,80 €.
http://www.moreeuw.com/histoire-art/exposition-miro-baden.htm
Oui, l’œuvre sort plus belle
D’une forme au travail
Rebelle,
Vers, marbre, onyx, émail.
Point de contraintes fausses !
Mais que pour marcher droit
Tu chausses,
Muse, un cothurne étroit.
| 25.10.10 | 15h07 • Mis à jour le 10.12.10 | 20h49
C'est l'histoire d'un ancien trader devenu artiste et objet de scandale. Il a nom Paul Gauguin (1848-1903). La Tate Modern de Londres montre, en onze salles et une centaine de tableaux bien accrochés, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, des fragments de correspondances et des photographies, comment le petit banquier a forgé son propre mythe, jusqu'à se prendre de passion pour ceux des autres et achever sa vie dans la mouise, mais au paradis terrestre.
Par Béatrice De Rochebouet
08/11/2010 | Mise à jour : 11:38
Par Béatrice De Rochebouet
28/10/2010 | Mise à jour : 13:58
Par lefigaro.fr
22/08/2010 | Mise à jour : 10:53
Loreto Verrochia
"Romance de la lune"
Galerie:
Louis Jacques Mandé Daguerre naît le 18 novembre 1787 à Cormeilles-en-Parisis et passe son enfance à Orléans. Il entre comme apprenti dessinateur chez un architecte, avant de travailler à Paris, dans l'atelier de Degotti, le fournisseur de décors pour l'Opéra. Daguerre participe bientôt à des mises en scène pour l'Ambigu et l'Opéra-Comique. Dix ans après son mariage avec Louise Georgine Arrowsmith, Daguerre inaugure le 11 juillet 1822 sa propre salle de spectacles, dans le quartier des théâtres, situé près de l'actuelle place de la République. Le Diorama, construit selon ses plans, offre sur 20 mètres de largeur et 13 mètres de hauteur le spectacle de lieux réels ou imaginaires dont les éléments de décor apparaissent par le jeu subtil de l'éclairage et des transparences. Le Diorama connaît un réel succès, et Daguerre est décoré de la Légion d'honneur.
L'opticien Charles Chevalier lui parle un jour de Joseph Nicép […]
http://www.universalis.fr/encyclopedie/louis-jacques-mande-daguerre/
Je veux parler maintenant de l'un des hommes les plus importants, je ne dirai pas seulement de la caricature, mais encore de l'art moderne, d'un homme qui, tous les matins, divertit la population parisienne, qui, chaque jour, satisfait aux besoins de la gaieté publique et lui donne sa pâture. Le bourgeois, l'homme d'affaires, le gamin, la femme, rient et passent souvent, les ingrats ! sans regarder le nom. Jusqu'à présent les artistes seuls ont compris tout ce qu'il y a de sérieux là-dedans, et que c'est vraiment matière à une étude. On devine qu'il s'agit de Daumier.
Exécuté de 1410 [1413 ?] à 1489, pour le duc Jean de Berry, le calendrier des TRH reflète un monde rural où la richesse repose sur la terre, une société dominée par les propriétaires fonciers qui détiennent le pouvoir économique et politique. La puissance d’un seigneur s’y mesure au nombre de ses vassaux, à l’étendue de ses terres, à la taille et au nombre de ses châteaux.
Le calendrier célèbre la puissance du grand seigneur qu’est le duc Jean de Berry en mettant en scène ses châteaux, ses vassaux, ses terres et les différentes catégories de paysans qui travaillent à accroître ses revenus. (en 1416 à sa mort : comté de Poitiers, duché de Berry et d’Auvergne, comté d’Étampes et de Boulogne : un vaste ensemble territorial de + de 450 000 km2, 1/8 du royaume acquis peu à peu au fil du temps).
L’Homme de Vitruve (ou homme vitruvien) est le nom communément donné au croquis Étude de proportions du corps humain selon Vitruve réalisé par Léonard de Vinci aux alentours de 1492.
Ce dessin à la plume a appartenu à la collection d’œuvres d’art graphique de Giuseppe Bossi avant d’être acheté en 1822 par les Gallerie dell’Accademia de Venise.
http://www.divvaroom.com/LeonardDeVinci/2009/09/25/vitruve/
Dans ma lecture de l'"Histoire de la beauté" d'Umberto Eco