Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Des vers érotiques de Vita Sackville-West adressés à sa maîtresse
Ascot, 1912
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Ascot, 1912
de
Si on pouvait capturer le plaisir, Elena le ferait avec les yeux. Âgée de vingt-neuf ans, d’une beauté innocente mais radieuse, elle ignore encore ce qu’est la passion. Son monde est fait d’art et de couleurs – celles de la fresque qu’elle restaure à Venise, la ville où elle a vu le jour – jusqu’à sa rencontre avec Leonardo, un chef cuisinier de renommée internationale. En entrant dans sa vie, celui-ci emporte tout sur son passage : son histoire d’amour naissante avec Filippo, l’idée qu’elle s’est toujours faite d’elle-même et, surtout, sa façon de vivre les plaisirs de la chair.
Leonardo, qui vient de s’installer dans le palais où elle travaille, s’apprête à lui ouvrir les portes d’un paradis inexploré, dont lui seul possède les clés. Il sait que le plaisir doit conquérir tous les sens, qu’il a une forme, une odeur, une saveur, et va initier Elena à une condition : qu’elle ne tombe jamais amoureuse de lui. Mais comment résister au magnétisme de cet homme et au tourbillon des sens qu’il éveille en elle ?
Traduit de l’italien par Léa Tozzi
Irene Cao est née à Pordenone en 1979. Elle a fait des études de lettres classiques à Venise, où elle a également soutenu un doctorat en histoire ancienne. Elle vit actuellement dans un petit village du Frioul. Pour tes lèvres est le tome 2 de La Trilogie italienne.
http://www.editions-jclattes.fr/livre-sur-tes-yeux-irene-cao-537442
Femme nue debout, les bras relevés derrière la tête, vers 1894, Rodin. Crédits photo : © Paris, Collection musée Clemenceau
Découverts dans les archives du Tigre, des dessins érotiques du sculpteur sont exposés pour la première fois.
Au sommaire de ce numéro :
L'érotisme dans l'art Par Jean-Claude Carrière, Michel Onfray, Olivier Py, Boris Cyrulnik, Dominique Fernandez, Stéphane Guégan, Philippe Dagen, Marie Darrieussecq, Philippe Sollers...
http://www.madeinpresse.fr/le-nouvel-observateur-hs-0280200.html
Kate Moss en une de Playboy, Lady Gaga digitalisée en déesse de l’amour par Jeff Koons… Face à la morosité, les créateurs célèbrent le glam sex, et la sexualité s’impose comme rempart à la toute-puissance du moi. Pour vivre heureux, vivons couchés.
2013, année de braise ? Art, mode, cinéma…, le glam sex s’affiche partout. Lors de la dernière Fashion Week de Milan, fin septembre, l’œil cherchait en vain la bretelle du soutien-gorge que Kate Moss ne portait pas sous son chemisier transparent, laissant poindre des seins irradiant de sensualité insolente sous les flashs des photographes. Et l’on brûle de découvrir le cadeau torride que la top britannique va s’offrir pour fêter ses 40 ans : la une de la revue de charme Playboy. Loin du porno triste et nihiliste façon Houellebecq, ce nouvel érotisme chic et radieux rejaillit dans la mode, qui adoube des bimbos hotissimes (Nabilla chez Jean Paul Gaultier, Zahia chez Karl Lagerfeld). Les artistes s’emparent aussi de nudités flamboyantes.
Sur la pochette du nouvel album de Lady Gaga (Artpop, le 8 novembre), le plasticien Jeff Koons a transformé la star en Vénus botticellienne digitalisée par la cybernétique. En littérature, l’écrivain Jean-Philippe Toussaint signe cet automne une ode au désir sensuelle et délicate, sobrement intitulée Nue. Plus sulfureux enfin, le cinéaste Lars von Trier offre à Charlotte Gainsbourg un grand rôle érotique dans Nymphomaniac, qui retrace la vie sexuelle d’une femme, de la puberté à la cinquantaine (en salles le 25 décembre).
Que révèle ce soudain réchauffement climatique des sens ? Le sexe – et l’amour au sens large – serait-il notre nouvelle parade pour contrer la morosité ? La sexologue Ghislaine Paris, qui publie cette semaine L’Importance du sexuel (éd. Odile Jacob), l’affirme : « Nous reconnecter à notre énergie sexuelle nous rend plus forts pour affronter la crise. La libido est l’énergie motrice de la société. Face à l’ambiance mortifère de la récession, symbolisée par Thanatos, nous avons plus que jamais besoin de la force d’Éros. C’est Éros qui nous pousse à travailler, à entreprendre, à réfléchir, à créer, à aimer. Le désir, c’est le carburant de la vie. » Face à cette promesse de bonheur en érection, voici nos six arguments pour nous réconcilier avec la félicité sexuelle.
Le Monde | 07.03.2013 à 14h04 • Mis à jour le 07.03.2013 à 14h39
Propos recueillis par Propos recueillis par Jean Birnbaum
Le port industriel fait une entrée triomphale dans la peinture moderne en 1874 lors de la première exposition impressionniste. Mais c'est Camille Pissarro qui donnera toute sa dimension à ce thème à travers une importante série réalisée pendant vingt années, de 1883 à 1903, dans les trois ports normands de Rouen, Dieppe et Le Havre. Ce hors-série accompagne l'exposition organisée par le musée d'art moderne André Malraux du Havre, dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste 2013.
L'union de la poésie et de l'érotisme est « la rencontre de deux émois majeurs », souligne le poète Zéno Bianu dans sa préface. Trois cent cinquante poèmes sont rassemblés dans cette anthologie de la volupté, cinq siècles de poésie française abordés sous l'angle des sens. La mise en bouche, signée Eustorg de Beaulieu (1495-1552) et son Blason du cul, se poursuit avec Jean Antoine de Baïf (1532-1589) et son Doux Plaisir. Sade et Musset sont en bonne place, comme Louÿs et Apollinaire. On s'arrête chez Prévert, Perros et Vian, avant de fouiner du côté des contemporains : Delbourg ou Sampiero. Les jeux de la langue sont infinis.
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http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/09/21/sylvia-kristel-ne-l-appelez-plus-emmanuelle.html
Créé le 17-04-2012 à 14h56 - Mis à jour le 18-04-2012 à 15h24 Réagir
Ce volume réunit la quasi-totalité de l'oeuvre érotique connue de Pierre Louÿs (1870-1925), qui constitue l'une des plus vastes et des plus radicales production du genre. |
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Cet ensemble d'écrits très variés (poèmes, dialogues, contes, romans, pièces de théâtre, etc.) s'étale sur plus de trente ans, couvrant ainsi l'adolescence et l'âge mûr de Pierre Louÿs. Il s'agit d'une oeuvre qui se propose de dépasser les limites du genre et de braver tous les interdits. C'est avec une véritable frénésie que Louÿs, dès ses dix-huit ans, s'est employéà composer des textes érotiques, ce qu'il fera presque jusqu'à la fin de sa vie. Il y appliquera tous ses dons d'écrivain et surtout de poète doué d'une riche imagination. Cette immense production doit, pour être bien comprise, être mise en parallèle avec les non moins immenses recherches que l'écrivain a effectuées tout au long de sa vie sur tout ce qui concernait l'amour et le sexe, aussi bien dans le domaine littéraire que dans celui de la linguistique, de l'histoire, de la sociologie, de l'anthropologie et du folklore. La connaissance encyclopédique qu'il parvint ainsi à avoir d'un tel sujet viendra nourrir son oeuvre érotique, qui n'est nullement un défoulement passager, mais l'aboutissement logique ? et extrême ? d'une véritable hantise, doublée d'une curiosité sans bornes pour ce qu'Henry Miller appelait « le monde du sexe ». Demeurée inédite durant la vie de son auteur, en raison de la censure, elle sera découverte progressivement après sa mort. Encore ne la connaît-on pas actuellement dans sa totalité ; certains manuscrits restent encore inédits et inaccessibles. Une partie de cette oeuvre était déjà connue du grand public, par de nombreuses rééditions de certains titres, à vrai dire toujours les mêmes : Trois Filles de leur mère, Manuel de Civilité, Pybrac. Néanmoins, on trouvera ici près de trois cents poèmes inédits, sans parler d'autres textes, parfois inattendus. Ils proviennent tous de collections particulières. Cette édition a étéétablie par Jean-Paul Goujon, biographe de Pierre Louÿs, à qui l'on doit par ailleurs de nombreux travaux et publications de textes de cet écrivain. Le livre s'accompagne de notes bibliographiques et d'un index des titres et des premiers vers des poèmes. |
http://www.bouquins.tm.fr/site/oeuvre_erotique_&100&9782221127476.html
Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
L'éditeur a été bien inspiré de s'adresser à Jacques Demarcq, non seulement parce que c'est sans doute le meilleur traducteur de Cummings dans notre langue (ce qui se constate déjà visuellement en feuilletant cette édition bilingue) mais aussi parce que c'est un poète ; du coup, on a une édition supérieure à l'originale US, grâce à la remise en ordre et au référencement des textes, ainsi qu'à la postface de l'auteur des ZOZIOS, dont nous donnons ci-dessous quelques extraits. Elle remet en perspective les choix de cette anthologie par l'évocation vive et brillante du contexte biographique, éthique, esthétique et éditorial des poèmes.
Souhaitons que ce florilège aguichant, par ailleurs profond et non dénué d'humour, contribue à drainer un public plus large vers les livres composés par Cummings que sont 95 poems, font 5 et No Thanks
Par Nathalie Gentaz, le lundi 12 mars 2012
Jackpot pour Amanda Hayward, encore un peu déboussolée par la situation, qui a vu le roman érotique que sa petite maison d'édition publie, Fifty Shades of Grey d'un auteur méconnu, E.L. James, devenir un best-seller en quelques semaines seulement.
Cette success-story commença il y a un an, quand Amanda et son mari décidèrent de créer une maison d'édition, The Writer's Coffee Shop, et de publier gratuitement des romans d'amateurs. Au début, Fifty Shades of Grey était publié, chapitre après chapitre sur le site de la maison d'édition.
Son succès auprès des lecteurs était tel que l'ebook est sorti en mai 2011, et que ces derniers mois, près de 250.000 titres ont été vendus. Propulsé par la toile, le roman a atteint le top de la liste des best-sellers du New York Times, catégorie « ebook fiction », et vient d'être vendu à Random House pour 1 million de $.
Photo perso du 15 février
"Osez le clito". C'est ce que prône le collectif "Osez le féminisme" qui a lancé lundi 20 juin dans toute la France une campagne d'affichage à la gloire de l'organe du plaisir féminin. Virée avec l'une des équipes d'affichage.
http://www.liberation.fr/vous/06013842-un-bon-cunnilingus-du-plaisir-pour-tout-le-monde