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L'univers celte - Page 2

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    Très bons résultats pour le festival interceltique de Lorient

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    NOUVELOBS.COM | 13.08.2007 | 09:40

    L'édition 2007 a rassemblé entre 600.000 et 700.00 visiteurs. C'est "l'un des meilleurs festivals de ces six ou sept dernières années", selon son directeur.

    Lisardo Lombardia , directeur du Festival interceltique de Lorient, qui s'est achevé
    dimanche 12 août avec un concert de Dan ar Braz, s'est félicité de la bonne fréquentation de l'édition 2007. L'événement "a rassemblé, comme l'an dernier, entre 600.000 et 700.000" festivaliers, dont 65.000 pour la seule Grande parade qui réunit presque tous les artistes présents au festival.
    "Nous avons enregistré 140.000 entrées payantes contre 120.000" en 2006, a-t-il précisé, estimant que cela avait été "un des meilleurs festivals de ces six ou sept dernières années, (...) aussi bien au niveau artistique qu'économique", a indiqué Lisardo Lombardia.

    Baisse des aides de l'Etat

    Il a regretté une baisse des aides de l'Etat, particulièrement de la Direction régionale des affaires culturelles de Bretagne qui a "diminué sa subvention de 37.000 euros cette année".
    Or, a-t-il souligné, le festival "a eu des surcoûts importants car les secouristes ont quadruplé leurs factures (20.000 euros en 2006 contre 80.000 cette année) et aussi parce que le terrain de football du stade du Moustoir a dû être rendu au foot" samedi soir, obligeant les organisateurs à annuler une Nuit magique (payante).
    4.500 artistes venus d'une dizaine de régions ou pays, ont animé ce festival, le plus important de Bretagne, en donnant quelque 300 spectacles.
    Le thème de l'édition 2008 sera le Pays de Galles.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/festivals_2007/20070813.OBS0330/tres_bons_resultatspour_le_festival_de_lorient.html

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    Ogme

     

    Dans la mythologie celtique, le dieu Ogma est connu sous de nombreuses variantes orthographiques : Ogm, Ogme, Ogmios, Ogmius. Un h est parfois accolé au g montrant qu’il est quasiment inaudible en irlandais.

    Jules César qui écrit Ogmios l'assimile à Mars et Lucien de Samosate (IIe siècle) le rapproche d’Héraclès. Il le décrit comme un vieillard à demi-chauve avec de longs cheveux blancs qui lui retombent dans le dos. Il a une peau de lion, une massue, un arc et un carquois. Enfin il retient par des chaînes d'or fixées aux oreilles, une multitude d’hommes. Selon Georges Dumézil, l’idéologie tripartite des Indo-européens le rend comparable au dieu védique Varuna.

     

    Dans la hiérarchie du panthéon irlandais Ogma se place en troisième position derrière Lug, le dieu polytechnicien suprême, et le Dagda, le dieu-druide, dont il est le frère et le complément. Il est au même rang que Nuada et fait donc partie des Tuatha Dé Danann (les Gens de la déesse Dana) et relève de la deuxième classe guerrière dont la fonction est de diriger les héros et les guerriers. Dans ce rôle martial, il est vêtu d’une peau de lion et il est armé d’un arc et d’un carquois ainsi que d’une massue. En tant que dieu de la magie, il a le pouvoir de paralyser ses ennemis.

    Inventeur mythique de l’écriture, on lui attribue la création des Ogam qui constituent l’alphabet des druides. Par conséquent, l'éloquence et la poésie entrent également dans ses attributions. On le représente alors comme un vieillard dont la bouche, d’où jaillissent l’or et l’ambre précieux, fascine la foule. On le montre aussi muni d’une langue reliée aux oreilles des hommes par une chaîne qui symbolise son rôle de rassembleur et de civilisateur.

    La racine de son nom signifie « chemin, sentier », il indique la juste direction aux vivants et devient psychopompe pour les morts qu’il accompagne dans l’Autre Monde.

    On peut le rencontrer sous l’un de ses trois avatars :

    • Elcmar « envieux, jaloux », contraire du Dagda le dieu-bon ;
    • Labraid « le parleur », symbole de l’éloquence, il est bègue ;
    • Celtchar « le rusé ».

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ogme

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    Dagda

    Le Dagda (« dieu bon » - Daga Devos) est, dans la mythologie celtique irlandaise, le dieu le plus important des Tuatha Dé Danann juste après Lug. Il est aussi connu dans la littérature sous les noms de Eochaid (« qui combat par l'if »), Ollathair (« le père puissant ») et Ruadh Rofessa (« Rouge de la science idéale »). Il apparaît notamment dans le récit « Cath Maighe Tuireadh » (bataille de Mag Tured).

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    Psychopompe

    En mythologie, un dieu psychopompe (du grec psukhopompos) est le conducteur des âmes des morts (guide ou passeur), le guide dans la nuit de la mort. L'épithète s'appliquait entre autres à Apollon, Hermès ou encore Orphée. Chez certains peuples sibériens, un cheval sacrifié par le shaman sert également de psychopompe.

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    Epona

    Déesse gauloise. Épona - du gaulois epos, « cheval » - était la déesse protectrice des chevaux, également appelée « la jument divine ». Elle est représenté assise sur le dos d'un cheval (type Équestre), ou dans une chaise entre deux chevaux ou poulains (type Impériale). Elle tient souvent une patère ou une corne d'abondance. C'est un avatar important de Brigantia, la grande déesse des Celtes

    Son culte s'est transmis par les auxiliaires Gaulois aux Romains et des traces de ce culte furent retrouvée au Latran dans la caserne des equites singularum - cavaliers barbares de la garde impériale. Les palefreniers lui érigeaient des sanctuaires dans les étables. Elle fut la seule déesse Galloise à avoir eu un lieu de culte dans Rome.

    La ville de Villeneuve d'Ascq possède un géant appelé Epona

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Epona

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    Écriture oghamique

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    L’écriture oghamique ou oġam est la plus ancienne connue chez les Celtes qui tenaient le dieu Ogme pour son inventeur. C’est une écriture alphabétique composée de vingt lettres qui était en usage dans les îles britanniques, elle aurait été créé vers le IIIe siècle après J.C. à partir de l’alphabet latin. Il est composé de quatre groupes de cinq encoches chacun, à gauche, à droite, en travers et au milieu d’une ligne verticale. Plus tard, on y a ajouté un cinquième groupe de cinq diphtongues ou lettres supplémentaires pour représenter les sons étrangers. La plupart des textes retranscrits en alphabet oghamique le sont en vieux gaélique; sauf quelques incriptions supposées être en langue picte. On a retrouvé, aussi, dans les annales d’Inisfalen, une inscription oghamique écrite en latin.

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