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La bibliothèque universitaire de Tréfilerie - Page 10

  • J'ai fini de lire tout à l'heure:«Nouvel» vague

    Nouvel (Petite Collection Architecture)

    Le plus grand architecte français

    Jean Nouvel, lauréat du prix Pritzker en 2008, est considéré comme l’architecte français actuel le plus original et important. Il a débuté aux côtés des grands Claude Parent et Paul Virilio, entre 1967 et 1970, avant d’ouvrir son propre cabinet à Paris. Il a remporté son premier succès critique avec l’Institut du Monde Arabe, à Paris (1981-87). Depuis, il a notamment signé l’Opéra de Lyon et la Fondation Cartier (Paris). Comptent parmi ses plus importants projets réalisés depuis l’an 2000 le Centre de Culture et de Congrès de Lucerne, en Suisse, la spectaculaire Tour Agbar de Barcelone, le Musée du quai Branly à Paris, le Guthrie Theater de Minneapolis, dans le Minnesota et l’Hôtel Sofitel Vienna Stephansdom avec son centre commercial. Jean Nouvel s’est vu décerner la médaille d’or royale du RIBA (Royal Institute of British Architects). À l’occasion de cette distinction, Peter Cook a salué les créations de Nouvel: «Dans une époque de fadeur, d’imitation et de doute, son œuvre brille toujours par son évidence et sa finesse, son originalité et son lyrisme.»
    À propos de la collection:
    Chaque volume de la Petite Collection Architecture de TASCHEN contient:
    • en introduction, des textes qui explorent l’origine, la vie et l'œuvre de l'architecte
    • ses réalisations majeures, présentées selon un ordre chronologique
    • des informations sur les commanditaires, les conditions architectoniques préalables ainsi que les problèmes de construction rencontrés et les solutions qui leur ont été apportées
    • une  liste de toutes les réalisations sélectionnées et une carte sur laquelle sont indiquées les constructions les plus célèbres de l'architecte
    • environ 120 illustrations (photographies, esquisses, dessins et plans)
    À propos de l'auteur:
    Philip Jodidio (né en 1954) a étudié l’histoire de l’art et l’économie à l’université Harvard et a été rédacteur en chef du magazine français Connaissance des Arts pendant plus de vingt ans. Chez TASCHEN, ses publications incluent la série Architecture Now! ainsi que des monographies sur Tadao Ando, Norman Foster, Richard Meier, Jean Nouvel et Zaha Hadid. Il est l’un des auteurs internationaux les plus lus dans le domaine de l’architecture.
     
  • J'ai terminé hier soir: soir:L'ultime secret de Frida K.

     
     

    Dans une galerie d'art mexicaine, un tableau de Frida Kahlo a été volé. On trouve au sol des douilles de kalachnikov, l'arme favorite des narcotrafiquants. Quant au galeriste, son crâne a été fracassé à coups de statuette représentant la Santa Muerte, un squelette en robe de mariée, ou Vierge des délinquants. Au même moment, des autels dédiés à son culte sont profanés, des strip-teaseuses assassinées, la Vierge macabre tatouée sur le coeur. Plongée dans les bas-fonds de Mexico sur les traces de ce mystérieux autoportrait que Frida aurait peint en 1940 pour son amant caché, Trotski, installé dans la maison bleue du couple étrange que forment Kahlo et le muraliste Diego Rivera. Si l'on accepte le prétexte d'un message caché dans un tableau censé ne pas exister, on passe alors des heures délicieuses dans l'intimité de la belle Frida et de son révolutionnaire en exil

    http://www.lepoint.fr/livres/l-ultime-secret-de-frida-k-10-05-2012-1697946_37.php

  • J'ai terminé hier soir:Le saut de Tibère(que ma mère m' a offert)

    Avec "Le saut de Tibère", Gilda Piersanti dit ciao à Capri

    LIVRES - Polar, thriller, roman noir... Chaque jeudi, retrouvez le coup de coeur de Marc Fernandez, cofondateur et rédacteur en chef de la revue "Alibi". Aujourd'hui "Le saut de Tibère", de Gilda Piersanti.

     
    Gilda Piersanti, la plus française des auteurs italiennes.
    Gilda Piersanti, la plus française des auteurs italiennes. Photo : BALTEL/LAMACHERE AURELIE/SIPA

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  • Je viens de finir:Viollet-le-Duc

    Le tour de France des 100 monuments restaurés par l'architecte

     
    05 février 2014

    Sous la Monarchie de Juillet (1830-1848), la volonté de remettre à l’honneur de grands édifices symboliques de l’Ancien Régime, comme le Louvre, Versailles ou Saint-Denis, conduit l’État à mettre en place un appareil administratif pour les monuments historiques. Dirigé par Ludovic Vitet, puis par Prosper Mérimée, le nouveau service d’inspection a pour mission de classer les édifices et d’y entreprendre des travaux de conservation, ceux-ci pouvant aller d’une simple réparation à la rénovation complète du bâtiment.
    Les édifices médiévaux sont les premiers à bénéficier de cette politique de conservation. En 1840, Mérimée confie au jeune architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration de l’église de la Madeleine de Vézelay, qu’il avait visitée
    lors de sa première tournée. Réputé exemplaire et consciencieux malgré sa radicalité, le sauvetage de l’église de Vézelay marque le début d’une longue série de restaurations : la Sainte-Chapelle (1842), Notre-
    (1843), Carcassonne et ses remparts (1844), Saint-Sernin de Toulouse (1846), Saint-Denis (1846)... Dès son vivant, et plus encore à partir de la fin du siècle, les restaurations de Viollet-le-Duc ont été jugées excessives, parfois même démesurées, et ont suscité énormément de polémiques.

    Pour les deux cents ans de naissance de Viollet-le-Duc, publie un hors-série presse, l’occasion de revenir sur les théories et idées de l’architecte, qu’il affirme dès 1858, très clairement et sur ses succès, ses erreurs et la controverse qui continue d’animer les historiens de l’art. Il parlera aussi des chantiers, des secrets de restauration.


    Informations sur ce numéro: 108 pages - 23 x 30 cm
    EAN : 9791020400628
    Reliure : Broché
  • J'ai terminé hier soir:Retour à Jericho

    Retour à Jerichode

    Ace Atkins

     

    Pour Ace Atkins, le fléau qui ravage le Mississipi rural est double : les promoteurs immobiliers véreux et les bouilleurs de meth. La ville imaginaire de Jericho, dans le comté de Tibbehah possède les deux. 
    Quinn Colson, tout juste revenu de missions en Afghanistan et en Irak, s’y rend pour assister aux obsèques de son oncle, le shérif local, qui s’est apparemment « suicidé » avec son calibre .44. L’adjointe du shérif, Lilly Virgil, pense qu’on l’a aidé. L’horrible Johny Stagg, malfrat de l’immobilier, souhaite récupérer la ferme du shérif, dont Colson a hérité, et qu’il aurait gagné au poker. Colson n’est pas près de se laisser faire. Il fait appel à son vieux camarade, vétéran lui aussi, pour régler ses comptes. Il croise aussi la route d’une adolescente de seize ans, enceinte jusqu’aux dents, à la recherche du père de l’enfant, probablement sous les verrous dans la prison du coin. 
    Elle est  « recueillie » dans la ville champignon qui a fleuri sur un terrain vague à l’entrée de Jericho et dont le chef de tribu, un gourou de la suprêmatie blanche, a un labo de meth. Bref, il faudra toute la force de caractère et l’expérience acquise à l’armée pour que Colson démêle cette histoire. 

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch

     

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  • J'ai lu hier:Delacroix - La Mort de Sardanapale- Le Musée du Monde - vol. 12

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Ce douzième opus plonge dans le romantisme avec Eugène Delacroix. Inspiré par l’Orient, le peintre s’oppose à la rigueur des Lumières en exaltant le sentiment et le rêve.

    La Mort de Sardanapale
    Charles Baudelaire aura pour le peintre des mots qui campent l’homme, l’artiste comme le territoire qu’il a choisi d’explorer : « Quel est donc ce je-ne-sais-quoi de mystérieux que Delacroix a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme. » Son Sardanapale (1827), aussi alangui qu’impassible, indifférent à son propre destin, est un emblème du héros mythique désabusé, qui préfère précipiter son peuple dans le chaos et le néant plutôt qu’accepter la défaite en renonçant au pouvoir. Il périra par le feu, et sa cour par les armes. Dans cet Orient romantique et imaginaire – que Delacroix ira étudier sur place – s’affirme le privilège du sentiment sur la raison, du rêve et de la fantaisie sur une vision lucide ou maîtrisée du monde. Les romantiques s’opposent à la rigueur rationnelle des Lumières et au néoclassicisme de leurs prédécesseurs. Le drame et la passion entrent dans l’histoire, et avec eux la délicatesse de Corot ou la sensualité de Géricault. Avaient-ils raison ? La violence d’un tigre au combat, le regard détourné d’une esclave dans un harem en disent peut-être davantage sur les moeurs et les idées d’un temps que bien des discours. Le regard de Delacroix possède ce pouvoir flamboyant de vie, nous répétant sans cesse que la modernité est en marche. Signac ou Van Gogh s’en saisiront, rappelant eux aussi que le romantisme n’a pas seulement traversé le xixe siècle mais les passions de tout temps.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/livres/musee-du-monde/musee-du-monde-12-delacroix.html

  • J'ai lu cette nuit d'insomnie:La beauté du monde, Ennedi

    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    de P. Villecroix, J. Alessandra
     
    Mai 2012
    L'histoire...
    Construit sous la forme d’un journal, Ennedi, la beauté du monde raconte douze jours de périple à travers cette région désertique du nord est du Tchad, mettant en exergue ses paysages - parmi les plus beaux de l’Afrique Saharienne - et la diversité de ses populations. Ce carnet de voyage dessiné nous emmène de Fada aux lacs Ounianga Kébir et Ounianga Sérir en passant par la Guelta d’Arché, dévoilant au passage les splendides peintures rupestres de cette région.

    La nature et les hommes sont décrits avec la sobriété qui convient lorsque l’on est plongé dans un monde désertique caractérisé par ses intemporalité, virginité et immuabilité…

    Les auteurs croisent leur ressenti avec ceux des premiers aventuriers qui ont parcouru et décrit ces espaces : les géographes allemands du 19e siècle (Heinrich Barth, Gustav Nathingal…) mais aussi les méharistes français du début du 20e siècle.

    Un carnet qui constitue une invitation au voyage et présente pour cela, en fin d’ouvrage, quelques informations pratiques.
     
    > En savoir plus sur P. Villecroix et J. Alessandra
    cliquez ici pour voir en grand

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  • J'ai terminé hier soir:Tiepolo - L'Immaculée Conception

     

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    Tiepolo - L'Immaculée Conception


    Le Musée du Monde - vol. 10

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.

    L'Immaculée Conception
    Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
    l’éternité comme un socle de modernité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • J'ai terminé ce matin d'insomnie:"Le Pont des Assassins" d'Arturo Pérez-Reverte

    Le Pont des Assassins d'Arturo Pérez-Reverte

    Noël 1627: la cité des Doges est le théâtre d'une conspiration baroque.
     

    Noël 1627: la cité des Doges est le théâtre d'une conspiration baroque. Crédits photo : Jean-Paul Garcin/Photononstop

    Septième volet des aventures du capitaine Alatriste, soldat désabusé mais toujours fidèle à la couronne espagnole. Sa dernière mission, quasi impossible : éliminer le doge de Venise.

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  • Pendant un voyage,j'ai lu:HOMME, FEMME… LES LOIS DU GENRE

    La loi ouvrant le mariage à tous a soulevé les passions. Mais n’est-­‐il pas la conséquence normale d’un processus engagé depuis plusieurs siècles ? Comment se sont construites les notions de féminité et de masculinité?
    Qu’en disent les biologistes, les psychiatres, les historiens les anthropologues?

    Le Point Références présente dans ce hors-­‐série un panorama de textes emblématiques du rapport homme-­‐femme à travers l’histoire et le monde. De la Bible aux « gender studies », d’Aristote à Judith Butler, de Rome à l’Afrique, l’identité sexuelle et les rôles assignés aux genres sont aussi variés que flexibles.
    L’anthropologue Françoise Héritier, digne successeur de Claude Lévy‐Strauss au Collège de France, mais aussi Catherine Vidal,
    Delphine Horvilleur, Florence Dupont, Rémi Brague et beaucoup d’autres analysent ces lois du genre que l’on a crues immuables.

    Et nous montrent que ces mutations sont bien plus qu’un simple effet de mode…

    http://boutique.lepoint.fr/produit/490/homme-femme%E2%80%A6-les-lois-du-genre

  • J'ai terminé hier:Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique

    Information publiée le samedi 31 mars 2012 par Alexandre Gefen (source : éditions Buchet-Chastel)

     

    Référence bibliographique : Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique, Buchet-Chastel, collection "Essais et Documents", 2012. EAN13 : 9782283025833.


     

    Depuis 2010, le livre imprimé, relié, vertical tend à se diluer dans le virtuel de nos écrans. Certains déplorent l’avènement de ce nouveau livre-fantôme, d’autres y voient une avancée extraordinaire. Tous se demandent si le numérique ne tuera pas le totem mis sur pied par Gutenberg.  

    Dépassant les prophéties et les clivages qui enflamment les débats actuels, Olivier Larizza s’interroge sur ce qui fragilise ou au contraire consolide notre désir de livre tel qu’il se manifeste depuis plus de cinq siècles. En quoi sommes-nous si attachés à l’objet papier ? Que gagnerions-nous, ou que perdrions-nous, à l’abandonner ? L’e-book le remplacera-t-il ? Et avec quelles conséquences sur la lecture, la littérature, nos sociétés ?

    « Le livre a ses raisons que la raison ne livre pas » : il sécrète des affects et des fantasmes particuliers. Il fallait donc cet essai original et plein d’acuité pour nourrir une réflexion essentielle.  

     

    Olivier Larizza est professeur de littérature anglaise à l’université des Antilles-Guyane (campus de Schoelcher) et chercheur à l’université de Haute-Alsace (Institut de recherches en langues et littératures européennes). Il a aussi enseigné à la faculté de Strasbourg. Il est par ailleurs romancier et l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages.

     

    La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique de Olivier Larizza, Paris, Buchet-Chastel, 2012.

    128 pages

    13 euros 

     

     

     

    Responsable : éditions Buchet-Chastel

     

    Url de référence :
    http://www.buchetchastel.fr

     

    Adresse : éditions Buchet-Chastel7 rue des Canettes75006 Paris




    http://www.fabula.org/actualites/olivier-larizza-la-querelle-des-livres-petit-essai-sur-le-livre-a-l-age-numerique_50328.php

  • J'ai lu hier:Description du numéro L'Estampille/L'Objet d'Art n° 495

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 495 - Novembre 2013

    Quels projets pour le Louvre ? Entretien avec Jean-Muc Martinez, président-directeur du Louvre. Le goût de Diderot, exposition au musée Fabre de Montpellier. Le nouvel écrin du palais Galliera. Michiel Coxcie, le Rapahël flamand ? Le service Orloff, cadeau d'adieu à Catherine II. Daniel-Henry Kahnweiler, le marchand des cubistes. Paris Tableau, la valse des attributions.

     

    Articles

    Actualités

    Numéro précédent : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 494 - Vallotton, le feu sous la glace

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  • J'ai lu hier:Pop Art HS

     

     
    hors-série Pop Art
    Parution : 21 juin 2013

    La révolution POP.
    Le Pop Art de A à Z

    + dossier Roy Lichtenstein

    Comment un art populaire né dans les années 1950 a fait tomber les barrières et est devenu une véritable culture pop et mondiale.

    A l’image des produits qu’ils peignent, sérigraphient, recyclent, malmènent ou célèbrent, les artistes des années pop ont connu une valse d’étiquettes. Avant ou après l’avènement du mot, on les aura croisés sous les termes “néo-Dada” chez les plus cultivés, “junk art” sur la côte Ouest, “Nouveau Réalisme” en France et “New Realism” outre-Atlantique, “bunk” (“foutaises”) chez l’Italo-Ecossais Eduardo Paolozzi, mais aussi “réalisme capitaliste” plus ironique et revendiqué par Gerhard Richter. Plus drôle encore, l’appellation péjorative de “new vulgarians”, appliquée par les tenants de la peinture expressionniste abstraite à ces peintres de supermarket. Mais le terme “pop” l’emporte très vite, venu d’Angleterre sous la plume du critique Lawrence Alloway pour désigner les objets populaires issus de la nouvelle culture de masse, et capturé en 1962 par les artistes américains en raison de l’origine inévitablement US de cette nouvelle réalité socioculturelle, qui a la couleur du ketchup et le goût du Coca-Cola. 
    1956-1968 : les années pop commencent autour des multiples appropriations et détournements de l’objet populaire par des artistes américains et européens. Après la guerre et dans la nouvelle abondance de l’économie de masse, c’est l’époque des Combine Paintings de Rauschenberg, des affiches déchirées de Raymond Hains et Jacques Villeglé, tandis qu’à Londres l’expo-événement This Is Tomorrow de l’Independent Group, lieu de naissance historique du pop art, rassemble des objets archéologiques, des robots et des images de Marilyn. “Qu’est-ce qui peut bien rendre nos intérieurs d’aujourd’hui si différents, si séduisants ?”, s’y interroge dans une douce ironie Richard Hamilton, figure British de ce nouveau courant qu’il définit comme “populaire, éphémère, vite oublié, bon marché, produit en masse, jeune, spirituel, sexy, inventif, précieux, big business” : tout un programme. D’où se dégage une généreuse énergie à vouloir faire corps avec son époque. Les inRocKuptibles
     
  • J'ai terminé hier soir avec plaisir:Venise : Itinéraires avec Corto Maltese

    Hugo Pratt , Guido Fuga , Lele Vianello

    En compagnie de Corto Maltese, personnage emblématique de la bande dessinée, et de son créateur, Hugo Pratt le Vénitien, découvrez un autre visage de la Sérénissime. Les itinéraires de ce guide vous révéleront une Venise cachée, celle que le dessinateur aimait et dans laquelle il déambulait, loin des parcours balisés. Au détour d'une ruelle déserte, vous percerez le secret d'un chef-d'oeuvre architectural, vous pénétrerez dans les cours pleines d'histoires, de fables et de légendes, vous passerez de la lumière à la pénombre, de l'agitation à la tranquillité et peut-être trouverez-vous sur votre chemin le fantôme de Corto Maltese. Des itinéraires précis pour expérimenter la ville et la découvrir pas à pas ; Des illustrations qui vous font voir Venise sous un nouveau jour ; Des plant détaillés pour chaque promenade ; Tous les quartiers de la ville, leur évolution et leur atmosphère ; Des lieux secrets, inconnus de tous, pour sortir des sentiers battus ; Des anecdotes et des éclairages culturels inédits ; Un carnet pratique.
     
  • J'ai aimé lire:Nathalie Courtet,"Aux portes de l’Orient,L'Asie à vélo couché T1" et c'est elle qui a gagné avec 41% des voix le prix

    Aux portes de l’Orient -

    Ils sont partis un petit matin d’avril 2008 d’un village du Haut-Doubs, à vélo couché, pour rejoindre Téhéran sept mois plus tard. En tout, près de 13 000 kilomètres, des cols et des plaines, et huit pays traversés dont le Monténégro, l’Albanie, la Turquie et la Cappadoce… Des paysages grandioses et des routes inconnues, autant de rencontres exceptionnelles et de mésaventures pour Nathalie et Michel Courtet qui réalisent là un rêve de gosse : voyager avec le moins de contraintes possibles, sans sponsors, et pour le seul besoin de l’ailleurs. Aux portes de l’Orient est le premier tome d’un récit de voyage relatant cette traversée de l’Europe et de l’Orient à vélo couché.

    http://www.editionsphebus.fr/aux-portes-de-l-orient-nathalie-courtet-9782752907271

    Ce livre fait partie des livres à lire par le jury dont je fais partie:

    Prix littéraire

    Envie d’évasion ?

    Découvrez notre sélection de récits de voyages :
    couverture livre Tropique du Bayanda       couverture livre "un an de cabane"       couverture livre 'espiritu pampa"       couverture livre "aux portes de l'orient - l'asie à vélo couché"

    Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013

    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)

    Précédente publication:

    22/12/2012 21:46

     

  • "Le Chat du kimono T.1 " de Nancy Pena

    cliquez ici pour voir en grandLe Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d’histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l’île de Kyusku où la fille du propriétaire d’une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l’aimait en secret.

    Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n’y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l’un aux motifs de rats et de mulots, l’autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu’un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s’enfuit à la poursuite d’une grue…

    Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l’amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…

    http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=47

  • J'ai pris plaisir à lire:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488 - Mars 2013

    Ce mois-ci, la Kunstkammer du Kunsthistorisches Museum de Vienne rouvre ses portes et révèle les trésors de la famille des Habsbourg, et notamment l'inestimable salière de Cellini offerte à François Ier. Alors que le musée Frans Hals de Haarlem propose une confrontation entre l'art très personnel de Hals et celui de ses plus fameux prédécesseurs et contemporains, à Londres, la National Gallery rend hommage quant à elle à Federico Barocci, maître précurseur du baroque. Au cœur de Paris, la maison-atelier de Zadkine fait peau neuve et propose une lecture renouvelée des œuvres du sculpteur russe. Enfin, Sam Szafran nous accueille dans son atelier à Malakoff, alors même que débute bientôt une vaste rétrospective de son œuvre à la fondation Pierre Gianadda de Martigny.

     

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  • J'ai aimé lire hier:Naissance des arts protestants

    Arts Sacrés n° 21 - Janvier/Février 2013

    L’année 2013 est une date historique pour les Églises protestantes de France : elle scelle l’union des calvinistes (ou réformés) et des luthériens. À cette occasion, Arts sacrés tourne son regard vers les origines de l’art protestant. Quelle place les premiers luthériens et calvinistes ont-ils réservé à l’art ? En quoi ces prises de positions historiques sont-elles riches d’une vitalité ou d’un renouveau pour l’art d’aujourd’hui ? Les Français connaissent peu leur patrimoine culturel protestant, majoritairement calviniste. Pourtant la peinture de l’Âge d’or hollandais, la culture nord-américaine et la naissance de l’art abstrait ne se comprendraient pas sans y reconnaître l’héritage du français Calvin… Une relecture de cet art, discret mais très présent, nous révèle bien des surprises. D’autres surprises nous attendent dans ce numéro : avec l’œuvre d’un peintre du XIXe siècle, Jean-Jacques Henner, qui nous fait découvrir un mouvement encore peu étudié des historiens de l’art, où la recherche de la spiritualité prend parfois les voies de la sensualité ; avec les plus grands chefs-d’œuvre de l’art orthodoxe serbe menacés aujourd’hui de destruction ; avec les vitraux de la Sainte-Chapelle que la restauratrice Claire Babet prend devant nous dans ses mains ; avec la théologie élaborée qui soutient chaque détail du film à succès Le Hobbit ; et enfin, une des plus belle découverte de ce début d’année « post-apocalyptique » : l’espérance dont sont porteurs les artistes contemporains, et dont ils témoignent dans des créations autour du thème biblique de Job.

     

    Dossier

    • DOSSIER. Naissance des arts protestants
    • La Réforme et les arts visuels. Des positions différenciées ouvertes à la modernité
    • Les premiers temples protestants en France : formes, fonctions, symbolisme
    • Fléchères, Un château-temple en souveraineté de Dombes
    • Les temples de Napoléon. De la Réforme catholique à la Réforme protestante
    • Le chant et la musique dans la tradition protestante

    Articles

    • Paysages du sacré. Kosovo : chefs-d'œuvre en péril
    • Le geste et l'outil. Tenir la lumière entre ses mains
    • Images du réel. Entre sensualité et spiritualité. Jean-Jacques Henner, un peintre épris d’absolu
    • L'œil instruit. Le Nouvel An chinois. Replongée rituelle dans l’harmonie du monde
    • Paroles et musique.Tolkien au cinéma. La théologie du hobbit
    • Moment de création. Job ou "l'art au défi de l'espérance"

    Actualités

    • L’art est liturgie
    • Triple émotion baroque au Louvre
    • Soixante siècles de pluralité religieuse au Liban
    • Passeur de lumière
    • Après les critiques, la récompense
    • Pierres d’églises, un art de construire
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    http://www.arts-sacres.fr/numero-21/naissance-arts-protestants.3724.php

  • J'ai fini hier soir:"So much pretty" de Cara Hoffman

    So much prettyHaeden, petite ville de l’État de New York. La nature a repris ses droits, car le chômage a sévi. C’est l’Amérique post-industrielle dans toute sa noirceur.
    Un jour, la jeune serveuse Wendy disparaît. Elle est retrouvée dans un triste état. Stacy Flynn, journaliste ambitieuse, est prête à tout pour démasquer les coupables, mais aussi pour rencontrer un homme capable d’assouvir ses besoins.
    Une adolescente, Alice, partage son obsession pour cette affaire. Ses parents, Gene et Claire, qui tentent de faire coïncider leur existence à Haeden avec leurs rêves de jeunesse, sont loin de comprendre ce que leur fille ressent.
    Petit à petit, les récits des habitants semblent composer un tableau du drame et des événements qui l’ont précédé. Au sein duquel le lecteur entrevoit une autre tragédie. Mais l’écrivain nous réserve un dénouement à mille lieux de ce qu’on pouvait imaginer.
    Avec un sens redoutable du suspense, Cara Hoffman nous livre la cartographie réelle d’un monde qu’on aurait pu prendre pour le paradis : une vie saine loin des grandes villes. Elle immortalise également les tourments de l’adolescence et le cauchemar de tout parent.
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    Entendu ce matin dans Télématin(émission du matin que je regarde depuis...) rubrique livres

    Olivia de Lamberterie(critique littéraire qui présente la rubrique) a dit qu'une collection noire (polar) avait été crée au sein de la prestigieuse collection "Cosmopolite" (littérature étrangère) des Editions Stock

    Preuve, a t-elle dit, que les polars ont acquis leurs titres de noblesse

    Comprenne qui pourra

    Qui ne lit pas mon blog

    Et fait un air dégoûté à chaque fois que je lui parle d'un polar lu ou vu

    Précédentes publications:

    11/11/2012 13:04: découverte du livre et achat

    30/11/2012 09:01 début de lecture

  • J'ai terminé hier soir:"Les joyaux du paradis" de Donna Leon(nouvelle catégorie/sous-partie)

    Une enquête magistrale menée dans la Venise actuelle, mêlant brillamment musique et suspenses, fiction et réalité.

    Caterina Pellegrini, musicologue italienne enseignant à Manchester, accepte avec joie un poste de documentaliste au sein d’une fondation à Venise. Contre toute attente, la place n’est pas de tout repos. Deux cousins se disputent l’héritage d’un ancêtre dont la succession serait tranchée par de vieux documents auxquels seule Caterina a accès. Le fameux ancêtre, compositeur baroque et diplomate, remplissait des missions cruciales auprès des cours allemandes pour le Saint-Siège.
    A mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère: le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps?

    Donna Leon et Cécilia Bartoli ont décidé de remettre à l’honneur un génie de la musique baroque, Agostino Steffani. La collaboration de ces deux femmes est un événement international: le roman Les Joyaux du paradis et le disque Mission (Decca) sortent simultanément dans le monde entier.

    http://www.donnaleon.fr/livres/les-joyaux-du-paradis.html

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    précédente note sur cette auteure:http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2012/07/04/la-femme-au-masque-de-chair-de-donna-leon.html

    Précédente publication de cette note pour le début de ce libre:19/11/2012 16:14

  • J'ai terminé hier soir:"Sorry" de Zoran Drvenkar

    Après "Seul le Silence "de R.J Ellory(je l'ai lu!) Après "Les Visages" de Jesse Kellerman(je l'ai lu!), La nouvelle révélation Sonatine !

    Berlin. Tamara, Frauke, Kris et Wolf se sont connus au lycée. Dix ans plus tard, après une succession de petits boulots, de drames personnels, de défaites diverses et de blessures secrètes, c’est sans trop d’illusions qu’ils abordent la trentaine. Les choses vont néanmoins changer très vite quand ils ont l’idée de créer une agence nommée Sorry, dont l’objet est de s’excuser à la place des autres. Le succès est immédiat, ils aident des hommes d’affaires qui s’estiment s’être mal comportés envers un salarié, un associé ou une entreprise à alléger leurs remords en allant à leur place chercher le pardon auprès de leurs victimes. Tout va pour le mieux jusqu’au jour où un mystérieux assassin désireux de soulager sa conscience en obtenant l’absolution pour les horribles souffrances qu’il inflige décide de recourir aux services de Sorry. C’est le début d’une longue descente aux enfers pour les quatre amis. Pris dans un piège infernal et mortel, ils n’auront d’autre solution que de découvrir au plus vite l’identité et les mobiles de ce tueur qui les manipule et semble parfaitement les connaître.

    Avec ce roman à la construction exceptionnelle et au style remarquable, Zoran Drvenkar rompt d’emblée avec toutes les conventions du thriller. Il déjoue toutes les attentes du lecteur, le surprend sans cesse et le captive jusqu’à la dernière page.