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La presse - Page 120

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai pris plaisir à lire:Les ponts en france

    De l'Antiquité à nos jours

    Le pont est certainement une œuvre au sens concret et symbolique fort. Étymologiquement, le terme indo-européen de pent signifie «voie de passage» ou «chemin». L’idée sous-jacente est celle d’une liaison entre deux points séparés par un obstacle infranchissable: cours d’eau ou précipice par exemple. Symboliquement, le pont relie aussi le naturel au surnaturel : le terme latin de pontifex, «pontife», littéralement le «faiseur de pont», désigne celui qui fait le lien entre le monde des hommes et celui des dieux.

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  • J'ai aimé lire hier:Naissance des arts protestants

    Arts Sacrés n° 21 - Janvier/Février 2013

    L’année 2013 est une date historique pour les Églises protestantes de France : elle scelle l’union des calvinistes (ou réformés) et des luthériens. À cette occasion, Arts sacrés tourne son regard vers les origines de l’art protestant. Quelle place les premiers luthériens et calvinistes ont-ils réservé à l’art ? En quoi ces prises de positions historiques sont-elles riches d’une vitalité ou d’un renouveau pour l’art d’aujourd’hui ? Les Français connaissent peu leur patrimoine culturel protestant, majoritairement calviniste. Pourtant la peinture de l’Âge d’or hollandais, la culture nord-américaine et la naissance de l’art abstrait ne se comprendraient pas sans y reconnaître l’héritage du français Calvin… Une relecture de cet art, discret mais très présent, nous révèle bien des surprises. D’autres surprises nous attendent dans ce numéro : avec l’œuvre d’un peintre du XIXe siècle, Jean-Jacques Henner, qui nous fait découvrir un mouvement encore peu étudié des historiens de l’art, où la recherche de la spiritualité prend parfois les voies de la sensualité ; avec les plus grands chefs-d’œuvre de l’art orthodoxe serbe menacés aujourd’hui de destruction ; avec les vitraux de la Sainte-Chapelle que la restauratrice Claire Babet prend devant nous dans ses mains ; avec la théologie élaborée qui soutient chaque détail du film à succès Le Hobbit ; et enfin, une des plus belle découverte de ce début d’année « post-apocalyptique » : l’espérance dont sont porteurs les artistes contemporains, et dont ils témoignent dans des créations autour du thème biblique de Job.

     

    Dossier

    • DOSSIER. Naissance des arts protestants
    • La Réforme et les arts visuels. Des positions différenciées ouvertes à la modernité
    • Les premiers temples protestants en France : formes, fonctions, symbolisme
    • Fléchères, Un château-temple en souveraineté de Dombes
    • Les temples de Napoléon. De la Réforme catholique à la Réforme protestante
    • Le chant et la musique dans la tradition protestante

    Articles

    • Paysages du sacré. Kosovo : chefs-d'œuvre en péril
    • Le geste et l'outil. Tenir la lumière entre ses mains
    • Images du réel. Entre sensualité et spiritualité. Jean-Jacques Henner, un peintre épris d’absolu
    • L'œil instruit. Le Nouvel An chinois. Replongée rituelle dans l’harmonie du monde
    • Paroles et musique.Tolkien au cinéma. La théologie du hobbit
    • Moment de création. Job ou "l'art au défi de l'espérance"

    Actualités

    • L’art est liturgie
    • Triple émotion baroque au Louvre
    • Soixante siècles de pluralité religieuse au Liban
    • Passeur de lumière
    • Après les critiques, la récompense
    • Pierres d’églises, un art de construire
    • Une culture inter-ethnique ?
    • Film : Anna Halprin ou la danse comme pensée
    • Livres
    • Calendrier

    http://www.arts-sacres.fr/numero-21/naissance-arts-protestants.3724.php

  • Catégories : A voir, L'art, L'histoire, La presse

    1939-1945 : Les Arts sous l'occupation

    Coédition Le nouvel Observateur

     

     
    octobre 2012

    Cet ouvrage raconte jour après jour la vie, les réalisations des créateurs pris dans le maelstrom de la guerre.
    De juin 39 à juin 40 ils se heurtent d’abord à la censure instituée par le gouvernement français. Ensuite sous l’Occupation, à la mise au pas instituée par la Propaganda Staffel allemande qui exige que des rangs des artistes, des cinéastes, des écrivains soient exclus les Juifs et que les créateurs « agréés » ne mettent
    jamais en cause les idées nazies. En outre il leur faut faire face à l’autre censure, celle de Vichy qui prône le retour à la terre, à la famille, aux valeurs chrétiennes et pourchasse les idées « qui nous ont fait tant de mal ». Des idées fort éloignées de la majorité des artistes français. Miracle ou pas, on est stupéfait quand on dresse le bilan final de cette période de l’incroyable créativité qui s’est déployée en France en dépit de difficultés pratiques rencontrés par ces hommes acharnés à survivre. Matisse, Braque, Picasso, Max Ernst, Picabia, Derain pour la peinture, mais aussi Carné- Prévert, Clouzot, Becker pour le cinéma, Guitry, Claudel, Sartre, Camus pour le théâtre : que d’œuvres en bonne place aujourd’hui au Panthéon des arts français !
    Les occupants pendant cette époque ne se sont pas gênés : vols, « aryanisation », destruction de chefs-d’œuvre, censure. Et donc en filigrane, l’éternelle question : fallait-il pour l’honneur de la France que ces artistes, à l’instar de René Char, cessent de créer, se réfugient dans l’anonymat, oublient pour un temps expositions et galeries ? Qui fut collabo, qui ne le fut pas ? En 1945 la Justice aura bien du mal à ranger les créateurs d’un côté ou l’autre de cette frontière mouvante.


    Informations sur ce numéro: 116 pages - 23 x 30 cm
    EAN : 9782842789459
    Reliure : Broché
     
     

    Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    Précédentes publications:

    15/11/2012 00:40

    30/11/2012 08:41

  • Catégories : La presse

    Groupe Hersant: Bernard Tapie et les démons du Midi

    Par , publié le04/12/2012 à 17:15

    Bernard Tapie, Etienne Mougeotte, François Pinault et leurs alliés se disputent le rachat des quotidiens méridionaux du groupe Hersant. Pourquoi tant de convoitises pour des titres à la santé fragile? Enjeux d'un match où l'ex-patron d'Adidas et de l'OM fait figure de favori. 

    Groupe Hersant: Bernard Tapie et les démons du Midi

    MEDIAS - Qui de Bernard Tapie, d'Etienne Mougeotte et de François Pinault l'emportera ?

    afp.com/Jacques Demarthon

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  • Catégories : La presse

    En conflit avec la presse belge, Google accepte de l'indemniser

    LE MONDE | 13.12.2012 à 12h45 • Mis à jour le 13.12.2012 à 16h31 Par Xavier Ternisien

    Google va verser une indemnisation importante, qui représente, selon un éditeur, un montant situé "entre 2 % et 3 % du chiffre d'affaires" de la presse belge francophone, soit autour de 5 millions d'euros. Google va verser une indemnisation importante, qui représente, selon un éditeur, un montant situé "entre 2 % et 3 % du chiffre d'affaires" de la presse belge francophone, soit autour de 5 millions d'euros. | AP/Virginia Mayo

    La presse peut faire plier Google. Les journaux belges viennent d'en apporter la preuve. Un accord secret a été signé, mercredi 12 décembre, entre les éditeurs francophones de quotidiens (les groupes Rossel, La Libre Belgique, L'Avenir), la Société de droits d'auteur des journalistes (SAJ) et Google.

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  • Pour préparer notre visite de samedi, j'avais lu:Bohèmes

    au Grand Palais

    8,50 € TTC

     
    septembre 2012

    Chantée, filmée, versifiée, exaltée, cent fois déclarée morte et toujours renaissante, la « Bohème » fait partie des mythes modernes. Née au milieu du XIXe siècle, entre Romantisme et Réalisme, elle accompagne une profonde transformation du statut de l’artiste. Désormais le jeune talent ne se place plus sous la protection de quelque prince : il est ce génie solitaire, misérable et incompris qui anticipe les convulsions de
    la société.
    Du phénomène de société au mythe artistique, la figure du bohémien est un sujet de prédilection pour les artistes, nourris du fantasme d’une vie sans attaches et sans règles, intense et sensuelle. Entre séduction et répulsion, ces figures de la liberté et de l’errance peuplent au XVIIe siècle, les oeuvres de Georges de la Tour, Simon Vouet ou Sébastien Bourdon, au XVIIIe siècle, les comédies des théâtres et au XIXe siècle, les
    clairières de Corot, Turner ou Diaz.
    À travers Victor Hugo, Théophile Gautier et Franz Liszt, la génération romantique prend fait et cause pour le vagabond, jusqu’à l’avènement de « l’artiste bohème » exalté par des poètes comme Baudelaire et des artistes comme Courbet, Van Gogh, Satie, Modigliani, Picasso, Manet, source essentielle de l’élaboration du mythe moderne de l’artiste.
    Mais les bohémiens ne sont finalement véritablement tolérés qu’en peinture et le XXe siècle leur vaudra une répression historique avant que le surréalisme n’érige l’errance en une voie de création majeure.

    Par des mises en relations inédites, en s’appuyant sur une vaste iconographie autant que sur les croisements entre les disciplines (peinture, littérature, photographie, musique), cette exposition ambitionne d’apporter un jour nouveau sur cette histoire commune entre tziganes et artistes. Elle éclaire un phénomène qui, de Léonard à Picasso, traverse toute l’histoire des arts et des sociétés, et résonne encore dans le monde contemporain.
    A l’occasion de cette exposition Beaux Arts consacre un hors série sur ce mythe de la bohème et sur la fascination que la nation tzigane a exercé sur l'art et les artistes.


    Informations sur le livre: 60 pages - 22 x 28.5 cm
    EAN : 9782842789404
    Reliure : Broché
     

    Pour Francine et les autres, je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres, notamment mes "Paysages de bohémiens" qui a le même sujet que cette expo

    sur laquelle je me documente

    cf. catégorie et sous-partie à ce nom

    et que j'espère voir

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  • Catégories : A lire, L'art, La presse

    Je suis en train de lire:L'Oeil N°650

    L'OeilOctobre 2012

    Les déclarations étaient prévisibles, attendues même. La ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a annoncé l’arrêt des « grands chantiers » lancés par le précédent locataire de la Rue de Valois, Frédéric Mitterrand. Toujours au stade embryonnaire, la Maison de l’histoire  de France est ainsi enterrée et ne rejoindra donc pas les Archives nationales dont le personnel est visiblement soulagé. « Contestable idéologiquement », le projet était par ailleurs « coûteux », a affirmé la ministre sur France Inter. Tout juste restera-t-il donc un site Internet, puisque l’établissement public de la MHF, dirigé par Maryvonne de Saint-Pulgent, a bel et bien été créé en janvier. Fini aussi pour l’hôtel de Nevers qui devait, après l’annonce de M. Mitterrand en juillet 2011, exposer la photographie patrimoniale en remplacement de l’ancien hôtel de Sully à Paris revenu dans le giron du Centre des monuments nationaux. Le Centre ...

    http://www.lejournaldesarts.fr/oeil/couvertures/numeros/parus_couverture/00593/oeil-octobre-2012.php

    Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : La presse

    "Lettres d'un amour défunt. Correspondance 1929-1944", de Pierre Drieu La Rochelle et Victoria Ocampo : lettres de l'eau et du feu

    larochelle-ocampo.jpg

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  • Catégories : Des anniversaires, La presse

    Rousseau, l'ombre des Lumières

    couverture du mensuel
    Le Magazine Littéraire n°514
    décembre 2011
     
    Né il y a trois siècles, l’auteur des Confessions incarne mieux qu’aucun autre «l’homme sensible» adulé par le XVIIIe siècle : celui qui pense par concepts autant que par envolées littéraires, chants et élans du coeur. Plus que tout autre, il a souhaité mettre l’éducation et la transmission au coeur de ses préoccupations, et à cet égard son tricentenaire vaut comme un rappel. À l’heure où toute l’Europe se prépare à méditer sur l’héritage de Rousseau, Le Magazine Littéraire revient sur la vision des sciences, des arts et de l’éducation du philosophe ; sur son rapport au progrès, à la nature, à la religion, ainsi que sur ses aptitudes musicales, sa passion pour la botanique et les débats enflammés que sa pensée a toujours suscités.

    Un dossier coordonné par Maxime Rovere, avec les contributions de Michael O’Dea, Béatrice Didier, Bruno Bernardi, André Charrak, Jean-François Perrin, Céline Spector…

  • Catégories : La presse

    L'Atlantide, continent englouti

     

    Mots clés : ,

    Par Jean Louis TREMBLAIS
    08/07/2011 | Mise à jour : 13:54
    Le mont Calpé (426 mètres), l'une des deux colonnes d'Hercule pendant l'Antiquité, a été rebaptisé djebel Tariq lors de l'invasion musulmane de 711, puis déformé en Gibraltar par les Espagnols. (Noël Quidu/Le Figaro Magazine)
    Le mont Calpé (426 mètres), l'une des deux colonnes d'Hercule pendant l'Antiquité, a été rebaptisé djebel Tariq lors de l'invasion musulmane de 711, puis déformé en Gibraltar par les Espagnols. (Noël Quidu/Le Figaro Magazine)

    Le mythe de l'Atlantide, légué par Platon, est aussi celui du paradis perdu. Une civilisation exceptionnelle, engloutie 9600 ans avant J.-C., au-delà des colonnes d'Hercule, l'actuel détroit de Gibraltar. Et que certains cherchent toujours...

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  • Catégories : La presse

    Beethoven n'a pas composé de Lettre à Elise

    Mots clés : ,

    Alain Duault
    08/07/2011 | Mise à jour : 14:39

    LES PETITES HISTOIRES DE LA GRANDE MUSIQUE - En 1810, le compositeur installé à Vienne écrit, en pensant à une certaine Thérèse Malfatti, une Bagatelle en la mineur. Mais par quel mystère cette brève oeuvre pour piano est-elle devenue, un demi-siècle plus tard, la célèbre Lettre à Elise ?

    Enfoncé dans un gros pardessus de drap noir, des bottes crottées et avachies traînant sur le pavé, son chapeau écrasé sur ses cheveux en bataille, il marche lentement, lourdement, dans les rues de Vienne, désertes à cette heure tardive. Il s'arrête par instants, se tient aux murs, semble chercher dans l'obscurité épaisse quelque chose qu'il ne distingue pas. Il a dans la tête comme une masse cotonneuse, pesante. Cet homme qui erre dans la ville silencieuse en cherchant les remparts qu'il ne retrouve pas au milieu de cette nuit, c'est Ludwig van Beethoven. Nous sommes en mai 1810: il a 40 ans. Depuis quelques années, il est enfermé dans ce brouillard intérieur d'une surdité qui empire. Pourtant, il sait comme personne voir dans le ciel rayé de nuages ces figures qui inspirent sa musique. Car ce qu'il n'entend pas, il sait le faire résonner dans les symphonies qu'il compose et qui étonnent déjà ceux qui les découvrent. Cet homme-là a des mondes en lui. Et ces mondes se nouent, se conjuguent, s'embrasent.

    Mais alors qu'il vient de composer sa cinquième symphonie, avec ces si fameuses quatre notes qui l'ouvrent (po po po pom) et dont il explique qu'elles représentent les coups du destin («Ainsi frappe le destin à la porte», écrit-il en réponse à son ami Schindler qui l'interrogeait sur leur signification), cet homme que nous suivons cette nuit-là, errant dans les rues de Vienne, est un homme malheureux.

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  • Catégories : La littérature, La presse

    Les années « Apostrophes » écornées

    Article publié le 03 Juin 2011
    Par Pierre Assouline

    Source : LE MONDE DES LIVRES
    Taille de l'article : 805 mots

      Extrait :

    A la rentrée, il faudra avoir l'oeil sur les Mémoires, souvenirs, autobiographies d'écrivains. Surtout sur leur Journal, qu'il soit intime ou littéraire. Notamment sur les pages couvrant la période 1975-1990. Cela vous rappelle quelque chose ? Les années « Apostrophes », et leur prolongement dans les années « Bouillon de culture ». Leur histoire n'a pas encore été écrite alors qu'elles jouèrent un rôle unique dans la diffusion des idées. Une autre époque des livres, de la librairie, de la lecture et surtout de la télévision. En ce temps-là, leur animateur était relativement intouchable tant étaient nombreux les éditeurs qui se réglaient sur son émission pour assurer leur année. Les temps changent.

    http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1158965&clef=ARC-TRK-D_01

  • J'ai lu:L'Oeil N°637

    image.jpgJuillet-août 2011

    La structure d’Anish Kapoor a rendu, le 23 juin, son dernier souffle. Après l’arrêt des turbines qui le maintenaient en vie, le Léviathan conçu par l’artiste pour Monumenta, un monstre de caoutchouc haut de 17,35 m pour 100 m de long, a fini de cracher les 72 000 m3 d’air envoyés dans ses poumons. Mort, le Léviathan ? Pas sûr, il est comme le monstre de Job : « inébranlable », capable de rire « du frémissement du javelot ». Même si l’artiste a fait référence au Léviathan de Hobbes, allégorie de l’État, le Léviathan de Kapoor partage avec celui de la Bible ce pouvoir de faire se retirer « les vagues de la mer »… afin que s’ouvrent les colonnes des journaux étrangers. Du New York Times à Der Spiegel, d’El País au Chicago Tribune, la presse internationale a unanimement salué la prestation de l’artiste britannique, le critique du Telegraph confessant même avoir été « complètement ...conquis ».

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    http://www.artclair.com/oeil/couvertures/numeros/parus_couverture/00555/oeil-juillet-aout-2011.php

    cf.

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/j'ai%20lu

    http://www.lauravanel-coytte.com/la_presse/

    parce que j'aime lire la presse magazine, quotidienne, hebdo, mensuelle, généraliste ou spécialisée

    et que ce blog parle de ce que j'aime

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  • Catégories : La littérature, La presse

    Lorànt Deutsch dans les pas de Céline

    Lorànt Deutsch dans les pas de Céline

    Mots clés : ,


    01/07/2011 | Mise à jour : 16:46

    Dans un film documentaire qui sera diffusé l'automne prochain sur la chaîne Histoire, le comédien proposera une visite inédite des lieux de la capitale ayant compté dans la vie et l'oeuvre de l'écrivain disparu il y a cinquante ans. Le Figaro Magazine a assisté au tournage.

  • Catégories : La littérature, La presse, Le paysage

    Le lecteur épinglé

    LE MONDE DES LIVRES | 12.05.11 | 12h29

    À bord d'une Jaguar, Lo et son père traversent un paysage désolé et pourrissant, en lisière de la ville, près du fleuve, au bord de Darling River - car tous les amants s'appellent "Darling" comme un fleuve d'Alaska. Un beau nom amer, comme ces routes plantées de prostituées, leurs parfums et leurs étreintes. Comme la coulure sucrée d'un gâteau éventré. Lo aime et rêve, grandit et se détruit. Elle devient répugnante : "Mon corps s'était métamorphosé en un caveau contenant l'enfant."

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