Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le Musée du Louvre(Paris 1er) - Page 4
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Le Louvre va restaurer "La Belle Ferronnière" de Léonard de Vinci
Paris - Le Louvre a décidé de restaurer le célèbre tableau de Léonard de Vinci "La Belle Ferronnière" pour des raisons "esthétiques", a annoncé jeudi le musée.
Le Louvre a décidé de restaurer le célèbre tableau de Léonard de Vinci "La Belle Ferronnière" pour des raisons "esthétiques", a annoncé jeudi le musée.
afp.com/Timothy A. Clary
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Louvre Abou Dhabi: une exposition didactique à l'usage des Français en mai
Paris - Le Louvre Abou Dhabi dévoilera pour la première fois en France sa jeune collection dans le cadre d'une exposition didactique intitulée "Naissance d'un musée" qui se tiendra au Louvre du 2 mai au 28 juillet.
Un visiteur des Emirats au musée du Louvre d'Abou Dhabi le 21 avril 2013
afp.com/Karim Sahib
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A lire
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« Se perdre dans le Louvre constitue l’un des plaisirs de la visite »
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Waldmüller et Poyer : trois acquisitions du département des Arts Graphiques
1. Ferdinand Georg Waldmüller (1793-1875)
Le Vieux Violoniste, 1828
Aquarelle et gouache - 32,5 x 26,7
Paris, Musée du Louvre
Photo : SVV Ferri16/12/04 – Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Les musées font assez rarement part de leurs acquisitions récentes. Le Louvre vient cependant de publier un communiqué pour annoncer plusieurs dons et achats dont nous avions déjà parlé (les deux tableaux de Michel-Ange Challe, la Déploration de François Barois et, pour le Musée Delacroix, le Portrait équestre de Jérôme Bonaparte par Géricault). -
Un magnifique pastel de Simon-Bernard Lenoir acquis par le Louvre
21/1/14 - Acquisition - Paris, Musée du Louvre - Mieux vaut un chef-d’œuvre d’un petit maître qu’un tableau médiocre d’un grand. L’achat que vient de faire le département des Arts Graphiques du Musée du Louvre auprès de la galerie de Bayser à Paris témoigne de la justesse de cette remarque. Il s’agit d’un pastel (ill. 1) dont l’auteur, Simon-Bernard Lenoir, est relativement peu connu même s’il fit une carrière honorable de portraitiste, devenant notamment peintre de portraits du prince de Condé. Celui-ci, représente le comédien Lekain dans le rôle d’Orosmane (un personnage de la pièce de Voltaire Zaïre). Tout y est admirable : de l’expression déterminée de l’acteur, qui joue avec conviction le sultan Orosmane, à la subtilité des coloris du costume.
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Deux tableaux de Michel-Ange Challe offerts au Louvre
23/12/13 - Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Par l’intermédiaire de la Société des Amis du Louvre, le musée vient de recevoir le don par Christian et Nathalie Volle et par Marie-Catherine Sahut de deux toiles peintes par Michel-Ange Challe (ou Charles-Michel-Ange-Challe) représentant respectivement Vénus et l’Amour et Danaë (ill. 1 et 2). Il s’agit des deux premiers tableaux de l’artiste à entrer dans les collections du Louvre alors que le département des sculptures avait acquis en 2011 une Vierge en marbre de son frère Simon (voir la brève du 8/12/12).
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J'ai lu hier:Grande Galerie n°27
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Le Louvre sort du Sable
Le public français a un peu perdu le fil de l'aventure du Louvre Abu Dhabi, né en 2007. Mais sur place, un gigantesque musée est en train de sortir de terre. Au bord de l'île de Saadiyat, 5.000 ouvriers s'affairent. Deux des plus grandes grues au monde ont été installées, surplombant la mer. Jean Nouvel, qui a conçu ce bâtiment de 60.000 mètres carrés, a envoyé sept personnes pour veiller sur ce chantier hors normes. L'objectif est proche: le musée devra ouvrir ses portes le 2 décembre 2015, jour de la fête nationale d'Abu Dhabi. «Nous tiendrons les délais», promettent les Émiriens, qui jouent avec ce projet une partie diplomatico-culturelle importante.
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Un Titien aux petits soins
12 février 2014 à 19:16«La Vénus du Pardo» avant et en cours de restauration. (Photo Daniel Vigears et Jean-Louis Bellec. C2RMF)
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Première visite sur le chantier des Arts décoratifs du Louvre
Signature : Guy Boyer - 30 janvier 2014Ill. Jacques Garcia dans le chantier du Louvre (©Guy Boyer)
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J'ai fini hier soir:Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre
Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre vous invite à parcourir la remarquable collection Moreau-Nélaton, autour de Corot au Louvre et de Delacroix au musée Delacroix : l'histoire de trois générations de passionnés d'art.
Un grand dossier est également consacré au Louvre-Lens pour le 1e anniversaire du musée et l'ouverture de l'exposition « Les Etrusques et la Méditerranée. La cité de Cerveteri ».
Ce numéro vous propose aussi de découvrir le chantier de fouilles de Gabies, à proximité de Rome, ainsi qu'une sélection d'expositions à voir cet hiver au Louvre et ailleurs, en France et à l'étranger.
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Nintendo 3DS : une console pour visiter le Louvre
Par Antoine Huot de Saint Albin
Publié le 30 novembre 2013 -
J'ai lu pour préparer l'expo "Le printemps de la Renaissance." :Florence (le 6 octobre)
02 octobre 2013
À l’occasion de l’exposition du Louvre, Beaux Arts enquête : comment s’est produit à Florence ce mouvement qui a gagné toute l’Europe ? Pourquoi cette ville est-elle devenue la nouvelle Rome et aussi la nouvelle Athènes ? Un récit bien entendu illustrée par les oeuvres de Donatello, Masaccio, Brunelleschi, Ucello… rassemblées au musée
du Louvre et provenant du palais Strozzi.
Exposition au musée du Louvre
du 26 septembre 2013 au 6 janvier 2014 -
Andrea Del Castagno, La Sibylle de CUMES (vu au Louvre dans l'expo "Renaissance jeudi)
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Galerie Donatello du Louvre
Dès 1852, Napoléon III confia à Louis Visconti le soin d’entreprendre les travaux de réunion du Louvre aux Tuileries. Des écuries furent construites pour servir aux besoins de la famille impériale alors installée aux Tuileries. Si les salles étaient décorées de manière relativement sobre, l’aménagement était néanmoins luxueux : les chevaux de l’empereur mangeaient dans des auges en marbre des Alpes, et les râteliers étaient en cuivre doré ! Ici ni stuc ni peinture. Le décor de cette salle est très différent de ce que vous avez vu jusqu’à présent. Pour fonctionner normalement, tout palais avait besoin de communs : cuisines, magasins, ateliers... Dans le cas du Vieux Louvre, ils étaient étendus, mais tous ont depuis longtemps disparu. Vous êtes dans l’une des écuries bâties sous Napoléon III. Les sols sont dallés pour être plus facilement nettoyés. Entre chacun des piliers, des stalles de chêne étaient destinées à recevoir les chevaux. Regardez par les fenêtres, vous verrez un vaste abreuvoir ainsi que l’élégant escalier en fer à cheval qui conduit à la salle du Manège impérial.
http://www.louvre.fr/routes/habiter-le-louvre-%C3%A0-la-d%C3%A9couverte-du-palais-des-rois-0
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Filippo BRUNELLESCHI, Le Sacrifice d'Isaac (détail) – 1401 - Bronze partiellement doré - Musée national du Bargello, FLORENCE - © Lorenzo Mennonna, courtesy of Italian Ministry for Cultural Heritage and Activities(vu au Louvre jeudi)
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Donatello,Tête de cheval(vu dans dans l'expo "Renaissance" du Louvre jeudi)
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Donatello,Buste reliquaire
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Les origines de l’estampe en Europe du Nord (1400-1470)
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Remerciements :
Exposition organisée par le musée du Louvre en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France
L’apparition de l’estampe en Occident constitue un phénomène majeur de l’histoire et de l’histoire de l’art. À partir de 1400, artistes et graveurs expérimentèrent diverses techniques permettant par l’impression d’une matrice gravée et encrée sur un support de créer et de diffuser des images multipliables à l’identique. Si les estampes circulèrent très vite partout en Europe, les régions germaniques en furent le foyer principal, bien avant que cette invention ne fût transposée dans le domaine de l’impression des textes par Gutenberg vers 1450.
L’exposition traite de l’apparition de ce phénomène en l’étudiant sur une période de soixante-dix ans, jusqu’au début de la carrière de Martin Schongauer, graveur rhénan qui changea fondamentalement le statut de l’estampe au sein des arts. En réunissant pour la première fois deux fonds majeurs en France et en Europe – la collection de la réserve du département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France et la collection Edmond de Rothschild du département des Arts Graphiques au musée du Louvre –, elle met en lumière les différentes étapes de l’évolution de l’estampe, ses acteurs et ses modalités de production, ses rapports avec les autres arts et ses usages.
À travers un choix d’oeuvres, l’exposition montre la diversité des thèmes illustrés. Support et instrument de la dévotion du temps, la gravure a aussi servi des sujets plus audacieux, comme celui du désir charnel ou des scènes de genre dont la teneur nous apparaît aujourd’hui encore bien familière.
Commissaire(s) :
Séverine Lepape, Bibliothèque nationale de France
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Jean Cousin père et fils
Une famille de peintres au XVIe siècle
du 17 Octobre 2013 au 13 Janvier 2014
Le XVe siècle français a été le siècle de Jean Fouquet et d’Enguerrand Quarton, le XVIIe, celui de Georges de La Tour et de Nicolas Poussin. Le XVIe siècle a eu Jean Cousin.
Son nom, glorifié dans les histoires anciennes, inscrit au fronton des écoles des beaux-arts et à l’attique des musées, n’a jamais été oublié. Il demeure le symbole du renouveau du vitrail et de la tapisserie au XVIe siècle. Un magistral Livre de perspective et un manuel pour apprendre à dessiner, Le Livre de pourtraicture, en ont assuré le renom. Mais, pour la plupart d’entre nous, Cousin n’est plus aujourd’hui que le peintre d’un seul tableau, Eva Prima Pandora. Récemment restaurée, cette Ève profane, premier grand nu féminin de la peinture française, odalisque sacrée et cavernicole, fixe l’image primordiale de la femme dans toute sa séduction.
Ce tableau est présenté ici au centre de la création de cet artiste polyvalent et fécond à côté de dessins magistraux, de sculptures, d’estampes, de livres à gravures, d’une tapisserie, d’une broderie et d’une pièce d’armure, qui confirment les mérites insignes de Cousin dans toutes les techniques. Un choix d’oeuvres de son fils et héritier complète l’image de ce grand inventeur d’un style qui, classique avant la lettre, s’est nourri tout autant du passé cultivé par la Renaissance que des sophistications du maniérisme.
Commissaire(s) :
Dominique Cordellier, musée du Louvre, département des Arts graphiques et Cécile Scailliérez, musée du Louvre, département des Peintures.
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Monique Frydman
Polyptyque Sassetta
Art contemporain
du 26 Septembre 2013 au 6 Janvier 2014Remerciements :
Avec le soutien de
JC Decaux.En écho à l’exposition « Le printemps de la Renaissance. La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460 », l’artiste contemporain Monique Frydman présente une oeuvre monumentale dans le salon Carré.
Cette nouvelle production s’inspire de l’une des plus importantes commandes du Quattrocento, le Polyptyque de Borgo Sansepolcro (1437-1444) du peintre siennois Stefano di Giovanni, dit Sassetta (1400-1450). En 1437, il avait été invité par les frères du couvent San Francesco de Borgo Sansepolcro à réaliser un immense polyptyque à deux faces, véritable chef-d’oeuvre destiné à prendre place sur le maître-autel. De ce retable démembré dès la fin du XVIe siècle, le musée du Louvre conserve trois panneaux du registre principal de la face antérieure (dont deux montrés actuellement) et deux panneaux de la prédelle postérieure (aile Denon, salle 4).
Monique Frydman, qui dès la fin des années soixante-dix conduit une recherche picturale strictement abstraite, reprend la structure de ce polyptyque double face, en s’attachant à retranscrire la poétique, la volupté de ses tonalités. « La trouée du temps est là, dit Monique Frydman s’exprimant sur le polyptyque. Ce qui est perdu, démembré, relance le temps et dans cet effacement ne subsiste que le manque dont notre mémoire et notre regard restituent la présence. » L’artiste poursuit au travers de cette nouvelle réalisation un travail sur la spatialité picturale et sur la présence, initié dans sa récente série des Witness.
Commissaire(s) :
Pauline Guélaud
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J'ai aimé jeudi au Louvre:Le printemps de la Renaissance
La sculpture et les arts à Florence, 1400-1460
du 26 Septembre 2013 au 6 Janvier 2014
« Le printemps de la Renaissance » retrace la genèse de cet immense mouvement artistique et culturel qui naît dans la Florence républicaine du début du XVe siècle.
Au début de la Renaissance, une nouvelle vision de l’homme dans son rapport à l’univers et à l’histoire se met en place à Florence. L’exposition présente les oeuvres conçues à partir des innovations majeures, souvent liées à l’antiquité classique, qui transformèrent la conception de l’art en Occident. L’invention de grandes figures inscrites dans un contexte humaniste autant que chrétien, les débuts de l’utilisation de la perspective mathématique par les artistes, le développement de nouveaux sujets comme les petits esprits (spiritelli), ou de nouveaux types de sculptures, comme le monument équestre ou le portrait en buste, sont quelques-uns des thèmes qui incarnent cette nouvelle conception du monde.
Les sculptures de Donatello forment l’un des fils directeurs du parcours à travers quelques-uns des grands chefs-d’oeuvre de celui qui apparaît comme l’artiste le plus créatif du siècle. Elles n’éclipsent cependant pas le travail magistral d’autres sculpteurs illustres comme Ghiberti, Luca della Robbia, Michelozzo, Desiderio da Settignano ou Mino da Fiesole. Les panneaux de Brunelleschi et de Ghiberti pour le concours de la seconde porte du Baptistère de Florence (1401), le Saint Matthieu de Ghiberti ou le Saint Louis de Toulouse de Donatello, les terres cuites émaillées de Luca della Robbia ou la série de bustes florentins comptent au nombre des oeuvres majeures où se manifeste l’extraordinaire éclosion créative de la Florence du Quattrocento.
Commissaire(s) :
Marc Bormand, conservateur en chef au département des Sculptures du musée du Louvre et Beatrice Paolozzi Strozzi, directrice du musée national du Bargello.
Exposition organisée par le musée du Louvre et la Fondation Palazzo Strozzi à Florence, avec le concours exceptionnel du musée national du Bargello.
Présentée à Florence du 23 mars au 18 août 2013.
Cette exposition bénéficie du mécénat principal de eni et du mécénat associé de Deloitte.