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Le patrimoine - Page 4

  • Nous avons aimé dimanche:Musée des transports urbains(Journées du patrimoine)

    Seule ville française à avoir toujours conservé une ligne de tramway dans l'hypercentre, Saint-Etienne se devait de posséder un musée des transports urbains. 

     

    En effet, le tramway garde une place toute particulière dans le coeur des stéphanois. Le musée, d'une superficie de 1200m², rend hommage aux salariés de la CFVE et de la STAS, qui ont consacré une grande partie de leur vie à construire, jour après jour, les transports urbains que nous utilisons aujourd'hui.

     

    Inauguré le 18 Juin 1993, ce musée retrace plus de 120 ans de savoir-faire aux services de plusieurs générations d'habitants.

     

     

    Visite :

     

    Tous les mercredis de 14h à 17h. Des visites peuvent avoir lieu d'autres jours, la demande en sera faite par mail à l'association qui gère le musée.

     

     

        >  Adresse mail : musee.transports-urbains42@orange.fr

        >  Téléphone au 0675071016 

      

     

    Localisation :

     

     

    Musée des Transports Urbains - STAS

    Avenue Pierre Mendès-France BP 90055

    42272 Saint-Priest-en-Jarez

     

     

    Entrée payante :

     

    Plein Tarif : 3 €

    Demi-Tarif : 1.50 €

    http://www.reseau-stas.fr/presentation/?rub_code=81

    Photos perso

     

    100_1754.JPG100_1755.JPG100_1756.JPG100_1757.JPG100_1758.JPG

  • Nous avons aimé hier soir:Circulez ! Petite histoire des moyens de locomotion stéphanois(Journées du patrimoine)

    19771826_jpg-r_160_214-b_1_CFD7E1-f_jpg-q_x-20110704_050731.jpgarchives municipales 17 septembre 2011 - 20 janvier 2012

    Saint-Etienne, pionnière pour le chemin de fer, le tramway, ou le cycle est confrontée dès le XIXe siècle aux difficultés et aux nuisances de la circulation, encore accentées au XXe siècle par l’essor de l’automobile. Il faut notamment organiser au mieux la cohabitation entres les modes de locomotion, sans oublier les piétons. Les premiers plans de circulation dans les années 1970 limitent les flux automobiles dans la ville au profit de la locomotion naturelle et des transports en commun. Il faut rendre la cité aux piétons et aux cycles tout en améliorant l’attractivité du centre-ville.

    L'exposition conduit le visiteur dans le jardin des archives où il peut découvrir quelques projets non-aboutis, visages improbables de Saint-Étienne. Une voie verte miniature permet de repérer son tracé dans la ville.

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  • Catégories : Le patrimoine

    Après Albi, La Réunion entre au Patrimoine mondial


    Après Albi, La Réunion entre au Patrimoine mondial<br/>

    Vingt-quatre heures après avoir retenu la cité épiscopale de la «ville rouge», l'Unesco a ajouté à sa liste le parc national de l'île de l'océan indien, distingué pour «ses paysages et ses écosystèmes».
    » EN IMAGES - Les nouveaux sites classés au patrimoine mondial

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/01/01016-20100801ARTFIG00038-la-cite-episcopale-d-albi-au-patrimoine-de-l-unesco.php

  • Catégories : Le patrimoine

    Vieille gloire redorée

    Fleuron de l'architecture stalinienne des années 1950, l'hôtel moscovite Ukraine vient de rouvrir ses portes. Au terme de trois ans de travaux,
    le bâtiment a été complètement rééquipé et rénové pour en faire un établissement de luxe cinq étoiles.
    "Mais les détails précieux, héritages culturels, ont aussi été restaurés", souligne la direction.
    Haut de 206 mètres, dont une tour de 73 mètres, l'hôtel  abrite désormais 505 chambres et 38 appartements-hôtels.

    Le monde de jeudi

  • Catégories : Le patrimoine

    La chapelle Sixtine à la loupe

    L'université américaine de Villanova, en Pennsylvanie, travaille  étroitement avec le Vatican depuis deux ans sur un chantier numérique d'envergure : proposer aux internautes des visites virtuelles des plus beaux monuments et musées des palais pontificaux sur le site du Saint-Siège. Après s'être attaquée en 2009 aux basiliques papales de Saint-Jean de Latran et Saint-Paul-Hors-les-Murs, c'est au tour de la célèbre chapelle Sixtine de pouvoir être contemplée sur son écran d'ordinateur. L'intérêt de cette visite à 360 ° repose sur le fait de pouvoir zoomer sur des détails des fresques dessinées par le peintre et sculpteur Michel-Ange. Notamment vers le sommet de la voûte et la scène de la  Création de l'homme, où Dieu effleure la main tendue d'Adam pour lui donner la vie. Les murs présentent, quant à eux, des scènes mises en regard de la vie de Moïse (paroi gauche, face à l'autel) et du Christ (paroi droite). Car Michel-Ange ne fut pas le seul a avoir décoré la salle : cette visite ne néglige pas les œuvres d'autres grands artistes de la Renaissance tels que le Pérugin, Sandro Botticelli, Domenico Ghirlandaio, Cosimo Rosselli, Pinturicchio...

    Le monde de lundi

  • Catégories : Le patrimoine

    Les folles bulles de MOET ET CHANDON

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    À en croire l’Union des maisons de champagne*, les quelque 200 kilomètres de caves et de crayères champenoises abriteraient plus d’un milliard de bouteilles du nectar des rois. Moët & Chandon, une institution née en 1743, nous a ouvert ses portes et révélé ses secrets.

    Paru le 05.02.2008, par Claire Mabrut

    La Champagne au cœur de l’hiver ne s’offre pas facilement. Les vignes, qui s’étendent sur plus de 32 000 hectares, se cachent derrière des volutes de brume cotonneuse et, dans l’avenue de Champagne, à Épernay, épicentre de la région, aucun promeneur ni voiture (ou presque), autant dire aucun bruit ne vient troubler la quiétude qui semble régner derrière les grilles des maisons de champagne, installées les unes à côté des autres. Pour mieux pétiller, le précieux vin aurait-il besoin de paix ? Pourtant, dès la fin du XVIIIe siècle, le champagne est devenu « la bulle qui permet de faire des folies ». Il est vrai que les grands noms, et parmi eux Moët & Chandon, sont installés dans le quartier de la Folie, ainsi nommé car il s’y trouvait un asile.
    Il suffit d’une onomatopée, le « pop » à l’ouverture d’un flacon d’or liquide, qu’il soit jaune ou rose, pour réaliser la chaleur de l’accueil champenois. Ce flacon sera ouvert dans les salons de la résidence historique, ceux-là même qui accueillirent Napoléon 1er, Richard Wagner, Joséphine Baker, Nikita Khrouchtchev, Queen Mum et quantité de people, têtes couronnées, sportifs, acteurs et chanteurs.

    http://madame.lefigaro.fr/cuisine/enquetes

  • Catégories : Le patrimoine

    Les dix grands chantiers du Louvre

    f97135a19c019a1dc751daead7f24437.jpgMarie-Douce Albert
    05/02/2008 | Mise à jour : 10:32 |

    FLe Louvre ayant atteint des records d'affluence, 23 nouveaux points d'accueil seront disséminés dans tout le musée. (François Bouchon/ Le Figaro)

    Le premier musée du monde prépare l'avenir pour mieux recevoir ses millions de visiteurs et aménager ses points d'accueil, notamment sous la pyramide. Revue de détails.

    Redistribuer l'espace de la pyramide . Depuis deux ans, Le Louvre affiche l'affluence record de 8,3 millions de visiteurs. Seulement, lorsque l'architecte sino-américain, Ieoh Ming Pei, avait imaginé son étonnante entrée en forme de pyramide, on tablait sur une fréquentation de 4,5 millions de personnes. Inauguré il y a vingt ans, le monument de verre et les espaces d'accueil qu'il recouvre ont atteint leurs limites : ils sont bondés et très bruyants. Il faut donc remettre en chantier l'accueil du public et « cela concerne l'ensemble du palais » , note Henri Loyrette, président de l'établissement. De 2009 à 2017, on s'efforcera donc d'organiser l'entrée des groupes dans le hall Charles V, mais aussi d'aménager des espaces d'accueil supplémentaires pour les individuels dans des lieux encore à l'étude. Le Louvre entend aussi disséminer 23 points d'accueil dans tout le bâtiment alors qu'aujourd'hui toute l'information disponible est concentrée sous la pyramide. Cela permettra de libérer là des espaces qui seront alors dévolus, annonce le Louvre, à «  l'accueil et la contemplation » . « Ieoh Ming Pei n'assurera pas la direction de travaux, mais ce projet de redistribution des ­espaces sous son bâtiment se fait avec son plein accord » , assure Henri Loyrette. Toujours avec ce souci de recevoir le public dans les meilleures conditions de confort et de sécurité, le Louvre rénove actuellement ses ­dispositifs anti-incendie et poursuit sa politique active d'amélioration de l'accueil des visiteurs handicapés.

    Les Tuileries . Depuis 2005, le musée a autorité sur les 26 hectares du jardin voisin. Mais les Tuileries font parfois piètre figure et ont bien besoin de dix ans de travaux. Il faudra donc restaurer leurs terrasses, leurs bassins, leurs grilles ainsi que la statuaire ancienne, mais aussi améliorer leur confort. « Il s'agit aussi de les revégétaliser et d'en refaire ce qu'elles doivent être : un jardin » , souligne Henri Loyrette. Les Tuileries auront toujours pour vocation d'accueillir des œuvres contemporaines, de manière temporaire ou pérenne. Ainsi, au printemps, lorsque Richard Serra exposera au Grand Palais, sa sculpture monumentale Clara Clara , sans lieu d'exposition fixe depuis 17 ans, y sera présentée.

    Le pavillon de Flore. «“Comment peut-on dire d'un tableau qu'il est d'un peintre donné s'il n'est pas signé ? Comment reconnaît-on un chef-d'œuvre ?” Voilà le genre de questions que se posent les visiteurs » , remarque Henri Loyrette. Le président du Louvre est persuadé que si certaines personnes sont encore « rebutées par le musée, c'est parce qu'elles n'en ont pas le mode d'emploi » . Tous ces codes qui permettent de comprendre cet établissement encyclopédique devraient être décryptés sur 2 000 m ² aménagés à l'horizon 2012-2015 dans le pavillon de Flore. Un projet dans le droit fil de la priorité gouvernementale donnée à l'éducation artistique.

    Le pavillon Sully. Le Louvre est lui-même une œuvre, mais les espaces dédiés à son histoire sont trop restreints. À l'horizon 2018-2020, le cœur même du monument, le pavillon Sully, édifié sous Louis XIII, accueillera un parcours ­chronologique. La promenade dans le passé du monument partira des fossés du château médiéval pour permettre de découvrir, à mesure que l'on montera les étages, les architectures Renaissance, classique puis moderne.

    La cour du Sphinx. Le projet Grand Louvre avait permis de réorganiser l'essentiel des collections grecques. La fin du parcours qui leur est dédié est en cours de réalisation autour de la Vénus de Milo. Mais les collections étrusques et romaines attendent toujours leur heure. La cour du Sphinx sera donc rénovée pour permettre de les accueillir d'ici à 2012.

    Peintures françaises et anglaises du XVII e et XIX e  siècle. En 2012, une partie de l'aile sud de la cour Carrée, encore occupée notamment par des bureaux, sera libérée et permettra au Louvre d'achever son parcours dédié à la peinture française et de présenter ses richesses anglaises. En 2018, les tableaux seront exposés dans neuf salles en enfilade et éclairés naturellement grâce à leur verrière zénithale. Et avantage appréciable, ces espaces jouiront d'une vue imprenable sur la Seine. Mobilier du XVIIIe siècle.  Dans l'aile Sully, partie du palais qui n'a pas encore bénéficié de rénovation, les salles dédiées au mobilier XVIIIe étaient vieillottes. Le projet architectural de Yann Keromnes, Aurelio Galfetti et Laurence Carminati pour les remettre en état, sera achevé en 2011.

    Les arts de l'Islam. C'est sans conteste l'un des projets les plus spectaculaires du Louvre en ses murs historiques. On sait qu'en 2010, les nouveaux espaces du département des arts de l'Islam ouvriront dans la cour Visconti. Ils seront alors quatre fois plus étendus que ceux de l'admirable collection d'aujourd'hui. Quelque 2 000 objets pourront y trouver leur place sous le voile imaginé par les architectes Rudy Ricciotti et Mario Bellini. Hier, Henri Loyrette a précisé que le lieu actuellement occupé par les arts de l'Islam serait à terme dévolu à Byzance, « une collection de 450 œuvres aujourd'hui éparpillées et qu'il faut rendre lisible ».

    Deux projets emblématiques hors les murs . Le Louvre défend encore ses projets d'ouverture, à commencer par le Louvre Abu Dhabi. L'établissement qui doit ouvrir en 2013 dans un bâtiment signé Jean Nouvel permettra à l'établissement français de récolter quelque 400 millions d'euros dont 150 ont déjà été versés. Autre vitrine du Louvre hors ses murs, l'antenne de Lens permettra une présentation renouvelée des œuvres du musée parisien. Essentiellement financé par les collectivités locales, le Louvre Lens ouvrira fin 2010. Son architecture presque diaphane sera l'œuvre de l'agence japonaise de Kazuo Seijima et Ryue Nishizawa.

    Des réserves pour le XXIe ­siècle . Comme Orsay, l'Orangerie ou encore les Arts décoratifs, Le Louvre est confronté au risque annoncé d'une crue centennale de la Seine. Les réserves de cinq établissements culturels situés en zone inondable doivent donc être regroupées dans un même centre en Ile-de-France. Hier, le ministre de la Culture, Christine Albanel, a d'ailleurs invité les communes intéressées pour recevoir un tel équipement à ouvrir le dialogue. Mais le futur centre ne se contentera pas de stocker des merveilles. Il devra aussi comporter des lieux de restauration, de recherches et d'analyse « sans équivalent dans le monde » , ainsi que le souhaite Christine Albanel. Ce projet sera en grande partie financé par les fonds recueillis dans le cadre du Louvre Abu Dhabi.

    http://www.lefigaro.fr/culture/2008/02/05/03004-20080205ARTFIG00329-les-dix-grands-chantiers-du-louvre.php

  • Catégories : Le patrimoine

    Le mémorial des Martyrs de la Déportation classé

    75b806387c4cb724e4a60f7ac6dcba61.jpgLa pointe de l'Ile de la Cité à Paris ou se trouve le Mémorial - DR

    Situé à la pointe de l'Ile de la Cité à Paris, derrière le chevet de la cathédrale Notre-Dame, l'édifice date de 1962

    Il se présente sous la forme d'une  crypte enterrée à laquelle on accède par deux escaliers. Deux chapelles  contiennent de la terre et des ossements provenant de camps de déportation . Des  parois sont revêtues de 200.000 bâtonnets lumineux symbolisant les victimes.


    Il a été classé monument historique par arrêté du 23 novembre 2007.

    Le Mémorial des Martyrs de la Déportation  est une évocation de la  souffrance de celles et de ceux qui furent déportés de France entre 1941 et  1944, a indiqué le ministère de la Culture.

    Ce « panthéon des martyrs de la déportation enseveli dans le sol, rompant ainsi de façon radicale avec les formes et les conventions monumentales traditionnelles s'appuie sur la configuration du site en forme de proue de navire. L'ensemble, réalisé en béton, est d'une forme triangulaire.
    Inauguré le 12 avril 1962, l'édifice est l'oeuvre de l'architecte  Georges-Henri Pingusson (1894-1978). Georges-Henri Pingusson fut l’une des figures les plus reconnues du mouvement moderne en France. Le mémorial des Martyrs de la Déportation constitue une de ses réalisations majeures.
    Il a été commandé à l'initiative du Réseau  du Souvenir qui en a fait don à l'Etat le 29 février 1964.

    Publié le 02/01 à 11:26

    http://cultureetloisirs.france2.fr/patrimoine/actu/37904673-fr.php

  • Catégories : Le patrimoine

    Près de 400 000 ouvrages en libre accès sur le site de la BNF en 2010

    La Bibliothèque nationale de France numérisera 300 000 ouvrages, ils compléteront les 90 000 références déjà disponibles sur le site Gallica.

    Philippe Crouzillacq , 01net., le 13/11/2007 à 19h10


    Après avoir dématérialiser quelque 90 000 documents en une petite décennie, la BNF (Bibliothèque nationale de France) franchit aujourd'hui une nouvelle étape dans le vaste chantier de la numérisation de ses collections. Dans les trois ans à venir, ce sont en effet près de 300 000 ouvrages qui viendront s'ajouter aux références déjà existantes (ouvrages, fascicules de presse...).

    L'ensemble sera consultable gratuitement par tous les internautes sur Gallica 2, la dernière évolution du site Internet de l'établissement public. « Cette démarche va permettre à la BNF d'acquérir un savoir-faire technologique extrêmement précieux », précise son président, Bruno Racine. Les premiers éléments de Gallica 2 seront disponibles dès janvier 2008.

    Le projet, dont la mise en ligne se prolongera (avec l'ajout de cartes, de plans et de documents sonores) jusqu'à la fin de l'année 2008, intégrera des fonctionnalités dites de Web 2.0. Les utilisateurs pouvant, par exemple, se créer un espace personnel où ils stockeront leurs documents et apposeront des marque-pages, des étiquettes... Autre nouveauté majeure : la consultation des ouvrages en mode texte et non plus forcément en mode image, comme c'est le cas aujourd'hui.

    26 millions d'euros sur trois ans

    Pour assurer le stockage, la BNF a conçu Spar (Système de préservation et d'archivage réparti), « un entrepôt numérique intelligent ». Bien plus qu'un simple entrepôt de données sécurisé, Spar effectue de multiples copies des objets numériques en garantissant dans le temps la conservation et la continuité d'accès aux documents. Ainsi, indique la BNF, « lorsque le format Jpeg deviendra obsolète, Spar sera en mesure de transformer les images concernées dans un nouveau format plus performant ». 26 millions d'euros seront débloqués sur trois ans pour mener à bien ces chantiers de stockage et de numérisation des oeuvres.

    Par ailleurs, l'établissement public présentera au prochain Salon du livre, un prototype de portail unique d'accès à l'édition française. Une porte d'entrée, fruit d'un partenariat avec les différents acteurs du secteur, qui permettra non seulement de consulter en texte intégral des dizaines de milliers d'oeuvres libres de droit, mais aussi de consulter partiellement des livres sous droit.

    « Grâce à cette une initiative, nous allons pouvoir redonner vie à des textes parfois récents mais déjà épuisés », explique Bruno Racine. L'acquisition des livres sous droit sera possible au prix fixé par les éditeurs. La BNF orientera le lecteur vers le distributeur physique ou virtuel auprès duquel il pourra dénicher le précieux ouvrage.

    http://www.01net.com/editorial/364634/pres-de-400-000-ouvrages-en-libre-acces-sur-le-site-de-la-bnf-en-2010/

  • Catégories : Le patrimoine

    Tyr fait de la résistance culturelle

    Delphine Minoui
    02/11/2007 | Mise à jour : 22:52 |
    Les habitants de cette ville du Liban-Sud s’attachent à leur patrimoine, comme un défi lancé aux multiples guerres qui firent rage au pays du Cèdre.
    De notre envoyée spéciale à Tyr (Liban)

    Partout, des ruines. Mais celles-ci ne portent ni les stigmates de la guerre civile, ni ceux du conflit contre Israël de l’été 2006. Seulement la marque d’une riche civilisation dont l’érosion n’a pour principale origine que le temps qui passe. Des allées de colonnes romaines à perte de vue, des mosaïques aux couleurs passées, des pierres majestueuses qui déboulent jusqu’au bord d’une eau méditerranéenne bleu azur… De Tyr, cité antique portuaire de plus de 2 750 ans, se dégage une étrange impression de calme. Et de beauté ancestrale. «C’est un peu notre colonne vertébrale, celle qui tient toujours debout quand tout s’écroule», souffle Zahra Jaffar, visiteuse solitaire au milieu d’un des sites archéologiques disséminés à travers la nouvelle ville. L’instabilité politique qui prévaut au Liban a dissuadé les derniers touristes occidentaux de s’aventurer au sud du fleuve Litani. Mais pour cette habitante de Bazourieh, plus au sud, Tyr s’impose aujourd’hui comme un pèlerinage hebdomadaire. «Je m’y sens en paix», dit-elle.

    Pour rejoindre cette cité culte de la Phénicie méridionale, à environ 80 km au sud de l’agitation qui secoue actuellement les différentes factions au pouvoir à Beyrouth, il faut passer les postes de contrôle de l’armée libanaise. Sur la route qui mène vers cette ancienne île, on croise également les Casques bleus de la Finul, la force internationale qui veille au maintien de l’ordre. Mais une fois arrivé, la mythologie reprend le dessus. L’histoire de Tyr est, en effet, liée à tous les grands événements des temps anciens.



    Un «âge d’or» inoubliable


    Au cours des siècles, la métropole abrita successivement les Phéniciens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Byzantins, les Arabes, les Croisés, les Ottomans. Aujourd’hui, les principaux vestiges – l’hippodrome, l’arc de triomphe et la nécropole – datent de l’époque romaine. Mais dans les esprits, l’époque phénicienne reste celle d’un «âge d’or» inoubliable, où durant dix siècles (à partir de 1200 av. J.-C.), les riches marchands de ce port en pleine expansion se transformèrent en «colporteurs des mers».

    «C’est ce riche héritage commun que nous cherchons à préserver, pour apprendre ce qui nous unit au-delà de ce qui nous sépare», explique Maha el-Khalil Chalabi, à la tête de l’Association internationale pour la sauvegarde de Tyr (AIST). Native de la ville, cette femme de caractère se bat depuis maintenant vingt-cinq ans pour sensibiliser l’opinion mondiale sur l’importance de la conservation du legs archéologique de ses terres d’origine. Avec, en filigrane, une ambition personnelle : utiliser ce patrimoine comme base commune à tous les Libanais, dans un pays déchiré par les conflits intercommunautaires. Les habitants de Tyr sont d’ailleurs fiers de rappeler que tout au long de la guerre civile (1975-1990), les communautés chiite, sunnite et chrétienne cohabitèrent paisiblement à l’extrême sud du pays, à quelques kilomètres de la frontière avec Israël. «L’anarchie qui régnait à l’époque laissa, en revanche, libre court à différents groupes qui organisèrent leurs propres fouilles et qui pillèrent des pans entiers du patrimoine national», regrette Maan Arab, l’ancien responsable du comité local de protection des sites.

    En pleine ville, la carcasse d’une tour en ciment rappelle également la violence meurtrière des tirs de missiles israéliens, à l’été 2006. Mais à l’exception de fresques funéraires qui se seraient en partie décollées, à cause des vibrations causées par les bombes, les principaux vestiges archéologiques ont été épargnés. En revanche, tiennent à souligner les membres de l’AIST, ce sont d’autres fléaux qui menacent aujourd’hui la richesse du patrimoine local : l’extraction de sable sur le littoral, le remblaiement du port, ou encore le tracé de l’autoroute du Sud.

    «Quand les bombes vous tombent sur la tête, protéger votre patrimoine constitue le dernier de vos soucis, reconnaît Maan Arab, qui s’est enfui dans les montagnes du Chouf, plus au nord, au pic de la crise de 2006. Mais quand on rentre, il n’y a rien de plus rassurant que de voir notre histoire tenir tête aux guerres. Face à l’incertitude politique actuelle, ces sites constituent le plus bel héritage qu’on peut offrir aux nouvelles générations.»

    http://www.lefigaro.fr/culture/2007/11/02/03004-20071102ARTFIG00425-tyr-fait-de-la-resistance-culturelle-.php

  • Catégories : Le patrimoine

    Le clocher d’une église bat le record de la tour de Pise

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    La célèbre tour de Pise n’est plus la «tour la plus penchée du monde». Depuis jeudi, le livre Guinness des Records a donné ce titre au clocher d’une église dans le village allemand de Suurhusen.

    Les auteurs du livre des records sont formels : avec son inclinaison à 5,19 degrés, le clocher de briques rouges haut de 27 mètres penche plus que la tour de Pise, inclinée à 3,97 degrés. Lors d’une cérémonie officielle jeudi dans l’église de Suurhusen, village de 1.200 habitants près de la frontière néerlandaise, l’équipe du Guinness a remis le titre au clocher, qui penche vers l’avant
    Le clocher a été construit sur des fondations en chêne en 1450. Lorsque le terrain alentour s’est asséché au XIXe siècle, le bois a pourri et l’édifice a s’est affaissé. L’accès y a été interdit en 1975 par peur d’effondrement. Mais il est considéré comme sans danger depuis des travaux de consolidation en 1985. Reste à savoir si le clocher de Suurhusen, désormais détenteur du record de la «tour la plus penchée du monde» saura attirer autant de visiteurs que la tour de Pise.



    08/11/2007

    http://www.batiactu.com/data/08112007/08112007-152502.html

  • Catégories : Le patrimoine

    Le salon du patrimoine culturel sous le signe de l’environnement

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    Le salon du patrimoine culturel s’ouvre ce jeudi à Paris. Pendant quatre jours, les professionnels français et européens vont échanger sur la restauration, la conservation et la mise en valeur du patrimoine.


    250 exposants sont réunis au Carrousel du Louvre à Paris pour le salon du Patrimoine Culturel. Du 8 au 11 novembre, restaurateurs et entreprises d’art, prescripteurs, maîtres d’œuvre, collectivités territoriales, fournisseurs de matériaux et de produits immobiliers se retrouvent autour du thème "patrimoine et environnement".

    Les débats porteront notamment sur la protection des centre historiques des villes, l’équilibre entre développement industriel et préservation du patrimoine urbain, les rapports entre architecture et urbanisme ou encore la préservation des matériaux rares.

    L’édition 2007 du salon né en 1995 met l’accent sur l’Europe avec la présence de l’Italie, de l’Espagne, de la Hollande et de la Russie. En effet, cette dernière participera au salon pour la deuxième fois, en partenariat avec l’association Un jour, Un artisan. Elle sera représentée par des artistes, artisans et restaurateurs qui exposeront des œuvres réalisées dans un matériau naturel, traditionnel pour la Russie : le bois (ébéniste, coutelier, tourneur en bois).

    Chauffeuse géante Napoléon III

    Quelques curiosités sont visibles sur le salon telles un modèle exceptionnel de Citroën 15/6, entièrement restaurée par la carrosserie Lecocq. Mais aussi une chauffeuse géante, réalisée par un collectif d’artisans de l’ameublement du Tarn. Cette chaise à cousin inspirée d’une chauffeuse de style Napoléon III mesure 2,50 m de hauteur pour 1,40 m d’assise. Ou encore de la vaisselle en ambre écologique, réalisée par les fabricants d’ambre de Moscou.

    La première remise officielle du label européen Qualicities pour la gestion durable des villes d’histoire aura lieu à l’occasion du salon. Ce label créé à l’initiative de l’Alliance des Villes Européennes de Culture (Avec) récompense les politiques de développement durable des villes et territoires historiques en Europe. Les premières villes lauréates sont Anderlecht (Belgique), Arles (France), Birgu (Malte), Evora (Portugal) et Vienne (France).


    http://www.maisonapart.com/edito/travaux-le-salon-du-patrimoine-culturel-sous-le-signe-de-l-862.php

  • Catégories : Le patrimoine

    Les vestiges de l’Acropole quittent leur colline

    Les statues et blocs sculptés de l’Acropole située à Athènes sont actuellement transférés vers un nouveau musée moderne qui se trouve en contrebas de la colline du Parthénon. Cette opération va nécessiter six semaines de travaux.

    C’est la première fois depuis 2.500 ans que les vestiges de l'Acropole vont quitter leur colline. Ils sont actuellement déplacés, 400 mètres en contrebas, à l’aide de grues dans un musée tout en transparence conçu par l'architecte suisse Bernard Tschumi.

    Au total, trois grues géantes sont nécessaires pour transférer les vestiges. Transportées dans des caisses métalliques, plus de 300 statues et des centaines de vestiges qui se trouvaient jusqu'ici dans les entrepôts du vieux musée vont rejoindre un nouveau musée. Le coût de l'opération, qui va durer 6 semaines, s'élève à 1,6 million d'euros.

    Quant au nouveau musée, il s’agit d’un grand bâtiment en verre posé sur pilotis au milieu de vestiges archéologiques. D'une superficie de 25.000 m2, il est composé de trois niveaux, dont une salle située au dernier étage où une place a été réservée pour accueillir la frise orientale du Parthénon, œuvre monumentale qui se trouve actuellement au British Museum de Londres et dont la Grèce réclame en vain le retour à la Grande-Bretagne depuis des années. L'ouverture officielle du musée est prévue d'ici fin 2008.

    http://www.batiactu.com/data/15102007/15102007-161742.html

  • Catégories : Le patrimoine

    Au Louvre, un avant-goût de l'Orient

    ÉRIC BIÉTRY-RIVIERRE.
     Publié le 14 septembre 2007
    Actualisé le 14 septembre 2007 : 10h14

    Quelques pistes pour patienter avant l'ouverture des salles des arts de l'islam, au Louvre, en 2010.

    L'OUVERTURE, en 2010, des futures salles des arts de l'islam du Musée du Louvre (01 40 20 50 50) suscite une impatience grandissante. Cour Visconti, le projet signé des architectes Mario Bellini et Rudy Ricciotti permettra d'exposer des collections dont seuls 20 % sont aujourd'hui visibles.
    Dans l'immédiat, pour répondre à l'attente, l'institution prépare deux événements (du 5 octobre 2007 au 7 janvier 2008). On verra de somptueuses peintures de manuscrits et objets d'art de l'Iran safavide (du XVIe au XVIIIe siècle) et les chefs-d'oeuvre islamiques du prince Saddrudin Aga Khan en avant-première de l'ouverture de son musée à Toronto (Canada).
    Mais l'appétit d'Orient est tel qu'il ne s'arrête pas au Louvre. Son musée voisin, celui des Arts décoratifs (01 44 55 57 50), met en valeur le meilleur de sa vaste collection d'arts de l'islam (du 11 octobre 2007 au 13 janvier 2008) : ensembles issus de l'Espagne ommeyade et nasride, du Maghreb, de l'Égypte fatimide et mamlouke, du monde ottoman, de l'Iran médiéval et safavide et de l'Inde moghole...
    Toujours à Paris, le Musée Guimet (01 56 52 53 00) vous portera (du 24 octobre 2007 au 3 mars 2008) sur les berges bouddhistes, hindouistes et musulmanes du golfe du Bengale en une centaine d'oeuvres anciennes appartenant aux collections les plus prestigieuses du Bangladesh. Elles sortent pour la première fois du pays et certaines proviennent de fouilles très récentes. Ailleurs, à Saint-Denis, le Musée d'art et d'histoire évoque (jusqu'au 3 décembre) Marco Polo et le Livre des merveilles (01 42 42 05 10).
  • Préparez votre week-end du patrimoine

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    Les journées du patrimoine les 15 et 16 septembre offrent une nouvelle fois l'occasion de découvertes surprenantes

    Outre l'ouverture exceptionnelle de nombreux monuments historiques, il sera possible cette année d'aller à la rencontre des métiers qui interviennent pour la connaissance, la conservation, la restauration et la mise en valeur de tous les patrimoines.
    Les chaînes du groupe France Télévisions se mettent au diapason à l'occasion de ces journées.

    Quelque 15.000 sites et monuments seront ouverts au public, la plupart  gratuitement, quelquefois exceptionnellement, et quelque 21.000 manifestations  seront organisées.Le bureau présidentiel et le parc de l'Elysée seront pour la première fois  ouverts au public, comme la Tour Du Guesclin en Ille-et-Vilaine, une ancienne  habitation caféière en Guadeloupe ou la toute nouvelle Cité de l'Architecture et  du Patrimoine, face à la tour Eiffel à Paris.

    Comme chaque année, les curieux pourront découvrir châteaux, sites  archéologiques, églises ou salles de spectacles.
    Pour l'édition 2007, sur le thème "Les métiers du patrimoine, des hommes et  des femmes au service des biens culturels", des ateliers de restauration seront  ouverts et des centaines de conférences, expositions ou animations diverses  seront organisées pour expliquer les multiples métiers du patrimoine.
    Le patrimoine est un "legs fragile, qu'il nous appartient de préserver et de  transmettre en mobilisant des techniques, des arts, des compétences", a expliqué  la ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel, qui souhaite "mettre en lumière" ces métiers, de celui du  conservateur ou charpentier à celui du chercheur en microbiologie, agent  d'accueil, bibliothécaire, tailleur de pierre ou architecte.

    Quelques manifestations phare
    Des dizaines d'ateliers de restauration, laboratoires, écoles
    professionnelles, manufactures ou chantiers de fouilles seront ouverts, avec expositions, conférences ou visites guidées.

    Alors que l'Institut national du patrimoine , qui forme conservateurs et
    restaurateurs, organise un carrefour des métiers à Paris, le public pourra visiter exceptionnellement l'atelier de moulages de la RMN (Réunion des Musées nationaux) à Saint-Denis, le laboratoire de recherche des monuments historiques de Champs-sur-Marne ou le centre technique de la BnF à Bussy-Saint-Georges.

    En région, sont proposés la découverte d'un atelier de taille de pierres au château de Salm (La Broque, Bas-Rhin), le travail d'un ferronnier d'art à Gebrey-Chambertin (Côte d'Or), des rencontres avec des liciers de la Manufacture de tapisserie à Beauvais (Oise) ou plus loin, le fonctionnement de fours à chaux en Martinique.

    Après une visite vendredi de la manufacture de Sèvres, la ministre de la Culture accueillera le public samedi matin au ministère, où seront présentées des archives du fonds Viollet-le-Duc, avant de se rendre à Saint-Vaast-la-Hougue (Manche) visiter un site Vauban.

    Pour la troisième fois, France Télévisions ouvrira tous ses locaux, et la Tour Eiffel, exceptionnellement, dévoilera les machineries de ses ascenseurs historiques de 1899. Le domaine de Chantilly montrera (avec vêtements chauds et lampes de poche) des anciennes carrières de pierre, sous l'hippodrome.

    Le patrimoine  culinaire sera aussi à l'honneur avec l'école Grégoire Ferrandi et l'école Supérieure de Cuisine Française qui donneront à Paris des trucs pour réussir le boeuf en daube et les oiseaux sans tête.

    La grogne des associaitions
    L'édition 2006 avait été marquée par la grogne des associations, qui dénonçaient le manque de budget dédié au secteur. Une rallonge de 140 millions d'euros avait été accordée par le précédent gouvernement.

    Cette année, ces associations, qui estiment que la "situation reste
    fragile", ont adressé au président de la République une série de dix
    propositions (seuil minimum annuel de 400 millions d'euros, dont 10% pour les monuments privés, nouvelles formes de financements, taux réduit de TVA à 5,5%).

    Elles ont rappelé que Nicolas Sarkozy avait évoqué pendant la campagne présidentielle la somme de quatre milliards d'euros sur dix ans, pour "rendre sa splendeur" au patrimoine  monumental,  Christine Albanel qualifiant ces propositions d'"intéressantes".

    Les Journées européennes du Patrimoine  sont organisées dans 49 pays sous le patronage du Conseil de l'Europe.

    Jacques Hamon
    Publié le 13/09 à 16:09
    S'informer sur les visites en régions et à Paris

    - Les manifestations en régions
    Le site Internet du Ministère de la Culture vous permet d'interroger le programme national des Journées européennes du patrimoine, soit par une recherche géographique, soit par une recherche thématique.
    http://www.journeesdupatrimoine.culture.fr/programme.php
    - Le point information à Paris
    12, rue Saint-Honoré
    Ouvert de 9h30 à 19h
    (jusqu’à 17h le dimanche 16 septembre)
    - Renseignements par téléphone
    numéro indigo : 0 820 202 502 (0,09 euro/minute).

    France Télévisions (visites des sièges)

    Les différentes chaînes du groupe permettront au public de mieux les connaître.Visites guidées des studios et régies:
    - Siège de France Télévisions, (France 2, France 3, France 4)
    7 Esplanade Henri de France, à Paris,
    Samedi et dimanche de 9h à 18h.
    De nombreux animateurs ou présentateurs d'émissions, comme Guilaine Chenu,  Nelson Montfort, Audrey Pulvar, Laurent Romejko, Marie Drucker, David Pujadas,  Elise Lucet ou Frédéric Taddéï, accueilleront les visiteurs.
    (prévoir une longue file d'attente)
    - Siège de France 5
    10 rue Horace-Vernet, Issy-les-Moulineaux
    Samedi et dimanche de 10h à 18h
    - Siège de RFO
    35/37 rue Danton, Malakoff (Métro Plateau de Vanves)
    Dimanche 16 de 10h à 18hAccompagnés de responsables de différents services, les visiteurs pourront découvrir des régies de diffusion et de production, un plateau de télévision, le centre de modulation de la radio et la Rédaction AITV

    France 3 régions (visites des sièges)

    - France 3 Orléans
    Dimanche 16, 10h-18h
    2 place Anatole France
    - France 3 Rouen
    Dimanche 16, 10h-18h
    77 place des Cotonniers
    - France 3 Lille
    Dimanche 16, 10h-18h
    36, boulevard de la Liberté
    - France 3 Lyon
    Samedi 15, 10h-18h
    14 rue des Cuirassiers
    - France 3 Antibes
    Dimanche 16, 10h-18h1
    59 rue du Pylone, La Brague
    - France 3 Montpellier
    Samedi 15, 10h-18h
    10 allée John Napier
    - France 3 Limoges
    Samedi 15, 10h-18h
    1, avenue Marconi
    - France 3 Amiens
    Samedi 15, 10h-18h
    25, rue Roger Martin du Gard 
    - France 3 Nancy
    Dimanche 16, 10h-18h
    14, rue de Méricourt
    - France 3 Reims
    Dimanche 16, 10h-18h
    Rue du docteur Jankel-Segal
    - France 3 Dijon
    Dimanche 16, 10h-18h
    6, avenue de la découverte
    - France 3 Marseille
    Dimanche 16, 10h-18h
    2, allée Ray Grassi
    - France 3 Toulouse
    Samedi 15, 10h-18h
    Chemin de la Cépière
    - France 3 Bordeaux
    Samedi 15, 10h-18h
    136, rue Ernest Renan
    - France 3 Rennes
    Samedi 15, 10h-18h
    9, avenue Janvier

    RFO (visites)

    - RFO Guyane
    Samedi 15, 10h-18h
    Avenue Le Grand Boulevard
    Rémire-Montjoly
    - RFO Guadeloupe
    Samedi 15, 10h-18h
    Morne Bernard Destrellan
    Baie-Mahault
    - RFO Martinique
    Samedi 15, 10h-18h
    La Clairière, Fort-de-France
    - RFO Polynésie
    Samedi 15, 10h-18h
    Centre Parmatai FAAA
    Papeete
    - RFO Nouvelle Calédonie
    Samedi 15, 10h-18h
    Mont Coffyn, Nouméa
    - RFO Réunion
    Samedi 15, 10h-18h
    1, rue Jean Chatel
    Saint-Denis-Message
    - RFO Saint-Pierre et Miquelon
    Samedi 15, 10h-18h
    Saint-Pierre et Miquelon

    France 3 (émissions)

    - Côté jardins
    Emission spéciale sur "Les jardins de Marseille au fil de l'eau".
    Un parcours qui longe le canal de Marsqeille et qui traverse des paysages péri-urbains et urbains, le parc botanique de Borély, les aménagements paysagés de ronds-points et de bords de chaussée. Le périple abordera aussi l'histoire des jardins au sein de la cité phocéenne.
    (Samedi 15, 14h50)
    - Littoral
    Le magazine des gens de la mer proposera une réflexion sur le patrimoine maritime d'aujourd'hui à travers le documentaire "La mer a des histoires"
    (Samedi 15 à 17h10 sur France 3 Ouest)
    - C'est pas sorcier
    L'émission remonte le temps, direction "les cités englouties d'Egypte". A Alexandrie, les archéologues sous-marins mettent à jour les fabuleux vestiges qui témoignent de la longue histoire qui a uni pour un temps l'Egypte ancienne aux Grecs et aux Romain(Dimanche 16, 10h55)

    France 5 (émissions)

    A l'occasion des journées du patrimoine France 5 diffuse deux documentaires:
    - L'autoroute à remonter le temps
    Documentaire sur les recherches d'archéologues sur lechantier de la futur A19 dans le Loiret.
    (Dimanche 16 à 10h)
    - Avignon, au palais de Clément VI le magnifique
    Un épisode de la série "Palais d'Europe" qui propose de replonger dans l'époque où Avignon fit rayonner les arts et la culture sur l'ensemble de la chrétienté.
    (Lundi 17, 20h40)
    - Les métiers du patrimoineUne présentation des différentes filières accessibles en majorité sur concours
    Sur www.france5.fr/

    Info Patrimoine
     La cathédrale de Perpignan pillée
     Préparez votre week-end du patrimoine
     Mobilisation sur l'avenir du patrimoine culturel
     Fête du "Patrimoine gourmand" en IdF ce week-end
     La Troyes romaine sort de terre
     Propositions à Sarkozy des acteurs du patrimoine
     Deux tapisseries entrent au patrimoine national
     Nouveaux vitraux à la cathédrale de Cologne
     Les USA rendent hommage au soldat La Fayette
     Grèce: le site d'Olympie a eu chaud
     Toute l'info patrimoine 
    http://cultureetloisirs.france2.fr/patrimoine/actu/33719209-fr.php
  • Catégories : Le patrimoine

    La Troyes romaine sort de terre

    fd514ff756c43d0fad331a9ffa6ecf0c.jpgVue générale des fouilles place de la Libération à Troyes - Loïc de Cargouet - INRAP

    Une fouille de sauvetage a permis d'en apprendre un peu plus sur Augustobona, nom latin de Troyes

    Le site de la cité, aujourd'hui chef-lieu de l'Aube, a été romanisé vers les années 20 de notre ère.

    Les fouilles, menées de 2004 à 2006 avant la construction d'un parking par une équipe de l'Institut de recherches archéologiques préventives, ont permis de mettre à jour des objets exceptionnels comme des tablettes d'écriture.

    L'histoire de la ville
    Avant les Romains, le site d'Augustobona se trouvait sur une zone de marécages souvent envahis par des inondations.

    Après la conquête, cette zone a été viabilisée et assainie. L'urbanisme s'y est notamment développé sous les règnes de Tibère (14-37) et de Claude (41-54). A la fin du IIIe siècle après J.-C., la cité gallo-romaine commence à péricliter.

    Les fouilles
    Les archéologues ont dégagé plus d'une vingtaine de... latrines et de puits cuvelés en bois. Remarquablement conservés grâce à l'humidité permanente du sous-sol, ceux-ci ont notamment livré des déchets alimentaires. Appartenaient à l'alimentation des premiers Troyens (les habitants du chef-lieu de l'Aube, pas de la Tonneau gallo-romain (réutilisé comme cuvelage de puits), Ie siècle av. J.-C., découvert lors de fouilles à Troyes (Philippe Kuchler - INRAP)fameuse ville de l'Iliade et de l'Odyssée...) la coriandre, l'origan et le raisin. Une alimentation riche importée du monde méditerranéen. Les fouilles ont aussi livré des... parasites qui passionnent les spécialistes.

    Parmi les objets retrouvés dans les puits et latrines: un peigne, une boîte en buis, un fuseau en érable, de la vannerie d'osier...

    Un des éléments les plus remarquables: un tonneau d'une capacité
    de quelque 1000 litres, réutilisé comme cuvelage (revêtement d'étanchéité) de puits, ce qui a permis sa parfaite conservation. 
    Fabriqué vers 47 de notre ère dans la région lyonnaise, il devait à l'origine mesurer plus de 1,80 m. Il a probablement servi au transport de vin piqué (ou du vinaigre), utilisé pour préparer... la boisson des militaires. 

    Autres objets exceptionnels mis à jour par les archéologues de l'INRAP: des tablettes utilisés pour la correspondance écrite ou la rédaction de documents officiels. Généralement en buis, ces plaquettes de 10 à 20 cm de long possèdaient une surface évidée dans laquelle on coulait une mince couche de cire teintée. Tablette d'écriture à deux faces en bois, Ier siècle av. J.-C., découverte lors de fouilles à Troyes (photo Inka Potthast & Ralf Riens-Konservierungslabor)Celle-ci permettait d'écrire à l'aide d'un style, sur une surface effaçable et renouvelable à l'infini. On peut voir plusieurs de ces tablettes, souvent doubles, sur des fresques murales de Pompéi.

    Celles trouvées à Troyes sont fabriquées dans du sapin, sans doute au cours de la moitié du premier siècle après J.-C. Certaines faces
    portent des incisions dans le bois évoquant des lignes d'écriture, en cours d'étude. 

    Les 26 pièces troyennes constituent une découverte unique qui évoque une autre trouvaille faite en Ecosse.

    Publié le 13/09 à 08:36
    http://cultureetloisirs.france2.fr/archeologie/33944236-fr.php
  • Catégories : Le patrimoine

    Les ventes de champagne battent tous les records

    Alexandre Panizzo (avec AFP).
     Publié le 21 août 2007
    Actualisé le 21 août 2007 : 10h15

    Les ventes continuent de progresser alors que la prochaine vendange commence jeudi, en avance de trois semaines sur le calendrier.

    Le champagne, fierté nationale ? C'est en tout cas une excellente affaire commerciale, puisque les ventes ont de nouveau battu tous les records avec 328 millions de bouteilles vendues (+3.4%) entre début juillet 2006 et fin juin 2007, a souligné hier l'Union des maisons de champagne (UMC). Les ventes hors Union européenne (+8%) ont connu la plus forte hausse, a précisé le président de l'UMC Ghislain de Montgolfier, lors d'une conférence de presse. Les producteurs de champagne avaient déjà battu un nouveau record sur l'ensemble de l'année 2006 en vendant 321,6 millions de bouteilles.
    A deux jours des vendanges, les maisons de champagne craignent une pénurie de raisin qui risquerait de créer un fort déséquilibre entre offre et demande. Le président du Syndicat général des vignerons, Patrick Lebrun, s'est voulu rassurant en estimant que la vendange 2007 permettrait de fabriquer quelque "400 millions de bouteilles". La vendange débutera avec trois semaines d'avance sur le calendrier, conséquence d'un printemps très ensoleillé et malgré un été mi-figue mi-raisin.
    La champagnisation dure en moyenne trois ans. "Les paramètres d'un excellent millésime sont là", a ajouté M. Le Brun, prévoyant un bon équilibre entre le degré d'alcool et l'acidité du raisin. Pour rappel, lors de la vendange 2006, les vignerons français ont vendu leur raisin aux maisons de champagne entre 4.20 et 5 euros le kilo. 
    Lien promotionnel Acheter du champagne en ligne avec 1855.com. L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.