Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Alex Katz - Paysages
Lieu : Londres - Tate Modern
Date : du 28 avril 2014 au 30 novembre 2014
Alex Katz, Winter Branch, 1993, huile sur panneau, 23, 30,2 cm.
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Lieu : Londres - Tate Modern
Date : du 28 avril 2014 au 30 novembre 2014
Alex Katz, Winter Branch, 1993, huile sur panneau, 23, 30,2 cm.
Cinq promenades impressionnistes en région parisienne
L’Aurore aux doigts de rose
A commencé sa métamorphose
Et très vite nos yeux arrose
D’une sublime apothéose.
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2 mars 2011
Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes 13 livres en vente sur ce blog.
Par pour L'union-L'Ardennais, Publié le 05/08/2014
Par
Le conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE) de l’Aisne a lancé un concours photo « paix comme paysage » pour évoquer la Grande Guerre à travers les paysages du département d’aujourd’hui.
C e concours photo que nous organisons est ouvert à toute personne résidant ou scolarisée dans le département de l’Aisne », indique Bruno Stoop, urbaniste au sein du CAUE de l’Aisne, à Laon, avec l’espoir de voir un grand nombre de participants. « Le CAUE a pour mission de développer l’information, la sensibilisation et la participation du plus grand nombre dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme, de l’environnement et des paysages et ce concours s’ancre dans cette dynamique », ajoute-t-il.
Between 1899 and 1900, Picasso reproduced the cityscape he saw from his studio. The window or its equivalent – a balcony, a door – links two spaces: outside and inside. He used these to create basically one-point, descending perspectives and to shape forms and rhythms.
This resource dates from the 15th century, when several theories lead to the invention of a new system of representation that made it possible to transcribe an object onto a plane of projection using a linear perspective. In 1908 Picasso and Braque shook the foundations of these centuries-old ideas with the advent of Cubism.
The Barcelona from Picasso’s window is mostly a city seen from a classical perspective, but for his last Barcelona landscape: Columbus Avenue, 1917. This landscape, donated to the city by the artist in 1970, becomes an avant-garde look at the city that had opened its doors to modernity.
http://www.bcn.cat/museupicasso/en/exhibitions/landscapes-of-barcelona.html#des-de-la-finestra
Like other Catalan artists, Picasso portrayed a particular view of Barcelona: from the rooftops. Picasso created rooftop cityscapes from the nearby environment. These views of an elevated Barcelona sometimes become distinguishing skylines of the city.
The rich construction stands in stark contrast to the absence of any human figures – particularly striking given that since the end of the 18th century the city rooftops had offered its dwellers a new space for different uses.
The artist made use of perspective and the interplay of light and shade often creates by evocative full moons. The result is an amalgam of geometric shapes
http://www.bcn.cat/museupicasso/en/exhibitions/landscapes-of-barcelona.html#terrats
In the last third of the 19th century, Barcelona underwent a series of major changes, including the construction of Ciutadella Park, where the 1888 Universal Exposition was held. In addition, the city expanded along the gridlines of the Eixample, the seafront developed and the city centre was spruced up.
Modern Barcelona leaved its mark in urban areas on buildings such as the Xifré House, the first modern block of flats in Barcelona. Close to where Picasso lived, this building had the first modern rooftop water tanks in the city.
Picasso often went to Ciutadella Park, recently built, where there were still vestiges of the follies created for the Expo, such as the diorama of the mountains of Montserrat which the artist painted.
http://www.bcn.cat/museupicasso/en/exhibitions/landscapes-of-barcelona.html#barcelona-moderna
When they arrived in Barcelona, the Ruiz Picasso family set up home by the port. The sea appears naturally in Picasso’s drawings and paintings from around 1895 to 1899.
In his painterly itinerary, Picasso followed the coastline from Montjuïc mountain, past the port, the Barceloneta neighbourhood seafront to the breakwater, and then on to Barceloneta beach with the factories of Poblenou in the background up to the Marina mountain range.
These landscapes are free artistic exercises in which Picasso explored perspective, light, brushstrokes and shades of colour.
Landscapes of Barcelona presents a series of paintings and drawings of Barcelona’s seafront and urban areas from the Museu Picasso’s permanent collection.
Most of the landscapes were painted between 1895 and 1903. During this period in his life, he discovered a modern city in the process of opening up to Europe yet where the old still remained as a sign of the times. The landscapes bear witness to Picasso’s own creative evolution: from his formative years to his growing ties to the Catalan artistic avant-garde as he honed his first personal style. In 1917 he paints the city again and portrays it through avant-garde eyes.
These works are presented here along photographic documents that, to a great extent, identify them, and have been selected from renowned photography archives in the city: Arxiu Fotogràfic de Barcelona, Arxiu Fotogràfic Centre Excursionista de Catalunya and Fundació Amatller d’Art Hispànic. Arxiu Mas.
Publié le mercredi 30 juillet 2014 par Elsa Zotian
Résumé
Ce colloque souhaite explorer les inventions photographiques du paysage non seulement d’un point de vue technique mais encore historique, esthétique, culturel. On envisagera la perspective d’une invention photographique chaque fois qu’une forme de paysage s’invente en photographie et aussi bien dans un regard littéraire, poétique, pictural ou cinématographique en tant qu’il est informé par la photographie ou qu’il emprunte en quelque manière au dispositif photographique. L’approche sera pluridisciplinaire et s’attachera à tous les types de paysage (réel-imaginaire ; urbain-rural-montagnard ; terrestre ou aérien, etc.). Le colloque sera associé à une exposition photographique.
LE MONDE | 31.07.2014 à 10h00 • Mis à jour le 31.07.2014 à 12h50 | Par Claire Guillot
Difficile de rêver meilleur écrin pour Jean Gaumy. L'abbaye de Jumièges, qui domine les boucles de la Seine de ses ruines majestueuses, dialogue avec ses paysages silencieux en noir et blanc. Le photographe de l'agence Magnum, 65 ans, est plutôt connu pour ses longs reportages en immersion parmi les hommes, en prison (Les Incarcérés, 1983) ou sur un navire de pêche (Pleine mer, 2001).
par Antoine Compagnon
du lundi au vendredi à 7h55
Arno Fabre, Cloche, 2012-2013, bronze, acier, chêne, électronique, 235 x 160 x 125 cm (©Arno Fabre).
Le chef de Megève sort un nouveau livre où la nature qui l’environne a autant d’importance que la cuisine
Que ceux qui pensent que le Parisien est une espèce qui se transplante mal viennent voir Emmanuel Renaut, venu de sa banlieue s’installer d’abord chez Marc Veyraz avant d’ouvrir son Flocon de Sel, à Megève, et d’y progresser si vite qu’il a reçu en 2012 sa troisième étoile et le titre de chef de l’année.
Cet artisan qui dit ne pas aimer la starification des chefs n’aime rien moins que courir la montagne pour y cueillir ses champignons comme Régis Marcon, partir à 3 heures du matin sur le Léman avec Eric Jacquier, le pêcheur de Lugrin, s’imprégner des saisons dans sa cuisine épurée, colorée et incroyablement inventive.
Après avoir signé La montagne et le cuisinier, qui mettait déjà en avant ses interprétations de paysage, il récidive avec Nature d’un chef, livre de cuisine comme livre de voyage, où les photos magnifiques de Francis Hammond racontent la nature alentour comme les plats du chef qui y plongent leurs racines, comme ces filets de féra à la salamandre et leur pâte de citron, ou ces girolles juste saisies que parfument mélisse, oxalys et noisettes.
"Nature d’un chef", Emmanuel Renaut et Isabelle Hintzy, Ed. Flammarion 256 p., 74 fr. 30
La mer