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Le paysage - Page 22

  • Signac, les couleurs de l'eau, le bonheur à Giverny

     
      • Par Adrien Goetz
      • Mis à jourle 22/05/2013 à 17:50
      • Publiéle 22/05/2013 à 16:21

    Dès le premier soleil, cap sur Giverny. C'est le bon moment, avant la chaleur et les touristes de l'été. Les nymphéas sont en train de se former doucement à la surface de l'étang, les tulipes sont sorties des massifs et les nouveaux accrochages, voulus par Hugues Gall, directeur de la Fondation Claude Monet, dans la chambre et les appartements privés du peintre méritent à eux seuls une visite.

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/05/22/03015-20130522ARTFIG00461-le-bonheur-a-giverny.php

  • MUSIC ANTON ZORAN

    Anton Zoran Mušič (Boccavizza 02/12/1909 - 25/05/2005 Venise) avec des origines dalmates, Venise est devenue la ville de son adoption. Après avoir terminé ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Zagreb en 1934, il se dédiée aux voyages. L'artiste a vécu entre Madrid, Paris, Vienne et Zurich avant de s'installer à Venise en 1940.
    Mušič en 1943 a été déporté à Dachau, où les conditions difficiles fiévreusement dans différentes conceptions illustrant les souffrances dans les camps. Après sa libération, l'artiste retourna à Venise en 1945. Ici, avec ses œuvres, exposées à la Biennale en 1950, a remporté le premier prix. En 1951 et en 1952 il a reçu le Prix de Paris, d'abord avec corporations, puis seul.

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  • Dans le cadre de MP 2013,nous avons aussi vu

    Méditerranées. Des grandes cités d’hier aux hommes d’aujourd’hui

     

    Méditerranées. Des grandes cités d’hier aux hommes d’aujourd’hui

    Une grande exposition-fiction investit l’espace d’exposition du J1. Une barquette marseillaise, des gens de mer qui racontent leur Méditerranée avec ou sans l’accent, c’est le commencement d’un voyage aléatoire…

    Réservez ici

     

    Des oeuvres et des images en d…

     

     

    Des oeuvres et des images en dialogue

    L’exposition Méditerranées réunit cent soixante et onze œuvres présentes au sein de onze étapes historiques. Celles-ci sont dotées d’un court film d’animation propre à leur thématique.

     

    Ulysse, le film

     

     

    Ulysse, le film

    Fil rouge de l’exposition, ce film de Malek Bensmaïl est présenté sous la forme de 10 séquences de 5 min tout au long du parcours.

     

    Les films d’animations

     

     

    Les films d’animations

    Les étapes de l’exposition sont dotées de courts films d’animation en lien avec la thématique abordée. Mêlant rigueur scientifique, inventivité et parfois beaucoup d’humour, ces films ont été réalisés par un collectif animé par Paul Bourgois réunissant sept jeunes réalisateurs tous formés à l’École Nationale des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD).

     

    Les photos de Brian Griffin

     

     

    Les photos de Brian Griffin

    C’est au photographe britannique Brian Griffin, né en 1948 à Birmingham, familier de l’univers des workers que Marseille-Provence 2013 a confié le soin de conclure l’exposition Méditerranées.
    Plus d’infos : cliquez ici

     

    Une scénographie de conteneurs

     

     

    Une scénographie de conteneurs

    Dans une ambiance portuaire, sous l’immense charpente métallique du J1, une impressionnante scénographie invite le visiteur à déambuler dans un labyrinthe de containers découpés, aménagés, superposés, constituant autant de boîtes à trésors d’un voyage imaginaire. Une expérience à vivre absolument !

     

    Le catalogue

     

     

    Le catalogue

    Retrouvez le catalogue de Méditerranées à la librairie-boutique : La salle des machines (J1)

     

    Autour de Méditerranées

     

     

    Autour de Méditerranées

    Une série d’événements rendant compte de la diversité culturelle en Méditerranée vient enrichir la visite de l’exposition.

     

     
     
    Les films d’animations
    Lesfilmsd’animations
    Les photos de Brian Griffin
    LesphotosdeBrianGriffin
    Des oeuvres et des images en dialogue
    Desoeuvresetdesimagesendialogue
    Ulysse, le brûleur de frontières et la mer blanche au milieu
    Ulysse,lebrûleurdefrontièresetlamer...
    Autour de Méditerranées
    AutourdeMéditerranées
    Catalogue de l'exposition
    Cataloguedel'exposition

    http://www.mp2013.fr/mediterranees-des-grandes-cites-dhier-aux-hommes-daujourdhui/

  • Nous retournerons visiter puisqu'il était fermé:Musée Ziem

    Le musée Ziem est né en 1908 et possède depuis son origine des collections variées. Le visiteur peut découvrir les œuvres de Félix Ziem, des peintures de l’école de Marseille de 1850 à 1925, des paysages fauves, de l’art contemporain, des collections archéologiques et ethnologiques.

     

    Pour les adultes, des visites commentées et des conférences viennent ponctuer l’année, ainsi que des moments particuliers, comme des concerts ou des rencontres/débats en lien avec la collection permanente et les expositions temporaires.

    Différentes formes d’ateliers d’initiation à l’histoire de l’art et aux pratiques plastiques sont proposées aux enfants tout au long de l’année.

    Elles s’adressent au public individuel, au public en situation de handicap, aux scolaires, aux centres aérés et aux Maisons de quartier.

    http://www.ville-martigues.fr/culture-sport-et-loisirs/musee-ziem-1708.html

    Précédente publication:

    01/05/2013 12:15

  • Jehan Marot

    Jean Marot est un poète français des XVe et XVIe siècles, né à Mathieu, près de Caen, vers 1463, mort vers 1523. Il vécut quelque temps à Cahors et épousa la fille d'un bourgeois de cette ville. En 1507, il entra au service d'Anne de Bretagne en qualité de secrétaire, puis il devint, après la mort de celle-ci, valet de chambre de François Ier. II était le poète attitré de la petite société féminine dont Anne de Bretagne, au témoignage de Brantôme, s'était entourée. C'est pour cette société qu'il écrivit le Doctrinal des princesses et des nobles dames (en 24 rondeaux assez élégamment tournés) et la Vray-disante Advocate des dames (en strophes de diverses formes entremêlées de rondeaux et de ballades). Dans le Voyage de Gênes (en vers de 10 syllabes mêlés de rondeaux et de quelques morceaux de prose), il raconte avec la fidélité d'un historiographe et dans un style souvent ferme et précis l'expédition dirigée par Louis XII contre les Génois; cet ouvrage plut tellement à la reine que, Louis XII se mettant en marche contre Venise (1509), elle fit attacher Marot à l'expédition : c'est cette expédition qu'il chanta dans sa principale oeuvre, le Voyage de Venise (même rythme que le Voyage de Gênes) où il y a de beaux vers descriptifs et parfois un véritable souffle héroïque (particulièrement dans les morceaux en alexandrins). Il avait commencé une épître sur la défaite des Suisses à Marignan (1515) que la mort, au témoignage de son fils, l'aurait empêché d'achever. Pourtant il est certain qu'il ne mourut que quelques années plus tard, car on trouve son nom dans les états de la maison du roi aux années 1522 et 1523. 

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  • Nous n'avons pas pu visiter le Musée Ziem à Martigues(Bouches-du-Rhône,13,PACA)

     Ziem, Navire américain dans le port de Marseille Musée Ziem, Martigues, visitecar il était fermé et ce n'était pas inqdiqué sur internet mais la ville, "Venise provençale" est sympa à visiter

    Le musée Ziem a ouvert ses portes au public en 1908 suite à un don de l'artiste à la ville de Martigues.

    Aujourd'hui, le musée présente des collections d'archéologie nationale (préhistoire, médiéval, moderne, etc.

    http://expo-musee.sorties.francetv.fr/musee-ziem-martigues-visite-musee-ziem-martigues-ide-434fcb694

    Précédente publication:*

    18/05/2013 00:21

  • Catégories : A voir, Boudin Eugène, Des expositions, J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai aimé lire pour préparer ma visite:Eugène Boudin

    Eugène Boudin

    Figaro Hors-Série

    Eugène Boudin : L'inventeur de l'impressionnisme.

     

    Michel de Jaeghere - Directeur de la rédaction du Figaro Hors-série

    Il avait le visage hâlé d’un loup de mer, la voix douce, le parler lent, les yeux « d’un bleu de faïence ». Il ne fréquentait pas les cafés où se pressaient les figures de la bohème parisienne, entre deux verres d’absinthe, un air de french cancan. Il leur préférait les déjeuners arrosés de malaga, savourés dans l’intimité familiale.
    Ami de Courbet, de Monet, de Fantin-Latour, de Carolus-Duran, ce solitaire n’avait voulu se rattacher à aucune école qui fut « consacrée et sacrée ». Cinq mois avant sa mort, en 1898, arrivé à un état de

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  • Catégories : Des expositions, Le paysage, Venise

    Canaletto-Guardi:Les deux maîtres de Venise

    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

     


     

     

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/



  • Catégories : A lire, A voir, L'érotisme, Le paysage, Ma bibliothèque

    Pissarro et les ports

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    Le port industriel fait une entrée triomphale dans la peinture moderne en 1874 lors de la première exposition impressionniste. Mais c'est Camille Pissarro qui donnera toute sa dimension à ce thème à travers une importante série réalisée pendant vingt années, de 1883 à 1903, dans les trois ports normands de Rouen, Dieppe et Le Havre. Ce hors-série accompagne l'exposition organisée par le musée d'art moderne André Malraux du Havre, dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste 2013.

     http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2567

  • Catégories : A voir, Le paysage, Van Gogh Vincent, Voyage

    Fin de:L'art du voyage(que j'ai vu)

    Tout le monde en France est persuadé que l’artiste japonais le plus célèbre est Hokusai. C’est une erreur qui amuse beaucoup au Japon.En effet, le Léonard de Vinci japonais n’est pas le maître de La Vague mais un autre qui n’a encore jamais eu l’honneur des musées en France : Utagawa Hiroshige. Pourtant au temps des impressionnistes, Hiroshige est de loin l’artiste qui a le plus fasciné l’ensemble du groupe des jeunes contestataires des Salons

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  • Catégories : Le paysage

    Cuno Amiet,"Paysage de neige"

     
     
     
     
    Cuno Amiet (1868-1961)
    Paysage de neige, dit aussi Grand hiver
    1904
    Huile sur toile
    H. 178 ; L. 235 cm
    © M.u.D. Thalmann, CH-3360 Herzogenbuchsee

    Schneelandschaft, dit aussi Grosser Winter [Paysage de neige, dit aussi Grand hiver]


    Tableau de grandes dimensions, plus de quatre mètres carrés, Paysage de neige du peintre suisse Cuno Amiet étonne par la démesure de la surface accordée aux blancs, nuancés et délicats, qui mettent en valeur la tache sombre d'un skieur. La taille de celui-ci paraît, par opposition, dérisoire. Par delà la représentation d'un somptueux paysage alpin, le peintre nous donne peut-être à voir, symboliquement, la traversée d'un désert blanc, aveuglant et silencieux. La trajectoire du skieur est-elle aussi un parcours moral ?

    La vie poursuit son cours opiniâtre en dépit de la monumentalité écrasante de cette nature hostile. La trace linéaire et sinueuse qui traverse les touches floconneuses le montre, le skieur avance, motivé par l'atteinte d'un but invisible, car situé hors-champ, mais dont on ne doute pas de l'existence, pas plus que de la capacité du skieur à l'atteindre. Cette détermination vient tempérer l'impression de fragilité de l'homme dans ce paysage grandiose.

    Cuno Amiet membre de l'Ecole de Pont-Aven, élève de Hodler, ami de Giovanni Giacometti et de Giovanni Segantini est injustement méconnu. Peut-être en raison de la singularité de sa production comme l'atteste cette toile atypique, réalisée en marge des recherches picturales contemporaines.

    http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/recherche/commentaire_id/paysage-de-neige-491.html?no_cache=1&tx_commentaire_pi1%5Bsword%5D=Schneelandschaft&tx_commentaire_pi1%5BpidLi%5D=509%2C842%2C846%2C847%2C848%2C850&tx_commentaire_pi1%5Bfrom%5D=851&c=

  • Catégories : Le paysage

    Gabriele Basilico, de ville à trépas

    13 février 2013 à 21:06

    Par BRIGITTE OLLIER

    Disparition. Le photographe documentariste milanais, amoureux de l’urbanisme et auteur de plus de soixante livres, est mort hier, à l’âge de 68 ans, d’un cancer des poumons.

    Rio, 2011. - Gabriele Basilico. Galerie Anne Barrault

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai pris plaisir à lire:Les ponts en france

    De l'Antiquité à nos jours

    Le pont est certainement une œuvre au sens concret et symbolique fort. Étymologiquement, le terme indo-européen de pent signifie «voie de passage» ou «chemin». L’idée sous-jacente est celle d’une liaison entre deux points séparés par un obstacle infranchissable: cours d’eau ou précipice par exemple. Symboliquement, le pont relie aussi le naturel au surnaturel : le terme latin de pontifex, «pontife», littéralement le «faiseur de pont», désigne celui qui fait le lien entre le monde des hommes et celui des dieux.

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  • Catégories : A lire, Le paysage

    Une mine d’usines

     

    Critique

    16 janvier 2013 à 22:06 (Mis à jour: 18 janvier 2013 à 10:28)
    Par EDOUARD LAUNET

     

    Sites. De la saline du Jura à la centrale nucléaire de Chinon, en passant par l’île Seguin, un ouvrage met en lumière six siècles de patrimoine industriel en France.

    La chocolaterie Meunier (XIXe siècle) à Noisiel (Seine-et-Marne). - Myrabella

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  • Fin de:Fables du paysage flamand

     

    Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
    Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
    L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.

    Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.

    Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
    Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
    Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.

    Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.

    Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
    Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
    Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.

    - Autour de l’exposition :
    Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
    - Jeu. 25 oct. 18h30
    Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
    - Merc. 21 nov. 19h
    La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
    - Mardi 27 nov. 19h30
    Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
    - Lundi 03 déc. 18h30
    Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
    - Dim. 13 Janv. 20h
    Fables polyphoniques, concert de clôture.

    http://www.pba-lille.fr/spip.php?article2418